Purée... J'allais vraiment te dire "Wow, super tes vidéos !!! Mais pour celle là, ça aurait vraiment été génial qu'à chaque fois, tu racontes quel a été le tricks autorisant de telles aberrations de la nature"... et puis, en lisant les commentaires, j'ai fini par comprendre. Comme quoi, les commentaires, c'est vachement utile. GG à toi, lâche rien ! PS : et pour ceux qui aiment la zik electro ambient expérimentale, je conseille Dedekind Cut : $uccessor. Pochette de l'album : Brokeblack Mountain.
1:03 Limite c'est la seule que je veux bien accepter pcq c'est la seule qui, dans un certain cadre, a une cohérence vraie (Sommations infinies de Rammanujan/Porlongement holomorphe de Zeta(z)) 3:28 Depuis quand on divise par 0 ? 6:04 Si t'as a-b = k, écrire k < k est déjà fallacieux donc raisonner dessus aussi. 8:15 La commutativité a une valeur aussi pour les exposants, et on n'oublie pas que √(x²) et (√x)² sont toutes deux égales à |x| - la première dans IR, la seconde dans IR+. 10:29 Bon d'une part, non, le schéma n'est pas valable que dans IN. Multiplier par 3,5 c'est littéralement faire x+x+x+x/2 le séchma reste le même il y a juste une petite subtilité avec un reste qui apparaît. Sinon. La somme des x_i allant de 1 à x c'est littéralement la définition de x² en série. De la même façon la somme des 1 x fois ça fait bien x sauf que tu dérives x*x. Dérivée d'un produit. C'est pas bien de ne faire que la moitié (au sens mathématique du terme) du travail. 13:45 ln(-1), dans IR, sérieux ? Par ailleurs, e^ln(x) = x ssi x > 0. Et j'adore à 15:18 "Sauf que 2≠0" après avoir passé presque 15 min à soutenir en gros que tous les entiers se valent. 16:07 Vicieux. Le fait qu'une propriété soit vraie dans un ensemble plus grand ne justifie pas d'étendre aussi gratuitement et sans raison l'ensemble de travail à cet ensemble plus grand (surtout si c'est pour revenir à l'ensemnle de travail derrière tout aussi gratuitement...) ! 18:54 4 est un nombre premier. Je ne savais pas, mais merci. 21:50 IR[x] n'est pas de dimension finie, donc encore moins compact, donc pas de Théorème de Bolzano-Weierstrass. 24:05 Ok là j'avoue j'ai pas mal fouillé parce que c'est pas de la tarte... 😅 Q a comme partie majorée D, mais Q en tant que tel n'a pas de borne supérieure. Donc sup(A-inter-Q) diverge. La fonction g a donc un énorme problème de définition qui inévitablement fait foirer le reste... 😅
Attention spoiler sur où on NOUS A HONTEUSEMENT MENTI en ce 01/04: - début collège : séries à termes positifs divergentes -> on ne peut pas soustraire (ici on fait + inf - (+ inf)) - milieu colège : on divise par (a-b)=0 - fin collège : la fonction carrée est strictement croissante sur R+ mais on fait comme si c'était strictement croissante sur R, (-1)² < 1²... - début lycée x^(a*b) = (x^a)^b est faux pour x < 0 et a ou b non entier. La démonstration repose sur l'ecriture exponentielle de la puissance mais on ne peut pas ici car il n'existe pas de logarithme défini sur les négatifs avec les bonnes propriétés pour continuer la démo - milieu lycée : ici la fonction n'est pas défini sur un espace vectoriel topologique donc on va considérer qu'on fait une dérivée discrète (par exemple u_{n+1} - u_n). Et dans ce cas la dérivée de n -> n*n = sum_{k=1,n}(n) c'est n -> 2n+1 peu importe de quelle expression on part pour faire les calculs donc on obtient 2n+1=2n+1, sans plus - fin du lycée: ln(a*b) = ln(a) + ln(b) est vrai pour le ln classique défini sur R*+. Il n'y a pas de log sur les négatifs qui satisfasse les propriétés utilsées par la démo - début prépa : c'est seulement à la fin qu'on fait des équivalences mais on a fait des implications au début dont la réciproque est fausse. Au final on a juste démontré p premier impair et 9 | p => 9 | p mais pas la réciproque - milieu prépa : il faudrait encore montrer qu'il existe un tel morphisme (c'est pas le cas car en particulier l'image réciproque de {0, 2}, un idéal de Z/4Z, devrait être un idéal de C donc {0} ou C mais ce n'est pas possible car 0 n'a qu'une image et l'image de C est forcément Z/4Z car phi({0, 1, 2, 3}) = Z/4Z) - fin prépa : la boule est fermée et bornée mais R[X] est un espace à dimension non finie donc non compact et donc on a pas de théorème de Bolzano Weirestrass. Ici la suite diverge (mais converge dans R^N qui n'est pas isomorphe à R[X]) - doctorat : une coupure de Dedekind est une partie majorée de Q mais Q (contrairement à R) ne possède pas de propriété de la borne sup donc la fonction g est mal définie car la borne sup n'existe pas dans Q en général (en fait elle n'existe ici que pour x dans Q) en revanche si on définit g à valeur dans R on a bien une bijection qui est la bijection canonique de notre construction (D et R sont bijectifs mais pas D et Q, ouf)
Super la vidéo franchement ! C’est hyper intéressant le fait que tu aies augmenté crescendo le niveau, ça rend le truc tout public, enfin presque 👀 car toutes les règles ont bien entendu été respectées..
Dans ton premier résultat : 1+1+1+...= -1, j'ai une remarque : A = 1+2+3+4+... B = 1+1+1+1+... A-B = 0+1+2+3+... = 1+2+3+4+... A-B = A Et selon ton résultat, dans la vidéo : 1+A+B = A aussi. Donc : A-B = 1+A+B -B = 1+B -2B = 1 2B = -1 B = -1/2 Et donc selon ton résultat, et le miens, qui ont le même raisonnement, on se retrouve avec : -1 = -1/2 😱😱😱 Donc non, sur des séries infinies, on ne peut pas appliquer ce genre de raisonnement. Et cette démonstration, me rappelle la vidéo de Micmaths, qui "prouve" l'égalité : 1+2+3+4+... = -1/12 Une démonstration, qui est aussi très controversée. Enfin joyeux 1er avril.😂
- debut collège les sommes ne converge pas uniformément donc pas de linéarité - division par 0 - passage au carré non triviale pour une inégalité car signe différents - c est + ou - 1 - fonction pas continue donc pas dérivable - ln est pas definie en -1 - p premier différents de 2 est impaire est une implication pas une équivalence
de quoi tu parles pour le premier point, je connais pas ces résultats là (même si je connais l'uniforme convergence, je suis en fin 2ème année de prépa si jamais). Pour le reste je suis pas tout à fait d'accord ou plus précisément : - ∅ - ∅ - la fonction carré n'est pas croissante sur R (que sur R+) donc pas de conservation de l'inégalité (non plus de l'inégalité stricte) - non, c'est que les règles usuelles avec les exposants marchent quand le nombre initial est positif, sinon justement comme on le voit ici ça ne marche pas avec nos autres usuelles conventions de calcul qui imposent sqrt(1) = +1 (et rien d'autre, pas de '+1 ou -1') - encore, une fois, c'est plutôt que ce que l'on connait usuellement pour sortir des choses du ln fonctionnent avec le nombre qui est mis en puissance qui doit être positif. - le raisonnement fait est une analyse synthèse (au cours de laquelle l'analyse est comiquement moins restricive que les hypothèses initiales) mais sans synthèse (et avec une dernière équivalence, bien que vraie si l'on garde la supposition p appartient à N (puisque les deux membres sont justes vrais, qui ne permet pas de remonter aux hypothèses initiales) -
@@goldeer7129 c'est vraiment révoltant, si tu prends la norme 2-adique tu le vois, que zeta(0) = -1 😌 faut pas dire des conneries et puis la division par 0 ça marche tant que t'écris pas le dessin 0 de toute façon ;')
01:03 | Début collège "1+1+... = -1" de manière générale, les règles de simplification de somme usuelles ne s'appliquent pas avec des ∞, c'est comme simplifier 2+∞ = 3+∞ donc 2=3. Si on fait tous les calculs dans R barre, alors toutes les lignes de caclcul sont justes sauf la dernière où on simplifie par A=+inf, ce qui n'est pas une opération que l'on peut faire dans R barre. 03:28 | Milieu collège "2 = 1" On a supposé a=b puis on divise par (a-b) qui vaut 0. 06:04 | Fin collège " 13 < 13" La fonction carré n'est pas strictement croissante sur R (seulement sur R+) ce qui ne permet pas de préserver l'inégalité stricte. 08:15 | Début lycée "-1 = 1" Les règles usuelles avec les exposants marchent lorsque le nombre qu'on élève est positif. Donc pour une base b négative et des exposants e et f non entier, on n'a pas b^(e+f) = b^e * b^f. C'est justement que ça ne va pas avec notre convention d'écrire sqrt(1)=+1 (et non ±1, pas d'erreur à ce niveau là dans le calcul ici) 10:29 | Milieu lycée "2 = 1" Outre le fait que l'on dérive une fonction pas dérivable à cause de son domaine de définition, car f n'est jamais définie localement au voisinage d'un point (par ailleurs, f est cependant continue, cf la définition de la continuité), le calcul de la dérivée est faux puisque si la dérivée par rapport à une variable x d'une somme dont le nombre de termes ne dépend pas de x est bien la somme des dérivées, ce n'est pas le cas si le nombre de termes dépend de x, comme le produit ici. 13:45 | Fin lycée "-1 = 1" Similairement au premier '-1 = 1', la règle permettant de sortir un produit dans le logarithme en somme de leurs logarithmes n'est vrai que si c'est un produit de nombres POSITIFS (strictement), justement pour éviter de sortir du domaine de définition du logarithme. ln(-1) est bien sûr pas défini. Ensuite, appliquer une fonction réciproque pour retrouver l'élément initial ne marche que si on l'applique justement pour un élément initial dans le bon domaine de définition pour la fonction réciproque. 15:59 | Début prépa "9 est premier" ce qui est fait est une sorte d'analyse-synthèse mais sans synthèse (et avec une analyse comiquement moins restricitve que les hypothèses initiales même). La dernière équivalence, qui est au passage bien vraie si on garde la supposition p appartient à N (puisque les deux membres sont justes vrais) , ne permet pas de remonter par équivalences aux hypothèses initiales. 18:54 | Milieu prépa "2 est impair" On suppose qu'un tel morphisme φ existe et on l'applique à des nombres pour en déduire que 2 est impair. Mais justement, un tel morphisme d'anneau φ n'existe pas ! C'est d'ailleurs ce que l'on démontre en obtenant l'absurdité '2 est impair'. 21:48 | Fin prépa "il existe un polynôme de degré infini" Le théorème de Bolzano-Weierstrass n'est pas vrai sur K[X] ! Il est automatiquement vrai sur tout espace vectoriel de dimension finie (donc par exemple R) mais K[X] n'est pas de dimension finie. De plus, le degré n'est pas continu ! Même sur K_m[X] de dimension finie, si l'on a Pn -> P ∈ K_m[X], alors on n'a pas forcément deg(Pn) -> deg(P) (i.e. deg(P) = lim deg(Pn) qui aurait pu être +inf dans R barre). Un contre exemple simple pour montrer que l'application qui à un polynôme associe son degré n'est pas continue est de prendre Pn = (1/n)X² + X qui tend vers P = X de degré 1 mais chaque Pn est de degré 2 donc deg(Pn) -> 2 ≠ deg P. 24:05 | Doctorat "ℝ est dénombrable" 'Toute partie non vide majorée incluse dans R admet une borne supérieure' mais il ne faut pas oublier que cette borne supérieure existe DANS R. Par exemple l'ensemble des rationnels dont le carré est inférieur à 2 (qui sert à définir √2) n'admet pas de borne supérieure dans Q. Donc la fonction g est mal définie, elle irait plutôt dans R, et comme f peut s'étendre pour x ∈ R, vérifier les deux égalités revient en fait à 'démontrer' la bijection entre R et D (je met des guillemets car pour pouvoir prendre ce sup (justifier qu'il existe) il faut déjà avoir construit R, vraisemblablement avec les coupures de Dedekind. Mais bon à supposer R déjà construit et cette propriété sur l'existence du sup, cela montre la bijection entre R et D) Sympa comme vidéo pour un poisson d'Avril, ça parcourt plusieurs erreurs classiques mais précisément OÙ sont les erreurs à chaque fois est parfois plus subtil et j'ai vu plusieurs fausses rectifications dans les commentaires alors c'est pour ça que j'ai décidé de faire le mien. Mais alors, est-ce que j'ai tout bon ?
