De Malala, jeune voix contre la haine, Aux rêves étouffés des peuples en chaîne. Des dictateurs cachés sous des mots d’amour, Des espoirs blessés qui sombrent chaque jour. De la Chine aux terres où règne le doute, Sur des camps silencieux, la honte se route. Des enfants meurent, leurs cris effacés, Dans l’ombre des géants, la lumière fauchée. Peut-on espérer en un monde meilleur, Quand l’histoire écrase sous le poids de la peur ? Et de la douleur Que penses tu des peuples affamé Jtavoue c'est des verites Les murs s’élèvent, frontières en béton noir, Les voix s’étouffent, les rêves virent cauchemar. Sur l’ombre d’un passé que l’on voudrait taire, Défilent les souffrances, jamais éphémères. Dans les rues, des fantômes, des âmes en errance, Chacun porte un fardeau, une triste absence. En Syrie, l’horreur, la poussière, les pleurs, De Paris à Kaboul, ils semaient la peur. Le monde a la mémoire courte et sélective, D’Hiroshima à Gaza, l’histoire punitive. Ils prônent la paix, mais cultivent la guerre, Des tombes s’alignent, des peuples en misère. On crie "liberté", on rêve d’un monde uni, Mais les cœurs se déchirent, le monde s’enfuit. Famine et virus, l’ombre de la peste, La Terre saigne encore sous les coups qu’on lui laisse. pre ref On se souvient de Gandhi, porteur de paix, D’une Inde libérée de chaînes et secrets. Mais l’ombre persiste, les guerres s’acharnent, Des héritages brisés sous nos armes. Mandela en prison, son rêve d’unité, Pour un monde sans chaînes, sans haine à prôner. Luther, son cri de justice, Face aux balles, aux regards remplis de malice. Et Rosa Parks, debout dans le bus, sereine, dans un monde de haine. Ce sont levés contre l’ordre établi, contre les murs que d’autres bâtissent. Des exemples de force, mais l’histoire les broie, Leurs visages ternis par les lois. Les statues s’effritent, les mémoires se fondent, Les noms résonnent dans le bruit du monde. Refrain (x2) Quelques regrets, des ombres qui dansent, Dans le miroir brisé d’une autre chance. On rêvait de paix, de liberté pure, Mais nos cicatrices ferment la blessure. Les enfants grandissent dans la peur du monde, Sous le poids d’un passé aux chaînes profondes. Quelques regrets, un souffle amer, On espère un jour rompre les barrières. Couplet 2 : On se souvient de Rwanda, de ses silences, Des génocides cachés, des morts sans défense. Les puissants détournent leur regard complice, sous le poids des sacrifices. À chaque acte, une plaie, un nouvel abîme, Un gouffre où se perdent les âmes en prime. Les épidémies frappent sans prévenir, qui pourra s’en sortir. Tchernobyl, Fuku, poisons dans l’air, Le progrès tue, l’avenir amer. Les enfants grandissent sans croire au futur, ils craignent tout le mur. Ils craignent la haine, juste ils murmurent Dans un monde divisé par des grands murs. Personne pense a leur futur Un pont de misère traverse nos cœurs, Peut-on espérer, guérir de nos peurs ? De Churchill à Roosevelt, dans l’ombre de la guerre, Ils ont forgé des alliances, défié l’enfer. Mais à quel prix, cette paix qu'ils ont voulue ? Des peuples divisés, des rêves perdus. Einstein prônait la science, la liberté, Mais sa bombe atomique a tout emporté. Leurs choix, leurs visions, ont façonné le monde, Quelques déchire, inonde. pre ref On se souvient de Gandhi, porteur de paix, D’une Inde libérée de chaînes et secrets. Mais l’ombre persiste, les guerres s’acharnent, Des héritages brisés sous nos armes. Mandela en prison, son rêve d’unité, Pour un monde sans chaînes, sans haine à prôner. Luther, son cri de justice, Face aux balles, aux regards remplis de malice. Et Rosa Parks, debout dans le bus, sereine, dans un monde de haine. Ce sont levés contre l’ordre établi, contre les murs que d’autres bâtissent. Des exemples de force, mais l’histoire les broie, Leurs visages ternis par les lois. Les statues s’effritent, les mémoires se fondent, Les noms résonnent dans le bruit du monde. Refrain Quelques regrets, des ombres qui dansent, Dans le miroir brisé d’une autre chance. On rêvait de paix, de liberté pure, Mais nos cicatrices ferment la blessure. Les enfants grandissent dans la peur du monde, Sous le poids d’un passé aux chaînes profondes. Quelques regrets, un souffle amer, On espère un jour rompre les barrières. se,
@@grisBebop merci déjà , et honnêtement peut être mais les phrases qui veulent rien dire et tout sont révélatrices Juste ça m déçoit qu’ pour impressionner trois mecs dans les commentaires il fasse ça J commence à m inquiéter pour la musique j t avoue
Rien a dire a part que l’instru a fait sortir un lion de sa cage 💿✨
Magique tu es trop fort
Princess, son seul point faible ? Trop fort ! 🤯
que dire de plus.... merci
Incroyable
juste le talent, petite question : quel daw tu utilises pour faire tes prods stp ? simple curiosité :) merci pour toutes tes musiques
Logic
De Malala, jeune voix contre la haine,
Aux rêves étouffés des peuples en chaîne.
Des dictateurs cachés sous des mots d’amour,
Des espoirs blessés qui sombrent chaque jour.
De la Chine aux terres où règne le doute,
Sur des camps silencieux, la honte se route.
