Eric Rohmer - Conte d'hiver (1992) Trailer
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- Опубліковано 29 сер 2024
- Copyright: Les films du Losange: www.filmsdulosa... - Bande-annonce du second volet de la série des Contes des quatre saisons. Avec Charlotte Véry, Frédéric Van Den Driessche.
![Fabrice Luchini habla de Éric Rohmer [Subs Español]](http://i.ytimg.com/vi/TuiOqoYCxe0/mqdefault.jpg)
Back in 1982, one Sunday evening I caught an intriguing-looking movie on tv. It was on BBC2 (back in the day when British terrestrial telly quite regularly showed arthouse films). I was 11. The picture was _Pauline à la plage._ I was hooked, there and then. 30 years later, Rohmer is still my all-time favourite director. I calculated the other day that I have seen all of his films at least 50 times for each one. Some _(Conte d'été,_ _Le Beau mariage,_ _La femme de l'aviateur)_ I must’ve watched about 100 times. My all-time favourite, _Le rayon vert,_ probably about 150 times. All told, I calculated I have spent about 5,000 hours of my life immersed in Rohmer’s world, and not a minute of those hours was wasted; even on the 33rd viewing of whichever film it might be, for with Rohmer, he is inexhaustible! What you watched at 21, you watch again at 35, or 50, or 70, but because you are changed, more layers will be waiting to be uncovered that weren’t apparent on previous viewings. Meaning is constantly waiting to be uncovered in Rohmer. It’s never exhausted. Anyway, for those who are still interested, here is my personal ranking of Rohmer’s oeuvre. The choice here is mainly based on sheer enjoyment/personal meaning and not necessarily on any given film’s technical achievement. Those who tell you, like Harry Moseby in _Night Moves,_ that watching a Rohmer movie is like ‘watching paint dry’ are lying. I’d rather have a full bottle in front of me than a full-frontal lobotomy, and Rohmer’s vintage is very productive indeed.
1. _Le rayon vert_ (1986)
2. _Conte d'été_ (1996)
3. _La femme de l'aviateur_ (1981)
4. _Le beau mariage_ (1982)
5. _Pauline à la plage_ (1982)
6. _L'amour l'après-midi_ (1972)
7. _Conte d'automne_ (1996)
8. _Les nuits de la pleine lune_ (1984)
9. _Conte d'hiver_ (1992)
10. _Le genou de Claire_ (1970)
11. _La collectionneuse_ (1967)
12. _L'ami de mon amie_ (1987)
13. _Ma nuit chez Maud_ (1969)
14. _Le signe du lion_ (1962)
15. _Conte de printemps_ (1990)
16. _Quatre aventures de Reinette et Mirabelle_ (1987)
17. _L'arbre, le maire et la médiathèque_ (1993)
18. _Les rendez-vous de Paris_ (1995)
19. _La carrière de Suzanne_ (1963)
20. _La boulangère de Monceau_ (1963)
21. _Triple agent_ (2004)
22. _Die Marquise von O_ (1976)
23. _Perceval le Gallois_ (1978)
24. _L'Anglaise et le duc_ (2001)
25. _Les amours d'Astrée et de Céladon_ (2007)
celui ci c'est mon film preferé, c'est tellement magique. Il parle de la foi, de la force des sentiments...
Justement là il est 3h38 je suis en train de m'endormir j'ai donc arrêté le film juste avant la scène au théâtre, pour l'instant je le trouve beaucoup moins léger et poétique que d'autres, je suis moins sous le charme. L' environnement du film est plus tristoune aussi.
this is my favourite film ever. It is sooo magical
belenluk it's a good movie but I hate the attitude of the girl with the two guy. I pity them.
How to live now, knowing that so many women will never meet their Charles. :(
Marc de Vibray...tu es d'une vulgarité sans nom, Rohmer ce génie...
Attention je relativise quand même. Sachez qu'il y a des films bien plus vulgaires que moi encore et dont je préfère encore les films de Rohmer. Je lui reconnais quand même une certaine poésie et un certain charme dans l'atmosphère de ses films mais ça s'arrête là.
Je débarque dans la conversation six ans après pour vous dire tout mon soutient… Rohmer est l’exemple paroxystique du cinéaste pseudo-intellectuel et prétentieux. Rohmer était avant tout un littéraire et aurait mieux fait de le rester : d’où l’aspect poétique de ses fis que vous évoquiez dans votre commentaire. Pour le reste, des histoires chiantes comme la pluie, des jeux d’acteur pitoyables, et surtout, surtout, aucune esthétique. Le cinéma est avant tout un art visuel et Rohmer n’a rien d’un plasticien.
Il n’est ni plus ni moins un réalisateur surcoté et adulé par une petite caste élitiste, ou par des randoms souhaitant se donner une contenance en prétendant l’aimer (car ils ont lu dans Télérama que c’était bien).
Can anyone tell me the name of this background music ❤️
au secours !
Tu l'as dit!
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C'est une parodie ou ??
Aujourd'hui, la fille demanderait Facebook ou Wassup à la fin des vacances
Le film français chiantissime dans toute sa splendeur comme le faisait si bien (ou mal) Eric Rohmer avec son lot de bourgeoises pimbêches coincées et insupportables au possible interprétées par des comédiennes sans talent. Pour Rohmer la masturbation n''était non pas manuelle mais cérébrale avec des triangles voire des carrés et pentagones amoureux (mais platoniques) encore plus exaspérants que dans des soaps operas américains. c'est dommage, de bonnes parties de jambes en l'air les aurait déridés et auraient également diverti le spectateur.
Je trouve Charlotte Very bonne actrice et très touchante, et ce n'est pas une bourgeoise, mais une petite coiffeuse qui habite avec sa mère une maison et une banlieue modestes, fait des fautes de français et se dit elle-même ignare. Par ailleurs, il y a un peu de "jambes en l'air" et même de la nudité au début, et un film peut être intéressant, à mon humble avis, sans qu'il y ait que ça… Enfin, Rohmer, on aime ou on n'aime pas, et quand on n'aime pas, c'est bien connu ; c'est chiant, bourgeois, plein de pimbêches qui jouent mal, ça cause et ça réfléchit trop, etc. Tant pis pour vous. Je suis de ceux (de celles) qui pensent le contraire et qui adorent.
Ein schöner Film, ein philosophischer Film, eine Liebesgeschichte, ein spiritueller Film, der zeigt, dass Liebe eher selten passiert - seltener in eher repressiven Gesellschaften.
Leider thematisiert Eric Rohmer die gesellschaftlichen Bedingungen zu wenig, aber er macht sie manchmal indirekt sichtbar.
In der Figur der Félicie drückt sich der "genitale Charakter " (Wilhelm Reich) aus, geprägt durch vorurteilsfreies Denken und Handeln, selbstbewusster Selbststeuerung, intensiver Kontaktfähigkeit, Empathie, Verbundenheit mit ihren primären Gefühlen und Bedürfnissen, sexueller Freiheit, Konfliktfähigkeit, was Irrtümer mit einschließt, aber bei Erkennen zur Korrektur fähig, etc.
Vielen bereitet ein solcher Charakter Angst, weil sie selbst Opfer repressiver Erziehung sind. Für andere ist diese Figur gerade deshalb besonders attraktiv, weil sie Natürlichkeit ausstrahlt.
Je pensais ça des films de Rohmer avant, j'y suis revenu sans trop savoir pourquoi et maintenant j'adore un tas de ses films.