Je suis né 3 ans après et pourtant j'ai tellement vu ce film que j'ai l'impression d'avoir connu cette époque, il faut dire que a mon époque on voyaient encore ces chers vielles bagnoles et les vieux quartiers et même certain profs encore de la vieille école.Je hais l’époque actuel
La nostalgie des années 60', éh oui. On se satisfaisait de moins d'objets, on se parlait, et il fallait des mots pour ça. Vous voulez dire qu'aujourd'hui chacun est dans sa bulle à scroller sur des bêtises hétéroclites ? À écrire son avis sur tout et n'importe quoi et qui ne sera jamais lu ? À s'exhiber en selfies au soleil et au resto mais jamais sous la pluie ni devant une boite de conserve ?... Vous ne seriez pas un peu observateur des fois ? ;-)
À moi, à moi... À nous. Nous étions 43 millions à l'époque. Bon c'est vrai il y en a quelques-uns qui ont disparu et parmi les meilleurs, comme dit l'adage. Merci à vous. ;-))
Le vieil adage dit "plus c'est gros, mieux ça passe"... Mais là ça ne peut servir qu'une fois. Contrairement au chien d'Alain CHABAT dans LA CITÉ DE LA PEUR qui est mort trois fois... "Oui, mais il a beaucoup souffert !" :)
Cette phrase n'est pas due au hasard. Antoine Doinel en disant que sa mère est "morte", symbolise ici vraiment qu'elle est morte à ses yeux, car elle le rejette. Il n'a symboliquement plus de mère. C'est un moment clé du film. L'expression que prend Jean-Pierre Leaud pour délivrer cette phrase est exactement celle que voulait obtenir de lui Truffaut.
Ça me fend le coeur à chaque fois que je revois ce film😢 J.Pierre Léaud est un homme très émouvant 💖
Je suis né 3 ans après et pourtant j'ai tellement vu ce film que j'ai l'impression d'avoir connu cette époque, il faut dire que a mon époque on voyaient encore ces chers vielles bagnoles et les vieux quartiers et même certain profs encore de la vieille école.Je hais l’époque actuel
La nostalgie des années 60', éh oui.
On se satisfaisait de moins d'objets, on se parlait, et il fallait des mots pour ça.
Vous voulez dire qu'aujourd'hui chacun est dans sa bulle à scroller sur des bêtises hétéroclites ?
À écrire son avis sur tout et n'importe quoi et qui ne sera jamais lu ?
À s'exhiber en selfies au soleil et au resto mais jamais sous la pluie ni devant une boite de conserve ?...
Vous ne seriez pas un peu observateur des fois ? ;-)
@@repliques-cultes Tout a fait , bonne journée
Merci, à vous également ;-)
Ma France à moi, la veste canadienne du populo avec la tite cravate du gentil garçon . Aaaargh. Quelle époque
À moi, à moi...
À nous.
Nous étions 43 millions à l'époque. Bon c'est vrai il y en a quelques-uns qui ont disparu et parmi les meilleurs, comme dit l'adage.
Merci à vous. ;-))
Ces derniers temps, le film complet est fréquemment programmé sur la chaine OCS US +24
4:36 : Oh non. J'aurais voulu qu'il s'éloigne de ce monsieur.
Le maître a oublié un s à "encore" ! je le ferais copier 1000 fois pour sa peine 😁😅 vieille bourrique, celui là ! 😅
5:00 : À sa place, j'aurais dit qu'elle était malade. C'est un mensonge qui passe mieux selon moi.
Le vieil adage dit "plus c'est gros, mieux ça passe"... Mais là ça ne peut servir qu'une fois.
Contrairement au chien d'Alain CHABAT dans LA CITÉ DE LA PEUR qui est mort trois fois...
"Oui, mais il a beaucoup souffert !" :)
Cette phrase n'est pas due au hasard. Antoine Doinel en disant que sa mère est "morte", symbolise ici vraiment qu'elle est morte à ses yeux, car elle le rejette. Il n'a symboliquement plus de mère. C'est un moment clé du film. L'expression que prend Jean-Pierre Leaud pour délivrer cette phrase est exactement celle que voulait obtenir de lui Truffaut.
N'y en a- t-il pas 400?
100 s'en sont allés, ou 396 c'est à l'appréciation de chacun.
Aïe !
Je viens de voir la faute dans l'intitulé. C'est corrigé.
Bien vu :)
Excellent calcul, erreur de ma part. J'aurais dû les recompter, ils sont bien 400:))
@@repliques-cultes :
> Rires !
Mais tout le monde avait vu..
Vu et compris que tu avais juste écrit trop vite ! :D
Cordialement..
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