Livres audio GRATUITS (nouveautés régulièrement) : amzn.to/3HOJ3UG Livres audio S.F GRATUITS : amzn.to/42QRecQ Le meilleur de la vulgarisation : amzn.to/3Soo4wA Le meilleur d'Etienne Klein : amzn.to/4bv9s7n Le meilleur d'Aurélien Barrau : amzn.to/4bt1DPK Le meilleur de Hubert Reeves : amzn.to/4br7Ewj Le meilleur de Stephen Hawking : amzn.to/3OzxJ2q
Une étude suggère que le cosmos fusionne avec des « bébés univers » parallèles Un article récent aborde une nouvelle théorie sur l’expansion de l’univers. Elle postule qu’elle pourrait non pas être le résultat de l’énergie noire, mais de la fusion constante de notre cosmos avec des « bébés » univers parallèles. Explications. Le problème de l’énergie noire Selon le modèle cosmologique standard, l’expansion accélérée de l’univers est attribuée à l’existence de l’énergie noire. Cette substance mystérieuse aurait une pression négative, ce qui provoquerait une force répulsive, s’opposant à la gravité et contribuant ainsi à l’expansion continue du cosmos. L’énergie noire n’a cependant jamais été directement observée ni mesurée en laboratoire. Son existence est postulée pour expliquer les observations cosmologiques, mais son invisibilité pose forcément un défi conceptuel. Au cours de ces dernières années, certains astrophysiciens et cosmologistes ont ainsi remis en question l’idée même de l’énergie noire en explorant des alternatives. Des théories modifiées de la gravité, telles que la modification de la relativité générale, ont notamment été proposées comme substituts potentiels, bien que tout cela reste théorique Une nouvelle théorie Une étude récente propose une autre approche théorique en suggérant que l’expansion accélérée pourrait être expliquée par la fusion constante avec d’autres univers parallèles, que les scientifiques qualifient de « bébés » univers. Cette théorie se base sur des calculs mathématiques. Dans leur article, les chercheurs affirment que la fusion avec d’autres univers augmenterait le volume de notre univers. Cette augmentation de volume pourrait être perçue comme une expansion du cosmos, ce qui correspondrait aux observations du fond diffus cosmologique, la rémanence du Big Bang. Par ailleurs, les calculs basés sur cette théorie semblent correspondre plus étroitement aux observations de l’univers que le modèle cosmologique standard. Cela suggère que la fusion avec d’autres univers pourrait fournir une explication plus plausible de l’expansion actuelle. Une possible explication à l’inflation cosmique La théorie aborde également l’inflation cosmique, un concept clé en cosmologie qui postule une expansion extrêmement rapide de l’univers dans les premiers instants après le Big Bang. Pendant la période d’inflation, le cosmos aurait en effet connu un taux d’expansion environ 10^26 à 10^30 fois plus rapide que l’expansion actuelle. Cette phase d’inflation cosmologique aurait également duré brièvement, probablement de 10^-36 à 10^-32 secondes après le Big Bang. Cette phase d’expansion intense, qui se serait finalement diluée pour donner lieu à l’expansion plus lente que nous observons aujourd’hui, résout certains problèmes et explique certaines observations, comme l’homogénéité et l’isotropie de l’univers observable. Dans le cadre de la nouvelle théorie, les chercheurs suggèrent une alternative à l’inflation en reliant l’inflation cosmologique à l’absorption de notre jeune univers par un univers plus grand. Selon cette idée, l’expansion ultra-rapide dans les premières millisecondes pourrait donc résulter de cette absorption plutôt que de l’action d’un champ d’inflation. Bien que la théorie résolve certains problèmes conceptuels, les chercheurs soulignent que seule la validation expérimentale à travers des observations pourra confirmer ou infirmer leur hypothèse. Les instruments comme le télescope Euclide et le télescope spatial James Webb sont mentionnés comme des moyens potentiels de tester ces idées. Une civilisation de type I est capable d'accéder à l'intégralité de l'énergie disponible sur sa planète et de la stocker en vue d'une consommation. Une civilisation de type II peut consommer directement l'énergie d'une étoile. Une civilisation de type II va un peu plus loin. Elle est capable de construire l'une de ces fameuses « sphères de Dyson » qui lui permettrait de consommer la totalité de l'énergie produite par son étoile. Une civilisation de type III, enfin, serait capable de faire de même avec toutes les étoiles de sa galaxie. Ces civilisations de types IV , V voire VI seraient capables de manipuler les structures cosmiques (galaxies, amas galactiques, superamas) et même d'échapper au Big Crunch par des trous dans l'espace. Après