Franz Kafka : Le Terrier lu par Denis Lavant (2007 / France Culture)
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- Опубліковано 5 лип 2019
- Franz Kafka : Le Terrier lu par Denis Lavant. (2007 / France Culture). Photographie : Denis Lavant © Richard Dumas pour l'Agence VU. Site internet du photographe : www.agencevu.com/photographer.... En 2007, en écho à une exposition intitulée “Bêtes et hommes” à la grande halle de la Villette, le comédien Denis Lavant proposait une lecture enregistrée en public de la nouvelle de Franz Kafka, “Le terrier” : une lecture diffusée la première fois sur France Culture le 10 novembre 2007.
Le 12 juillet 1922, dans une lettre à son ami Max Brod, Kafka écrit : « Je cours en tous sens ou bien je reste assis, changé en pierre, comme devrait le faire un animal désespéré dans son terrier. »
Deux ans et demi plus tard, à la fin de l’année 1923, alors qu’il vit à Berlin avec Dora Dymant, il écrit un récit en forme de long monologue dont le narrateur est un animal - jamais précisément décrit - qui raconte de quelle façon il a construit et agencé son terrier, refuge qui se révèle peu à peu menaçant. Demeuré inachevé et publié à titre posthume, c’est l’un des derniers écrits de Kafka, qui meurt six mois plus tard, en juin 1924.
Traduction : Dominique Miremont.
Lecture de Denis Lavant.
Réalisation : Michel Sidoroff.
Source : France Culture
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*Franz Kafka : Le Terrier lu par Denis Lavant (2007 / France Culture). Photographie : Denis Lavant © Richard Dumas pour l'Agence VU. Site internet du photographe :* www.agencevu.com/photographers/photographer.php?id=32.
*En 2007, en écho à une exposition intitulée “Bêtes et hommes” à la grande halle de la Villette, le comédien Denis Lavant proposait une lecture enregistrée en public de la nouvelle de Franz Kafka, “Le terrier” : une lecture diffusée la première fois sur France Culture le 10 novembre 2007.*
*Le 12 juillet 1922, dans une lettre à son ami Max Brod, Kafka écrit : « Je cours en tous sens ou bien je reste assis, changé en pierre, comme devrait le faire un animal désespéré dans son terrier. »*
*Deux ans et demi plus tard, à la fin de l’année 1923, alors qu’il vit à Berlin avec Dora Dymant, il écrit un récit en forme de long monologue dont le narrateur est un animal - jamais précisément décrit - qui raconte de quelle façon il a construit et agencé son terrier, refuge qui se révèle peu à peu menaçant. Demeuré inachevé et publié à titre posthume, c’est l’un des derniers écrits de Kafka, qui meurt six mois plus tard, en juin 1924.*
*Traduction : Dominique Miremont.*
*Lecture de Denis Lavant.*
*Réalisation : Michel Sidoroff.*
*Source : France Culture*
#FranzKafka #Littérature #Tchèque #Nouvelle #LeTerrier #Lecture #DenisLavant #GrandeHalleDeLaVillette #Exposition #BêtesEtHommes #Traduction #DominiqueMiremont #Réalisation #MichelSidoroff #LesNuitsDeFranceCulture #FranceCulture
Un texte tout à fait claustrophobique. Être enfermé pendant une heure sous terre avec cette créature non définie obnubilée par un bruit, c'est un vrai cauchemar ! Ce n'est pas mon oeuvre préférée de Kafka, loin de là, mais au moins, l'écrivain a réussi son effet. Bravo aussi au lecteur pour avoir incarné avec beaucoup de véhémence le propriétaire du terrier.
Texte tragique, si prémonitoire. Ce fut sans doute une "nuit prodigieuse", six mois avant sa mort. Merci à Denis Levant, magistral.
Et merci au sémaphore.
Un grand merci à vous, Serge Venturini, pour votre commentaire émouvant.
Magistrale lecture. Chapeau l'artiste. Et merci au Sémaphore pour le partage et la découverte. En plein confinement, c'est redoutable de réalisme, l'empathie se fait sans souci eh eh
Je suis content que cette lecture vous ait plu. Heureusement que nous ne sommes pas confinés dans un terrier ! Merci pour votre sympathique commentaire.
C'est glaçant, la lecture est terrifiante au possible !
Voilà la véritable fonction du net ! Ouvrir notre espace.
Nous sommes bien d’accord. Et même s’il y a peu d’espace dans un terrier, l’important est de creuser, de trouver d’autres issues possibles.
Des lectures formidables merci :)
Je suis content que cette lecture vous plaise. Merci pour votre chaleureux commentaire !
Merci Denis
Celà me fait penser à silo ( de..) S.F.
Je n'aime pas le lecteur