Petit coucou du MAROC : Excepté Dahmane, tous les chanteurs Algériens ont chanté la texte Malhoune Marocain de Meknès. Cette Kssida datant de ~1850/1860 est certainement la plus forte, la plus percutante avec Lmaknassia et lharraz. Pour les frères Algériens , Le Malhoun est une expression poético-musicale marocaine séculaire. Originaire de Tafilalet où il s’est développé au départ au sein des zaouïas de la région (Tijania, ...), le Malhoun s’est ensuite répandu et a progressivement gagné les grands centres urbains (Fès et Meknès). Les lieux que chantent les maîtres du chaabi sont tous situés entre Fes, Meknès, Rabat, Azemour (Comme Maknassia, Lharaz, Youm Jamaa, ...). Çe chant a été essentiellement bien plus accueilli et performé au sein des corporations des artisans des médinas anciennes. La génération ayant bâtit des liens forts entre les poètes du Malhoun du dialecte Marocain (Zajal) et le chaabi est celle de Lhaj Nador qui dans le cadre de ces nombreux voyages aux Maroc a récupéré une centaine de textes. Certains chantés par lui, d'autres distribués aux différents maîtres. Au delà de ce rappel historique, le titre est évocateur et plein de mythes. Les gens des Zaouïas qui vivaient dans les alentours des villes marocaines (du 16 au 18 siècles) étaient les principaux guerriers en plus de l'armée Marocaine combattant les turcs sous le drapeau des sultans Marocains. Pour les remercier d'avoir garder le Maroc indépendant des turcs, il suffisait aux gens des Zaouias de dire, en tapant dans une porte et en se retournant (se donner le dos à la porte), 'Ya diff Allah'. Ils étaient nourris et dans certains cas logés. C'étaient souvent des talibs des écoles coraniques. Cette chanson est déroutante, certainement la voix exceptionnelle de lhaj Amar Ezzahi allah yrahmou. Pour les amateurs du Chaabi, un livre de recherche sortira prochainement pour nous raconter l'histoire des paroles des meilleures chansons du chaabi (130 sélectionnées) depuis les origines des textes au Maroc jusqu'à Alger. Pour information, je tiens à informer certains de mes chers frères algériens qui ont l'insulte rapide que je suis très méchant et que je répondrai méchamment à tout dérapage. Par contre prêt à des échanges culturels apaisés sur les textes.
C'est la meilleure version aucun chanteur n'a fait mieux que ezzahi
Matoub fera encore mieux s'ils l'ont pas éliminer par les jaloux , il fera un tabac.
اللهم ارحمه برحمتك الواسعة و اجعل مثواه جنة الفردوس الاعلى آمين يارب ❤
Allah Allah el fen erraki.rebi yerahmek ya laaziz.
راحما الله الفنان الكبير عمر الزاهي
Merci merci merci.fewet nhar twiiiiiiil w 3yit bessah reyahtna hbibna merci
٠😅
رحمك الله كنت اتمنى ان التقي بك وان شاء الله نلتقي في الجنة
روعة Magnifique 🎉💯❤️الله يرحم شيخنا الغالي عمر الزاهي و يغفر له و يتجاوز عنه يا رب آمين 🤲
Matoub
Rabi yarhmek chikhna
الله يرحمو برحمته الواسعة ويسكنه فسيح جناته
الله يرحمو 😢 يجعل قبره روضة من رياض الجنة
يا ملا لو تاني يا مول القدرة يرحمو بعطفو ورضاه
الله يرحم عزيز بزف ان مرا حسية كي مت بلفرغ 🇩🇿❤❤❤❤🤲🏻🤲🏻🤲🏻⚘🌷⚘🌷⚘🌷
Khadma for bezefe cheikh lahwawete Allah yarahmek inch'Allah..
Petit coucou du MAROC : Excepté Dahmane, tous les chanteurs Algériens ont chanté la texte Malhoune Marocain de Meknès. Cette Kssida datant de ~1850/1860 est certainement la plus forte, la plus percutante avec Lmaknassia et lharraz. Pour les frères Algériens , Le Malhoun est une expression poético-musicale marocaine séculaire. Originaire de Tafilalet où il s’est développé au départ au sein des zaouïas de la région (Tijania, ...), le Malhoun s’est ensuite répandu et a progressivement gagné les grands centres urbains (Fès et Meknès). Les lieux que chantent les maîtres du chaabi sont tous situés entre Fes, Meknès, Rabat, Azemour (Comme Maknassia, Lharaz, Youm Jamaa, ...). Çe chant a été essentiellement bien plus accueilli et performé au sein des corporations des artisans des médinas anciennes.
La génération ayant bâtit des liens forts entre les poètes du Malhoun du dialecte Marocain (Zajal) et le chaabi est celle de Lhaj Nador qui dans le cadre de ces nombreux voyages aux Maroc a récupéré une centaine de textes. Certains chantés par lui, d'autres distribués aux différents maîtres.
Au delà de ce rappel historique, le titre est évocateur et plein de mythes. Les gens des Zaouïas qui vivaient dans les alentours des villes marocaines (du 16 au 18 siècles) étaient les principaux guerriers en plus de l'armée Marocaine combattant les turcs sous le drapeau des sultans Marocains. Pour les remercier d'avoir garder le Maroc indépendant des turcs, il suffisait aux gens des Zaouias de dire, en tapant dans une porte et en se retournant (se donner le dos à la porte), 'Ya diff Allah'. Ils étaient nourris et dans certains cas logés. C'étaient souvent des talibs des écoles coraniques.
Cette chanson est déroutante, certainement la voix exceptionnelle de lhaj Amar Ezzahi allah yrahmou.
Pour les amateurs du Chaabi, un livre de recherche sortira prochainement pour nous raconter l'histoire des paroles des meilleures chansons du chaabi (130 sélectionnées) depuis les origines des textes au Maroc jusqu'à Alger.
Pour information, je tiens à informer certains de mes chers frères algériens qui ont l'insulte rapide que je suis très méchant et que je répondrai méchamment à tout dérapage. Par contre prêt à des échanges culturels apaisés sur les textes.
QUI A DIT LE CONTRAIRE
تاااع ناناك وي😅 يا بوسبير
قال فصيح اللغة حبر الجيلالي. بارك الله فيك . زيد نورمال بالمعلومات
Allah yerahmou
Lah yerahmek khalwitna
الله يرحمك شيخ شيوخ
الله يرحمك ياعمر
الله يارحمك شيخنا عمار الزهي
الله يرحمك شيخنا لعزيز .
ارعى نحلي و طعم شهدي بنصالي
واو غنية رائعة
Allah yarhmak chiikh
هدا الفن ولا خلي
Dz lahçan ولاخلي 😂😂😂
+و فاء !!!!
m
راح الوقت الزين مع مليه
Top des top
rabi yarahmak
Merci kho
شكون يقدر ايقولنا شكون كان فالميزان هنا ؟
ربما دحمان بن طالب أو حمانو
يا شيخ الله يرحمك