avoir acquis la maitrise de l'énergie disponible dans l'univers, une civilisation de type cinq correspond à une civilisation qui a découvert le moyen de voyager vers d'autres univers et de tirer parti de la puissance de multiples univers. Type VI : le niveau énergétique de plusieurs univers additionnés s'établit aux environs de 1066 W, dans le prolongement des niveaux inférieurs. cette civilisation pourrait abandonner un univers mourant et devenir éternelle ; des civilisations moins avancées en aurait également la possibilité. Type VII : déité capable de créer des univers à volonté, et de les utiliser comme sources énergétiques. Leur puissance énergétique est virtuellement infinie, seulement limitée par le nombre et la taille des univers créés et s'élèverait à la hauteur vertigineuse de 1076 ou même 10100 W. Ce type de civilisation serait vraisemblablement immortelle, car la création d'univers nécessite que la civilisation soit extérieure aux univers créés.🌏🌎🌍🌠🌠🌠🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌐🌐🌐🌐👽👽👽👽👽👽👽👽 L'échelle de Kardashev Six types de civilisations Type I Type Il Capable de Capable de contrôler la totalité de l'énergie de son étoile hôte l'énergie à l'échelle et voyage à travers l'énergie solaire de sa planète et le système solaire de son ensemble galaxie hôte. @science_for_my_servants TypelV Capable d'utiliser l'énergie à l'échelle de l'univers. (Créer des galaxies, manipuler l'espace-temps) Civilisation qui existe au-delà du temps et de l'espace, ou dans des dimensions supérieures. (Crée et détruit les multivers) TypeV. Capable d'utiliser l'énergie à l'échelle du multivers (voyager vers des univers parallèles et simuler des univers)🌎🌍🌏🌐🌐🌐🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌠🌠🌠🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏 Chaque univers-bulle ainsi créé serait différent des autres : les masses des particules élémentaires, l'intensité des interactions, le taux d'expansion auraient des valeurs chaque fois nouvelles, de sorte que tous les possibles en termes de paramètres physiques pourraient se réaliser. Des trous noirs aux trous blancs, mieux comprendre les monstres de l’univers Il a fallu plus d’un siècle après la diffusion de la théorie de la relativité générale d’Einstein pour que nous puissions admirer l’image d’un trou noir. Des astronomes cherchent maintenant à débusquer les trous blancs, dont les seules mathématiques permettent pour l’instant de postuler l’existence. Mais qui résoudraient bien des choses. Nos explications pour y voir clair. Naissance d’un futur accélérateur de particules géant pour l’infiniment petit Le conseil du CERN a pris connaissance du rapport de faisabilité à mi-parcours du Future Circular Collider, prévu autour de 2045. Il sera dix à cent fois plus puissant que l’actuel accélérateur de particules et d’une circonférence de 90 kilomètres.
Des astronomes observent une formidable explosion, créatrice de métaux précieux comme l'or et l'argent Des scientifiques ont récemment dévoilé un spectacle stellaire rare: la fusion de deux étoiles à neutrons. Cette collision a produit une explosion exceptionnelle, révélant l'origine des métaux précieux. Induisant une explosion, nommée kilonova, elle est le théâtre de la création d'éléments lourds tels que l'or et l'argent. Grâce aux télescopes spatiaux James Webb (JWST) et Hubble, les astronomes ont pu observer directement ce processus. Illustration de deux étoiles à neutrons en collision, créant une kilonova. Crédit: Robin Dienel/Carnegie Institution for Science Cet événement, observé en mars 2023 et baptisé GRB 230307A, s'est distingué par sa durée exceptionnelle de 200 secondes, remettant en question notre compréhension des explosions de rayons gamma, les GRB. Ces phénomènes sont les explosions les plus puissantes de l'Univers, généralement classées en deux catégories: les longues et les courtes. Avant cette découverte, on pensait que les longs GRB étaient le résultat de l'effondrement d'étoiles massives, et non de la fusion d'étoiles à neutrons. Cette fusion stellaire n'a pas seulement illuminé le ciel ; elle a également confirmé que de tels événements sont capables de créer des éléments plus lourds que le fer. La fusion émet des matériaux riches en neutrons, précurseurs des métaux précieux, dans un processus connu sous le nom de capture rapide de neutrons, ou processus r. Le spectacle ne s'arrête pas là: la collision a généré une onde gravitationnelle, un frisson dans le tissu de l'espace-temps. Cette découverte ouvre de nouvelles voies de recherche sur la formation des éléments dans l'Univers et sur les mystères encore non élucidés des explosions de rayons gamma.
