Défilé du 25 Mai 2015 à Paris - Montparnasse(défilé kimbanguiste)

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  • Опубліковано 28 гру 2024

КОМЕНТАРІ • 5

  • @mabetamassaba4438
    @mabetamassaba4438 2 роки тому

    Nzambe aza nzambe ya cmfitionte yezu abotama une fois setout akifaki pe alobaki nako tondela bino molomu mosantu et le saint esprit esi eya depuis avant meme papa na bino ya nkamba abotama yezu alobi na na diciples naye bo pima na jeruzalam te tîi soki molimu eye bokende koteya sango malamu na mokili mobimba et papa kimbaku pe ateyaki jesus christ alobaki te que yende nzambe molumo mosatu ebotamaka na tata na mama te pe ekufaka te lolenge marie azuaki zemi par le saint esprit oyo ya bino nzambe asuki kaka na famille moko ya ba Dialungana ,Diangenda , ba Dian na bDia oyo eza idolatri Date ya ko botama eza natina te koyeba que nzambe ayaki na mokili nde eza tré important se tout.

  • @saintdenisvangimawete9286
    @saintdenisvangimawete9286 Рік тому

    Nzambe aza kk Nzambe na bolingo nioson ekokisami

  • @simonkimbangu440
    @simonkimbangu440 9 років тому +1

    Noël le 25 Mai
    Le christianisme est la première force spirituelle du globe avec plus de 2 milliards de croyants, l’immense majorité des chrétiens fêtent noël le 25 décembre. A l’inverse une minorité des chrétiens fêtent Noël, le 25 mai, la véritable date de naissance de notre Seigneur Jésus-Christ.
    En effet, c’est connu de tous que la date du 25 décembre consacrée à la nativité de Jésus-Christ est conventionnelle…C’est-à-dire une pure imagination humaine.
    En 375, l’église de Rome sous le Pape Julius I confirma que la date de naissance du Christ fut le 25 décembre. Cette « découverte » fut acceptée par les chrétiens, et depuis, la Noël est célébrée en cette date.
    Cependant, cette date n’est autre que celle de la naissance de Mithra, divinité de la lumière païenne d’origine perse et très répandue à l’époque à Rome antique. L’annonce faite par l’église visait tout simplement à « concilier » christianisme et mithraïsme ; de façon à emmener ainsi les païens convertis de force à accepter de fêter plus facilement l’anniversaire de Jésus-Christ. On fêtait le 25 décembre, pour le solstice d’hiver, la naissance de Mithra le soleil invaincu.
    Christ est le principe même de la vérité. En effet, la Bible révèle que Jésus-Christ est la lumière venue dans le monde pour dissiper les ténèbres, les ignorances…( jean 8 : 12).
    Pourquoi fêterions-nous alors la nativité de celui qui inspire les prophètes depuis les temps anciens à une date imaginaire ? C’est comme s’il n’est plus capable de nous révéler la vraie date devenue énigmatique.
    Les autres chrétiens, par contre, ruminant un esprit pseudo-chrétien prennent l’attitude de fuite pour effacer dans leur conscience cette fête de nativité de Christ, quelle qu’en soit la date.
    Ainsi chaque année, on remarque que de plus en plus de chrétiens célèbrent Noël à plusieurs dates : 25 décembre pour les catholiques, les protestants, pentecôtistes…, 6 janvier pour les orthodoxes… Ils rendent ainsi caduque la grande prophétie d’Esaie 9 : 6, où l’oracle de l’Eternel indexe cette solennité de la naissance du Christ.
    Depuis la mort de Jésus-Christ, le monde en général et l’église en particulier étaient entrés dans « la période de nuit » (Jean 9 : 4 ; Luc 21 : 24), où la Grande Babylone a détourné les enfants de Dieu vers l’apostasie (Daniel 7 : 25). Au temps messianique, le temps de rétablissement de toute chose, tout ce qui est partiel doit être aboli pour accéder à ce qui est parfait et à la connaissance entière (Daniel 12 : 4 - 11 ; Mt 15 : 13). Christ à son tour fera toute chose nouvelle (Apocalypse 21 : 1-5), car il avait déjà promis le transfert du royaume de Dieu à une autre nation, Mathieu 21 : 43.
