que DIEU te protége cher meilleur prof.....que Dieu te guidera a la bonne voie, la voie de ce qui ont cru ,qui ont comis les bonnes oeuvres , qui se sont recommandes la veritee et la justice et qui se sont recommandes la patience.
En effet, le fonctionnement du monde ne peut pas dépendre de l'échelle où on se place. Par contre, nos "sens" se sont construits pour nous donner une image du monde qui se situe à notre échelle. Est-ce un voile ? C'est en tout cas une limitation de notre conscience à pouvoir nous restituer le monde tel qu'il est. A l'issue de chaque "prise en compte", nous n'en percevons qu'une image. Pour le commun des mortels, cette image permet de "survivre" 🤗.Seuls quelques illuminés 🤯cherchent à regarder derrière cette image et à comprendre le monde 😉 Merci pour le partage de vos connaissances 👌
Merci pour votre présentation c'est intéressant. Si vous me permettez, en 26:21 les grandeurs G1 G2 etc ne peuvent pas être n'importe quoi. Les valeurs G1 G2 ont au contraire un sens physique bien définis avec des unités de mesure bien définies, ce sont les résultats des mesures possibles, elles correspondent aux valeurs propres associés aux vecteurs propres d'une observable une matrice qui caractérise l'expérience ou le moyen d'observation. Et les valeurs G1 G2 etc sont les mesures de même nature physique avec les mêmes unités physiques. On ne peut pas avoir G1 en Kelvin et G2 en m/s par ex. D'ailleurs je ne suis pas sûr qu'on ait vraiment en phys une observable correspondant à une température, la température ne correspond à aucun état physique de nature vectoriel et quantique.
Bonjour. Je ne suis pas sûr de voir ce que vous essayez de dire. Bien sûr, les valeurs G1 et G2 sont des valeurs pouvant être attribuées à une même grandeur physique : la grandeur G. Lorsque vous mesurez une certaine grandeur physique, c'est la valeur de cette grandeur que vous pouvez obtenir, et non pas la valeur d'une autre grandeur physique (si l'instrument est un bon instrument de mesure !). Mais où voulez-vous en venir ? Par ailleurs, dans l'exemple que vous prenez, si G est la température, les valeurs G1 et G2 sont ce qu'elles sont : peu importe l'unité qu'on choisit pour les désigner - dès lors qu'il s'agit d'une unité de température, bien sûr (donc pas de m/s, en effet). (En l'occurence, il peut y avoir un continuum de valeurs, mais le principe est le même.) N'hésitez pas à reformuler votre remarque si je ne l'ai pas bien comprise.
@@EtienneParizot Merci pour vos éclaircissements. En fait, j'exprimais le fait que en Quantique on ne peut pas avoir la mesure de n'importe quelles grandeurs physiques comme par ex la température qui est une grandeur thermodynamique comme dit en 13:00, autrement dit, je vois pas à quoi pourrait correspondre un vecteur d'état E complexe associé à une température G? AMHA, pour que l'espace vectoriel complexe des états ait un sens physique, il est nécessaire que les phénomènes associés aient au moins une nature ondulatoire à la base comme c'est le cas des mesure de spin ou de polarisation. Et puis le trouble vient aussi du fait de dire 25:20 que l'état E = N1*E1+N2*E2 où N1 est le nombre de fois où le syst est dans l'état E1, ceci est valable classiquement avec la température justement mais pas en MQ, on est d'accord. N1 et N2 ne sont pas non plus des poids statistique puisque ce sont des nombres complexes avec une phase qui a un rôle dans les interférences, on a pas d'interférence avec des poids statistiques. Par ex, 37:00 je ne comprends pas ce qu'est un verre d'eau dans l'état: 2i *10°C + 3*90°C, ????? quelle est la réalité physique de ce verre d'eau? en fait je pense que la variable thermodynamique de température se prête mal à une illustration des vecteurs d'états, d'un autre côté parler de spin ou de polarisation n'est pas simple non plus.
@@fredericharmand Non, l'espace des états d'un système physique est TOUJOURS un espace de Hilbert (dans la modélisation de la Physique quantique, bien sûr). Il n'y a aucune restriction à apporter à cette structure fondamentale, et il n'y a pas de distinction entre des grandeurs physiques qui seraient "classiques" et des grandeurs physiques qui seraient "quantiques". Les coefficients N1 et N2 ne sont effectivement pas des poids statistiques : ce sont les coefficients d'une combinaison linéaire parfaitement bien définie, qui désigne le vecteur d'état représentant l'état E en le reliant aux vecteurs d'état représentant les états E1 et E2, respectivement. La phase de ces nombres a bel et bien une signification, et il est parfaitement envisageable d'obtenir des interférences. Vous dites ne pas comprendre ce qu'est un verre d'eau dans l'état 2i *10°C + 3*90°C, mais c'est exactement ce qu'en dit la Physique quantique. C'est un état bien défini, qui se trouve être une combinaison particulière de deux états bien définis, l'état 10°C et l'état 90°C. Il n'y a rien là qui doive vous gêner particulièrement, dès lors que vous accepter cette propriété fondamentale selon laquelle, si deux états E1 et E2 sont possibles, alors l'état alpha E1 + beta E2 est également possible, et donne lieu à un comportement du système tout à fait bien défini dans n'importe quelle situation physique, selon les lois explicites de la Physique quantique.