Absorption d'univers parallèles: une explication intéressante à l'expansion cosmologique L'expansion accélérée de l'Univers est un mystère qui intrigue les scientifiques depuis des décennies. Une nouvelle étude théorique propose une explication intrigante à ce phénomène: et si notre Univers s'agrandissait en absorbant des "bébés" univers parallèles ? Le modèle cosmologique standard suggère que l'Univers est en expansion en raison de la présence d'une énergie noire, invisible et non détectée autrement que par cette expansion. Cependant, cette hypothèse soulève des questions et incite les chercheurs à explorer d'autres pistes. Une étude publiée le 12 décembre 2023 dans le Journal of Cosmology and Astroparticle Physics propose une alternative: l'expansion cosmologique pourrait résulter de la fusion de notre Univers avec d'autres univers. Selon les auteurs, cette théorie pourrait mieux correspondre aux observations actuelles que le modèle standard. Ils ont développé un modèle mathématique démontrant comment l'absorption d'autres univers pourrait augmenter le volume de notre Univers, interprété comme une expansion par nos instruments. Cette idée offre également une nouvelle perspective sur l'inflation cosmologique, ce moment juste après le Big Bang où l'Univers a connu une expansion fulgurante. Les chercheurs suggèrent que cet épisode pourrait avoir été provoqué par l'absorption de notre jeune Univers par un Univers plus grand, éliminant ainsi le besoin d'un champ hypothétique, l'inflaton, responsable de cette expansion rapide. La validation de cette hypothèse nécessitera des données observationnelles précises. Les télescopes Euclid et James Webb, grâce à leur capacité à étudier le fond diffus cosmologique, pourraient fournir des réponses décisives. La collision et l'absorption d'univers bébés représentent une vision audacieuse de l'évolution cosmique. Cette théorie non seulement défie les conceptions traditionnelles mais ouvre également la porte à de nouvelles recherches pour comprendre l'expansion de notre Univers. Seules les observations futures pourront confirmer ou infirmer cette fascinante proposition.
Le titre. Le Mystère du Multivers. N'est pas approprié. Alors que j'ai écouté ce Podcast pour ce sujet. Pierre Bayard passe son temps à aimé se mettre dans la peau d'un autre, ou d'être quelqu'un d'autre. Obsédé par la paranoïa et la folie. De l'entendre me fait tomber dans un monde HP. Je pense qu'il est lui même paranoïaque avec trouble dissociatif
@@mathisdafonte9938on peut être intelligent et en même temps très con. Dans son cas je ne me prononcerai pas sur l'intelligence, pour le reste il n'y a aucun doute.
Une multitude d'études contrôlées, réalisées en laboratoire, ont démontré sans aucune espèce d'ambiguïté la véracité de l'effet de diffusion de responsabilité. Il ne s'agit donc pas là que d'une simple légende urbaine comme le prétend ce psychanalyste avec toute la désinvolture et suffisance propres à cette orientation pseudo-scientifique qui est la sienne. Quant à réduire le champ des sciences sociales à la psychanalyse, au secours mais au secours !! Monsieur Bayard, sortez donc un moment de vos conceptions freudiennes, éminemment désuettes et poussiérieuses, pour mettre un peu le nez dans de véritables travaux expérimentaux, publiés dans des journaux qui tiennent la route sur le plan scientifique (p.ex., Journal of Personality and Social Psychology, Psychological Bulletin, Journal of Experimental Social Psychology, etc.). Non mais !... Quel tissus d'âneries !
Très intéressant, mais il y a un truc , dans sa façon de parler, qui me tracasse! Avez vous remarqué comme il prend bien soin, systématiquement, de dire auteur-autrice, écrivain-ecrivaine, comme il prend bien soin de se démarquer de toute idée un peu dérangeante ! Comme s’il craignait les foudres d’une police de la pensée ! On en est là, en France?
