Ateliers de théâtre pour « surdoués » : on repart en expédition !

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  • Опубліковано 17 вер 2024

КОМЕНТАРІ • 17

  • @vincentc.7677
    @vincentc.7677 6 років тому +4

    Merci pour cette parenthèse théâtrale, l’enthousiasme et la volonté de partage qui se dégagent de ces témoignages rendent la proposition plus qu’attrayante

  • @lawlietryuzaki4694
    @lawlietryuzaki4694 6 років тому +7

    Faire du théâtre avec des " "... Ça me fait rêver.

  • @lorentzdiane9366
    @lorentzdiane9366 6 років тому +1

    Merci pour cette vidéo très rassurante et motivante pour faire le premier pas de l’expédition! Mail envoyé!

  • @mickaelsimenskis2924
    @mickaelsimenskis2924 5 років тому

    C'est marrant (singulier) comme (presque) toujours, les chemins explorés ici me provoquent une sensation difficile à exprimer, les choses dites, les idées défendues me semblent connues, pas verbalisées si bien, pas forcément indentiques mais des idées, des pensées présentant une certaine parenté avec celles que je visite sur mon chemin personnel.
    Ça m'avait fait ça avec Zaratoustra, lire exprimés magnifiquement ce que je pensais confusément (sans verbalisation).
    Ça fait toujours plaisir de se voir moins seul :o)
    (désolé si je ne suis pas clair mais éclaircir me ferait remplir des pages et je ne suis pas sur que cela intéresse qui que ce soit :o)

    • @blackmamba6455
      @blackmamba6455 5 років тому

      J'ai vécu la même illumination grâce à "Ainsi parlait Zaratoustra"'. Surtout le passage sur les mouches. Avec toute la prise de recul que cela nécessite pour, ne serait-ce que, pas finir comme Nietzsche ;)

  • @veroniquefauvette5049
    @veroniquefauvette5049 6 років тому

    ah, wouah...ce que j aimerais ça... !!

  • @connexionpoup5691
    @connexionpoup5691 5 років тому +3

    C'est pas gentil de faire des propositions que pour les parisiens !! ça frustre !!

  • @Y.Gb1
    @Y.Gb1 5 років тому +1

    Toute personne qui a besoin de s'accorder davantage le droit à étre,ou à vivre son identité peut profiter de tout ce que peut lui permettre de: s'exprimer,s'affirmer,etre sa nouvelle identité,s'extérioriser s'incarner avec plus de fluidité.
    Vivre librement ses émotions de toutes sortes et se permettre de les laisser sortir pour se libérer = tout simplement avoir une vraie hygiéne de vie.
    Un dépisté tardif souffre de freins,de ses émotions,et de son expression, donc évidemment le théatre peut l'aider.
    Une question 1) svp: (car à distance on ne pourra pas tous venir vous voir!).
    de quelle façon peut-on faire tomber nos faux masques?ou se connecter nous-méme avec notre vraie identité intérieure?forces,fragilités.merci

  • @nathalieveloso4577
    @nathalieveloso4577 2 роки тому

    Bonjour, ces cours existent ils encore en septembre 2022 ? Où ?

    • @sahelene615
      @sahelene615 Рік тому

      Moi aussi j'en ai affreusement besoin... Un inspiration que je n'arrive à réprimer... Jouer-jouer-vibrer-ressentir-partager-exprimer-jouer-jouer.