Des enfants meurent, leurs cris effacés,
Dans l’ombre des géants, la lumière fauchée.
Peut-on espérer en un monde meilleur,
Quand l’histoire écrase sous le poids de la peur ?
Et de la douleur
Que penses tu des peuples affamé
Jtavoue c'est des verites
Les murs s’élèvent, frontières en béton noir,
Les voix s’étouffent, les rêves virent cauchemar.
Sur l’ombre d’un passé que l’on voudrait taire,
Défilent les souffrances, jamais éphémères.
Dans les rues, des fantômes, des âmes en errance,
Chacun porte un fardeau, une triste absence.
En Syrie, l’horreur, la poussière, les pleurs,
De Paris à Kaboul, ils semaient la peur.
Le monde a la mémoire courte et sélective,
D’Hiroshima à Gaza, l’histoire punitive.
Ils prônent la paix, mais cultivent la guerre,
Des tombes s’alignent, des peuples en misère.
On crie "liberté", on rêve d’un monde uni,
Mais les cœurs se déchirent, le monde s’enfuit.
Famine et virus, l’ombre de la peste,
La Terre saigne encore sous les coups qu’on lui laisse.
pre ref
On se souvient de Gandhi, porteur de paix,
D’une Inde libérée de chaînes et secrets.
Mais l’ombre persiste, les guerres s’acharnent,
Des héritages brisés sous nos armes.
Mandela en prison, son rêve d’unité,
Pour un monde sans chaînes, sans haine à prôner.
Luther, son cri de justice,
Face aux balles, aux regards remplis de malice.
Et Rosa Parks, debout dans le bus, sereine,
dans un monde de haine.
Ce sont levés contre l’ordre établi,
contre les murs que d’autres bâtissent.
Des exemples de force, mais l’histoire les broie,
Leurs visages ternis par les lois.
Les statues s’effritent, les mémoires se fondent,
Les noms résonnent dans le bruit du monde.
Refrain (x2)
Quelques regrets, des ombres qui dansent,
Dans le miroir brisé d’une autre chance.
On rêvait de paix, de liberté pure,
Mais nos cicatrices ferment la blessure.
Les enfants grandissent dans la peur du monde,
Sous le poids d’un passé aux chaînes profondes.
Quelques regrets, un souffle amer,
On espère un jour rompre les barrières.
Couplet 2 :
On se souvient de Rwanda, de ses silences,
Des génocides cachés, des morts sans défense.
Les puissants détournent leur regard complice,
sous le poids des sacrifices.
À chaque acte, une plaie, un nouvel abîme,
Un gouffre où se perdent les âmes en prime.
Les épidémies frappent sans prévenir,
qui pourra s’en sortir.
Tchernobyl, Fuku, poisons dans l’air,
Le progrès tue, l’avenir amer.
Les enfants grandissent sans croire au futur,
ils craignent tout le mur.
Ils craignent la haine, juste ils murmurent
Dans un monde divisé par des grands murs.
Personne pense a leur futur
Un pont de misère traverse nos cœurs,
Peut-on espérer, guérir de nos peurs ?
De Churchill à Roosevelt, dans l’ombre de la guerre,
Ils ont forgé des alliances, défié l’enfer.
Mais à quel prix, cette paix qu'ils ont voulue ?
Des peuples divisés, des rêves perdus.
Einstein prônait la science, la liberté,
Mais sa bombe atomique a tout emporté.
Leurs choix, leurs visions, ont façonné le monde,
Quelques déchire, inonde.
pre ref
On se souvient de Gandhi, porteur de paix,
D’une Inde libérée de chaînes et secrets.
Mais l’ombre persiste, les guerres s’acharnent,
Des héritages brisés sous nos armes.
Mandela en prison, son rêve d’unité,
Pour un monde sans chaînes, sans haine à prôner.
Luther, son cri de justice,
Face aux balles, aux regards remplis de malice.
Et Rosa Parks, debout dans le bus, sereine,
dans un monde de haine.
Ce sont levés contre l’ordre établi,
contre les murs que d’autres bâtissent.
Des exemples de force, mais l’histoire les broie,
Leurs visages ternis par les lois.
Les statues s’effritent, les mémoires se fondent,
Les noms résonnent dans le bruit du monde.
Refrain
Quelques regrets, des ombres qui dansent,
Dans le miroir brisé d’une autre chance.
On rêvait de paix, de liberté pure,
Mais nos cicatrices ferment la blessure.
Les enfants grandissent dans la peur du monde,
Sous le poids d’un passé aux chaînes profondes.
Quelques regrets, un souffle amer,
On espère un jour rompre les barrières.
se,
Elle a bien travaillé l ia
@@antoinefinn j'pense il a écrit un peu mais ça se voit c'est chat gpt quasi partout
@@grisBebop merci déjà , et honnêtement peut être mais les phrases qui veulent rien dire et tout sont révélatrices
Juste ça m déçoit qu’ pour impressionner trois mecs dans les commentaires il fasse ça
J commence à m inquiéter pour la musique j t avoue
@@antoinefinn sah j'suis d'accord t'façon c'est ça qui va séparer les vrais artistes de ceux qui servent à rien
@ t as tout dis j ai rien à rajouté , t es avisé
Force à toi frérot
Fort ❤️🔥
Incroyable comme dab continue , pour ma part meilleur chaîne niveau instrumental , jcomprend pas pourquoi il y a que sa de vue
Très très fort , très touchante
La trompette ,il me semble , parfaite
Nan juste merci de maintenir cette qualité de production
monstrueux jtre branche insta des que le sera fini