    Le temps est déjà là. La vraie date de Noël, c’est-à-dire de la naissance du Christ est connue : c’est le 25 mai.
    L’Eglise Kimbanguiste, qui a ainsi proclamé devant la face du monde non pas le changement de la date de naissance de Jésus-Christ, mais plutôt la révélation de la vraie date de naissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, a le devoir d’instruire l’humanité sur cette vérité fondamentale ; car l’Esprit de Dieu n’est présent que là où se dit la vérité, surtout lorsqu’elle concerne les Etres célestes.
    Voici plus de 2000 ans que Jésus-Christ naquit à Bethléem en Judée et voici plus de 2000 ans aussi que les exégètes de la Bible se sont perdus dans la lecture de cette fabuleuse histoire divine, jetant ainsi dans l’erreur des milliards de croyants à travers le monde. C’est pourquoi, Papa Simon Kimbangu, révélateur des choses cachées, avait accompli sa mission par le biais de ses Enfants, les détenteurs des pouvoirs de leur Père.
    Oui, à Bethléem, Christ naquit en brousse et aussitôt, il fut visité par les rois mages venus lui offrir des cadeaux.
    Non, il ne naquit guère au mois de décembre pour plusieurs raisons :
    D’abord, pour les Kimbanguistes, le magistère, c’est-à-dire la parole dite par Dieu, l’Etre omniscient, ne peut avoir d’autres alternatives. Elle est la vérité révélée qui se confirme au fil du temps.
    Secundo, des éléments scientifiques et historiques indéniables appuient la révélation. En lisant Luc 1 : 35-56, Il y eut l’ange Gabriel qui annonça à Joseph et à Marie l’état de conception de leurs fils, au sixième mois de l’année ; le mois Ellul du calendrier hébraïque d’alors, équivalent au mois de Septembre du calendrier chrétien de notre époque. Partant de Septembre, la naissance ne pouvait intervenir qu’au mois de mai.
    Tertio, l’Empereur Auguste n’avait jamais convoqué un recensement en temps de grand froid pendant lequel la vie à l’extérieur est inimaginable pour un bébé. Et les bergers à leur tour ne paissaient guère non plus leurs bétails dans le froid atroce du mois de décembre.
    Ensuite, la renommée du Christianisme en Orient fut récupérée par les adorateurs du roi soleil, Mithra qui, par convention avait lié à cette date de naissance du roi soleil la naissance de Jésus-Christ, dont malheureusement les chrétiens eux-mêmes ne connaissaient pas avec exactitude la date. Ils furent donc embarqués d’autorité à ce qui ressemble aujourd’hui à une vraie supercherie.
    Enfin, le Christ a promis sa nouvelle venue, bibliquement annoncée en temps de guerre et de tremblements de terre et géographiquement située dans Apocalypse 3 : 11-12. Lisons : « Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne. Celui qui vaincra, je ferai de lui une colonne dans le Temple de mon Dieu, et il n’en sortira plus ; j’écrirai sur lui le nom de mon Dieu, et le nom de la ville de mon Dieu, la nouvelle Jérusalem qui descend du ciel d’auprès de mon Dieu, et mon nom nouveau ». Fin de citation.
    Ceci est la révélation profonde de la Nouvelle Jérusalem qui est N’kamba et du nom nouveau de Jésus-Christ qui est Dialungana, qui veut dire Accomplissement. N’est-ce pas que Christ avait dit qu’il était venu non pour abolir la loi, mais pour l’accomplir ?