juste sur le point P -> deg(P) n'est pas continu, ici on pourrait construire une notion de degré sur la limite P (qui n'est pas un polynôme, d'où la necessité d'élargir la notion en utilisant la construction des polynômes comme des suites typiquement) pour lequel deg(P) = +inf en utilisant que pour tout n entier deg(P) > n. Donc c'est pas vraiment une question de continuité le problème mais plutot comme tu le dis d'une notion de non compacité de la boule unité et donc pas de théorème BW
@@UA-camVoyageur hum oui on peut élargir la définition du degré en élargissant la définition de ce qu'est un polynôme alors en autorisant les suites qui ne sont pas à support fini. Ça reste un peu différent de l'affirmation initiale (car dire qu'un degré tend vers +inf a quand même un sens même si c'est vrai que l'associé à un polynôme en particulier n'en avait pas). En pensant à la continuité du degré je m'étais fais une réflexion que le degré ne peut que descendre à la limite et non pas monter, et qu'à partir d'un certain rang le degré de la suite de polynômes est supérieur ou égal au degré de sa limite. Mais bon je crois que ça ne change pas vraiment le problème de continuité, on peut même avoir deg(Pn) -> +ing mais Pn -> P de degré finie (voire le polynôme nul) avec du Pn = 1 + (1/n)X^n. Il faudrait sinon qu'on a bien une sorte de préservation du degré à la limite dans notre cas bien précis... mais comme Bolzano Weierstrass est non constructif et est en plus faux ici c'est un peu plus dur à imaginer. Mais en fait même en dimension finie (K_ tom[X]) c'est la même chose. Quoique le critère "le coefficient de degré k de Pn tend vers qqch ≠ 0 " semble suffisant à avoir dans ce cas un degré ≥k en passant à la limite (si Pn converge), et donc c'est vrai que c'est assez peu un problème en pratique finalement
Pour la première démonstration, on peut également dire que 1 + B = B puisqu’il s’agit d’une somme infinie, ainsi B = 0 et B = - 1; c’est absurde donc nécessairement faux. Dit moi si je me trompe
@@Jnath33par 'manipulation' il faut préciser 'soustraire par +inf dans R barre' qui ne se fait pas. Car sinon même divergente on peut lui assigner la valeur +inf et faire des calculs avec, mais ces calculs sont limités à l'addition/soustraction de nombre finis, l'addition de +inf à des nombres finis et autres mais pas des "+inf + 3 - (+inf) = 3" par exemple
Pour le Fin collège il existe une propriété mathématique appelée l'ordre total, qui établit que si a < b, alors a^2 < b^2 pour des nombres réels positifs a et b. Expliquons cette propriété : Supposons que a < b, cela signifie que la différence b - a est positive. En multipliant cette inégalité par (b + a) (qui est positif car a et b sont positifs), on obtient : (b - a)(b + a) > 0 b^2 - a^2 > 0 b^2 > a^2 Ainsi, si a est strictement inférieur à b, alors a^2 sera également strictement inférieur à b^2. Cette propriété découle de la comparaison des carrés des nombres positifs a et b, basée sur l'ordre total. Mais dans ce car on a admis que a = 2 et b = 3 donc a-b est négatif la quatrième ligne est erronée
Waouh! Délicieuse torture!👍 On fait exprès d'oublier certaines règles. Comme par exemple simplifier par a-b qui vaut zéro parce que a=b en hypothèse. Intéressant, pour montrer au lycéens l'importance de la rigueur mathématique. Sinon on peut arriver à des absurdités amusantes. Chapeau !
Merci pour ce poisson d'avril ! Rétablissons la vérité... 1) : On n'est pas dans le rayon de convergence, toutes les opérations que l'on fait à partir de là ne fonctionnent pas 2) : On divise par (a-b). Or, a=b, don on divise par 0, or 0 n'est pas un inversible, le résultat est donc faux ! 3) : La fonction carrée est strictement croissante uniquement sur R+, or a
1) Il n'y a qu'une seule opération qui ne fonctionne pas. Donc non, l'erreur n'est pas là. 2) Oui 👍 3) Oui 👍 4) Oui 👍 5) Oui 👍(la continuité de f ici n'est cependant pas le problème principal, car on pourrait adapter la démo à R, et à une fonction continue) 6) Si, la fonction ln est définie pour les négatifs. Mais c'est les propriétés du logarithme complexe qui sont à revoir... 7) Oui 👍(dit plus simplement, c'est l'absence de synthèse qui pose problème) 8) Non, les propriétés des morphismes et de l'inversibilité sont toutes correctement utilisées. 9) Effectivement par intuition, on sent une douille... Mais où est-elle dans le raisonnement ? 10) Il n'y a pas d'ensemble vide...
@@medematiques Pour la 8 est-ce que c‘est car on suppose que C est un anneau à division et qu‘il existe un morphisme sur Z/4Z ? L‘erreur viendrait donc de considérer qu‘il existe un iverse à 2 dans C. Si je ne me suis pas trompé, alors cela permet de démontrer par l‘absurde qu‘un morphisme d‘un anneau à division à Z/4Z n‘existe pas.
@@medematiquesJe suis peut être un peu rouillé, mais pour la 9. La boule n'est pas compacte en dimension infinie donc on ne peut pas appliquer BW. Et pour la 10 Q n'est pas dense dans R donc la borne sup peut toujours être réelle?
@@tagorier9712 C est un anneau à division puisque c'est un corps commutatif, ce n'est pas ça... En revanche il y a effectivement une erreur à penser qu'il existe un morphisme de C dans Z/4Z parceque C est un corps et Z/4Z non. En particulier l'image réciproque de {0, 2} (un idéal de Z/4Z) devrait être un idéal de C donc {0} ou C mais ce n'est pas possible car 0 n'a qu'une image et l'image de C est forcément Z/4Z car phi({0, 1, 2, 3}) = Z/4Z
Mec, dans la partie "milieu college" ou tu demontre que 2=1,quand tu factorise et que tu simplifie des deux cotes (a-b) , tu peux pas pcq a=b et pcq a-b=0, c comme si tu divisais ls deux cotés par 0. Et dans la partie "fin college" ou tu demontre que 13>13 , t'as pas le droit d'elever au carré les deux cotes d'une inegalite. Tu peux avec une equation, mais ca marche pas avecc une inégalité, parce que quand tu éleve au carre des deux cotes dans une inéquation, tu change la quantité que tu multiplie (cote droit tu multiplie par 1, cote gauche tu multiplie par a-b=-1).
Hélas oui ! Être passionné de mathématiques ne doit pas nous empêcher d'être un peu farceur de temps en temps, de privilégier la blague à l'absorption incessante de connaissances. Ce premier avril, jour des poissons d'avril et autorisation annuelle et exceptionnelle des quolibets les plus douteux, en est une occasion parfaite.
J adore 😂. Dans le deuxième en plus il troll. « Parceque l on ne peux pas diviser par 0 » alors qu il vient juste de le faire 2 lignes au dessus. Nice.
Salut pour la milieux collège on peut remplacer tout les a par des b ou que la moitié ou que un quart car a et b sont égaux ce qui fait que ab = b². Donc forcément a²=b². On peut faire ce que on veut c'est la magie d'Avril
Continuez comme ça pour embrouiller encore,plus nos collégiens , qui n’ont vraiment pas besoin de telles excentricités,, revenez sur Terre , et lisez un peu les ouvrages de nos parents et même grand-parents,,....apres , étonnez vous de l’effondrement régulier du niveau des jeunes en maths ... gardez svp ces élucubrations pour des étudiants spécialisés maths ... Fred
Ah dites-donc, vous êtes un fervent commentateur à ce que je vois ! 😀 Vous connaissez mon parcours, mes études et mon métier ? Vous avez lu la date de publication de la vidéo ?
