J'ai pris un petit thermique en entrée de terrain une fois (sur l'attero de Novis près de Millau pour ceux qui connaissent). J'ai repris de l'altitude alors que j'avais entamé ma finale. Du coup, je me retrouve trop long et, je fais le choix d'un demi tour rapide plutôt que de finir dans les arbres en fond de terrain. Je me retrouve vent de cul... J'ai fini sur le mousse bag car je n'ai jamais pensé courir au vu de la vitesse à l'attero. Finalement, j'ai fini dans un roncier qui m'a amorti... J' ai eu de la chance, des égratignures sur les bras qui étaient les seules parties de mon corps qui dépassaient sous la sellette (tirage de freins oblige). Merci pour vos vidéos.
En vallées de montagne en général le matin la brise descend la vallée et remonte celle-ci à la mi-journée ; aller repérer l'atterro avant et y mettre une "flamme" provisoire peut être salutaire ...Avoir le vent dans le dos ou de face dans la phase d'approche ça se sent car la vitesse n'est évidemment pas la même : ça donne très bien le sens du vent...Des fumées dans les environs , des arbres qui penchent d'un côté , des drapeaux etc ...
Note: ma formation biplaceur pro a l'étranger comprenait un entraînement posé vent de cul en biplace, en tant que professionnel il faut être préparé a tout.
Ne pas sous estimer les conséquences en atterro vent arrière car les possibilités de blessures peuvent être importantes. Si on le sent pas, mieux vaut atterrir sur les fesses en glissant. Les sellettes accuseront bien le coup !
Merci encore pour ce debrief.
J'ai pris un petit thermique en entrée de terrain une fois (sur l'attero de Novis près de Millau pour ceux qui connaissent). J'ai repris de l'altitude alors que j'avais entamé ma finale. Du coup, je me retrouve trop long et, je fais le choix d'un demi tour rapide plutôt que de finir dans les arbres en fond de terrain.
Je me retrouve vent de cul... J'ai fini sur le mousse bag car je n'ai jamais pensé courir au vu de la vitesse à l'attero.
Finalement, j'ai fini dans un roncier qui m'a amorti... J' ai eu de la chance, des égratignures sur les bras qui étaient les seules parties de mon corps qui dépassaient sous la sellette (tirage de freins oblige).
Merci pour vos vidéos.
A +
Merci A+
En vallées de montagne en général le matin la brise descend la vallée et remonte celle-ci à la mi-journée ; aller repérer l'atterro avant et y mettre une "flamme" provisoire peut être salutaire ...Avoir le vent dans le dos ou de face dans la phase d'approche ça se sent car la vitesse n'est évidemment pas la même : ça donne très bien le sens du vent...Des fumées dans les environs , des arbres qui penchent d'un côté , des drapeaux etc ...
Excellente thématique 👍👍👍
Note: ma formation biplaceur pro a l'étranger comprenait un entraînement posé vent de cul en biplace, en tant que professionnel il faut être préparé a tout.
Ne pas sous estimer les conséquences en atterro vent arrière car les possibilités de blessures peuvent être importantes.
Si on le sent pas, mieux vaut atterrir sur les fesses en glissant.
Les sellettes accuseront bien le coup !
C'est exactement ce que l'on explique dans cet épisode 🙂
Salut à tous !
Pas vue la vidéo ! Dommage j'ai une vidéo d'un super posé vent arrière avec le demi-tour...
Si tu peux nous l'envoyer ou nous mettre le lien, on prend ;-)
Y a même certain pilote qui n on jamais posé autrement que sur les fesses !