PEUR SUR LA VILLE 1975 N°1/2 (Jean-Paul Belmondo, Charles Denner, Adalberto Maria Merli *)
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- Опубліковано 31 тра 2024
- Peur sur la ville. 1975.
Le commissaire Letellier (Jean-Paul Belmondo) et son adjoint Moissac (Charles Denner) sont contactés par un homme se faisant appeler Minos (Adalberto Maria Merli). Celui-ci annonce qu'il va s'attaquer à toutes les femmes un peu trop libertines...
Réalisation : Henri Verneuil
Dialogues : Francis Veber
Musique : Ennio Morricone
* Doublé par Bruno Devoldère - Фільми й анімація
Il y a tout Bébel dans ce film,cascade course poursuite et le vieux Panam ❤
En 1974, Verneuil avait à cœur, ici, de montrer le nouveau Paris de Pompidou, avec ses nouvelles tours d'habitation inquiétantes, comme celles du Front de Seine, pas encore terminé. La Police moderne, avec ses nouveaux tableaux électroniques, ses centraux téléphoniques up-to-date, les nouveaux hélicoptères de la Gendarmerie etc...
Remarquable film remarquable musique le vrai cinéma français du grand bébel... 🇲🇫🇲🇫🇲🇫🇲🇫🇲🇫🇲🇫
Mon film préférer de Belmondo.
J'aime tout dans ce film
L'ambiance, la musique d'Ennio Morricone, le Paris gris de l'époque, les dialogues, j'aime vraiment tout dans ce film.
Merci pour cette vidéo !
Plaisir partagé, merci de l'écrire ;-)
Une sorte de croisement entre "L 'inspecteur Harry" et les gialli italiens (les victimes féminines, le tueur bizarre), en perte de vitesse en 1975 malgré le "Profondo Rosso" de Dario Argento sorti cette année-là.
La musique du maestro et quelques acteurs italiens dont la Massari.
Le savoir faire de Verneuil pour ce Bébel ultra diffusé à la télévision. Je ne me souvenais plus que Denner jouait dans ce film.
Pour ceux qui veulent découvrir ce genre du cinéma bis italien qu'est le giallo je conseille les films de Dario Argento, Umberto Lenzi, Sergio Martino et Lucio Fulci (la plupart étant beaucoup plus violents et sanglants que le Bébél présenté ici je préfère prévenir).
Je préfère quand même "Le Casse" de Verneuil mais pour Denner j'ai bien envie de le revoir car cet acteur me fascine ("Landru", "L'homme Qui Aimait Les Femmes", "Mado").
Merci Répliques Cultes.
Merci pour la brillante mise en perspective avec le Cinéma italien auquel vous portez une belle et justifiée affection tout au long de vos blogs.
Ici le commissaire vole habilement au-dessus d'un nid de malfaiteurs dont l'iconique Minos à la mine singulière, Adalberto Maria MERLI (doublé ici par Bruno DEVOLDÈRE) avec l'habileté d'un sportif de bon niveau qu'il est en réalité.
Charles DENNER toujours excellent, dont ses rôles dans MADO (sur la Chaîne), et le film de TRUFFAUT devenu marqueur sociologique d'une époque désormais bouleversée.
Bon week-end à vous ;-)
@@repliques-cultes Le sieur Merli est un gars qui n'a pas beaucoup tourné, ça doit être son rôle le plus connu.
L'homme qui aimait les femmes serait difficile à faire aujourd'hui, j'y ai encore repensé ce matin en voyant Denner dans vos extraits.
Bon week-end.
@@midnitedynamite1972 Dans le cinéma italien, selon moi, c'est surtout le "poliziottesco" (le "néo polar") qui a inspiré à la fois les films d'action de Belmondo et les polars de Clint Eastwood (Inspecteur Harry). "L'Inspecteur Harry" de Don Siegel a juste contribué à établir les codes du genre et les polars italiens ultérieurs se sont modelés dessus mais on peut dire que le genre est né avec "Bandits à Milan" de Carlo Lizzani en 1968, un superflic incorruptible pourchasse un implacable ennemi avec des méthodes peu orthodoxes qui le met en conflit avec sa hiérarchie. Même le genre "vigilante" (le citoyen lambda qui se fait justicier devant le laxisme ou la corruption des autorités) est né en Italie pratiquement dans le même temps que "Le Justicier" de Michael Winner avec Charles Bronson avec le film "Un citoyen se rebelle" d'Enzo G. Castellari (Franco Nero). Mais c'est vrai que Peur sur la ville a un côté film d'horreur qui se rapproche un peu du genre "giallo". L'Italie est vraiment la source. J'ai tendance à dire que Clint Eastwood doit vraiment tout au cinéma italien, ses westerns et ses polars.
@@Kevin-vs6yf Félicitation pour votre culture du cinéma bis italien, je connais surtout les films poliziottesci comme ceux de Martino ou Lenzi (ceux avec le grand tomas Milian notamment) ou le "Live Like A Cop" de Deodato. Il est vrai qu'en réfléchissant bien ce style, qui était en vogue en 1975, a pu influencer ce film.