@@medematiques je ne connais pas votre parcours de génie que je ne mets pas en doute ,,, je peux juste décrire le mien : 13 ans post bac mathématique-scientifique, ingénieur, docteur ,, 42 ans ds la recherche physique... je n ’ai pas "critiqué négativement " vos exposés, j’ai juste insisté sur le fait qu’ils ne sont absolument pas adaptés aux connaissances et possibilités des trop jeunes collégiens en particulier... faut bien faire attention, ce sont des jeunes "cerveaux " , ils essayent de s’y retrouver dans dix concept pas toujours evidents ,, et, de pays, l’enseignement actuel ignore complètement les notions de vrai calculs numériques mentaux, ....il leur faut du concret solide de base ; ce sont des grands enfants , pas des étudiants mûrs... il leur faut des choses vérifiables à leur niveau, digerables aisément.. il me semble bien plus important de leur faire comprendre et manipuler des concepts de base , ..., comment voulez vous qu’un jeune s’y retrouve avec ces exposés ? La maîtrise des maths "de base" est déjà trop difficile à acquérir pour la majorité des jeunes , qui d’ailleurs n’y voient pas les utilisations ... à la "limite " , faites leur plutôt comprendre précocement la différence entre "égal à " et "tend vers " , faites leur comprendre un minimum de topologie , le maniement des connecteurs logiques, la notion de "valeur estimée " , bref, il y a beaucoup de champs concrets ...mettez vous à leur niveau , de maturité intellectuelle, d ’appréhension du monde , ce que vous montrez là est trop perturbant, car d’un niveau théorique inadapté... ce n’est pas vous que je "critique " , mais vos sujets , envers un "public "inadapté pour le recevoir.... je ne veux rien vous conseiller , juste décrire : vous devez connaître "Mathematics "Sharma Editors , India .... ceux là, parmi les innombrables exposés expliquent très clairement les risques d ’erreurs sur des fonctions Arc tg , par ex , et ça , c’est du concret qu’on ne retrouve pas forcément ds bcp d’ouvrages français... par ailleurs, ils insistent lourdement sur "le calcul littéral " , il y a tellement de maîtrise à acquérir... pas de maths sans maîtrise des nombres et des règles de calcul ... c’est universel ... Pas de culture math sans culture de physique , (cf la collection des Smirnov , par ex , ) , puis ,en notre temps , bien sûr maîtriser les logiciels, mais ça , c’est pour des pros ... Plus tard , à vos futurs étudiants, expliquez leur bien la genèse des "complexes " ...ça, c’est plus que passionnant...je n’ai aucun doute sur votre maîtrise... Fred
Pour le début prépa, la dernière equivalence n’en est pas une, et tu oublie que p est premier donc aucun entier ne le divise. P premier n’est pas équivalent à p entier
Dans le premier exemple, les deux A ne sont pas les mêmes, le A qui est égal à B+A+1 est supérieur au A qui est 1+1+1=1+..... donc la différence entre eux ne fait pas 0. Pour le deuxième exemple, vous n'avez pas le droit de divisé par (a - b), puisque ce terme est nul. Pour le troisième exemple quand vous faites au carré (a - b) il devient égal et non supérieur à 1 au carré. Pour la quatrième on a pas le droit de faire -1 exposant 2*1/2. Puisque cela suppose que l'ont a -1 exposant 1/2, et donc on a mis un chiffre négatif à l'intérieur d'une racine carré.
pour la fin college il a fait au carré des 2 coté mais il ne peut pas car il multiplit par (a-b) dun coté et seulement par 1 de lautre et pur la debut lycée racine carré de 1 c 1 et -1
2 n'est pas egak a 1. Car si on simplifie par (a-b), ca revient à diviser par (a-b). Sauf que a=b donc on divise par (a-a), ce qui est egal a 0. Et comme dit juste après, on ne peut pas diviser par 0
les normes sont équivalentes dans des espaces de dimension finie seulement (la est peut-être la première erreur) et je ne sais pas si BW s'étend aux polynômes
Tout a fait, les fermés bornés qui sont des compacts c'est que en dimension finie. Comme K[X] est de dimension infinie, c'est pas automatiquement le cas et il se trouve que c'est faux. Si tu prends Pn = X^n il n'y a pas de sous-suite convergente par exemple (si une telle sous suite existe et converge vers P de degré d, alors apcr le coeff de degré d de P-P_phi(n) est celui de P qui ne tend donc pas vers 0 donc pas de convergence possible en norme infinie du moins (pas d'équivalence des normes sur K[X] cependant...). Le résultat est vrai pour tout K_m[X] qui est de dimension finie cependant.
Est ce qu’on peut simplifier les A car A est egal a la somme des 1 infini fis donc elle est egale a l’infini mais lorsqu’on calcule les limites on sait que infini moins infini c’est une forme indéterminée ce qui rend impossible ton raisonnement
Je ne connais rien au calcul infini mais j’aimerais comprendre pourquoi dans ton calcul tu met 1+A+B=1+2+3+…=A, comment est ce possible que A plus B plus un donne encore A c’est un peu comme si je faisais 10+2+5=2
milieu prépa : démonstration correcte, on en conclut qu'il n'existe pas de tel morphisme d'anneaux fin prépa : la boule unitée n'est pas compacte ! Doctorat : AnQ n'admet pas de sup
je sais que c'est le premier avril et c'est franchement un bon poisson d'avril, je vais mettre la source d'erreur (selon moi) de chaque résultat proposé afin de voir si je les repères toutes résultat 1 : réorganisation des termes d'une série non convergente (donc non absolument convergente) résultat 2 : comme a=b, a-b=0 la simplification revient à une division par 0, opération non autorisé résultat 3 : mettre au carré de chaque coté ne maintient une inégalité de manière générale que si les deux coté sont de même signe (si négatif ça change le sens de l'inégalité) résultat 4 : si a est négatif a^{bc} = (a^{b})^{c} n'est valide que si b et c sont entier, la propriété au collège est montrer sur les exposants entier et la généralisation aux exposant réel découle des fonctions exponentielle et logarithme et réécrivant la base comme e^ln(base) ce que l'on ne peut pas faire avec une base négative car ln d'un nombre négatif n'est pas définit au lycée (il peut être définit avec l'écriture exponentielle des nombres complexe mais on perd l'unicité) résultat 5 : dérivabilité => continuité or tu étudies x² sur un ensemble non continue donc la continuité n'est pas défini ainsi que la dérivabilité résultat 6 : la propriété de l'exposant dans le ln n'est démontrer que pour une base de l'exposant positive (pour des raison similaires au résultat 4) de plus e^ln(x) = x si et seulement si x positif résultat 7 : les "donc" ne sont pas des équivalence mais que des implication, il y a perte d'information et donc le raisonnement ne remonte pas dans l'autre sens. résultat 8 : faudrait peut-être commencer par montrer l'existence d'un morphisme de C dans Z/4Z (ce dont je doute fortement) résultat 9 : l'équivalence entre norme ne s'applique qu'en dimension finie et ta limite ici fait changer le nombre de dimension de l'espace de ta boule pour faire tendre le nombre de dimension vers + l'infini. résultat 10 : Q ne verifie pas la propriété de la borne supérieure, un exemple classique de se fait c'est chercher la borne sur des x dans Q tels que x²
Je suis vraiment stuck premier degré au début collège alors que je suis censé être en école d'ingé mais bon vas-y je connais même pas mes tables de multiplications de toute façon
En vrai de toutes les étapes c'était celle pour laquelle j'étais un peu le plus méfiant sur la justification, surtout quand je voyais d'autre personnes invoquer des séries entières alors qu'en fait je crois que c'est pas utile. Si tous les calculs sont fait dans R barre (R union +inf), alors toutes les lignes sont justes sauf la dernière puisque l'on simplifie par A qui vaut +inf. C'est comme écrire +inf = +inf + 3 = +inf + 2 donc 3=2
y a juste un truc que j ai pas compris quand tu expliques que 13 est inferieur a 13. Au debut tu veux mettre b de l autre cote et tu fais - des 2 cote mais a la fin (-2ab) tu transformes son signes, pourquoi ( je suis en troisieme il reste 3 mois de cours on a pas vu les comparaison )
Aller dis moi si j’ai faux : Début collège : il est évident que A+1+B est différent de A c’est juste qu’il faudrait un peu plus détaillé les 3 petits point à la fin. Millieu collège : Tu divises par a-b or, a-b= 0 Donc tu divises par 0 ce qui fausse tout. Fin collège : Le problème est à la ligne où tu met a-b au carré et 1 au carré, Car la quantité a-b est négative et 1 est positif, or, la fonction carré est décroissante sur R- et croissante sur R+ ainsi la conservation du sens de l’inégalité n’as pas de sens… début lycée : Le faite de mettre les puissance avec les parenthèses en disant que (-1)^2*1/2 = ((-1)²)^1/2 n’as pas de sens car -1 est un nombre négatif car cette propriété marche uniquement avec des nombres positif Millieu lycée : tu n’as pas le droit de dériver la somme des x comme une somme de derive car ils sont répétés x fois, donc c’est comme si on avait un produit, donc tu dérives un produit comme une sommes ça n’as donc pas de sens Fin lycée : on voit un ln(-1) apparaître or la fonction ln est définie sur R*+ donc à partir de ce moment là tout est faux Début prépa : le problème est à la fin tu dis que p^2 - p paire est équivalent à p^2 - p €N or ça n’est qu’une implication ce qui fausse ton résultat ensuite. Millieu prépa et fin prépa c’est trop dure !!
Début collège : Si, 1+A+B est bien égal à A. L'erreur n'est pas là. Milieu collège : Oui 👍 Fin collège : Oui 👍 Début lycée : Oui 👍 Milieu lycée : Mal dit, mais il y a le début de l'idée... Fin lycée : La fonction "ln" peut être définie sur C* (et même sur C si on accepte que ln(0)=-infini), donc le problème n'est pas là. Début prépa : Si, c'est bien équivalent, car les deux implications sont vraies (lorsque la divisibilité est prise dans N). Donc l'erreur n'est pas là.
Le nombre de termes dépend de x, quand x varie non seulement chaque terme varie mais leur nombre aussi ce qui est à considérer dans la variation. Aussi, la fonction f définie n'est pas derivable car n'est définie au voisinage d'aucun point
A et B ne sont pas definis (completement) donc on a pas le droit d'aller plus loin dans les calculs. Par extension je dirais A et B n'appartiennent pas à R.
Ce n’est pas étonnant, car il y a erreur En maths, on ne peut pas diviser par zéro et c’est donc l’astuce Quand on pose (a-b) ce terme est nul car a=b et don on ne peut pas diviser par ce terme CQFD
@@medematiques Non, on ne peut pas généraliser le logarithme sur C*, on ne peut généraliser le logarithme que sur un étoilé privé de 0, or C* n'est pas un étoilé donc en général on choisi comme étoilé C\R-.
@@maelcavan Ah si, le logarithme naturel existe bel et bien sur C* mais ne vérifie tout simplement pas la propriété essentielle d'injectivité vérifiée sur R* Et il peut être aussi être généralisé à C sans problème en posant ln(0)=-infini.
