Lettre d'un damné - abbé F. M. Chautard - 12/11/2023

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  • Опубліковано 27 сер 2024

КОМЕНТАРІ • 98

  • @np6947
    @np6947 9 місяців тому +38

    Voilà un sermon qui remets chacun(e) à sa place ,moi en premier 😔.merci de nous percuter pour le salut de nos âmes Père Chautard ,que le Bon Dieu vous bénisse de nous transmettre sa parole ,sa vérité .🙏✝️

  • @elisebonvin2968
    @elisebonvin2968 8 місяців тому +3

    A TOUT PÊCHÉ MISERICORDE MAIS FAUT DEMANDÉ PARDON A DIEU IL EST NÔTRE PÈRE MISERICORDIEUX❤

  • @rodriguesmarie-bernard7990
    @rodriguesmarie-bernard7990 9 місяців тому +19

    Merci beaucoup Monsieur l’Abbé, de nous rappeler nos fins dernières auxquelles nous n’échapperons pas !

  • @Rose-jm8xf
    @Rose-jm8xf 9 місяців тому +15

    Oui, cette lettre est terrible

  • @fongaroannemarie1666
    @fongaroannemarie1666 9 місяців тому +17

    Ce texte qu il réveille nous tous qui avons adoré nous mêmes prétendant adorer LESEIGNEUR!!! CEST SI BANAL! C est à trembler

    • @np6947
      @np6947 9 місяців тому +3

      Adorer le Seigneur et surtout l'honorer

  • @Rose-jm8xf
    @Rose-jm8xf 7 місяців тому +2

    J'ai vécu une e.m.i à l'âge de 33 ans. Effectivement le seigneur nous averti par sa grâce ...

  • @josephinelhayere4060
    @josephinelhayere4060 9 місяців тому +2

    Seigneur jésus protège nos âmes de toutes notre grande famille enfants petits enfants et arrières petits enfants Merci Seigneur de pas nous envoyer en enfers

  • @beaujustevrai734
    @beaujustevrai734 9 місяців тому +10

    Merci Monsieur l'Abbé, pour ce sermon qui fait peur 😱
    Supplions DIEU de convertir nos cœurs.

    • @user-gz9zx1hh5w
      @user-gz9zx1hh5w 9 місяців тому

      Pour convertir réellement son coeur il faut ne pas être una cum avec le faux Pape Bergoglio aliar François .Malheureusement la fraternité Sain pie X est una cum avec se faux Pape.

    • @CielVenus1
      @CielVenus1 9 місяців тому

      ​@@user-gz9zx1hh5wTaisez-vous hérétique. Notre pape fort heureusement a un coeur assez grand pour palier à la noirceur du votre

  • @pitbull77346
    @pitbull77346 9 місяців тому +25

    Cette lettre nous rappelle qu’on peut se damner en dépit du bien qu’on peut faire de temps à autre, en raison de notre libre arbitre à accepter ou refuser la grâce divine. Mieux vaut donc éviter de nous endormir sur nos lauriers (le bien fait ici et là de temps à autre), sinon la désillusion sur notre salut risque d’être terrible à notre mort.

    • @fredericboucheix9888
      @fredericboucheix9888 9 місяців тому

      Pas trop d'accord... On sait bien tout de suite et maintenant soit la haine ou l'amour que l'on a du Christ et des personnes... Qui nous mènera à lui ..

    • @vinzenztribulaun5556
      @vinzenztribulaun5556 9 місяців тому +1

      Mais on se damne par sa propre faute.
      L'auteur de cette lettre avoue bien que malgré quelques prières et quelques confessions, qu'il gardait une haine de Dieu au fond du cœur. Donc il n'avait pas la contrition de ses péchés ni le fervent propos de ne plus recommancer. Il faisait donc des confessions et des communions sacrilèges aussi parce qu'il avait cette haine de Dieu, qui est le pire des péchés, qu'il n'accusait pas devant le prêtre.

    • @fredericboucheix9888
      @fredericboucheix9888 9 місяців тому

      @@vinzenztribulaun5556 c'est bien ce que je dis ... On sait où on en est intérieurement... Où on triche !!
      Être en paix avec son âme ou pas !!
      Blanc ou noir ! Que votre oui soit oui ou non soit non !!