Le cinéma italien commercial de cette époque était une alternative au cinéma plus politisé de Bolognini, Olmi, Pietri, Scola ou Pasolini en cette décennie de plomb et ses brigades rouges.
@@repliques-cultes Je ne voudrais pas déclencher une polémique ,mais il me semble que les films policier Français de l'époque ou exellait Belmondo n'ont pas grand chose à voir avec les FILMS italien que l'on nommé Giallo hors d'ITALIE .En effet, il existe une dimension et une critique sociale dans ces films ITALIENS qui sont absentes dans le cinéma Policier ou d'actions en FRANCE .A part quelques Films comme NADA adapté d'un roman de JP Manchette .On peut le regretter mais c'est ainsi .La critique sociale ce n'était pas son truc à notre Bébel .Ce qui ne m'empêche pas d'être un fervent admirateur .
Henri Verneuil...
Au dessus, c'est le soleil.
Impressionnant les cascades de jean Paul belmondo 😎 👍
Un film 🎥 culte génial peur sur la ville des dialogues culte et une musique culte 😎👍
Festival de cascades de Bebel, dans ce très bon film 👍🏻🎬🎞️
l'un des meilleurs
J AI ADORAIS CE FILM ET BELMNDO J ADOOOORE.MERCI A + AVEC CES PERLES DE REPLIQUES
Avec plaisir ;-)
" mais j'adooooooore l'abstrait ! "
Merci pour ce cadeau de revoir notre cher héros Bébel. Il était Magnifique, As des As. Bref un homme bien. Je pense beaucoup à lui. Il manque dans le paysage français. ❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤ 6:33
Merci, toujours avec plaisir ;-)
De mon enfance, je pense que c'est le premier Bebel regardé intégralement dont j'ai le souvenir, avec le fameux Minos 👁🗨
C'est vrai qu'il y a de nombreux passages chocs qui restent en mémoire. Et les rassembler en deux petits épisodes n'est pas inutile.
Merci à vous. ,;-)
Le sifflement le plus célèbre du cinéma français 😀
Du cinéma français, oui ;-)
« Faudra tout d’même que l’on signale à Minos, que ça devient de plus en plus difficile d’se vautrer dans la boue sexuelle… » Sacré Jean-Paul alias Commissaire Letellier 😉😉👍🏻👍🏻👌🏻👌🏻😊😊🤠🤠. Et puis , la course poursuite entre Letellier et Marcucci ( rôle tenu par Giovanni Cianfriglia, qui le joue superbement bien 👌🏻👌🏻😉😉🤠🤠) sur la rame de métro, en l’occurrence la Rame 603… 😉😉👍🏻👍🏻👌🏻👌🏻, en plein Paris , réalisé par Letellier en personne, garanti sans trucage !!! 😉😉
Oui, c'était assez gonflé. ;-)
Un bon cinéma tout simplement
Un BELMONDO des années 70' ,de la cascade impressionnante ,de l'action et une histoire d'amour avorté (Hélas) pour notre Héros .(Oui à l'époque j'aurais bien aimé me faire masser par une professionnelle de santé nue sous sa robe de chambre ) Mais je m'égare ... Mais je vais faire preuve de franchise , même si le Box office était au beau fixe et le succès public non démenti , ce n'est pas le Film que je préfère de notre Bébel .Reste des images d'une époque disparu ou l'on voit le malfaisant Minos chevauché une magnifique Kawasaki Z 900 ;une moto qui me faisait rêver ...
Oui la Kawasaki 900 que l'on retrouve avec DELON dans POUR LA PEAU D'UN FLIC. ;-)
@@repliques-cultes Cette iconique machine sortie par Kawasaki pour tailler des croupières à la HONDA 750 qui depuis 1969 était quasiment imbattable en termes de vente .
Notre Johnny National a possédé lui aussi des Z 900 Kawa .Souvenirs ,souvenirs ...
Pourquoi tant de gros plans sur les chaussures?
et super detournement d un extrait du film par mozinor "dj bebel"
Ah, Mozinor ,!...
L'abonnement devrait être obligatoire, ainsi que Vinza. ;-)
un pur bebel, inquiétant et efficace ...
Et tout ça en pat d'ef 😅
Et tout en glissade 😄
toujours à courir derrière le cinéma américain.
Personne ne t'obliges à regarder ni ces vidéos, ni des films qui sont " toujours là à courir derrière le cinéma américain ", comme si le cinéma américain ne produisait que des Chefs-d'Œuvre... Ne t'en déplaises nous avons un très grand cinéma français que bon nombre de non moins grands cinéastes américains nous reconnaissent et admirent volontiers, et ce n'est pas un hasard. Parmi eux et entre autres on trouve par exemple un certain Quentin Tarantino, ou bien un autre qui n'y connaît pas grand chose en cinéma, Steven Spielberg...😉
C'est un bon exercice.
Les américains le pratiquent également en sens inverse. Une sorte d'échange culturel. ;-)