@@medematiques Ca dépend comment on définit le logarithme naturel, si on veut qu'il reste une bijection réciproque entre deux ouverts et qu'il soit une primitive de la fonction inverse alors ce que j'ai dit est correcte. Mais si l'objectif est de généraliser indépendamment d'être holomorphe et des liens avec la fonction inverse et de l'exponentielle alors oui on peut généraliser, mais si on ne prend pas en compte les propriétés du logarithme, on a même le droit de donner n'importe quelle valeur en 0 et en -1 par exemple. Donc je ne nie pas qu'il soit possible de généraliser, de la même manière qu'il est possible de généraliser la notion de racine n-ième mais dans ce cas soit on obtient une fonction multivariée, donc pas une fonction dans le sens usuel, mais qui peut par exemple être utile pour les surfaces de Riemann, soit on choisi arbitrairement une valeur précise parmi l'ensemble des valeurs possibles. Ce qui permet de donner des valeurs mais n'a mathématiquement aucun intérêt à cause du côté arbitraire. Après peut-être qu'il y a des branches très précises des maths où ça se fait, mais d'après mon expérience (licence math + licence physique + master subatomique et cosmologie + master physique-mathématique [je mets mon expertise uniquement pour pointer ce que je connais et mes limites, pas pour faire argument d'autorité]) je n'en ai pas connaissance.
@@medematiques la branche principale du logarithme (ie la définition courante admise) n'est pas défini en -1. Si tu veux paler d'un logarithme (en tant qu'application) de -1 t'es obligé de définir précisément la fonction que tu as en tête. Dans tous les cas dire log(-1) = i pi tout seul est abusif car on ne comprend absolument pas quelle construction de log tu prends. En particulier on ne sait pas quelle propriétés du log sur R+* continueront d'etre vraies
Partie fin collège : Problème au niveau de la 4eme ligne, après avoir élevé au carré, il y a > au lieu de < . Par conséquent, le raisonnement est faux. Même constat de logique sur les 2 premier points : point 1 problème avec l'infini, point 2 : problème avec les diviseurs de 0, si on est dans R : simplifier c'est multiplié par l'inverse de a-b qui n'est pas inversible par hypothèse Du courage et réviser la logique mathématique.
Qu’est ce qui est le plus difficile à dire sérieusement ? Répéter "logarithme de moins un" dix fois en 30 secondes ou répéter cinq fois "neuf est un nombre premier"
3:25 mais sauf que la c'est infini=-1 pas 1=-1 chap3 tout ce que tu as dit g rien compris chap4 tu t'es déjà loupé à 7:22 car a²-2ab+b²=3 10:18 ((-1)²)^(1/2)=1 le reste je passe
21:50 ici on vise X-ENS hein, les concours dans 15j je vais die 💀 Btw qui a dit que R[X] était complet pour la norme infinie ? x'D bien sur que tu finis dans R(X) 😔
R(X) c'est le corps des fractions rationelles. La limite de sa suite qui est 1 + X + X^2 + X^3 + ... n'est pas définie dans ce corps. Et oui, il est différent de 1/(-X + 1)
Aussi mettre au carré marche pas pour 13>13 Aussi tu peux pas mettre au arré car a-b est négatif et 1 est positif Aussi une preuve est plus courte mais même x=-1 x13
Faut pas oublier quel jour on est aujourd'hui je me suis deja fait avoir deux fois faut que jarrete (mais la les demos ca ma fait pété mon crane jai remis ton niveau en doute 😂)
1) Bizarre, moi j'aurais dis -1/2 puisque zêta de 0 est égal a -1/2. ζ(o)=-1∫1ζ(o)=-1∫1x dx=-1/2 2) a-b=b implique que a=0 et par conséquence b=0 Petit mensonge dés le départ. 3) (a-b)²=(-1)²=1 donc 1
Il m'a en effet laissé sur le c*l celui de polynôme de degré +l'infini. Et j'ai identifié de partout les erreurs, sauf celui-ci ( et celui de niveau doctorat car je ne l'avais pas compris).
je meurs, rien que la miniature c'est cramé x'D 1/0 ça diverge 🥲 peu importe dans quel sens on le regarde tu fais x = x+1 1 = 0 fantastique mon dieu il nous calcule vrm zeta(1) = -1 😔 blague à part, ça montre bien pourquoi il faut vraiment faire gaffe quand on manipule des sommes divergentes pour leur donner une valeur, ça se fait pas avec n'importe quelle norme sinon on aboutit à n'importe quoi 😭 (fantastique le poisson, "c'était cramé" mais c'est très bien fait)
Pour démonter que 1=-1 avec ln tu as écrit ln(-1) or le logarithme népérien n'est pas définitif sur [-oo;0] donc ce que tu as écrit est faux. On peut apparenter ce que tu as écrit à une démonstration par l'absurde donc 1≠-1. Et même si la vidéo a été sortie un 1er avril, les maths ne peuvent pas être bâclé au nom d'une blague
"les maths ne peuvent pas être bâclé au nom d'une blague" Ben si, c'est justement le principe de la blague 😉 et de plus, si, ln(-1) existe puisque ça vaut pi*i.
et non effectivement Par l'absurde prenons ce phi. {0, 2} est un idéal de Z/4Z donc phi^-1({0, 2}) est un idéal de C et comme c'est un corps on a phi^-1({0, 2}) = {0} ou phi^-1({0, 2}) = C. Or phi({0}) = {0} et phi({0, 1, 2, 3}) = Z/4Z donc phi(C) = Z/4Z
C'est deux façons sympas de voir qu'un tel morphisme n'existe pas. Mais d'un côté le plus simple est juste ce qui a été fait dans la vidéo : on a fait l'hypothèse de l'existence d'un tel morphisme et on a aboutit à une contradiction. (Ce qui est en effet un problème des lors que l'on a un morphisme d'anneaux d'un corps dans un anneau qui n'est pas un corps et que ces éléments non inversibles ont un antécédent par phi
Alors, étonnant n'est-ce pas ? 🙃
🐟🐟
Purée... J'allais vraiment te dire "Wow, super tes vidéos !!! Mais pour celle là, ça aurait vraiment été génial qu'à chaque fois, tu racontes quel a été le tricks autorisant de telles aberrations de la nature"... et puis, en lisant les commentaires, j'ai fini par comprendre. Comme quoi, les commentaires, c'est vachement utile.
GG à toi, lâche rien !
PS : et pour ceux qui aiment la zik electro ambient expérimentale, je conseille Dedekind Cut : $uccessor. Pochette de l'album : Brokeblack Mountain.
Le ln(-1) ça fait mal aux yeux😂
@@deepnofin Merci ! Je ferai une autre vidéo pour expliquer tous les tricks, mais là, c'était surtout un poisson d'avril... 😉
Désolé mais dans la démonstration milieux collège tu factorises par 0 hors c'est interdit 😇
On serait pas le premier avril ? Je dis ça j'ai pas des connaissances mathématiques pour corriger les démonstrations
Aaaaaaaaaaaah mais ouiiii
1:03 Limite c'est la seule que je veux bien accepter pcq c'est la seule qui, dans un certain cadre, a une cohérence vraie (Sommations infinies de Rammanujan/Porlongement holomorphe de Zeta(z))
3:28 Depuis quand on divise par 0 ?
6:04 Si t'as a-b = k, écrire k < k est déjà fallacieux donc raisonner dessus aussi.
8:15 La commutativité a une valeur aussi pour les exposants, et on n'oublie pas que √(x²) et (√x)² sont toutes deux égales à |x| - la première dans IR, la seconde dans IR+.
10:29 Bon d'une part, non, le schéma n'est pas valable que dans IN. Multiplier par 3,5 c'est littéralement faire x+x+x+x/2 le séchma reste le même il y a juste une petite subtilité avec un reste qui apparaît. Sinon. La somme des x_i allant de 1 à x c'est littéralement la définition de x² en série. De la même façon la somme des 1 x fois ça fait bien x sauf que tu dérives x*x. Dérivée d'un produit. C'est pas bien de ne faire que la moitié (au sens mathématique du terme) du travail.
13:45 ln(-1), dans IR, sérieux ? Par ailleurs, e^ln(x) = x ssi x > 0. Et j'adore à 15:18 "Sauf que 2≠0" après avoir passé presque 15 min à soutenir en gros que tous les entiers se valent.
16:07 Vicieux. Le fait qu'une propriété soit vraie dans un ensemble plus grand ne justifie pas d'étendre aussi gratuitement et sans raison l'ensemble de travail à cet ensemble plus grand (surtout si c'est pour revenir à l'ensemnle de travail derrière tout aussi gratuitement...) !
18:54 4 est un nombre premier. Je ne savais pas, mais merci.
21:50 IR[x] n'est pas de dimension finie, donc encore moins compact, donc pas de Théorème de Bolzano-Weierstrass.
24:05 Ok là j'avoue j'ai pas mal fouillé parce que c'est pas de la tarte... 😅 Q a comme partie majorée D, mais Q en tant que tel n'a pas de borne supérieure. Donc sup(A-inter-Q) diverge. La fonction g a donc un énorme problème de définition qui inévitablement fait foirer le reste... 😅
Wow...
Tellement de règles de bases des mathématiques ont étés bafouées...
Tellement de divisions par 0...
Ca en est presque beau 🤩
Il n'y a qu'une seule division par 0 dans la vidéo... 🥸
@@medematiquesTu divises par (a-b) à 4:55, c'est égal à zéro étant donné que a=b.
Oui, mais c'est la seule ! 👀
maitre scratch!
De fil en aiguille,On peut très bien !! Évidemment !! On fait ce que l'on veut.... Logique
👇Ceux qui sont resté jusque au bout alors qu'ils sont en 2nd 😅
Bah c'est un poisson d'avril au cas où
@@bowuas7579 ça je l'ai bien compris 🤣
idem mdr (je suis allé jusqu'à mileu prépa )
Je suis en 3e
Du titre au résultats de la vidéo, tout est parfait😂
Je pense que je vais me régaler en lisnat les commentaires premier degré 🍿
Attention spoiler sur où on NOUS A HONTEUSEMENT MENTI en ce 01/04:
- début collège : séries à termes positifs divergentes -> on ne peut pas soustraire (ici on fait + inf - (+ inf))
- milieu colège : on divise par (a-b)=0
- fin collège : la fonction carrée est strictement croissante sur R+ mais on fait comme si c'était strictement croissante sur R, (-1)² < 1²...