    • @pitbull77346
      @pitbull77346 9 місяців тому +1

      @@vinzenztribulaun5556 oui on se damne bien par sa propre faute. Ici, l’auteur de la lettre a gardé une haine contre Dieu et a donc péché contre l’Esprit-Saint. Mais, sans aller jusqu’à cet extrême, on peut aussi se damner par présomption, malgré nos prières et la fréquentation de la messe. Cf le dernier sermon de l’abbé Frament ua-cam.com/video/9T9u7gWM7G8/v-deo.htmlsi=0H5AM8rDtyrKllp6

  • @olivierleduc3256
    @olivierleduc3256 9 місяців тому +14

    J'étais jusqu'à hier dans la force de l'âge caressant de nombreux projets, jouissant d'un bon métier, aimant la vie et ses plaisirs. Tout s'est brisé hier à la suite d'un accident. Une douleur intense m'a serré le cœur et quoi que j’aie eu quelques minutes avant l'issue fatale, mon esprit d'un coup paniqué a songé à tout, sauf à s'en remettre à Dieu.
    Pas un souffle de repentir, pas l'once d'une prière n'a soulevé mon cœur et me voici plongé dans cet enfer dont j'avais redouté il y a fort longtemps les horreurs, mais dont la crainte s'était émoussée avec les années et quoi que de temps à autre, quelque prédicateur s'escrima à rallumer cette crainte salutaire, mon esprit volatile se refusait à m'arrêter à une pensée aussi sombre et surtout à prendre les moyens qui m'eussent permis d'y échapper. Avant d'être figé dans l'antre basse où je me tiens désormais, je passais devant mon juge. Je ne vis pas le Christ, j'en étais indigne, mais j’eus une telle conscience de sa présence que toute mon âme aurait voulu disparaître, se ramasser sur elle et se terrer pour ne pas avoir à supporter un regard que je ne pouvais voir, mais dont je pressentais l'acuité. En un clin d'œil, je ne vis que trop clair dans mon existence. Au-delà de quelques bons mouvements, de menus actes de piété, de bonté. Au-delà même de l'accomplissement de certains devoirs, je ne vis que trop le refus de Dieu, inscrit au plus profond de mon être.
    Au fond, ce Dieu que j'avais prié de temps à autre, était pour moi un étranger dont je n'hésitais pas à enfreindre les commandements. Instantanément ma vie entière et surtout cet éloignement de Dieu m’apparurent avec une telle évidence que je n'eus d’autre dessin que de fuir Dieu et je me précipitais de moi-même dans ce lieu obscur. Quoique privé de mon corps, je suis comme encastré dans un trou pratiqué dans une muraille de feu, écrasé de toutes parts, au milieu des ténèbres les plus épaisses. Il n’y a point de lumière mais chose que je ne saurais comprendre malgré cela, on aperçoit tout ce qui peut être un tourment pour l’existence.
    Pour vous qui êtes encore sur terre, cela ne fait que quelques heures que je m’y trouve. C’est peu, selon votre temps. Pour nous le temps n’est plus. Aussi difficile que cela soit compréhensible pour une âme de la terre, le futur n'existe plus mais, chose étonnante, mystérieuse, le passé continue d’exister. Non pour nous distraire, cela n’est plus possible, mais pour nous seriner continuellement le gâchis immense de notre vie terrestre et le poids écrasant, consternant, de notre culpabilité.
    C’est vrai, je revois ma vie, mais comme un cauchemar dont il n’existe aucun réveil.
    Chaque souvenir est une torture. Mes innombrables péchés m’assaillent comme un essaim de vilaines guêpes, ils me reviennent à la mémoire, ils m'accusent, ils me flagellent, ils me raillent et je ne vois que trop bien le temps précieux que j'ai perdu.
    Je ne saisis que trop nettement la disproportion entre le plaisir fugitif que j’y ai trouvé et la peine éternelle que j’en éprouve. Les bonnes actions elles-mêmes ne m’offrent guère de soulagement loin s’en faut.
    Déjà je ne puis me réjouir d’avoir servi un Dieu pour lequel je n’ai présentement qu’une haine viscérale. Mais en outre je vois que ces bonnes actions furent immanquablement stérilisées par une folle insouciance. Au lieu de poursuivre dans ce chemin de vertu, ces quelques bonnes œuvres n’ont servi qu’à me rassurer, à me dédouaner à bon compte des péchés graves que je commettais.