    Voilà ce qui nous renvoie clairement à la naissance de papa Dialungana Kiangani Salomon Paul, né le 25 mai 1916 et qui le signifia au monde le 25 mai 2000, un an avant sa transfiguration.
    Les trois jeunes pastoraux de Fatima au Portugal n’avaient-ils pas vu la vierge Marie leur apparaître puis leur annoncer le 13 mai 1917 l’existence de Jésus-Christ au nord de l’Angola ? Avant son immolation, la prophétesse Kimpa Vita avait à son tour annoncé le 2 juillet 1706 ce même Christ, dont la naissance devait avoir lieu au nord de Bangu, c’est-à- dire sur le territoire de l’actuelle République Démocratique du Congo.
    Le Pape Jean Paul II n’avait-il pas déclaré en 1980 au Kenya que « Dieu est noir et Christ est africain » ? (Jeune Afrique économie n° 135, page 138, 1990). Cette déclaration avait été faite au cours de son premier voyage en Afrique.
    A Bethléem, lors de sa toute première venue, le Fils de Dieu naquit bien en cette date du 25 mai et prit le nom d’homme de « Jésus ». C’est vraiment l’Emmanuel c’est-à-dire Dieu avec les hommes. A sa seconde venue à N’KAMBA Nouvelle-Jérusalem, il naquit également à la même date. Ô Mystère quand tu nous tiens !
    Or, que signifie ? « il est descendu jusqu’en bas sur la terre. Celui qui est descendu, est aussi celui qui est monté plus haut de tous les cieux, afin de remplir tout l’univers » (Ephésiens 4 : 9 - 10).
    Le second avènement s’est produit à l’identique du premier, c’est-à-dire conçu du Saint-Esprit et d’une femme. Le Messie né dans la chair ici-bas sur terre est revenu en vérité comme le Fils de l’homme.
    L’Apocalypse 12 : 5, déclare : « Elle enfantera un Fils, qui doit paitre toutes les nations avec une verge de fer. Et son enfant fut enlevé vers Dieu et vers son Trône ».
    L’homme qui doit mener toutes les nations avec un sceptre de fer, c’est le Seigneur du Second Avènement. Il est dit dans ce passage précité qu’il naitra d’une femme. Evidement, il naquit le 25 mai 1916 à Nkamba de Marie Muilu et de Simon Kimbangu le Saint-Esprit.
    Le prophète Zacharie, dont les visions annoncent aussi le rétablissement de l’œuvre de Dieu et les deux venues du Christ, nous instruit dans cette prophétie : « Voici, un homme, dont le nom est germe, germera dans son lieu, et bâtira le Temple de l’Eternel ; il portera les insignes de la majesté ; il s’assiéra et dominera sur son Trône, il sera sacrificateur sur son Trône, et une parfaite union régnera entre l’un et l’autre ». Zacharie 6 : 12 -13.
    Comme l’indique son nom, Dialungana, c’est-à-dire l’accomplissement, a bâti le Temple de la dernière alliance (Agée 2 : 9 ; Ezéchiel 43 : 7-10 ; Apocalypse 11 : 1 - 2). Il a par la suite assumé dans la chair la responsabilité de la demande de pardon du péché d’Adam et Eve, nécessaire pour une restauration complète de l’homme, laquelle doit également établir la famille idéale désirée par Dieu qui règnera dans les nouveaux cieux et la nouvelle terre.
    Christ est donc revenu sous un nom nouveau à la Nouvelle Jérusalem (Apocalypse 3:12 ; Apocalypse 14 : 1 ; Es. 62 : 2-12) , sur la terre nouvelle déterminée par l’Eternel, placée au centre de l’Afrique ( Es 19 : 19 - 25 ; Sophonie 3 : 8 - 12 ), où se trouve le symbole du royaume de Dieu : Le cadavre qui n’a jamais connu de décomposition ( Luc 17 : 37) et qui constitue le Sanctuaire de la dernière alliance ( Apocalypse 21 : 3 ; Ezéchiel 43 : 7 ; Ezéchiel 37 : 26 - 28 ).