Un auteur n'est pas une autrice et inversement. Lorsqu'il veut parler autant des hommes que des femmes il n'utilise pas la règle du masculin l'emporte et prend le temps de dire qu'il parle des deux (car dire auteur en parlant des 2 n'induit pas forcément facilement que tu parle bien des 2) Pour sa bonne compréhension je trouverais ça normal qu'il prennent cette habitude
La langue française n'obeit pas à une logique stricte. Nous sommes habitués à certaines formes. Acteur et actrice fonctionnent bien. Mais il n'est pas utile de féminiser docteur ou auteur qui désignent moins une personne qu'un qualificatif neutre, malgré une sonorité masculine. De même, il n'est pas utile de masculiniser des termes neutres comme "pérenne" ou"célébrité" malgré leur sonorité féminine. Quand c'est nécéssaire, on n'hésite pas à féminiser un mot comme mécanicienne. Il ne faut pas voir de volonté patriarcale là où il n'y a qu'une culture linguistique, et détruire cette richesse.
2000 ans d avance sur vous sapiens n' entre point en âme Mal vaillante science sans conscience n' est que ruines de l'âme il te convient servir aimer et craindre dieu
@@walther2273 C'est comme un kinésithérapeute / ostéopathe. Il n'y a que 2 raisons pour choisir l'ostéopathie/psychanalyse : Soit on y croit (sans raison donc hein, puisque rien n'est prouvé) soit par argent. Pour résumer, on est soit un idiot, soit un escroc. Lequel vous préférez ?
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Le meilleur d'Etienne Klein : amzn.to/4bv9s7n
Le meilleur d'Aurélien Barrau : amzn.to/4bt1DPK
Le meilleur de Hubert Reeves : amzn.to/4br7Ewj
Le meilleur de Stephen Hawking : amzn.to/3OzxJ2q
Une étude suggère que le cosmos fusionne avec des « bébés univers » parallèles
Un article récent aborde une nouvelle théorie sur l’expansion de l’univers. Elle postule qu’elle pourrait non pas être le résultat de l’énergie noire, mais de la fusion constante de notre cosmos avec des « bébés » univers parallèles. Explications.
Le problème de l’énergie noire
Selon le modèle cosmologique standard, l’expansion accélérée de l’univers est attribuée à l’existence de l’énergie noire. Cette substance mystérieuse aurait une pression négative, ce qui provoquerait une force répulsive, s’opposant à la gravité et contribuant ainsi à l’expansion continue du cosmos.
L’énergie noire n’a cependant jamais été directement observée ni mesurée en laboratoire. Son existence est postulée pour expliquer les observations cosmologiques, mais son invisibilité pose forcément un défi conceptuel.
Au cours de ces dernières années, certains astrophysiciens et cosmologistes ont ainsi remis en question l’idée même de l’énergie noire en explorant des alternatives. Des théories modifiées de la gravité, telles que la modification de la relativité générale, ont notamment été proposées comme substituts potentiels, bien que tout cela reste théorique
Une nouvelle théorie
Une étude récente propose une autre approche théorique en suggérant que l’expansion accélérée pourrait être expliquée par la fusion constante avec d’autres univers parallèles, que les scientifiques qualifient de « bébés » univers.
Cette théorie se base sur des calculs mathématiques. Dans leur article, les chercheurs affirment que la fusion avec d’autres univers augmenterait le volume de notre univers. Cette augmentation de volume pourrait être perçue comme une expansion du cosmos, ce qui correspondrait aux observations du fond diffus cosmologique, la rémanence du Big Bang.
Par ailleurs, les calculs basés sur cette théorie semblent correspondre plus étroitement aux observations de l’univers que le modèle cosmologique standard. Cela suggère que la fusion avec d’autres univers pourrait fournir une explication plus plausible de l’expansion actuelle.
Une possible explication à l’inflation cosmique
La théorie aborde également l’inflation cosmique, un concept clé en cosmologie qui postule une expansion extrêmement rapide de l’univers dans les premiers instants après le Big Bang.