    Une bonne prière, une messe écoutée, voire une confession de temps à autre, à tout cela, je n’ai pas donné suite. Comme une bonne graine de l’Évangile, elles n’ont pas donné le fruit qu’elles étaient en droit d’escompter. Tout est retombé à plat. Ce qui fait le tourment de mon remords c'est cet invraisemblable gâchis. Je suis passé si souvent à côté de la grâce, j’aurais pu si facilement remettre de l'ordre dans ma vie. J'étais si avantagé par la foi reçue par une éducation chrétienne des manières de penser catholique, au milieu d'une génération ignorante, que j'ai presque peine à penser que j'ai perdu mon âme. Moi, un catholique de tradition, à jamais. Jamais toujours ces mots sont ici écrits en lettres de feu, au milieu des ténèbres, ils habitent toujours notre pensée. Et cela participe de ces chaînes infernales.
    Sur terre, vous avez de la peine à vous imaginer la nature de ce feu infernal. Ce feu est en effet terriblement différent de celui de la Terre. Lorsque j'étais jeune, j'aimais chanter au coin du feu, la danse du feu me fascinait, libre, ardente, brillante, jeune, la flamme est une beauté de la terre.
    Ici le feu n'est ni libre, ni brillant, ni jeune. Il est seulement ardent. Il brûle, sans éclairer. Il calcine, sans consumer.
    Surtout comme une douleur qui enferme l'esprit, en l'empêchant de songer à toute autre chose, la douleur de ce feu est telle, qu'elle empêche l'âme de s'évader intérieurement. Impossible de songer à autre chose qu'à sa faute, à son malheur à son éternelle peine. Enfermée comme dans une cage de feu, l'âme ne peut méditer que son malheur, ne peut sentir que son tourment, ne peut se nourrir que de sa souffrance. Tout cela n'est rien à côté de cet écartèlement de l'âme en ce qu'elle a de plus profond. Je te l'écrivais tout à l'heure, je sens à la racine de mon être en ce qu'il a de plus essentiel, un irrésistible appel vers ce Dieu qui me châtie, qui me rejette loin de lui. Je sens une tendance irrépressible vers lui. Je saisis avec une évidence limpide que toutes les autres évidences de la terre ne peuvent saisir que mon être en tout ce qu'il est, est fait pour lui, est créé pour lui, qui ne peut trouver son bonheur, son assise, sa joie, sa paix qu'en Lui et en même temps, m'habite la haine, la plus féroce, la plus obstinée, la plus résolue envers ce maître dont je me suis détourné.
    Ce double mouvement situé au plus profond de mon être crée un déchirement intérieur tel que je m'étonne de ne pas être détruit et ce cri intérieur, ce cri de l'âme sort du cœur calciné, broyé de tous les damnés et cependant je ne voudrais pas être pour autant anéanti, car je veux continuer à le haïr de toute la force de ma noire volonté.
    Tu pourrais m'objecter que cette haine s'abrite derrière un mensonge, celui de cet attrait de la bonté de Dieu que je refuse. Je le sais bien, cette bonté, je préfère en détourner les yeux, mais sache que l'enfer est le royaume du père du mensonge et le palais de torture de ceux qui ont menti à leur âme, à Dieu et à leur entourage. D'un autre côté, l'enfer fait tomber le masque. Nous nous connaissons tous, non pas par notre nom, mais par notre principal péché.
    Nous nous percevons comme des incarnations de l'orgueil, de la paresse, de la luxure, de l'envie et cette vision augmente notre tourment.
    Ne crois pas à une quelconque solidarité des démons et des damnés. Nous nous haïssons d'une telle haine que la terre en serait stérilisée à jamais si une seule goutte de cette haine venait à la toucher. La haine insatiable dont nous enveloppons Dieu et notre vie passée se reporte sur les démons et les damnés. Les démons haïssent les damnés qui leur rappellent le Verbe incarné, et les damnés haïssent les démons qui les ont jetés dans cet océan de feu et qui les y tourmentent. Les damnés se haïssent mutuellement comme des complices découverts qui se rejettent la faute les uns sur les autres. Comment du reste, des damnés remplis de haine pourraient aimer d'autres damnés tout aussi remplis de haine. Ici, nul amour à donner, nul amour à recevoir.
    Ne cherche pas à savoir pour quelle faute je croupis en ces lieux désolés d'abord parce que j'y suis à plusieurs titres, mais surtout parce que, au fond, j'ai fait de ma personne le centre de ma vie et ici nous sommes des adorateurs de notre ego et c'est la seule chose, à vrai dire, qu'on ait adorée en vérité.
    Inutile de t'en dire davantage. Je ne formule qu’un souhait à ton égard, celui de te voir parmi nous. C’est très facile, il suffit de te laisser aller.
    Avec ma haine cordiale, ton ennemi sincère.

