Très très belle chanson avec de sublimes voix du sud-ouest . Un respect a ce migrateur qui a fait rêver, vibrer tant de chasseurs du sud-ouest . MERCI..
Elles partent à tire d’aile à tire d'aile, Vers des hivers bien plus doux, survolant en ribambelle, Les automnes de chez nous. Aux premières feuilles mortes, Rien ne peut les arrêter. Un grand élan les emporte, Au-delà des Pyrénées. Nous ne pouvons que les suivre des yeux, Les palombes, les palombes. Nous ne pouvons que les suivre des yeux, Quand elles fuient dans le ciel bleu. C'est en joyeuses cohortes Que nous les voyons passer. Où fuient-elles de la sorte ? Elles semblent si pressées De franchir cette montagne, Vers un éternel été. Tous nos vœux les accompagnent, Dans leur soif de liberté. Refrain Perchés dans nos citadelles, Dans les arbres d'un bosquet On propose aux moins rebelles, Près de nous de se poser. De façon la moins cruelle, Se jouera leurs destinées Mais parfois l'une d'entre elles Viendra tomber à nos pieds. Refrain
Très très belle chanson avec de sublimes voix du sud-ouest . Un respect a ce migrateur qui a fait rêver, vibrer tant de chasseurs du sud-ouest . MERCI..
Merci Michel pour ces belles mélodie Francis des hautes Pyrénées
Les émotions me submergent
Une douce mélodie merci
Très jolie chanson
Magnifique chanson.
Superbe chanson
Vraiment beau
Harte beau je confirme
Un choeuf d'œuvre c palombe
Notre chanson de moins 18 ans handball
😍😍😍
Puta sacré musik ptn j ecoute a la palombières avec michel je te dit qu'on se pete les corde vocal avec cette douce melodi pour attiré ourtsoi
Qui pourrai mettre les paroles svp
Qui serait assez gentil ou gentille pour mettre les parole svp
Elles partent à tire d’aile à tire d'aile,
Vers des hivers bien plus doux,
survolant en ribambelle,
Les automnes de chez nous.
Aux premières feuilles mortes,
Rien ne peut les arrêter.
Un grand élan les emporte,
Au-delà des Pyrénées.
Nous ne pouvons que les suivre des yeux,
Les palombes, les palombes.
Nous ne pouvons que les suivre des yeux,
Quand elles fuient dans le ciel bleu.
C'est en joyeuses cohortes
Que nous les voyons passer.
Où fuient-elles de la sorte ?
Elles semblent si pressées
De franchir cette montagne,
Vers un éternel été.
Tous nos vœux les accompagnent,
Dans leur soif de liberté.
Refrain
Perchés dans nos citadelles,
Dans les arbres d'un bosquet
On propose aux moins rebelles,
Près de nous de se poser.
De façon la moins cruelle,
Se jouera leurs destinées
Mais parfois l'une d'entre elles
Viendra tomber à nos pieds.
Refrain