Pendant la période d’inflation, le cosmos aurait en effet connu un taux d’expansion environ 10^26 à 10^30 fois plus rapide que l’expansion actuelle. Cette phase d’inflation cosmologique aurait également duré brièvement, probablement de 10^-36 à 10^-32 secondes après le Big Bang.
Cette phase d’expansion intense, qui se serait finalement diluée pour donner lieu à l’expansion plus lente que nous observons aujourd’hui, résout certains problèmes et explique certaines observations, comme l’homogénéité et l’isotropie de l’univers observable.
Dans le cadre de la nouvelle théorie, les chercheurs suggèrent une alternative à l’inflation en reliant l’inflation cosmologique à l’absorption de notre jeune univers par un univers plus grand. Selon cette idée, l’expansion ultra-rapide dans les premières millisecondes pourrait donc résulter de cette absorption plutôt que de l’action d’un champ d’inflation.
Bien que la théorie résolve certains problèmes conceptuels, les chercheurs soulignent que seule la validation expérimentale à travers des observations pourra confirmer ou infirmer leur hypothèse. Les instruments comme le télescope Euclide et le télescope spatial James Webb sont mentionnés comme des moyens potentiels de tester ces idées.
Une civilisation de type I est capable d'accéder à l'intégralité de l'énergie disponible sur sa planète et de la stocker en vue d'une consommation. Une civilisation de type II peut consommer directement l'énergie d'une étoile.
Une civilisation de type II va un peu plus loin. Elle est capable de construire l'une de ces fameuses « sphères de Dyson » qui lui permettrait de consommer la totalité de l'énergie produite par son étoile. Une civilisation de type III, enfin, serait capable de faire de même avec toutes les étoiles de sa galaxie.
Ces civilisations de types IV , V voire VI seraient capables de manipuler les structures cosmiques (galaxies, amas galactiques, superamas) et même d'échapper au Big Crunch par des trous dans l'espace.
Après avoir acquis la maitrise de l'énergie disponible dans l'univers, une civilisation de type cinq correspond à une civilisation qui a découvert le moyen de voyager vers d'autres univers et de tirer parti de la puissance de multiples univers.
Type VI : le niveau énergétique de plusieurs univers additionnés s'établit aux environs de 1066 W, dans le prolongement des niveaux inférieurs. cette civilisation pourrait abandonner un univers mourant et devenir éternelle ; des civilisations moins avancées en aurait également la possibilité.
Type VII : déité capable de créer des univers à volonté, et de les utiliser comme sources énergétiques. Leur puissance énergétique est virtuellement infinie, seulement limitée par le nombre et la taille des univers créés et s'élèverait à la hauteur vertigineuse de 1076 ou même 10100 W. Ce type de civilisation serait vraisemblablement immortelle, car la création d'univers nécessite que la civilisation soit extérieure aux univers créés.🌏🌎🌍🌠🌠🌠🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌐🌐🌐🌐👽👽👽👽👽👽👽👽
L'échelle de Kardashev Six types de civilisations Type I Type Il Capable de Capable de contrôler la totalité de l'énergie de son étoile hôte l'énergie à l'échelle et voyage à travers l'énergie solaire de sa planète et le système solaire de son ensemble galaxie hôte. @science_for_my_servants TypelV Capable d'utiliser l'énergie à l'échelle de l'univers. (Créer des galaxies, manipuler l'espace-temps) Civilisation qui existe au-delà du temps et de l'espace, ou dans des dimensions supérieures. (Crée et détruit les multivers) TypeV. Capable d'utiliser l'énergie à l'échelle du multivers (voyager vers des univers parallèles et simuler des univers)🌎🌍🌏🌐🌐🌐🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌠🌠🌠🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏
Chaque univers-bulle ainsi créé serait différent des autres : les masses des particules élémentaires, l'intensité des interactions, le taux d'expansion auraient des valeurs chaque fois nouvelles, de sorte que tous les possibles en termes de paramètres physiques pourraient se réaliser.
Des trous noirs aux trous blancs, mieux comprendre les monstres de l’univers
Il a fallu plus d’un siècle après la diffusion de la théorie de la relativité générale d’Einstein pour que nous puissions admirer l’image d’un trou noir. Des astronomes cherchent maintenant à débusquer les trous blancs, dont les seules mathématiques permettent pour l’instant de postuler l’existence. Mais qui résoudraient bien des choses. Nos explications pour y voir clair.