  • @hassaniramanantsoacyril4992
    @hassaniramanantsoacyril4992 9 місяців тому +1

    Que Dieu nous protège de la damnation Amen. Cest vraiment flippant mais ca fait refelechir. Merci l'Abbé

  • @NathalieGombeer
    @NathalieGombeer 9 місяців тому +7

    Merci Mr l'abbé pour ce beau sermon. Nous aussi à St Joseph ( Bruxelles) nous avons eu un magnifique rappel de ce lieu de damnation. Que Dieu nous obtienne la grâce de ne jamais y tomber.

    • @vanbelgik
      @vanbelgik 9 місяців тому +1

      en effet, magnifique sermon de l'abbé de Sivry. La qualité des prêtres de la FSSPX et la vérité doctrinale.

  • @jacques-jean
    @jacques-jean 9 місяців тому +8

    Bonjour mon Père, merci pour ce rappel.. glaçant..
    Texte extrêmement puissant, à partager..

  • @isabelleperrot561
    @isabelleperrot561 9 місяців тому +6

    Seigneur merci protéger nos prêtres DS ses temps ou la confusion règne. Affermis leur fois , et comble les de tous les dons nécessaire pour traverser ses épreuves, au quelles nous devons faire y face.

  • @monneygerald7633
    @monneygerald7633 9 місяців тому +8

    Seigneur protégez moi de l’enfer 🙏🙏🙏🙏♥️

  • @spunkydouggy1756
    @spunkydouggy1756 9 місяців тому +2

    Beau message édifiant ! Nous sommes tellement proche de l’enlèvement de l’église , alors soyons sûrs d’être né de nouveau et d’avoir reçu le Saint Esprit afin d’être sauvé amen ! Gloire à Christ le roi des rois le Seigneur des Seigneurs !

  • @ombelinedepomyers851
    @ombelinedepomyers851 9 місяців тому +3

    Magnifique explication de l’enfer qd sur terre on a fait le choix , par négligence, par paresse, Mamon au lieu de Dieu….. Merci bcp M l’abbé de l’excellent sermon.

  • @elinebuisson635
    @elinebuisson635 7 місяців тому

    Merci beaucoup père pour cette très belle homélie. 🙏✝️❤️

  • @claudinedupuy4524
    @claudinedupuy4524 9 місяців тому +8

    Merci Abbé Chautard. Dieu existe, l’Enfer aussi. Dans ce monde moderne, souvent les peuples sont entraînés dans un mouvement infernal, puisse cette lettre nous donner plus que jamais le désir de Dieu Trine, le désir d’Aimer.
    «Saint Michel de votre lumière éclairez-nous, de vos ailes protégez-nous, de votre épée défendez-nous.»

    • @marie-joberthou9201
      @marie-joberthou9201 9 місяців тому +3

      Saint Michel Archange avec toute l'Armée des Anges de Dieu, de vos ailes protégez-nous, de Votre Lumière éclairez-nous, de Votre Epée défendez-nous, des oeuvres de Satan éloignez-nous, de toutes les impuretés dans le Sang de Jésus lavez-nous. du péché contre l'Esprit Saint éloignez-nous dès maintenant et pour toujours. A.S.I.