- début lycée x^(a*b) = (x^a)^b est faux pour x < 0 et a ou b non entier. La démonstration repose sur l'ecriture exponentielle de la puissance mais on ne peut pas ici car il n'existe pas de logarithme défini sur les négatifs avec les bonnes propriétés pour continuer la démo
- milieu lycée : ici la fonction n'est pas défini sur un espace vectoriel topologique donc on va considérer qu'on fait une dérivée discrète (par exemple u_{n+1} - u_n). Et dans ce cas la dérivée de n -> n*n = sum_{k=1,n}(n) c'est n -> 2n+1 peu importe de quelle expression on part pour faire les calculs donc on obtient 2n+1=2n+1, sans plus
- fin du lycée: ln(a*b) = ln(a) + ln(b) est vrai pour le ln classique défini sur R*+. Il n'y a pas de log sur les négatifs qui satisfasse les propriétés utilsées par la démo
- début prépa : c'est seulement à la fin qu'on fait des équivalences mais on a fait des implications au début dont la réciproque est fausse. Au final on a juste démontré p premier impair et 9 | p => 9 | p mais pas la réciproque
- milieu prépa : il faudrait encore montrer qu'il existe un tel morphisme (c'est pas le cas car en particulier l'image réciproque de {0, 2}, un idéal de Z/4Z, devrait être un idéal de C donc {0} ou C mais ce n'est pas possible car 0 n'a qu'une image et l'image de C est forcément Z/4Z car phi({0, 1, 2, 3}) = Z/4Z)
- fin prépa : la boule est fermée et bornée mais R[X] est un espace à dimension non finie donc non compact et donc on a pas de théorème de Bolzano Weirestrass. Ici la suite diverge (mais converge dans R^N qui n'est pas isomorphe à R[X])
- doctorat : une coupure de Dedekind est une partie majorée de Q mais Q (contrairement à R) ne possède pas de propriété de la borne sup donc la fonction g est mal définie car la borne sup n'existe pas dans Q en général (en fait elle n'existe ici que pour x dans Q) en revanche si on définit g à valeur dans R on a bien une bijection qui est la bijection canonique de notre construction (D et R sont bijectifs mais pas D et Q, ouf)
Merci c’est honteux de sa part comme s’il faisait exprès
Merci,vous êtes mathématicien ? Beaucoup d'erreurs m'on échappées !
Merci ! Ça fait des bonnes révisions pour les oraux des concours. 😎
Yen a trop qui ont pas compris quel jour on est
Super la vidéo franchement ! C’est hyper intéressant le fait que tu aies augmenté crescendo le niveau, ça rend le truc tout public, enfin presque 👀 car toutes les règles ont bien entendu été respectées..
Je suis chokbar de bz 😔
Pour le deuxième, on a une ÷ par a - b, or a = b donc a - b = 0; et donc cette division est impossible
Dans ton premier résultat : 1+1+1+...= -1, j'ai une remarque :
A = 1+2+3+4+...
B = 1+1+1+1+...
A-B = 0+1+2+3+... = 1+2+3+4+...
A-B = A
Et selon ton résultat, dans la vidéo : 1+A+B = A aussi.
Donc :
A-B = 1+A+B
-B = 1+B
-2B = 1
2B = -1
B = -1/2
Et donc selon ton résultat, et le miens, qui ont le même raisonnement, on se retrouve avec :
-1 = -1/2 😱😱😱
Donc non, sur des séries infinies, on ne peut pas appliquer ce genre de raisonnement. Et cette démonstration, me rappelle la vidéo de Micmaths, qui "prouve" l'égalité : 1+2+3+4+... = -1/12
Une démonstration, qui est aussi très controversée.
Enfin joyeux 1er avril.😂
- debut collège les sommes ne converge pas uniformément donc pas de linéarité
- division par 0
- passage au carré non triviale pour une inégalité car signe différents
- c est + ou - 1
- fonction pas continue donc pas dérivable
- ln est pas definie en -1
- p premier différents de 2 est impaire est une implication pas une équivalence
de quoi tu parles pour le premier point, je connais pas ces résultats là (même si je connais l'uniforme convergence, je suis en fin 2ème année de prépa si jamais). Pour le reste je suis pas tout à fait d'accord ou plus précisément :
- ∅
- ∅
- la fonction carré n'est pas croissante sur R (que sur R+) donc pas de conservation de l'inégalité (non plus de l'inégalité stricte)
- non, c'est que les règles usuelles avec les exposants marchent quand le nombre initial est positif, sinon justement comme on le voit ici ça ne marche pas avec nos autres usuelles conventions de calcul qui imposent sqrt(1) = +1 (et rien d'autre, pas de '+1 ou -1')
- encore, une fois, c'est plutôt que ce que l'on connait usuellement pour sortir des choses du ln fonctionnent avec le nombre qui est mis en puissance qui doit être positif.
- le raisonnement fait est une analyse synthèse (au cours de laquelle l'analyse est comiquement moins restricive que les hypothèses initiales) mais sans synthèse (et avec une dernière équivalence, bien que vraie si l'on garde la supposition p appartient à N (puisque les deux membres sont justes vrais, qui ne permet pas de remonter aux hypothèses initiales)
-
@@goldeer7129 c'est vraiment révoltant, si tu prends la norme 2-adique tu le vois, que zeta(0) = -1 😌
faut pas dire des conneries
et puis la division par 0 ça marche tant que t'écris pas le dessin 0 de toute façon ;')
@@m9l0m6nmelkior7 c est zêta(-1) non?
@@camo2137 nan je dis de la merde en +, c'est zeta(0)
ln(-1)=ipi 😅
01:03 | Début collège "1+1+... = -1"
de manière générale, les règles de simplification de somme usuelles ne s'appliquent pas avec des ∞, c'est comme simplifier 2+∞ = 3+∞ donc 2=3. Si on fait tous les calculs dans R barre, alors toutes les lignes de caclcul sont justes sauf la dernière où on simplifie par A=+inf, ce qui n'est pas une opération que l'on peut faire dans R barre.
03:28 | Milieu collège "2 = 1"
On a supposé a=b puis on divise par (a-b) qui vaut 0.
06:04 | Fin collège " 13 < 13"
La fonction carré n'est pas strictement croissante sur R (seulement sur R+) ce qui ne permet pas de préserver l'inégalité stricte.
08:15 | Début lycée "-1 = 1"
Les règles usuelles avec les exposants marchent lorsque le nombre qu'on élève est positif. Donc pour une base b négative et des exposants e et f non entier, on n'a pas b^(e+f) = b^e * b^f. C'est justement que ça ne va pas avec notre convention d'écrire sqrt(1)=+1 (et non ±1, pas d'erreur à ce niveau là dans le calcul ici)
10:29 | Milieu lycée "2 = 1"
Outre le fait que l'on dérive une fonction pas dérivable à cause de son domaine de définition, car f n'est jamais définie localement au voisinage d'un point (par ailleurs, f est cependant continue, cf la définition de la continuité), le calcul de la dérivée est faux puisque si la dérivée par rapport à une variable x d'une somme dont le nombre de termes ne dépend pas de x est bien la somme des dérivées, ce n'est pas le cas si le nombre de termes dépend de x, comme le produit ici.
13:45 | Fin lycée "-1 = 1"
Similairement au premier '-1 = 1', la règle permettant de sortir un produit dans le logarithme en somme de leurs logarithmes n'est vrai que si c'est un produit de nombres POSITIFS (strictement), justement pour éviter de sortir du domaine de définition du logarithme. ln(-1) est bien sûr pas défini. Ensuite, appliquer une fonction réciproque pour retrouver l'élément initial ne marche que si on l'applique justement pour un élément initial dans le bon domaine de définition pour la fonction réciproque.
15:59 | Début prépa "9 est premier"
ce qui est fait est une sorte d'analyse-synthèse mais sans synthèse (et avec une analyse comiquement moins restricitve que les hypothèses initiales même). La dernière équivalence, qui est au passage bien vraie si on garde la supposition p appartient à N (puisque les deux membres sont justes vrais) , ne permet pas de remonter par équivalences aux hypothèses initiales.
18:54 | Milieu prépa "2 est impair"
On suppose qu'un tel morphisme φ existe et on l'applique à des nombres pour en déduire que 2 est impair. Mais justement, un tel morphisme d'anneau φ n'existe pas ! C'est d'ailleurs ce que l'on démontre en obtenant l'absurdité '2 est impair'.
21:48 | Fin prépa "il existe un polynôme de degré infini"
Le théorème de Bolzano-Weierstrass n'est pas vrai sur K[X] ! Il est automatiquement vrai sur tout espace vectoriel de dimension finie (donc par exemple R) mais K[X] n'est pas de dimension finie. De plus, le degré n'est pas continu ! Même sur K_m[X] de dimension finie, si l'on a Pn -> P ∈ K_m[X], alors on n'a pas forcément deg(Pn) -> deg(P) (i.e. deg(P) = lim deg(Pn) qui aurait pu être +inf dans R barre). Un contre exemple simple pour montrer que l'application qui à un polynôme associe son degré n'est pas continue est de prendre Pn = (1/n)X² + X qui tend vers P = X de degré 1 mais chaque Pn est de degré 2 donc deg(Pn) -> 2 ≠ deg P.
24:05 | Doctorat "ℝ est dénombrable"
'Toute partie non vide majorée incluse dans R admet une borne supérieure' mais il ne faut pas oublier que cette borne supérieure existe DANS R. Par exemple l'ensemble des rationnels dont le carré est inférieur à 2 (qui sert à définir √2) n'admet pas de borne supérieure dans Q. Donc la fonction g est mal définie, elle irait plutôt dans R, et comme f peut s'étendre pour x ∈ R, vérifier les deux égalités revient en fait à 'démontrer' la bijection entre R et D (je met des guillemets car pour pouvoir prendre ce sup (justifier qu'il existe) il faut déjà avoir construit R, vraisemblablement avec les coupures de Dedekind. Mais bon à supposer R déjà construit et cette propriété sur l'existence du sup, cela montre la bijection entre R et D)
Sympa comme vidéo pour un poisson d'Avril, ça parcourt plusieurs erreurs classiques mais précisément OÙ sont les erreurs à chaque fois est parfois plus subtil et j'ai vu plusieurs fausses rectifications dans les commentaires alors c'est pour ça que j'ai décidé de faire le mien. Mais alors, est-ce que j'ai tout bon ?
Bravo, toutes les justifications sont correctes ! 🎉
(juste la partie sur "ln(-1)" qui peut être défini dans C)
juste sur le point P -> deg(P) n'est pas continu, ici on pourrait construire une notion de degré sur la limite P (qui n'est pas un polynôme, d'où la necessité d'élargir la notion en utilisant la construction des polynômes comme des suites typiquement) pour lequel deg(P) = +inf en utilisant que pour tout n entier deg(P) > n. Donc c'est pas vraiment une question de continuité le problème mais plutot comme tu le dis d'une notion de non compacité de la boule unité et donc pas de théorème BW
@@UA-camVoyageur hum oui on peut élargir la définition du degré en élargissant la définition de ce qu'est un polynôme alors en autorisant les suites qui ne sont pas à support fini. Ça reste un peu différent de l'affirmation initiale (car dire qu'un degré tend vers +inf a quand même un sens même si c'est vrai que l'associé à un polynôme en particulier n'en avait pas).