  • @Soloniwa
    @Soloniwa 5 років тому +1

    @demonstrer.fr
    Ces derniers temps, je pense souvent à vous.
    Votre livre/ vos vidéos me reviennent en tête dans certaines situations. Je pense pouvoir dire que vous m'avez beaucoup touché. J'ai des questions qui se posent, que je me pose, ou qu'on se propose finalement ? Des questions ou justes des pensées, je ne sais pas.
    Tout à l'heure, j'écoutais une émission sur YT dans laquelle Frédéric Lordon intervenait. Je n'ai pas noté l'émission, désolé, ça ne m'intéresse pas comme information, par contre, j'ai relevé un passage ;
    "Journaliste : - Qui génère, ou comment se génère la valeur ? Si on se dit que les valeurs ne valent rien sauf si on a décidé qu'elles valaient quelque chose alors qui et qu'est-ce qui devient générateur de valeur ?
    F.L : - Les affects, le jeu des affects décide de la valeur.
    Journaliste : - Et ils viennent d'où ces affects ?
    F.L : - Ils viennent du travail que la société fait sur elle-même. Au travers de toutes ses médiations institutionnelles. Car on ne trouve jamais la société que dans son appareil de structures et d'institutions. Il est exclus d'essayer de remonter à une espèce de temps zéro, de temps originel où on verrait tout apparaître : les grandes institutions, etc... Ça c'est une entreprise qui serait de la dernière absurdité.
    Mais ça fait partie des mécanismes passionnels généraux qui sont au principe de la valeur. Alors par exemple, qu'est-ce que le capital symbolique au sens de Bourdieu ?
    Le capital symbolique c'est une certaine entité, en général une personne, qui précisément à été investi par l'affect commun qui a donc été reconnu par la multitude de telle sorte qu'il peut faire reconnaître à son tour. Ayant été causé comme capital symbolique, il peut devenir causant d'effets symboliques c'est à dire d'effet de reconnaissance. Mais, c'est une puissance dont il ne détenait pas le principe en lui-même. C'est bien la multitude qui prête sa puissance à des entités variées pour opérer , alors évidemment, dans une situation de méconnaissance de la multitude à elle-même, qui est le propre de la condition anarchique et qui seul peut rendre soutenable cette condition. "
    Alors, c'est marrant, parce que voilà que je le relis tandis que je veille à articuler l'ensemble dans un tout plus ou moins cohérent je relève le mot "absurde" dans ma citation de l'entretien.
    Et c'est justement un des autres points que je voulais aborder en soulevant la question de l'absurde d'Albert Camus, plus précisément dans "Le mythe de Sisyphe".
    Genre... : "[...]Mais au contraire, dans un univers soudain privé d'illusion et de lumière. L'homme se sent un étranger. Cet exil est sans recours. Puisqu'il est privé des souvenirs d'une patrie perdue ou de l'espoir d'une terre promise. Ce divorce, entre l'homme de sa vie, l'acteur et son décor, c'est proprement le sentiment de l'absurdité.[...]"
    Êtes-vous familier avec l'homme absurde de Camus ? J'ai envie de me demander qu'est-ce que ça vous évoque ? Quelles pensées est-ce que cela engendre ?
    Alors, pour en revenir au sujet de la vidéo, dans ce que je pensais à vous ;
    Selon moi, l'art à une place spéciale dans le travail de l'angoisse.
    Déjà, dans une première mesure, parce qu'il permet à l'artiste de s'exprimer dans un cadre déjà permissif en soit. Au contraire d'une activité classique qui requiert rien que part l'évocation de la fonction quelque chose de rigide et balisé, que ce soit en terme d'activité ou en terme d'émotion. J'entends, par exemple, activité de comptable vs activité de cinéaste.
    Ensuite, parce que la personne qui est amené à "recevoir" l'art en question va pouvoir s'en emparer pour lui même d'abord, mais aussi pour et avec ceux avec qui il aura partagé ce moment. Ce sera source de questions, de tourmente peut-être, de rire aussi, de pensées en tous cas, d'art finalement ?
    J'ai essayé le théâtre. Personnellement, ça ne m'a pas vraiment réussi. Peut-être un jour retenterai-je l'expérience ? Peut-être dans ce genre de contexte. L'avenir me le dira...
    Mais en parlant de l'art. Ça me rappelle Gilles Deleuze, dans une conférence sur l'acte de création :