  • @Leonmagnetiseurcoupeurde-en1gz
    @Leonmagnetiseurcoupeurde-en1gz 9 місяців тому +2

    Bonne piqûre de rappel cette histoire 🔥

  • @dianeb5339
    @dianeb5339 9 місяців тому +2

    Amen, merci M. l'Abbé Chautard

  • @olivierleduc3256
    @olivierleduc3256 9 місяців тому +17

    Avec l'outil transcription, je suis en train de remettre en forme le texte. Dès que c'est fait, je le copie en commentaire.

  • @fazylo2054
    @fazylo2054 9 місяців тому +1

    Merci mon Père de rappeler cette vérité de la doctrine catholique que malheureusement, la plupart des gens (y compris catholiques) tendent à ignorer...

  • @celine3225
    @celine3225 9 місяців тому +12

    Cela se passe de commentaires...😮😢😓😔🙄✝️✝️✝️

  • @espoirtsague2208
    @espoirtsague2208 9 місяців тому

    Amen

  • @paulb4493
    @paulb4493 9 місяців тому +23

    Bonjour mon Père,
    Je vous remercie pour ce texte.
    Pouvez vous m'indiquer l'origine ? S'il vous plaît ?
    Où peut'on se le procurer ?
    Je vous en remercie par avance.
    Respectueusement,