En pensant à la continuité du degré je m'étais fais une réflexion que le degré ne peut que descendre à la limite et non pas monter, et qu'à partir d'un certain rang le degré de la suite de polynômes est supérieur ou égal au degré de sa limite.
Mais bon je crois que ça ne change pas vraiment le problème de continuité, on peut même avoir deg(Pn) -> +ing mais Pn -> P de degré finie (voire le polynôme nul) avec du Pn = 1 + (1/n)X^n.
Il faudrait sinon qu'on a bien une sorte de préservation du degré à la limite dans notre cas bien précis... mais comme Bolzano Weierstrass est non constructif et est en plus faux ici c'est un peu plus dur à imaginer. Mais en fait même en dimension finie (K_ tom[X]) c'est la même chose. Quoique le critère "le coefficient de degré k de Pn tend vers qqch ≠ 0 " semble suffisant à avoir dans ce cas un degré ≥k en passant à la limite (si Pn converge), et donc c'est vrai que c'est assez peu un problème en pratique finalement
Pour le troisième tu ne peux pas élever au carré a - b et 1 des deux côtés de l’égalité puisque 1 est positif et a - b est négatif
C’est un poisson d’avril
Quel génie ! 🐟
Pour la première démonstration, on peut également dire que 1 + B = B puisqu’il s’agit d’une somme infinie, ainsi B = 0 et B = - 1; c’est absurde donc nécessairement faux.
Dit moi si je me trompe
Oui, cela provient de la manipulation de série infinie non convergente
@@Jnath33par 'manipulation' il faut préciser 'soustraire par +inf dans R barre' qui ne se fait pas. Car sinon même divergente on peut lui assigner la valeur +inf et faire des calculs avec, mais ces calculs sont limités à l'addition/soustraction de nombre finis, l'addition de +inf à des nombres finis et autres mais pas des "+inf + 3 - (+inf) = 3" par exemple
Personne :
Medemathiques :
Seconde , premiere , terminale : ⛔
Debut lycee , milieu lycee , fin lycee : 😎
Pour le Fin collège
il existe une propriété mathématique appelée l'ordre total, qui établit que si a < b, alors a^2 < b^2 pour des nombres réels positifs a et b.
Expliquons cette propriété :
Supposons que a < b, cela signifie que la différence b - a est positive. En multipliant cette inégalité par (b + a) (qui est positif car a et b sont positifs), on obtient :
(b - a)(b + a) > 0
b^2 - a^2 > 0
b^2 > a^2
Ainsi, si a est strictement inférieur à b, alors a^2 sera également strictement inférieur à b^2.
Cette propriété découle de la comparaison des carrés des nombres positifs a et b, basée sur l'ordre total.
Mais dans ce car on a admis que a = 2 et b = 3 donc a-b est négatif la quatrième ligne est erronée
Waouh! Délicieuse torture!👍
On fait exprès d'oublier certaines règles. Comme par exemple simplifier par a-b qui vaut zéro parce que a=b en hypothèse.
Intéressant, pour montrer au lycéens l'importance de la rigueur mathématique. Sinon on peut arriver à des absurdités amusantes.
Chapeau !
Merci pour ce poisson d'avril !
Rétablissons la vérité...
1) : On n'est pas dans le rayon de convergence, toutes les opérations que l'on fait à partir de là ne fonctionnent pas
2) : On divise par (a-b). Or, a=b, don on divise par 0, or 0 n'est pas un inversible, le résultat est donc faux !
3) : La fonction carrée est strictement croissante uniquement sur R+, or a
1) Il n'y a qu'une seule opération qui ne fonctionne pas. Donc non, l'erreur n'est pas là.
2) Oui 👍
3) Oui 👍
4) Oui 👍
5) Oui 👍(la continuité de f ici n'est cependant pas le problème principal, car on pourrait adapter la démo à R, et à une fonction continue)
6) Si, la fonction ln est définie pour les négatifs. Mais c'est les propriétés du logarithme complexe qui sont à revoir...
7) Oui 👍(dit plus simplement, c'est l'absence de synthèse qui pose problème)
8) Non, les propriétés des morphismes et de l'inversibilité sont toutes correctement utilisées.
9) Effectivement par intuition, on sent une douille... Mais où est-elle dans le raisonnement ?
10) Il n'y a pas d'ensemble vide...
@@medematiques merci !
@@medematiques Pour la 8 est-ce que c‘est car on suppose que C est un anneau à division et qu‘il existe un morphisme sur Z/4Z ? L‘erreur viendrait donc de considérer qu‘il existe un iverse à 2 dans C. Si je ne me suis pas trompé, alors cela permet de démontrer par l‘absurde qu‘un morphisme d‘un anneau à division à Z/4Z n‘existe pas.
@@medematiquesJe suis peut être un peu rouillé, mais pour la 9. La boule n'est pas compacte en dimension infinie donc on ne peut pas appliquer BW. Et pour la 10 Q n'est pas dense dans R donc la borne sup peut toujours être réelle?
@@tagorier9712 C est un anneau à division puisque c'est un corps commutatif, ce n'est pas ça... En revanche il y a effectivement une erreur à penser qu'il existe un morphisme de C dans Z/4Z parceque C est un corps et Z/4Z non. En particulier l'image réciproque de {0, 2} (un idéal de Z/4Z) devrait être un idéal de C donc {0} ou C mais ce n'est pas possible car 0 n'a qu'une image et l'image de C est forcément Z/4Z car phi({0, 1, 2, 3}) = Z/4Z
Pouah les escroqueries sans nom en debut de prépa ça donne des frissons tellement tu joues bien!
INCROYABLE je connaissais pas tous les résultats mais ils sont top!! 👏👏👏👏
Le 2ème je crois qu'il y a une division par zéro avec a-b
7:07 a < b donc (a - b) est négatif; 1 est positif. Tu ne peux donc pas connaître si l'inégalité (a - b) est < ou > à 1
Mec, dans la partie "milieu college" ou tu demontre que 2=1,quand tu factorise et que tu simplifie des deux cotes (a-b) , tu peux pas pcq a=b et pcq a-b=0, c comme si tu divisais ls deux cotés par 0.
Et dans la partie "fin college" ou tu demontre que 13>13 , t'as pas le droit d'elever au carré les deux cotes d'une inegalite. Tu peux avec une equation, mais ca marche pas avecc une inégalité, parce que quand tu éleve au carre des deux cotes dans une inéquation, tu change la quantité que tu multiplie (cote droit tu multiplie par 1, cote gauche tu multiplie par a-b=-1).
Il le sait pertinemment : as-tu juste regardé la date d'aujourd'hui ?
@@kawex2466 1er avril, y a un truc special auj?
Hélas oui ! Être passionné de mathématiques ne doit pas nous empêcher d'être un peu farceur de temps en temps, de privilégier la blague à l'absorption incessante de connaissances. Ce premier avril, jour des poissons d'avril et autorisation annuelle et exceptionnelle des quolibets les plus douteux, en est une occasion parfaite.
@@kawex2466 Aaah j'ai compris, je pensais que c'etait pas une blague... c'est une blague hahahaaa.
A 5mn tu simplifies en divisant par (a-b) alors que a=b
J adore 😂. Dans le deuxième en plus il troll. « Parceque l on ne peux pas diviser par 0 » alors qu il vient juste de le faire 2 lignes au dessus. Nice.
Salut pour la milieux collège on peut remplacer tout les a par des b ou que la moitié ou que un quart car a et b sont égaux ce qui fait que ab = b². Donc forcément a²=b². On peut faire ce que on veut c'est la magie d'Avril
😂😂😂😂😂quoi c'est un poisson d'avril ?! Je me suis fait avoir 😂😂😂😂 merci aux gens dans les com
Je viens à peine de remarqué que c'est un poisson d'avril 😂
si j'étais pas doué en maths je me serais fait avoir comme un enfant 🤣
Continuez comme ça pour embrouiller encore,plus nos collégiens , qui n’ont vraiment pas besoin de telles excentricités,, revenez sur Terre , et lisez un peu les ouvrages de nos parents et même grand-parents,,....apres , étonnez vous de l’effondrement régulier du niveau des jeunes en maths ... gardez svp ces élucubrations pour des étudiants spécialisés maths ... Fred
Ah dites-donc, vous êtes un fervent commentateur à ce que je vois ! 😀
Vous connaissez mon parcours, mes études et mon métier ?
Vous avez lu la date de publication de la vidéo ?
@@medematiques je ne connais pas votre parcours de génie que je ne mets pas en doute ,,, je peux juste décrire le mien : 13 ans post bac mathématique-scientifique, ingénieur, docteur ,, 42 ans ds la recherche physique... je n ’ai pas "critiqué négativement " vos exposés, j’ai juste insisté sur le fait qu’ils ne sont absolument pas adaptés aux connaissances et possibilités des trop jeunes collégiens en particulier... faut bien faire attention, ce sont des jeunes "cerveaux " , ils essayent de s’y retrouver dans dix concept pas toujours evidents ,, et, de pays, l’enseignement actuel ignore complètement les notions de vrai calculs numériques mentaux, ....il leur faut du concret solide de base ; ce sont des grands enfants , pas des étudiants mûrs... il leur faut des choses vérifiables à leur niveau, digerables aisément.. il me semble bien plus important de leur faire comprendre et manipuler des concepts de base , ..., comment voulez vous qu’un jeune s’y retrouve avec ces exposés ? La maîtrise des maths "de base" est déjà trop difficile à acquérir pour la majorité des jeunes , qui d’ailleurs n’y voient pas les utilisations ... à la "limite " , faites leur plutôt comprendre précocement la différence entre "égal à " et "tend vers " , faites leur comprendre un minimum de topologie , le maniement des connecteurs logiques, la notion de "valeur estimée " , bref, il y a beaucoup de champs concrets ...mettez vous à leur niveau , de maturité intellectuelle, d ’appréhension du monde , ce que vous montrez là est trop perturbant, car d’un niveau théorique inadapté... ce n’est pas vous que je "critique " , mais vos sujets , envers un "public "inadapté pour le recevoir.... je ne veux rien vous conseiller , juste décrire : vous devez connaître "Mathematics "Sharma Editors , India .... ceux là, parmi les innombrables exposés expliquent très clairement les risques d ’erreurs sur des fonctions Arc tg , par ex , et ça , c’est du concret qu’on ne retrouve pas forcément ds bcp d’ouvrages français... par ailleurs, ils insistent lourdement sur "le calcul littéral " , il y a tellement de maîtrise à acquérir... pas de maths sans maîtrise des nombres et des règles de calcul ... c’est universel ... Pas de culture math sans culture de physique , (cf la collection des Smirnov , par ex , ) , puis ,en notre temps , bien sûr maîtriser les logiciels, mais ça , c’est pour des pros ... Plus tard , à vos futurs étudiants, expliquez leur bien la genèse des "complexes " ...ça, c’est plus que passionnant...je n’ai aucun doute sur votre maîtrise... Fred
Je peux vous prouver que la somme des nombres impairs jusqu'a l infini est egale a 0 !! C pas une blague ca marche vrm ! Enfin.... je crois....
trop suspect! quand on est le premier avril j'ai l'impression que tout le monde est suspect!
