Bonjour Claire-Sophie. On dit souvent tout vient à point à qui sait attendre. Que pourriez-vous conseiller à quelqu'un qui, à force d'attendre, aurait tendance à se sentir découragé, démotivé, prêt à renoncer ou ayant franchi le pas du renoncement ?
Bonjour, Jonathan, et merci pour votre intervention encourageante. À tous ceux qui sont pris dans les tréfonds du tourment, du découragement, de l'impatience et de la démotivation face à leur "œuvre" qui ne suscite pas l'intérêt escompté malgré tout le travail entrepris, je leur dirais, sans naïveté, de se concentrer sur le "travail sur soi", car je crois que c'est la clé du succès quand le travail dans la matière montre une certaine stagnation. Il s'agit là de lever les éventuels blocages du subconscient, de changer ses perceptions, l'énergie que l'on dégage, l'état "vibratoire" de ses pensées, émotions et croyances, ce sur quoi on porte de l'importance, nettoyer les éventuelles mémoires transgénérationnelles qui plomberaient, chercher comment exploser ce "plafond de verre", comprendre pourquoi nous tombons toujours sur le même schéma de vie, cette même relation, cette même situation, cette même négativité, cette "poisse", cette "malchance", pourquoi on répète inlassablement tel évènement douloureux... un travail de longue haleine, mais essentiel si l'on veut avancer. Il y a un prix à payer à tout accomplissement majeur. Si ce n'est pas assez important pour celui qui se décourage, ou s'il ne fait cela que pour l'argent, alors il baissera les bras très vite. Il lui faut trouver ce pour quoi il est fait, sa raison d'être, sa mission, son chemin, son "sacerdoce", et alors, il passera outre tous les obstacles et ira par-delà les routes sinueuses et les souffrances du parcours.
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Bonjour Claire-Sophie.
On dit souvent tout vient à point à qui sait attendre. Que pourriez-vous conseiller à quelqu'un qui, à force d'attendre, aurait tendance à se sentir découragé, démotivé, prêt à renoncer ou ayant franchi le pas du renoncement ?
Bonjour, Jonathan, et merci pour votre intervention encourageante.
À tous ceux qui sont pris dans les tréfonds du tourment, du découragement, de l'impatience et de la démotivation face à leur "œuvre" qui ne suscite pas l'intérêt escompté malgré tout le travail entrepris, je leur dirais, sans naïveté, de se concentrer sur le "travail sur soi", car je crois que c'est la clé du succès quand le travail dans la matière montre une certaine stagnation.
Il s'agit là de lever les éventuels blocages du subconscient, de changer ses perceptions, l'énergie que l'on dégage, l'état "vibratoire" de ses pensées, émotions et croyances, ce sur quoi on porte de l'importance, nettoyer les éventuelles mémoires transgénérationnelles qui plomberaient, chercher comment exploser ce "plafond de verre", comprendre pourquoi nous tombons toujours sur le même schéma de vie, cette même relation, cette même situation, cette même négativité, cette "poisse", cette "malchance", pourquoi on répète inlassablement tel évènement douloureux... un travail de longue haleine, mais essentiel si l'on veut avancer.
Il y a un prix à payer à tout accomplissement majeur. Si ce n'est pas assez important pour celui qui se décourage, ou s'il ne fait cela que pour l'argent, alors il baissera les bras très vite. Il lui faut trouver ce pour quoi il est fait, sa raison d'être, sa mission, son chemin, son "sacerdoce", et alors, il passera outre tous les obstacles et ira par-delà les routes sinueuses et les souffrances du parcours.