    • @olivierleduc3256
      @olivierleduc3256 9 місяців тому +13

      J'étais jusqu'à hier dans la force de l'âge caressant de nombreux projets, jouissant d'un bon métier, aimant la vie et ses plaisirs. Tout s'est brisé hier à la suite d'un accident. Une douleur intense m'a serré le cœur et quoi que j’aie eu quelques minutes avant l'issue fatale, mon esprit d'un coup paniqué a songé à tout, sauf à s'en remettre à Dieu.
      Pas un souffle de repentir, pas l'once d'une prière n'a soulevé mon cœur et me voici plongé dans cet enfer dont j'avais redouté il y a fort longtemps les horreurs, mais dont la crainte s'était émoussée avec les années et quoi que de temps à autre, quelque prédicateur s'escrima à rallumer cette crainte salutaire, mon esprit volatile se refusait à m'arrêter à une pensée aussi sombre et surtout à prendre les moyens qui m'eussent permis d'y échapper. Avant d'être figé dans l'antre basse où je me tiens désormais, je passais devant mon juge. Je ne vis pas le Christ, j'en étais indigne, mais j’eus une telle conscience de sa présence que toute mon âme aurait voulu disparaître, se ramasser sur elle et se terrer pour ne pas avoir à supporter un regard que je ne pouvais voir, mais dont je pressentais l'acuité. En un clin d'œil, je ne vis que trop clair dans mon existence. Au-delà de quelques bons mouvements, de menus actes de piété, de bonté. Au-delà même de l'accomplissement de certains devoirs, je ne vis que trop le refus de Dieu, inscrit au plus profond de mon être.
      Au fond, ce Dieu que j'avais prié de temps à autre, était pour moi un étranger dont je n'hésitais pas à enfreindre les commandements. Instantanément ma vie entière et surtout cet éloignement de Dieu m’apparurent avec une telle évidence que je n'eus d’autre dessin que de fuir Dieu et je me précipitais de moi-même dans ce lieu obscur. Quoique privé de mon corps, je suis comme encastré dans un trou pratiqué dans une muraille de feu, écrasé de toutes parts, au milieu des ténèbres les plus épaisses. Il n’y a point de lumière mais chose que je ne saurais comprendre malgré cela, on aperçoit tout ce qui peut être un tourment pour l’existence.
      Pour vous qui êtes encore sur terre, cela ne fait que quelques heures que je m’y trouve. C’est peu, selon votre temps. Pour nous le temps n’est plus. Aussi difficile que cela soit compréhensible pour une âme de la terre, le futur n'existe plus mais, chose étonnante, mystérieuse, le passé continue d’exister. Non pour nous distraire, cela n’est plus possible, mais pour nous seriner continuellement le gâchis immense de notre vie terrestre et le poids écrasant, consternant, de notre culpabilité.
      C’est vrai, je revois ma vie, mais comme un cauchemar dont il n’existe aucun réveil.
      Chaque souvenir est une torture. Mes innombrables péchés m’assaillent comme un essaim de vilaines guêpes, ils me reviennent à la mémoire, ils m'accusent, ils me flagellent, ils me raillent et je ne vois que trop bien le temps précieux que j'ai perdu.
      Je ne saisis que trop nettement la disproportion entre le plaisir fugitif que j’y ai trouvé et la peine éternelle que j’en éprouve. Les bonnes actions elles-mêmes ne m’offrent guère de soulagement loin s’en faut.
      Déjà je ne puis me réjouir d’avoir servi un Dieu pour lequel je n’ai présentement qu’une haine viscérale. Mais en outre je vois que ces bonnes actions furent immanquablement stérilisées par une folle insouciance. Au lieu de poursuivre dans ce chemin de vertu, ces quelques bonnes œuvres n’ont servi qu’à me rassurer, à me dédouaner à bon compte des péchés graves que je commettais.
      Une bonne prière, une messe écoutée, voire une confession de temps à autre, à tout cela, je n’ai pas donné suite. Comme une bonne graine de l’Évangile, elles n’ont pas donné le fruit qu’elles étaient en droit d’escompter. Tout est retombé à plat. Ce qui fait le tourment de mon remords c'est cet invraisemblable gâchis. Je suis passé si souvent à côté de la grâce, j’aurais pu si facilement remettre de l'ordre dans ma vie. J'étais si avantagé par la foi reçue par une éducation chrétienne des manières de penser catholique, au milieu d'une génération ignorante, que j'ai presque peine à penser que j'ai perdu mon âme. Moi, un catholique de tradition, à jamais. Jamais toujours ces mots sont ici écrits en lettres de feu, au milieu des ténèbres, ils habitent toujours notre pensée. Et cela participe de ces chaînes infernales.