Pour le début prépa, la dernière equivalence n’en est pas une, et tu oublie que p est premier donc aucun entier ne le divise. P premier n’est pas équivalent à p entier
L'erreur n'est pas là, puisque la dernière équivalence en est bien une. 😉
Il fait une analyse synthèse mais sans synthèse je crois que c’est ça le problème
@@pauldelapparent9237 Exact 👍
quand tu paniques pendant un contrôle :
🤣à trouver des explications fallacieuses
Dans le premier exemple, les deux A ne sont pas les mêmes, le A qui est égal à B+A+1 est supérieur au A qui est 1+1+1=1+..... donc la différence entre eux ne fait pas 0. Pour le deuxième exemple, vous n'avez pas le droit de divisé par (a - b), puisque ce terme est nul. Pour le troisième exemple quand vous faites au carré (a - b) il devient égal et non supérieur à 1 au carré. Pour la quatrième on a pas le droit de faire -1 exposant 2*1/2. Puisque cela suppose que l'ont a -1 exposant 1/2, et donc on a mis un chiffre négatif à l'intérieur d'une racine carré.
pour la fin college il a fait au carré des 2 coté mais il ne peut pas car il multiplit par (a-b) dun coté et seulement par 1 de lautre et pur la debut lycée racine carré de 1 c 1 et -1
Si f(x) = x²
f'(x) = (2*x ) + constante
Bon pour le milieu collège en admettant que a = b la quatrième ligne est erroné car (a-b) feront 0 il n'y a plus lieux de simplifié
2 n'est pas egak a 1. Car si on simplifie par (a-b), ca revient à diviser par (a-b).
Sauf que a=b donc on divise par (a-a), ce qui est egal a 0. Et comme dit juste après, on ne peut pas diviser par 0
les normes sont équivalentes dans des espaces de dimension finie seulement (la est peut-être la première erreur) et je ne sais pas si BW s'étend aux polynômes
Tout a fait, les fermés bornés qui sont des compacts c'est que en dimension finie. Comme K[X] est de dimension infinie, c'est pas automatiquement le cas et il se trouve que c'est faux. Si tu prends Pn = X^n il n'y a pas de sous-suite convergente par exemple (si une telle sous suite existe et converge vers P de degré d, alors apcr le coeff de degré d de P-P_phi(n) est celui de P qui ne tend donc pas vers 0 donc pas de convergence possible en norme infinie du moins (pas d'équivalence des normes sur K[X] cependant...).
Le résultat est vrai pour tout K_m[X] qui est de dimension finie cependant.
Est ce qu’on peut simplifier les A car A est egal a la somme des 1 infini fis donc elle est egale a l’infini mais lorsqu’on calcule les limites on sait que infini moins infini c’est une forme indéterminée ce qui rend impossible ton raisonnement
Mais est ce que on peut simplifier par a-b vue que a-b égale 0
Et on ne peut pas divisé par a-b comment vous avez fait pour simplifier
Pour le milieu lycée, l'erreur c'était de dériver une fonction définie sur N ?
Principalement oui, mais aussi de ne pas considérer la variation du nombre de 1 dans la somme.
Exactement, la dérivée d'une fonction par construction ne peut pas se faire sur N :)
pour le résultats fin de lycée normalement le ln(x) ne peut pas prendre des valeur négatif nn
En vrai pas mal le poisson d'avril mais faut éviter de lacher des dings comme ca sans disclaymer a la fin. Y a des oreilles sensibles
Je ne connais rien au calcul infini mais j’aimerais comprendre pourquoi dans ton calcul tu met 1+A+B=1+2+3+…=A, comment est ce possible que A plus B plus un donne encore A c’est un peu comme si je faisais 10+2+5=2
milieu prépa : démonstration correcte, on en conclut qu'il n'existe pas de tel morphisme d'anneaux
fin prépa : la boule unitée n'est pas compacte !
Doctorat : AnQ n'admet pas de sup
Preums!
J’ai mis quand même 6 bonnes minutes à réaliser… 😅
😂😂😂😂😂 😂
Dans le milieu collège il y a une division par zéro car si (a+b)(a-b)=b(a-b) bah a-b c'est égal à zéro donc 2≠1
a-b
je sais que c'est le premier avril et c'est franchement un bon poisson d'avril, je vais mettre la source d'erreur (selon moi) de chaque résultat proposé afin de voir si je les repères toutes
résultat 1 : réorganisation des termes d'une série non convergente (donc non absolument convergente)
résultat 2 : comme a=b, a-b=0 la simplification revient à une division par 0, opération non autorisé
résultat 3 : mettre au carré de chaque coté ne maintient une inégalité de manière générale que si les deux coté sont de même signe (si négatif ça change le sens de l'inégalité)
résultat 4 : si a est négatif a^{bc} = (a^{b})^{c} n'est valide que si b et c sont entier, la propriété au collège est montrer sur les exposants entier et la généralisation aux exposant réel découle des fonctions exponentielle et logarithme et réécrivant la base comme e^ln(base) ce que l'on ne peut pas faire avec une base négative car ln d'un nombre négatif n'est pas définit au lycée (il peut être définit avec l'écriture exponentielle des nombres complexe mais on perd l'unicité)
résultat 5 : dérivabilité => continuité or tu étudies x² sur un ensemble non continue donc la continuité n'est pas défini ainsi que la dérivabilité
résultat 6 : la propriété de l'exposant dans le ln n'est démontrer que pour une base de l'exposant positive (pour des raison similaires au résultat 4) de plus e^ln(x) = x si et seulement si x positif
résultat 7 : les "donc" ne sont pas des équivalence mais que des implication, il y a perte d'information et donc le raisonnement ne remonte pas dans l'autre sens.
résultat 8 : faudrait peut-être commencer par montrer l'existence d'un morphisme de C dans Z/4Z (ce dont je doute fortement)
résultat 9 : l'équivalence entre norme ne s'applique qu'en dimension finie et ta limite ici fait changer le nombre de dimension de l'espace de ta boule pour faire tendre le nombre de dimension vers + l'infini.
résultat 10 : Q ne verifie pas la propriété de la borne supérieure, un exemple classique de se fait c'est chercher la borne sur des x dans Q tels que x²
J’ai une autre conclusion : en mathématiques, si on démontre avec certaines étapes erronées, alors on arrive à des résultats erronés. 😎
Cette vidéo aurait lancé une épidemie de maladie mentales si ça n'aurai pas été un poisson d'avril
Il a vraiment osé écrire ln(-1) 😂💔
Oui, ça fait i*pi 😉
Pour milieu collège vous ne pouvez pas simplifier par a-b qui est égale à 0
C’est là la faute je pense
dans la troisieme demo tu utilise la croissance de la fonction carrée qui n'est vraie que sur R+ or a-b=-1
ln -1 mais quelle fraude, ln est défini sur ]0,+inf[
si 9|p alors p n est pas premier
05:30 très cocasse quand on sait ce que tu as fais 3 étapes avant 😂
Je suis vraiment stuck premier degré au début collège alors que je suis censé être en école d'ingé mais bon vas-y je connais même pas mes tables de multiplications de toute façon
En vrai de toutes les étapes c'était celle pour laquelle j'étais un peu le plus méfiant sur la justification, surtout quand je voyais d'autre personnes invoquer des séries entières alors qu'en fait je crois que c'est pas utile.
Si tous les calculs sont fait dans R barre (R union +inf), alors toutes les lignes sont justes sauf la dernière puisque l'on simplifie par A qui vaut +inf. C'est comme écrire +inf = +inf + 3 = +inf + 2 donc 3=2
Pour fin de collège vous avez multipliè une inégalité par un nombre négatif a-b il faut donc changer de sens de l’inégalité
même si c'est de l'humour j'ai compris le 2eme donc j'explique, a un moment on divise par (a-b) sauf que c'est = a 0 donc on peut pas
Pour la deuxième tout se joue dans la 3e étape : a²-b² = 0 et ab - b² =0
y a juste un truc que j ai pas compris quand tu expliques que 13 est inferieur a 13. Au debut tu veux mettre b de l autre cote et tu fais - des 2 cote mais a la fin (-2ab) tu transformes son signes, pourquoi ( je suis en troisieme il reste 3 mois de cours on a pas vu les comparaison )
J'espère que tu feras une vidéo nous expliquant pourquoi chaque cas est faux, sinon ça serait dommage ça perdre un potentiel éducatif grand
C'est en préparation 👍
Aller dis moi si j’ai faux :
Début collège : il est évident que A+1+B est différent de A c’est juste qu’il faudrait un peu plus détaillé les 3 petits point à la fin.
Millieu collège :
Tu divises par a-b or, a-b= 0
Donc tu divises par 0 ce qui fausse tout.
Fin collège :
Le problème est à la ligne où tu met a-b au carré et 1 au carré,
Car la quantité a-b est négative et 1 est positif, or, la fonction carré est décroissante sur R- et croissante sur R+ ainsi la conservation du sens de l’inégalité n’as pas de sens…
début lycée : Le faite de mettre les puissance avec les parenthèses en disant que (-1)^2*1/2 = ((-1)²)^1/2 n’as pas de sens car -1 est un nombre négatif car cette propriété marche uniquement avec des nombres positif
Millieu lycée : tu n’as pas le droit de dériver la somme des x comme une somme de derive car ils sont répétés x fois, donc c’est comme si on avait un produit, donc tu dérives un produit comme une sommes ça n’as donc pas de sens
Fin lycée : on voit un ln(-1) apparaître or la fonction ln est définie sur R*+ donc à partir de ce moment là tout est faux
Début prépa : le problème est à la fin tu dis que p^2 - p paire est équivalent à p^2 - p €N or ça n’est qu’une implication ce qui fausse ton résultat ensuite.
Millieu prépa et fin prépa c’est trop dure !!
Début collège :
Si, 1+A+B est bien égal à A.
L'erreur n'est pas là.
Milieu collège :
Oui 👍
Fin collège :
Oui 👍
Début lycée :
Oui 👍
Milieu lycée :
Mal dit, mais il y a le début de l'idée...
Fin lycée :
La fonction "ln" peut être définie sur C* (et même sur C si on accepte que ln(0)=-infini), donc le problème n'est pas là.
