“On peut se moquer de ce que quelqu’un dit, on peut même se moquer de ce qu’il pense…mais on ne peut pas se moquer de ce qu’il est, car la finit la liberté d’expression , et la commence la grossophopbie, la xénophobie,…” merci Madame la professeure. Personne n’avait jamais su avant vous m’expliquer la limite entre liberté d ‘expression et le début de la fin d’une pensée rationnelle. Je vous cite à chaque fois que l’occasion se présente.
Cousu de fil blanc. Chacun sa spécialité et elle n est clairement pas prof de géopolitique, ni d histoire. Aucune remise en question de la formation des profs, ni de la gestion de Paty par la hiérarchie. Ni du système bicéphale inégalitaire écoel publique/privée...qui prive certaines catégorie socio pro. Aucune remise en question des ghettos cette non mixité qui ne gène pas. Ironie du sort que d avoir choisi Voltaire: misogyne, homophobe, antijuif, islamophobe. "" L'homosexualité, une infamie. Cependant, malgré ces idées si éloignées de nos opinions et de nos moeurs, ce vice était regardé chez les Grecs comme une débauche honteuse toutes les fois qu'il se montrait à découvert et sans l'excuse de l'amitié ou des liaisons politiques. Lorsque Philippe vit sur le champ de bataille de Chéronée tous les soldats qui composaient le bataillon sacré, le bataillon des amis à Thèbes, tués dans le rang où ils avaient combattu : " Je ne croirai jamais, s'écria-t-il, que de si braves gens aient pu faire ou souffrir rien de honteux. " Ce mot d'un homme souillé lui-même de cette infamie est une preuve certaine de l'opinion générale des Grecs. " " Dictionnaire philosophique ", article " Amour socratique ", note 7, 1764. Etc...
Vous mélangez tout, comme les déboulonneurs... Si vous ne remettez pas les gens dans leur contexte, vous ne pouvez pas les comprendre. Si Aristote vivait aujourd'hui, il y a fort à croire qu'il ne serait pas pour l'esclavage. De même pour Voltaire à qui vous attribuez des haines infondées. Le bonhomme est certes loin de la perfection (qui n'a pas ses contradictions ?), mais son traité sur la tolérance s'adresse à tous, sans distinction. Lisez entre les lignes, faites preuve de tolérance vous- même, et après on en reparlera.
“On peut se moquer de ce que quelqu’un dit, on peut même se moquer de ce qu’il pense…mais on ne peut pas se moquer de ce qu’il est, car la finit la liberté d’expression , et la commence la grossophopbie, la xénophobie,…” merci Madame la professeure. Personne n’avait jamais su avant vous m’expliquer la limite entre liberté d ‘expression et le début de la fin d’une pensée rationnelle. Je vous cite à chaque fois que l’occasion se présente.
Merci madame tout y est. Ce que vous dites très bien me semble évident pourquoi ne l’est ce pas pour les générations actuelles d’élèves
Remarquable discours..total soutien à votre action..
Bravo
Magnifique !
Fier de ma cousine 😘
Omg mon ancienne prof de frcs et ma prof de grec 😭
👏👏👏👏👏
Un peu convenu, attendu et sans surprise : "scolaire" mais profondément sincère, n'est ce pas le principal ?
surement des chances pour la France.
je la connais elle est prof dans mon ancien college
Moi c’est ma prof de 5eme
Vous avez besoin d'Islam et non de l'anarchie morale que vous préconisez.
Cousu de fil blanc.
Chacun sa spécialité et elle n est clairement pas prof de géopolitique, ni d histoire.
Aucune remise en question de la formation des profs, ni de la gestion de Paty par la hiérarchie.
Ni du système bicéphale inégalitaire écoel publique/privée...qui prive certaines catégorie socio pro.
Aucune remise en question des ghettos cette non mixité qui ne gène pas.
Ironie du sort que d avoir choisi Voltaire: misogyne, homophobe, antijuif, islamophobe.
"" L'homosexualité, une infamie. Cependant, malgré ces idées si éloignées de nos opinions et de nos moeurs, ce vice était regardé chez les Grecs comme une débauche honteuse toutes les fois qu'il se montrait à découvert et sans l'excuse de l'amitié ou des liaisons politiques. Lorsque Philippe vit sur le champ de bataille de Chéronée tous les soldats qui composaient le bataillon sacré, le bataillon des amis à Thèbes, tués dans le rang où ils avaient combattu : " Je ne croirai jamais, s'écria-t-il, que de si braves gens aient pu faire ou souffrir rien de honteux. " Ce mot d'un homme souillé lui-même de cette infamie est une preuve certaine de l'opinion générale des Grecs. "
" Dictionnaire philosophique ", article " Amour socratique ", note 7, 1764.
Etc...
vous auriez pu nous épargner un commentaire puant de jalousie.
Vous mélangez tout, comme les déboulonneurs... Si vous ne remettez pas les gens dans leur contexte, vous ne pouvez pas les comprendre. Si Aristote vivait aujourd'hui, il y a fort à croire qu'il ne serait pas pour l'esclavage. De même pour Voltaire à qui vous attribuez des haines infondées. Le bonhomme est certes loin de la perfection (qui n'a pas ses contradictions ?), mais son traité sur la tolérance s'adresse à tous, sans distinction. Lisez entre les lignes, faites preuve de tolérance vous- même, et après on en reparlera.