Rtb - Histoire d'un peuple - Le DJENGUERE

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  • Опубліковано 11 гру 2024

КОМЕНТАРІ • 10

  • @Lapahtrona-un1bt
    @Lapahtrona-un1bt 11 місяців тому

    Merci Allah pour cette richesse

  • @Lapahtrona-un1bt
    @Lapahtrona-un1bt 11 місяців тому

    Merci Allah pour la richesses

  • @arsenekiendrebeogo4538
    @arsenekiendrebeogo4538 4 роки тому +3

    Manga,la cité des eperviers,tjr imiter mais jamais egaler,je sui fier de mon pays.

  • @landryleturinois6632
    @landryleturinois6632 4 роки тому +3

    Paix à l'ame de notre grand-père saam naaba

  • @mariemechtildeguirma3243
    @mariemechtildeguirma3243 3 роки тому +2

    Dans la danse de bravoure des jeunes, accompagnés de jeunes filles de leur âge avec des balais, je suppose que cela a une signification particulière. Par exemple dans la société Yonyonga, les femmes, notamment les jeunes filles, participaient à l'effort de la guerre : En effet, elles étaient des soignantes. Leur rôle était d'éviter le plus possible au versement du sang humain vestige de la mort. Car cela était une insulte à la mère Terre épouse de Zidwendé. Elle pouvait donc réagir en conséquence ou en refusant la pluie, ayant été déjà giclée ou arrosée par le sang de ses fils. C'est pour cela qu'il y avait une porteuse de Tibo qui lançait la troupe des guerriers mais ne combattait pas elle-même, alors que ses compagnes s'occupaient des blessés. C'est pourquoi dans la danse de retour, la présence de ces filles avec des balais, nous certifie que dans ces combats meurtriers, le souci de préserver la vie humaine (même de ses ennemis car c' était aussi la loi des Ancêtres) et faire le moins possible de victimes était aussi leur préoccupation (on faisait plutôt des captifs). Les balais signifiaient que la guerre était une entreprise nécessaire pour la survie, donc justifiée et que toute mauvaise intention (au lieu des nuages de la pluie) a été balayée. Aussi, dans cette entreprise, le droit de vie d'un homme était pris en compte. En effet grâce aux femmes, symbole de vie et figure du pardon (roguem yiingsidga oblige),Ils ont balayé toute envie d'excès (Pang-Zanré en moré) : de carnage, de vengeance ou de génocide.
    Ce qu'il faut comprendre et retenir de nos jours, c'est que contrairement à tout à ce qu'on peut ou qu'on a pu penser et dire de nos us et coutumes, il y avait de la mesure dans les traditions. Si l'excès s'est plus tard invité dans ces traditions et coutumes, ce fut suite à l'instauration de l'époque dite «Panga Wendêwan» avec son lot de travaux forcés, des cultures forestières, des déportations pour les chemins de fer, des rapts de femmes pour fuir dans d'autres pays etc. En un mot : tout ce qui peut nous interpeller encore de nos jours.
    Une remarque cependant au traducteur en français: Quand vous dites que la femme était considérée comme «un bien», «la propriété» de l'homme, je reste très dubitative. Cependant je ne vous charge pas trop, car ce serait un long débat qui pourrait instaurer une polémique inutile.C'est dire que la connotation de ces mots : «bien» «propriété», peut nous mener à une ambiguïté de traduction en langue moré voire africaine du fait de la polysémie d'un mot, qui peut comporter des nuances et souvent des paradoxes.
    En tout état de cause, vous félicitations pour nous avoir gratifié des contours de cette culture, recevez mes respects et ma considération distinguée : «Ya sida, Djenguere daam kongdbéogo, Suur sê kiéma toogê n'yu, n'dwelldamba»

  • @Mozer375
    @Mozer375 3 роки тому +3

    c'est un bon reportage. Mais est-ce que ces gens ne peuvent pas se mobiliser et anéantir les djihadistes et sauver le Burkina? ou bien l'État ne veut pas leur donner l'autorisation?

  • @zoungranamodeste2245
    @zoungranamodeste2245 6 років тому +4

    ici c'est zoundouwégo MANGA longe vie a tous je sui très content

  • @prosperkpoghomou9992
    @prosperkpoghomou9992 2 роки тому

    @A