    " Malraux développe un bon concept philosophique. Il dit une chose très simple sur l’art : « C’est la seule chose qui résiste à la mort. » (…) Oui, sans doute, il suffit de voir une statuette de trois mille ans avant notre ère pour trouver que la réponse de Malraux est une plutôt bonne réponse. Alors on pourrait dire, oui, l’art c’est ce qui résiste. Tout acte de résistance n’est pas une œuvre d’art, bien que, d’une certaine manière il le soit. Toute œuvre d’art n’est pas un acte de résistance et pourtant, d’une certaine manière, elle l’est… (…) L’acte de résistance, il me semble, a ces deux faces : seul il résiste à la mort, soit sous la forme d’une œuvre d’art, soit sous la forme d’une lutte des hommes."
    Je ne suis toujours pas bien sur d'avoir compris la différence entre oeuvre d'art et lutte des hommes, mais peut-être un jour comprendrai-je totalement ce qu'il voulait dire par là. Acte de résistance ? Et ça me laisse pensif quant au concept de travail de l'angoisse. Mais aussi celui de récit, singulier.. collectif ?
    Et comment expliquer le mystère que je me figure ainsi : Pourquoi et comment est-ce que l'intention de l'auteur, du créateur peut parfois être à ce point éloigné de ce que reçoivent en retour ceux qui contemple l'art ? Et comment font les gens pour parfois être à ce point d'accord (et en nombre !!) sur leur vécu d'une oeuvre. Avec parfois une telle distance par rapport à l'oeuvre... Enfin...
    Et en même temps, dans la même conférence, en parlant du cinéma de Minelli, il dit :
    "La grande idée de Minnelli sur le rêve, c'est que le rêve concerne avant tout ceux qui ne rêvent pas. Le rêve de ceux qui rêvent concerne ceux qui ne rêvent pas. Parce que dès qu'il y a rêve de l'autre, il y a danger. A savoir que le rêve des gens est toujours un rêve dévorant qui risque de nous engloûtir. Que les autres rêvent, c'est très dangereux. Le rêve est une terrible volonté de puissance. Chacun de nous est plus ou moins victime du rêve des autres. Même quand c'est la plus gracieuse jeune fille, c'est une terrible dévorante, par ses rêves. Méfiez-vous du rêve de l'autre, parce que si vous êtes pris dans le rêve de l'autre, vous êtes foutu."
    Et je ne peux m'empêcher de substitué "l'autre" par "la société". Et de me dire, dans le même temps, "Tien, pourrait-il y avoir un lien en le concept de rêve et le concept de récit ?".
    Et donc oui, le cinéma, le théâtre, la musique ! La culture ?
    Scylla, un rappeur, dans une de ses récentes chansons dit :
    "Nan nan nan, je refuse, je veux autre chose moi, ce monde est merveilleux. Je sais pas je veux... traverser les océans, les déserts, courir après des mirages, vivre un rêve, une histoire d'amour impossible. Être un aviateur, un..., un..., un inventeur ! Un grand artiste. Révolutionner l'art, remettre la plume à la mode... nourrir le cœur des gens. Que ma vie soit utile à quelque chose. Trouver un sens... Rencontrer Dieu, quitte à en devenir fou"
    C'est éclairant. J'ai besoin de puiser dans le travail de l'angoisse des autres ce qui va me permettre de travailler la mienne ? Ce qui explique mon désir si vibrant d'être dans un partage intense. Et mon désarroi quand ce que me propose l'autre n'est qu'outil incompatible ? Et dans tout ça, construire le récit le plus important pour moi, celui qui me soutiendra jusqu'à ? Construire un sens qui n'aura de sens que s'il est un sens partagé mais singulier ?
    Est-ce que je m'égare ?
    Parce qu'en même temps, j'ai écrit Dieu, et on parle de sens donc j'y pense. Mais ça me fait revenir Boris Cyrulnik et sa Psychothérapie de dieu.
    Bref, où ça nous mène tout ça ? À une proposition peut-être, je ne sais pas.
    Mais en tous cas en l'expression que si un jour vous prend l'envie de partager un contenu culturel, nourricier, récemment mis entre vos mains et de nous partager un fragment de réflexion qui fait sens pour vous, je serais de ceux que ce contenu intéresserait. Et j'aime à penser que je ne suis pas le seul. C'est également une manière de vous voir jouer avec votre boite à outils.
    Je vais m'arrêter là !
    Merci pour votre travail (de l'angoisse?).

  • @stephanblackburn3515
    @stephanblackburn3515 6 років тому +1

    À part le son toujours à 2/5 merci!

  • @sandrinefontanel9692
    @sandrinefontanel9692 5 років тому

    J'en rêverais... Mais j'habite à l'étranger 😢

  • @RipleyEva
    @RipleyEva 4 роки тому

    Cela pourrait intéresser 2 ados de ma famille très proche, je n’arrive pas à trouver votre atelier. Vous êtes où ???

  • @lawlietryuzaki4694
    @lawlietryuzaki4694 6 років тому +2

    Fiiiiirst ! 😁

  • @Ben-qh1nc
    @Ben-qh1nc 6 років тому +1

    J'en suis, mais... J'ai pas fait le test de QI.

    • @Y.Gb1
      @Y.Gb1 5 років тому +1

      Je ne suis pas sur que le test est tjrs fiable,à titre perso j'ai dépisté des gens sans test.