      Sur terre, vous avez de la peine à vous imaginer la nature de ce feu infernal. Ce feu est en effet terriblement différent de celui de la Terre. Lorsque j'étais jeune, j'aimais chanter au coin du feu, la danse du feu me fascinait, libre, ardente, brillante, jeune, la flamme est une beauté de la terre.
      Ici le feu n'est ni libre, ni brillant, ni jeune. Il est seulement ardent. Il brûle, sans éclairer. Il calcine, sans consumer.
      Surtout comme une douleur qui enferme l'esprit, en l'empêchant de songer à toute autre chose, la douleur de ce feu est telle, qu'elle empêche l'âme de s'évader intérieurement. Impossible de songer à autre chose qu'à sa faute, à son malheur à son éternelle peine. Enfermée comme dans une cage de feu, l'âme ne peut méditer que son malheur, ne peut sentir que son tourment, ne peut se nourrir que de sa souffrance. Tout cela n'est rien à côté de cet écartèlement de l'âme en ce qu'elle a de plus profond. Je te l'écrivais tout à l'heure, je sens à la racine de mon être en ce qu'il a de plus essentiel, un irrésistible appel vers ce Dieu qui me châtie, qui me rejette loin de lui. Je sens une tendance irrépressible vers lui. Je saisis avec une évidence limpide que toutes les autres évidences de la terre ne peuvent saisir que mon être en tout ce qu'il est, est fait pour lui, est créé pour lui, qui ne peut trouver son bonheur, son assise, sa joie, sa paix qu'en Lui et en même temps, m'habite la haine, la plus féroce, la plus obstinée, la plus résolue envers ce maître dont je me suis détourné.
      Ce double mouvement situé au plus profond de mon être crée un déchirement intérieur tel que je m'étonne de ne pas être détruit et ce cri intérieur, ce cri de l'âme sort du cœur calciné, broyé de tous les damnés et cependant je ne voudrais pas être pour autant anéanti, car je veux continuer à le haïr de toute la force de ma noire volonté.
      Tu pourrais m'objecter que cette haine s'abrite derrière un mensonge, celui de cet attrait de la bonté de Dieu que je refuse. Je le sais bien, cette bonté, je préfère en détourner les yeux, mais sache que l'enfer est le royaume du père du mensonge et le palais de torture de ceux qui ont menti à leur âme, à Dieu et à leur entourage. D'un autre côté, l'enfer fait tomber le masque. Nous nous connaissons tous, non pas par notre nom, mais par notre principal péché.
      Nous nous percevons comme des incarnations de l'orgueil, de la paresse, de la luxure, de l'envie et cette vision augmente notre tourment.
      Ne crois pas à une quelconque solidarité des démons et des damnés. Nous nous haïssons d'une telle haine que la terre en serait stérilisée à jamais si une seule goutte de cette haine venait à la toucher. La haine insatiable dont nous enveloppons Dieu et notre vie passée se reporte sur les démons et les damnés. Les démons haïssent les damnés qui leur rappellent le Verbe incarné, et les damnés haïssent les démons qui les ont jetés dans cet océan de feu et qui les y tourmentent. Les damnés se haïssent mutuellement comme des complices découverts qui se rejettent la faute les uns sur les autres. Comment du reste, des damnés remplis de haine pourraient aimer d'autres damnés tout aussi remplis de haine. Ici, nul amour à donner, nul amour à recevoir.
      Ne cherche pas à savoir pour quelle faute je croupis en ces lieux désolés d'abord parce que j'y suis à plusieurs titres, mais surtout parce que, au fond, j'ai fait de ma personne le centre de ma vie et ici nous sommes des adorateurs de notre ego et c'est la seule chose, à vrai dire, qu'on ait adorée en vérité.
      Inutile de t'en dire davantage. Je ne formule qu’un souhait à ton égard, celui de te voir parmi nous. C’est très facile, il suffit de te laisser aller.
      Avec ma haine cordiale, ton ennemi sincère.