Début prépa :
Si, c'est bien équivalent, car les deux implications sont vraies (lorsque la divisibilité est prise dans N).
Donc l'erreur n'est pas là.
@@medematiques ok merci pour ta reponse mais je pense deja que le ln(-1) c'est pas tres rigoureux dit le plutot comme ln(e^i * pi)
@@naylo2k896 Techniquement, c'est la même chose, puisque e^ipi = -1. 😉
Je suis content. Pour l'instant sur 3 démonstration, j'ai trouvé 2 erreurs 😊
Pour le millieu lycée, f n’est pas dérivable sur ℕ*
Master class !
Je suis en seconde. Dans le niveau milieu collège, a-b = 0 non ? Donc on peut pas diviser par zéro 😎
Mais vue que
a=b alors a-b=0 donc quand tu simplifie par a-b (tu divise) alors tu divise par 0 qui n'est pas possible
non?
Me suis pas rendu compte que la vidéo est sorti le 1er avril désolé
j'arrive pas à comprendre le coup de la dérivée... J'ai peur de devoir admettre que je trouve ça cohérent
Le nombre de termes dépend de x, quand x varie non seulement chaque terme varie mais leur nombre aussi ce qui est à considérer dans la variation.
Aussi, la fonction f définie n'est pas derivable car n'est définie au voisinage d'aucun point
A et B ne sont pas definis (completement) donc on a pas le droit d'aller plus loin dans les calculs.
Par extension je dirais A et B n'appartiennent pas à R.
A et B sont définis, mais sont infinis.
Pour le milieur prepa j’ai pas compris pourquoi phi(1) = 1 barre ?
Par propriété des morphismes d'anneaux, phi(1)=1
Pour le début lycée, les règles de calcul des puissances ne fonctionnent que si les exposants sont des entiers relatifs
Donc ça veut dire que la démonstration que a^1/2 = √ a n’est pas correcte ?
@@MoustaphaMbodji-xd5ce ba si a est positif c’est bon
@@nf73gamer ba (2 ^ a)^b = 2^ab et pas 2 ^ a+b
@@Toonix11ah oui my bad 😂
4:49 a = b donc (a - b) = 0. Tu ne peux donc pas simplifier par (a - b) , car on ne divise pas par zéro. Le "niveau collège est donc faux
2>5 : si on enlève 4 des deux côtés et qu’on met le résultat au carré, ça donne 4>1😂😂😂😂😂
Ce n’est pas étonnant, car il y a erreur
En maths, on ne peut pas diviser par zéro et c’est donc l’astuce
Quand on pose (a-b) ce terme est nul car a=b et don on ne peut pas diviser par ce terme
CQFD
Pour le deuxième si a=b alors a-b=0 donc tu ne peux pas simplifier par a-b
Pour le fin lycée, ln(x) n’est pas défini sur ℝ-; donc ln(1) n’est pas égal à ln(-1)ln(-1)
Si, la fonction "ln" est bien définie sur C* (ou même sur C si on suppose que ln(0)=-infini)
@@medematiques Non, on ne peut pas généraliser le logarithme sur C*, on ne peut généraliser le logarithme que sur un étoilé privé de 0, or C* n'est pas un étoilé donc en général on choisi comme étoilé C\R-.
@@maelcavan Ah si, le logarithme naturel existe bel et bien sur C* mais ne vérifie tout simplement pas la propriété essentielle d'injectivité vérifiée sur R*
Et il peut être aussi être généralisé à C sans problème en posant ln(0)=-infini.
@@medematiques Ca dépend comment on définit le logarithme naturel, si on veut qu'il reste une bijection réciproque entre deux ouverts et qu'il soit une primitive de la fonction inverse alors ce que j'ai dit est correcte. Mais si l'objectif est de généraliser indépendamment d'être holomorphe et des liens avec la fonction inverse et de l'exponentielle alors oui on peut généraliser, mais si on ne prend pas en compte les propriétés du logarithme, on a même le droit de donner n'importe quelle valeur en 0 et en -1 par exemple.
Donc je ne nie pas qu'il soit possible de généraliser, de la même manière qu'il est possible de généraliser la notion de racine n-ième mais dans ce cas soit on obtient une fonction multivariée, donc pas une fonction dans le sens usuel, mais qui peut par exemple être utile pour les surfaces de Riemann, soit on choisi arbitrairement une valeur précise parmi l'ensemble des valeurs possibles. Ce qui permet de donner des valeurs mais n'a mathématiquement aucun intérêt à cause du côté arbitraire. Après peut-être qu'il y a des branches très précises des maths où ça se fait, mais d'après mon expérience (licence math + licence physique + master subatomique et cosmologie + master physique-mathématique [je mets mon expertise uniquement pour pointer ce que je connais et mes limites, pas pour faire argument d'autorité]) je n'en ai pas connaissance.
@@medematiques la branche principale du logarithme (ie la définition courante admise) n'est pas défini en -1. Si tu veux paler d'un logarithme (en tant qu'application) de -1 t'es obligé de définir précisément la fonction que tu as en tête. Dans tous les cas dire log(-1) = i pi tout seul est abusif car on ne comprend absolument pas quelle construction de log tu prends. En particulier on ne sait pas quelle propriétés du log sur R+* continueront d'etre vraies
Médéric à 5:40 : "On ne peut pas diviser par 0"
Médéric à 5:00 : …
Partie fin collège :
Problème au niveau de la 4eme ligne, après avoir élevé au carré, il y a > au lieu de < . Par conséquent, le raisonnement est faux.
Même constat de logique sur les 2 premier points : point 1 problème avec l'infini, point 2 : problème avec les diviseurs de 0, si on est dans R : simplifier c'est multiplié par l'inverse de a-b qui n'est pas inversible par hypothèse
Du courage et réviser la logique mathématique.
Qu’est ce qui est le plus difficile à dire sérieusement ?
Répéter "logarithme de moins un" dix fois en 30 secondes
ou répéter cinq fois "neuf est un nombre premier"
Logarithme de moins un ? Aucun problème 👍
racine carée de 1 peut aussi être égal à -1
super vidéo après je pense que 10 erreur courante serait plus adapté comme titre
Merci, mais regarde la date de publication... 👀
@@medematiques t'inquiete j'avais vu
On ne peut simplifier par (a - b), car a - b = 0
3:25 mais sauf que la c'est infini=-1 pas 1=-1
chap3 tout ce que tu as dit g rien compris
chap4 tu t'es déjà loupé à 7:22 car a²-2ab+b²=3
10:18 ((-1)²)^(1/2)=1
le reste je passe
Je pourrai mettre les erreurs de tous tes calculs…
Mais j’ai pas assez de place 😁😜
21:50 ici on vise X-ENS hein, les concours dans 15j je vais die 💀
Btw qui a dit que R[X] était complet pour la norme infinie ? x'D
bien sur que tu finis dans R(X) 😔
R(X) c'est le corps des fractions rationelles. La limite de sa suite qui est 1 + X + X^2 + X^3 + ... n'est pas définie dans ce corps. Et oui, il est différent de 1/(-X + 1)
*divise par a-b [a-b=0]*
Plus tard
"Alors on peut pas diviser par 0..."
Aussi mettre au carré marche pas pour 13>13
Aussi tu peux pas mettre au arré car a-b est négatif et 1 est positif
Aussi une preuve est plus courte mais même
x=-1
x13
Pour la quarte (a^b)^c=a^bc NE MARCHE QUE SI A EST POSITIF
Pour la 5
Si a=b
Alors a' N'EST PAS FORCéMENT b'
Est ce que tu sais quel jour on est ? 😂
Pour la 5, si. L'erreur n'est pas là. 😉
Faut pas oublier quel jour on est aujourd'hui je me suis deja fait avoir deux fois faut que jarrete (mais la les demos ca ma fait pété mon crane jai remis ton niveau en doute 😂)
2:45 infini + 1= infini donc de tout façon A+B=A=B
1) Bizarre, moi j'aurais dis -1/2 puisque zêta de 0 est égal a -1/2.
ζ(o)=-1∫1ζ(o)=-1∫1x dx=-1/2
2) a-b=b implique que a=0 et par conséquence b=0 Petit mensonge dés le départ.
3) (a-b)²=(-1)²=1 donc 1
Il m'a en effet laissé sur le c*l celui de polynôme de degré +l'infini. Et j'ai identifié de partout les erreurs, sauf celui-ci ( et celui de niveau doctorat car je ne l'avais pas compris).
Faire une ref a la video qui montfe en quoi la preucve est fausse 😂(premier truc)
ln(-1) alors que ln est définie sur R*+
je meurs, rien que la miniature c'est cramé x'D
1/0 ça diverge 🥲
peu importe dans quel sens on le regarde
tu fais x = x+1
1 = 0
fantastique
mon dieu il nous calcule vrm zeta(1) = -1 😔
blague à part, ça montre bien pourquoi il faut vraiment faire gaffe quand on manipule des sommes divergentes pour leur donner une valeur, ça se fait pas avec n'importe quelle norme sinon on aboutit à n'importe quoi 😭
(fantastique le poisson, "c'était cramé" mais c'est très bien fait)
Pour démonter que 1=-1 avec ln tu as écrit ln(-1) or le logarithme népérien n'est pas définitif sur [-oo;0] donc ce que tu as écrit est faux. On peut apparenter ce que tu as écrit à une démonstration par l'absurde donc 1≠-1. Et même si la vidéo a été sortie un 1er avril, les maths ne peuvent pas être bâclé au nom d'une blague
"les maths ne peuvent pas être bâclé au nom d'une blague"
Ben si, c'est justement le principe de la blague 😉 et de plus, si, ln(-1) existe puisque ça vaut pi*i.
mhh C est un corps et z/4z ne l'est pas, donc existe-t-il vraiment un tel morphisme?
et non effectivement
Par l'absurde prenons ce phi. {0, 2} est un idéal de Z/4Z donc phi^-1({0, 2}) est un idéal de C et comme c'est un corps on a phi^-1({0, 2}) = {0} ou phi^-1({0, 2}) = C.
Or phi({0}) = {0} et phi({0, 1, 2, 3}) = Z/4Z donc phi(C) = Z/4Z
C'est deux façons sympas de voir qu'un tel morphisme n'existe pas. Mais d'un côté le plus simple est juste ce qui a été fait dans la vidéo : on a fait l'hypothèse de l'existence d'un tel morphisme et on a aboutit à une contradiction. (Ce qui est en effet un problème des lors que l'on a un morphisme d'anneaux d'un corps dans un anneau qui n'est pas un corps et que ces éléments non inversibles ont un antécédent par phi
:)@@goldeer7129
18:06 p est un entier naturel oui, mais 9 n'est pas forcément premier.😅 tu n'as rien démontré