Agricultrice et maman : l’art de l’organisation
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- Опубліковано 10 лют 2025
- Spécial Fête des mères !
Les agricultrices représentent aujourd'hui le quart des chefs d'exploitation en France, et 40 % des nouvelles installations. Beaucoup d’entre elles sont déjà mamans, ou le deviendront. Expériences, motifs de satisfaction et difficultés : Clémence Borro, une agri-maman témoigne.
Maman depuis neuf ans, Clémence Borro, 34 ans, est agricultrice depuis deux ans. Avant d'être exploitante, en Gaec avec son compagnon Gildas Roux à Lusanger (44), elle a fait « un peu de tout ». Formée jusqu'au bac dans le milieu équin, sa passion de toujours, elle se réoriente vers le commerce, pour plus de sécurité. Elle côtoie tour à tour le transport de fonds, la grande distribution, la collecte de céréales, le contrôle laitier, l’insémination animale…
Retour à la terre
Peu après l'arrivée de Valentine, premier enfant du jeune couple, Gildas s'installe comme agriculteur, en Gaec avec un tiers. Clémence, salariée, doit souvent partir tôt le matin, ou s'absenter pour des formations. Plus souple qu'elle sur les horaires, Gildas gère la conduite en crèche ou à l'école de la petite. En revanche, le couple se voit peu.
De son côté, Clémence chemine dans son parcours professionnel. Entre des postes intéressants et d'autres purement alimentaires, elle se découvre elle-même. « Un jour, on m'a dit comme un reproche, « tu penses trop comme une éleveuse ». C'est vrai. Faire naître et prendre soin des animaux, je crois que c'est mon truc ! ». L'idée d'une installation fait son chemin, d'autant plus que Gildas n'a pas poursuivi l'expérience du Gaec et est redevenu salarié. Le projet sera donc une installation en couple.
Une maison collée à la ferme
La ferme de leurs rêves se présente à eux alors que Clémence vient tout juste d'accoucher de deux autres petites filles, Lyse et Amélie, en avril 2017. Dès lors, tout s’enchaîne, déménagement, construction du projet d'installation, stage de parrainage, avec trois enfants, dont deux bébés. « Nos cédants ont été très sympas, ils ont vite laissé la maison et nous avons eu un bon coup de main de nos parents… », constate Clémence. Point déterminant pour le couple : une place assurée dans la crèche voisine, à 7 km de la maison : « car les jumeaux sont toujours prioritaires ! ».
Le baby phone dans la salle de traite
Au quotidien, l'organisation est désormais à peu près rodée...
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❤❤🎉
Bon courage
Bien dis le mot de la fin
imoi taravaye algiere
Coucou
Собаки судя по окрасу той же породы ,что и коровы