    Dialungana est donc le Christ de la seconde venue, qui s’est révélé sous l’apparence d’Esaie 53 : 1-7, il reviendra de façon ostensible et reconnaissable, « dans la gloire de son Père, avec ses anges » (Mt 24 : 30) et « tout œil le verra » (Apocalypse 1 : 7 ).
    Le Christ dans sa gloire transcendera toutes les Eglises, il réalisera le but de la création : Etablir un nouveau monde sous la domination de Dieu. L’unique Eglise de Jésus-Christ sera connue de tous, celle qui est bâtie sur le sommet de la montagne sainte : N’kamba la Nouvelle-Jérusalem (Zacharie 8:3-7; Jérémie 3:17; Zacharie14 : 9 -10; Apocalypse 7 : 9 -17).
    Le Christ a promis un événement majeur désigné en Kikongo par le terme « LAYISUA » (enlèvement). Quand cela arrivera, les morts qui étaient des vrais croyants ressusciteront. Par contre, ceux qui se trouveront encore sur la terre seront transformés et recevront un corps incorruptible (1cor 15 : 51 - 55 ).
    Le « LAYISUA » est un jugement qui mettra à nu la vérité sur la relation de chaque homme avec Dieu. Le jugement dernier est un appel à la conversion, en ce sens que Dieu donne encore aux humains « le temps favorable, a la repentance » (2cor 6 : 2 ).
    La Noël est la célébration de l’alliance de Dieu avec l’homme (Apocalypse 21 : 3), car Dieu s’est fait homme, elle annonce aussi, l’imminence retour glorieux du Christ avec ses saints pour le jugement final (Mt 25 : 31-32).
    La parole de Dieu annoncée par le prophète du Saint-Esprit nous dit : « … je te jugerai dans le lieu où tu as été crée, dans le pays de ta naissance » Ezéchiel 21 : 35.
    Nous serons jugés sur le lieu de la création. L’Afrique n’est-elle pas le berceau de l’humanité ? Là où on à été crée ?
    Dieu est noir, la Bible nous donne beaucoup des références par les prophètes : Ezéchiel 1 : 26-28 ; Ezéchiel 40 : 2-5, Daniel en fait autant au chapitre 10 : 5-6, ainsi que dans Jean : l’Apocalypse 1 : 12-16, ces versets nous indiquent que Dieu a l’aspect d’airain (bronzé) c’est-à-dire : noir.
    Le fondement doctrinal du Kimbanguisme a trois sources théologiques : la Bible, les paroles prophétiques du chef Spirituel et les chants inspirés.
    Un cantique de Noel divinement inspiré, confirme clairement nos allégations. Le voici :
    « C’est en elle que la grâce s’est manifestée.
    Oui, c’est à travers Marie, dans une contrée de Juda, qu’est né Jésus dans une crèche.
    Les bergers, les mages se sont déplacés pour lui rendre hommage à Bethléem.
    Dans leurs trésors, des pièces en or emportées pour présenter comme cadeaux au nouveau né, le Roi des rois, c’est lui Emmanuel qui signifie Dieu avec nous.
    Une étoile leur est apparue pour indiquer l’endroit où il a été mailloté.
    Oui, le Messie, le sauveur est né.
    C’est aussi en elle que la grâce s’est manifestée.
    Oui, c’est à travers maman Marie Muilu Kiawanga, en 1916, que la race noire a été honorée de la seconde venue du Christ.
    En 1916, il est né. Oui, Dialungana est né.
    Venez et manifestons notre joie ! C’est Noel
    Venez et réjouissons-nous ! C’est Noel
    Venez et rendons-lui hommage ! C’est Noel
    Venez et glorifions-le ! C’est Noel
    Kimbanguistes, entonnons des louanges ! C’est Noel
    Kimbanguistes, manifestons notre joie ! C’ est Noel
    Kimbanguistes, glorifions-le ! C’est Noel Dialungana est né !”
    Chant psaume de Kimbangu n°36 ( wavewa yi Maria…Noel) www Kimbanguisme.net
    Publié par David Mankandi Biangue, article complété, tiré du livre « Le Kimbanguisme à la lumière des écritures saintes » page 161-166 ; mai 2012

  • @lambertkonga1619
    @lambertkonga1619 2 роки тому

    Vive le Kimbanguisme