Merci de mettre en ligne, vos cours. Passionnant.
que DIEU te protége cher meilleur prof.....que Dieu te guidera a la bonne voie, la voie de ce qui ont cru ,qui ont comis les bonnes oeuvres , qui se sont recommandes la veritee et la justice et qui se sont recommandes la patience.
Merci pour cette introduction et initiation à la mécanique quantique, qui nous permet d'y voir un peu plus clair !
En effet, le fonctionnement du monde ne peut pas dépendre de l'échelle où on se place. Par contre, nos "sens" se sont construits pour nous donner une image du monde qui se situe à notre échelle. Est-ce un voile ? C'est en tout cas une limitation de notre conscience à pouvoir nous restituer le monde tel qu'il est. A l'issue de chaque "prise en compte", nous n'en percevons qu'une image.
Pour le commun des mortels, cette image permet de "survivre" 🤗.Seuls quelques illuminés 🤯cherchent à regarder derrière cette image et à comprendre le monde 😉
Merci pour le partage de vos connaissances 👌
Merci pour votre présentation c'est intéressant.
Si vous me permettez, en 26:21 les grandeurs G1 G2 etc ne peuvent pas être n'importe quoi. Les valeurs G1 G2 ont au contraire un sens physique bien définis avec des unités de mesure bien définies, ce sont les résultats des mesures possibles, elles correspondent aux valeurs propres associés aux vecteurs propres d'une observable une matrice qui caractérise l'expérience ou le moyen d'observation.
Et les valeurs G1 G2 etc sont les mesures de même nature physique avec les mêmes unités physiques. On ne peut pas avoir G1 en Kelvin et G2 en m/s par ex. D'ailleurs je ne suis pas sûr qu'on ait vraiment en phys une observable correspondant à une température, la température ne correspond à aucun état physique de nature vectoriel et quantique.
Bonjour. Je ne suis pas sûr de voir ce que vous essayez de dire. Bien sûr, les valeurs G1 et G2 sont des valeurs pouvant être attribuées à une même grandeur physique : la grandeur G. Lorsque vous mesurez une certaine grandeur physique, c'est la valeur de cette grandeur que vous pouvez obtenir, et non pas la valeur d'une autre grandeur physique (si l'instrument est un bon instrument de mesure !). Mais où voulez-vous en venir ? Par ailleurs, dans l'exemple que vous prenez, si G est la température, les valeurs G1 et G2 sont ce qu'elles sont : peu importe l'unité qu'on choisit pour les désigner - dès lors qu'il s'agit d'une unité de température, bien sûr (donc pas de m/s, en effet). (En l'occurence, il peut y avoir un continuum de valeurs, mais le principe est le même.) N'hésitez pas à reformuler votre remarque si je ne l'ai pas bien comprise.
@@EtienneParizot Merci pour vos éclaircissements. En fait, j'exprimais le fait que en Quantique on ne peut pas avoir la mesure de n'importe quelles grandeurs physiques comme par ex la température qui est une grandeur thermodynamique comme dit en 13:00, autrement dit, je vois pas à quoi pourrait correspondre un vecteur d'état E complexe associé à une température G? AMHA, pour que l'espace vectoriel complexe des états ait un sens physique, il est nécessaire que les phénomènes associés aient au moins une nature ondulatoire à la base comme c'est le cas des mesure de spin ou de polarisation.
Et puis le trouble vient aussi du fait de dire 25:20 que l'état E = N1*E1+N2*E2 où N1 est le nombre de fois où le syst est dans l'état E1, ceci est valable classiquement avec la température justement mais pas en MQ, on est d'accord. N1 et N2 ne sont pas non plus des poids statistique puisque ce sont des nombres complexes avec une phase qui a un rôle dans les interférences, on a pas d'interférence avec des poids statistiques.
Par ex, 37:00 je ne comprends pas ce qu'est un verre d'eau dans l'état: 2i *10°C + 3*90°C, ????? quelle est la réalité physique de ce verre d'eau? en fait je pense que la variable thermodynamique de température se prête mal à une illustration des vecteurs d'états, d'un autre côté parler de spin ou de polarisation n'est pas simple non plus.
@@fredericharmand Non, l'espace des états d'un système physique est TOUJOURS un espace de Hilbert (dans la modélisation de la Physique quantique, bien sûr). Il n'y a aucune restriction à apporter à cette structure fondamentale, et il n'y a pas de distinction entre des grandeurs physiques qui seraient "classiques" et des grandeurs physiques qui seraient "quantiques". Les coefficients N1 et N2 ne sont effectivement pas des poids statistiques : ce sont les coefficients d'une combinaison linéaire parfaitement bien définie, qui désigne le vecteur d'état représentant l'état E en le reliant aux vecteurs d'état représentant les états E1 et E2, respectivement. La phase de ces nombres a bel et bien une signification, et il est parfaitement envisageable d'obtenir des interférences. Vous dites ne pas comprendre ce qu'est un verre d'eau dans l'état 2i *10°C + 3*90°C, mais c'est exactement ce qu'en dit la Physique quantique. C'est un état bien défini, qui se trouve être une combinaison particulière de deux états bien définis, l'état 10°C et l'état 90°C. Il n'y a rien là qui doive vous gêner particulièrement, dès lors que vous accepter cette propriété fondamentale selon laquelle, si deux états E1 et E2 sont possibles, alors l'état alpha E1 + beta E2 est également possible, et donne lieu à un comportement du système tout à fait bien défini dans n'importe quelle situation physique, selon les lois explicites de la Physique quantique.
Je viens de m'apercevoir que je suis dans l'état 1/2 compris+1/2π pas compris