Naissance d’un futur accélérateur de particules géant pour l’infiniment petit
Le conseil du CERN a pris connaissance du rapport de faisabilité à mi-parcours du Future Circular Collider, prévu autour de 2045. Il sera dix à cent fois plus puissant que l’actuel accélérateur de particules et d’une circonférence de 90 kilomètres.
Des astronomes observent une formidable explosion, créatrice de métaux précieux comme l'or et l'argent
Des scientifiques ont récemment dévoilé un spectacle stellaire rare: la fusion de deux étoiles à neutrons. Cette collision a produit une explosion exceptionnelle, révélant l'origine des métaux précieux. Induisant une explosion, nommée kilonova, elle est le théâtre de la création d'éléments lourds tels que l'or et l'argent. Grâce aux télescopes spatiaux James Webb (JWST) et Hubble, les astronomes ont pu observer directement ce processus.
Illustration de deux étoiles à neutrons en collision, créant une kilonova.
Crédit: Robin Dienel/Carnegie Institution for Science
Cet événement, observé en mars 2023 et baptisé GRB 230307A, s'est distingué par sa durée exceptionnelle de 200 secondes, remettant en question notre compréhension des explosions de rayons gamma, les GRB. Ces phénomènes sont les explosions les plus puissantes de l'Univers, généralement classées en deux catégories: les longues et les courtes. Avant cette découverte, on pensait que les longs GRB étaient le résultat de l'effondrement d'étoiles massives, et non de la fusion d'étoiles à neutrons.
Cette fusion stellaire n'a pas seulement illuminé le ciel ; elle a également confirmé que de tels événements sont capables de créer des éléments plus lourds que le fer. La fusion émet des matériaux riches en neutrons, précurseurs des métaux précieux, dans un processus connu sous le nom de capture rapide de neutrons, ou processus r.
Le spectacle ne s'arrête pas là: la collision a généré une onde gravitationnelle, un frisson dans le tissu de l'espace-temps. Cette découverte ouvre de nouvelles voies de recherche sur la formation des éléments dans l'Univers et sur les mystères encore non élucidés des explosions de rayons gamma.
Absorption d'univers parallèles: une explication intéressante à l'expansion cosmologique
L'expansion accélérée de l'Univers est un mystère qui intrigue les scientifiques depuis des décennies. Une nouvelle étude théorique propose une explication intrigante à ce phénomène: et si notre Univers s'agrandissait en absorbant des "bébés" univers parallèles ?
Le modèle cosmologique standard suggère que l'Univers est en expansion en raison de la présence d'une énergie noire, invisible et non détectée autrement que par cette expansion. Cependant, cette hypothèse soulève des questions et incite les chercheurs à explorer d'autres pistes. Une étude publiée le 12 décembre 2023 dans le Journal of Cosmology and Astroparticle Physics propose une alternative: l'expansion cosmologique pourrait résulter de la fusion de notre Univers avec d'autres univers.
Selon les auteurs, cette théorie pourrait mieux correspondre aux observations actuelles que le modèle standard. Ils ont développé un modèle mathématique démontrant comment l'absorption d'autres univers pourrait augmenter le volume de notre Univers, interprété comme une expansion par nos instruments.
Cette idée offre également une nouvelle perspective sur l'inflation cosmologique, ce moment juste après le Big Bang où l'Univers a connu une expansion fulgurante. Les chercheurs suggèrent que cet épisode pourrait avoir été provoqué par l'absorption de notre jeune Univers par un Univers plus grand, éliminant ainsi le besoin d'un champ hypothétique, l'inflaton, responsable de cette expansion rapide.
La validation de cette hypothèse nécessitera des données observationnelles précises. Les télescopes Euclid et James Webb, grâce à leur capacité à étudier le fond diffus cosmologique, pourraient fournir des réponses décisives.
La collision et l'absorption d'univers bébés représentent une vision audacieuse de l'évolution cosmique. Cette théorie non seulement défie les conceptions traditionnelles mais ouvre également la porte à de nouvelles recherches pour comprendre l'expansion de notre Univers. Seules les observations futures pourront confirmer ou infirmer cette fascinante proposition.
