Si enfant de Dieu est Dieu, donc il y a combien de Dieu ?😱FAISSAL DDR | PASTEUR | CORAN | BIBLE

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  • Опубліковано 13 вер 2024
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КОМЕНТАРІ • 6

  • @saidomaromar8260
    @saidomaromar8260 Місяць тому +1

    Ils aiment parler beaucoup est crier fort , qu'Allah nous donne la bonne compréhension et nous guide

  • @bagagnanismael9511
    @bagagnanismael9511 Місяць тому

    Allahou Akbar ❤❤

  • @adamaboubakari8042
    @adamaboubakari8042 Місяць тому

    Salam alekun mes frères c'est depuis kandi un ami de alfa moctar on vous suis chaque fois qu'Allah vous récompense et vous protège

    • @faicalzato1065
      @faicalzato1065 Місяць тому

      Merci beaucoup qu'Allah récompense

    • @damecisse2010
      @damecisse2010 Місяць тому

      😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂 Docteur il faut laisser tomber , ces gars là ne maîtrisent même ce qu'ils disent c'est juste des pasteurs qui parlent des charabia

  • @damienducoint7799
    @damienducoint7799 Місяць тому

    Le clergé chrétien reconnaît clairement que Jésus ne s’est jamais lui-même attribué le titre de « fils de Dieu », mais prétend que d’autres l’ont fait. Il y a une explication à cela.
    Lorsque l’on étudie les différents manuscrits qui composent le Nouveau Testament, on découvre que *ce titre attribué à Jésus provient de mauvaises traductions de deux mots grecs, pais et huios, qui ont tous deux été traduits comme « fils ».* *Mais cette traduction paraît sournoise.* *Le mot grec pais provient de l’hébreu ebed, dont le sens premier est « serviteur » ou « esclave ».* *Ainsi, la traduction première de pais theou est « serviteur de Dieu »; mais le traduire par « fils de Dieu » ou « enfant de Dieu » est franchement tiré par les cheveux.* Selon le Theological Dictionary of the New Testament, « … le mot original hébreu pais, dans l’expression pais theou, i.e. ebed, a une signification qui met l’accent sur la notion de relation personnelle, et son sens premier est « esclave ».[1]
    Cela est d’autant plus intéressant que ça rejoint parfaitement la prophétie Ésaïe 42:1, confirmée par Matthieu 12:18 : « Voici mon serviteur [du mot grec pais], que je soutiens, celui que j'ai choisi, qui fait toute ma joie. » Peu importe quelle version française de la Bible on lit, le mot « serviteur » se retrouve dans chacune. Si l’on considère que le but de la révélation est de clarifier la vérité provenant de Dieu, ce passage peut paraître comme une disgracieuse verrue sur le visage de la doctrine soutenant l’idée de Jésus comme fils de Dieu. Après tout, quel meilleur endroit Dieu aurait-Il pu choisir, dans la Bible, pour présenter Jésus comme Son fils? Quel meilleur endroit pour dire : « Voici Mon fils, que J’ai engendré… »? Mais Il ne l’a pas dit. D’ailleurs, cette doctrine ne reçoit de soutien ni dans les paroles de Jésus ni dans celles de Dieu rapportées dans la Bible, et on peut se demander pourquoi. À moins, bien entendu, que Jésus n’ait été que le serviteur de Dieu décrit dans le verset d’Ésaïe.
    Quant à l’utilisation religieuse du mot ebed, « … le terme sert d’expression d’humilité et est utilisé par le vertueux vis-à-vis de Dieu. »[2] De plus, « après l’an 100 avant Jésus-Christ, pais theou est le plus souvent utilisé dans le sens de « serviteur de Dieu » (réf. Moïse, les prophètes et les trois enfants - Bar. 1:20; 2:20; Dan. 9:35). »[3] Une personne peut facilement s’enliser dans une telle doctrine : « Sur huit endroits où cette expression est reprise, une réfère à Israël (Luc 1:54), deux à David (Luc 1:69; Actes 4:25), et les cinq autres à Jésus (Matt. 12:18; Actes 3:13, 26; 4:27, 30)…. Les rares fois où Jésus est appelé pais theou, on a manifestement affaire à l’ancienne tradition. »[4]
    Le terme n’était donc pas exclusivement attribué à Jésus, et là où il était utilisé, il provenait « manifestement » de « l’ancienne tradition ». De plus, si la traduction avait été honnête, elle aurait traduit le même terme de la même façon dans tous les cas; mais tel n’a pas été le cas. Par exemple, là où on a traduit pais par « serviteur » dans le cas de David (Actes 4:25 et Luc 1:69) et d’Israël (Luc 1:54), on l’a traduit par « fils » ou « enfant » dans le cas de Jésus (Actes 3:13; 3:26; 4:27; 4:30). Un tel traitement préférentiel est peut-être justifiable d’un point de vue canonique, mais totalement illogique.
    Traduire par « fils » (au sens littéral) le mot grec huios, que l’on retrouve dans le Nouveau Testament, est également incorrect. À la page 1210 du Theological Dictionary of the New Testament, de Kittel et Friedrich, le sens que l’on donne au mot huios varie entre le littéral (Jésus, fils de Marie), le quelque peu métaphorique ( les enfants de la maison - Matt. 17:25-26), le poliment métaphorique ( les élus de Dieu considérés comme des fils d’Abraham - Luc 19:9), le familièrement métaphorique ( les croyants comme fils de Dieu - Matt. 7:9 et Héb 12:5), le spirituellement métaphorique (comme dans Jean 19:26, où Jésus décrit à Marie son disciple préféré et l’appelle son « fils ») et l’aveuglément métaphorique : les « fils du royaume » (Matt. 8:12), « fils de paix » (Luc. 10:6), « enfants de lumière » (Luc. 16:8), « enfants de ce siècle » (Luc. 16:8) et « fils du tonnerre » (Marc 3:17)
    C’est comme si ce mot incompris, que l’on traduit par « fils », porte en lui, en lettres majuscules, le sens de MÉTAPHORE! Ou, comme Stanton l’affirme de façon éloquente : « La majorité des érudits s’accordent pour dire que le mot araméen ou hébreu derrière la traduction « fils » signifie en réalité « serviteur ». Alors tandis que l’Esprit descend sur Jésus, lors de son baptême, il entend une voie, venue d’en haut, s’adresser à lui en ces termes : « Voici mon serviteur … Mon élu… J'ai mis Mon esprit sur lui. » (Ésaïe 42:1) Et bien que Marc 1:11 et 9:7 affirment que Jésus a été envoyé par Dieu comme Son fils bien-aimé, ces versets mettent l’accent sur le rôle de Jésus en tant que serviteur de Dieu plutôt que comme fils de Dieu. »[6]
    Notes:
    [1] Kittel, Gerhard et Gerhard Friedrich. p. 763.
    [2] Kittel, Gerhard et Gerhard Friedrich. p. 763.
    [3] Kittel, Gerhard et Gerhard Friedrich. p. 765.
    [4] Kittel, Gerhard et Gerhard Friedrich. p. 767.
    [5] Carmichael, Joel. pp. 255-6.
    [6] Stanton, Graham N. p. 225.