Avec plaisir : Dès le premier pas, on constate clairement la désorganisation de l’aéroport. Des intrus sont partout, demandant de l’argent. À la sortie, tous les taxis opèrent dans une anarchie totale, exigeant un tarif bien supérieur au tarif normal, souvent le double ou plus. Les arnaques sont omniprésentes. Ensuite, l’hôtel demande un prix différent de celui affiché sur Booking. Il n’y a pas de devise de change pour les devises internationales dans l’hôtel, et quand j’ai déclaré ça à la réceptionniste elle m’a répondue sans respect que nous les marocains sont comme les algériens. ( ça c’est une fierté déjà pour moi et les algériens sont nos frères ainsi que les tunisiens bien entendu) Vu l’absence claire de professionnalisme j’ai pas continuer la discussion avec elle donnant l’argent et partir se reposer. Dans les rues principales, c’est l’anarchie totale, avec une absence quasi complète de sécurité publique, des ordures partout et des zones mal éclairées, surtout la nuit. Toutes les cinq minutes, on est menacé par des arnaqueurs ou des gens demandant de l’argent. Il n’y a pas de tarifs fixes : un produit peut coûter 50 dinars ou 150 selon la négociation, ce qui reflète l’absence de contrôle de l’État. L’atmosphère est triste, les visages semblent las, et on sent un territoire mal sécurisé avec une économie en ruine.
👍
On aimerait bien savoir ce qui vous a choqué ???!!!!!!
Et je suis désolé pour le commentaire, cependant c’est la réalité…
Avec plaisir :
Dès le premier pas, on constate clairement la désorganisation de l’aéroport. Des intrus sont partout, demandant de l’argent. À la sortie, tous les taxis opèrent dans une anarchie totale, exigeant un tarif bien supérieur au tarif normal, souvent le double ou plus. Les arnaques sont omniprésentes. Ensuite, l’hôtel demande un prix différent de celui affiché sur Booking. Il n’y a pas de devise de change pour les devises internationales dans l’hôtel, et quand j’ai déclaré ça à la réceptionniste elle m’a répondue sans respect que nous les marocains sont comme les algériens.
( ça c’est une fierté déjà pour moi et les algériens sont nos frères ainsi que les tunisiens bien entendu)
Vu l’absence claire de professionnalisme j’ai pas continuer la discussion avec elle donnant l’argent et partir se reposer.
Dans les rues principales, c’est l’anarchie totale, avec une absence quasi complète de sécurité publique, des ordures partout et des zones mal éclairées, surtout la nuit. Toutes les cinq minutes, on est menacé par des arnaqueurs ou des gens demandant de l’argent. Il n’y a pas de tarifs fixes : un produit peut coûter 50 dinars ou 150 selon la négociation, ce qui reflète l’absence de contrôle de l’État. L’atmosphère est triste, les visages semblent las, et on sent un territoire mal sécurisé avec une économie en ruine.