Le titre. Le Mystère du Multivers. N'est pas approprié. Alors que j'ai écouté ce Podcast pour ce sujet. Pierre Bayard passe son temps à aimé se mettre dans la peau d'un autre, ou d'être quelqu'un d'autre. Obsédé par la paranoïa et la folie. De l'entendre me fait tomber dans un monde HP. Je pense qu'il est lui même paranoïaque avec trouble dissociatif
Où sont les univers parallèles ? Dans la littérature imaginaire ?... Beaucoup de médiocrité dans le Dit !...
Blablabla...ils se soûlent de mots et ils ont le toupet d'y ajouter Einstein and Co.
Faut être ouvert d'esprit pour écouter ce genre de vidéo apparemment tu n'est pas doté de la meilleure intelligence
@@mathisdafonte9938on peut être intelligent et en même temps très con.
Dans son cas je ne me prononcerai pas sur l'intelligence, pour le reste il n'y a aucun doute.
Big bangs
Quel rapport avec le titre !!???????
Titre racoleur et mensonger
😞
A quand un échange avec Jean Pierre PETIT ?
Une multitude d'études contrôlées, réalisées en laboratoire, ont démontré sans aucune espèce d'ambiguïté la véracité de l'effet de diffusion de responsabilité. Il ne s'agit donc pas là que d'une simple légende urbaine comme le prétend ce psychanalyste avec toute la désinvolture et suffisance propres à cette orientation pseudo-scientifique qui est la sienne. Quant à réduire le champ des sciences sociales à la psychanalyse, au secours mais au secours !! Monsieur Bayard, sortez donc un moment de vos conceptions freudiennes, éminemment désuettes et poussiérieuses, pour mettre un peu le nez dans de véritables travaux expérimentaux, publiés dans des journaux qui tiennent la route sur le plan scientifique (p.ex., Journal of Personality and Social Psychology, Psychological Bulletin, Journal of Experimental Social Psychology, etc.). Non mais !... Quel tissus d'âneries !
Très intéressant, mais il y a un truc , dans sa façon de parler, qui me tracasse! Avez vous remarqué comme il prend bien soin, systématiquement, de dire auteur-autrice, écrivain-ecrivaine, comme il prend bien soin de se démarquer de toute idée un peu dérangeante ! Comme s’il craignait les foudres d’une police de la pensée ! On en est là, en France?
Un auteur n'est pas une autrice et inversement. Lorsqu'il veut parler autant des hommes que des femmes il n'utilise pas la règle du masculin l'emporte et prend le temps de dire qu'il parle des deux (car dire auteur en parlant des 2 n'induit pas forcément facilement que tu parle bien des 2)
Pour sa bonne compréhension je trouverais ça normal qu'il prennent cette habitude
@@allanfonfrede895 Ce que vous dites est un peu nébuleux, ésotérique et passablement capillotracté!
La langue française n'obeit pas à une logique stricte. Nous sommes habitués à certaines formes. Acteur et actrice fonctionnent bien. Mais il n'est pas utile de féminiser docteur ou auteur qui désignent moins une personne qu'un qualificatif neutre, malgré une sonorité masculine. De même, il n'est pas utile de masculiniser des termes neutres comme "pérenne" ou"célébrité" malgré leur sonorité féminine. Quand c'est nécéssaire, on n'hésite pas à féminiser un mot comme mécanicienne. Il ne faut pas voir de volonté patriarcale là où il n'y a qu'une culture linguistique, et détruire cette richesse.
Mon dieu mais tu es cringe
Malheureusement je crois bien que oui, nous en sommes là !
2000 ans d avance sur vous sapiens n' entre point en âme Mal vaillante science sans conscience n' est que ruines de l'âme il te convient servir aimer et craindre dieu
Psychanalyste ? Vraiment ? On en est là ?
Psychanalyste = minable ?
@@walther2273 C'est comme un kinésithérapeute / ostéopathe. Il n'y a que 2 raisons pour choisir l'ostéopathie/psychanalyse : Soit on y croit (sans raison donc hein, puisque rien n'est prouvé) soit par argent. Pour résumer, on est soit un idiot, soit un escroc. Lequel vous préférez ?
@@MonnOmsap bien sûr, c'est d'ailleurs pour ça que tous les plus grands sportifs sont suivis pas des ostéopathes et kinésithérapeutes...
Bof... il n'est de dieu que Allah et le mystère demeure... bcp ont cru savoir et tous n'ont pu s'empêcher de mourir.....