    • @paulb4493
      @paulb4493 9 місяців тому +3

      @@olivierleduc3256 Merci beaucoup !

    • @h.tahina7711
      @h.tahina7711 9 місяців тому

      ​@@olivierleduc3256❤

    • @clotildepodevin4360
      @clotildepodevin4360 9 місяців тому +1

      Qui a reçu cette lettre ? En quelle année ?

    • @symbole0677
      @symbole0677 4 місяці тому

      ​@@olivierleduc3256 De qui est cette lettre et à qui et comment a-t-elle été révélée jusqu'à nous?

  • @vanbelgik
    @vanbelgik 9 місяців тому

    Le revers d'une pièce dont l'avers est une belle vie réussie.

  • @stanghes6634
    @stanghes6634 9 місяців тому +20

    Ce texte est publié ?... s'il ne l'est pas, je crois qu'il devrait l'être !

    • @olivierleduc3256
      @olivierleduc3256 9 місяців тому +8

      J'étais jusqu'à hier dans la force de l'âge caressant de nombreux projets, jouissant d'un bon métier, aimant la vie et ses plaisirs. Tout s'est brisé hier à la suite d'un accident. Une douleur intense m'a serré le cœur et quoi que j’aie eu quelques minutes avant l'issue fatale, mon esprit d'un coup paniqué a songé à tout, sauf à s'en remettre à Dieu.
      Pas un souffle de repentir, pas l'once d'une prière n'a soulevé mon cœur et me voici plongé dans cet enfer dont j'avais redouté il y a fort longtemps les horreurs, mais dont la crainte s'était émoussée avec les années et quoi que de temps à autre, quelque prédicateur s'escrima à rallumer cette crainte salutaire, mon esprit volatile se refusait à m'arrêter à une pensée aussi sombre et surtout à prendre les moyens qui m'eussent permis d'y échapper. Avant d'être figé dans l'antre basse où je me tiens désormais, je passais devant mon juge. Je ne vis pas le Christ, j'en étais indigne, mais j’eus une telle conscience de sa présence que toute mon âme aurait voulu disparaître, se ramasser sur elle et se terrer pour ne pas avoir à supporter un regard que je ne pouvais voir, mais dont je pressentais l'acuité. En un clin d'œil, je ne vis que trop clair dans mon existence. Au-delà de quelques bons mouvements, de menus actes de piété, de bonté. Au-delà même de l'accomplissement de certains devoirs, je ne vis que trop le refus de Dieu, inscrit au plus profond de mon être.
      Au fond, ce Dieu que j'avais prié de temps à autre, était pour moi un étranger dont je n'hésitais pas à enfreindre les commandements. Instantanément ma vie entière et surtout cet éloignement de Dieu m’apparurent avec une telle évidence que je n'eus d’autre dessin que de fuir Dieu et je me précipitais de moi-même dans ce lieu obscur. Quoique privé de mon corps, je suis comme encastré dans un trou pratiqué dans une muraille de feu, écrasé de toutes parts, au milieu des ténèbres les plus épaisses. Il n’y a point de lumière mais chose que je ne saurais comprendre malgré cela, on aperçoit tout ce qui peut être un tourment pour l’existence.
      Pour vous qui êtes encore sur terre, cela ne fait que quelques heures que je m’y trouve. C’est peu, selon votre temps. Pour nous le temps n’est plus. Aussi difficile que cela soit compréhensible pour une âme de la terre, le futur n'existe plus mais, chose étonnante, mystérieuse, le passé continue d’exister. Non pour nous distraire, cela n’est plus possible, mais pour nous seriner continuellement le gâchis immense de notre vie terrestre et le poids écrasant, consternant, de notre culpabilité.
      C’est vrai, je revois ma vie, mais comme un cauchemar dont il n’existe aucun réveil.
      Chaque souvenir est une torture. Mes innombrables péchés m’assaillent comme un essaim de vilaines guêpes, ils me reviennent à la mémoire, ils m'accusent, ils me flagellent, ils me raillent et je ne vois que trop bien le temps précieux que j'ai perdu.
      Je ne saisis que trop nettement la disproportion entre le plaisir fugitif que j’y ai trouvé et la peine éternelle que j’en éprouve. Les bonnes actions elles-mêmes ne m’offrent guère de soulagement loin s’en faut.
      Déjà je ne puis me réjouir d’avoir servi un Dieu pour lequel je n’ai présentement qu’une haine viscérale. Mais en outre je vois que ces bonnes actions furent immanquablement stérilisées par une folle insouciance. Au lieu de poursuivre dans ce chemin de vertu, ces quelques bonnes œuvres n’ont servi qu’à me rassurer, à me dédouaner à bon compte des péchés graves que je commettais.
      Une bonne prière, une messe écoutée, voire une confession de temps à autre, à tout cela, je n’ai pas donné suite. Comme une bonne graine de l’Évangile, elles n’ont pas donné le fruit qu’elles étaient en droit d’escompter. Tout est retombé à plat. Ce qui fait le tourment de mon remords c'est cet invraisemblable gâchis. Je suis passé si souvent à côté de la grâce, j’aurais pu si facilement remettre de l'ordre dans ma vie. J'étais si avantagé par la foi reçue par une éducation chrétienne des manières de penser catholique, au milieu d'une génération ignorante, que j'ai presque peine à penser que j'ai perdu mon âme. Moi, un catholique de tradition, à jamais. Jamais toujours ces mots sont ici écrits en lettres de feu, au milieu des ténèbres, ils habitent toujours notre pensée. Et cela participe de ces chaînes infernales.
      Sur terre, vous avez de la peine à vous imaginer la nature de ce feu infernal. Ce feu est en effet terriblement différent de celui de la Terre. Lorsque j'étais jeune, j'aimais chanter au coin du feu, la danse du feu me fascinait, libre, ardente, brillante, jeune, la flamme est une beauté de la terre.
      Ici le feu n'est ni libre, ni brillant, ni jeune. Il est seulement ardent. Il brûle, sans éclairer. Il calcine, sans consumer.
      Surtout comme une douleur qui enferme l'esprit, en l'empêchant de songer à toute autre chose, la douleur de ce feu est telle, qu'elle empêche l'âme de s'évader intérieurement. Impossible de songer à autre chose qu'à sa faute, à son malheur à son éternelle peine. Enfermée comme dans une cage de feu, l'âme ne peut méditer que son malheur, ne peut sentir que son tourment, ne peut se nourrir que de sa souffrance. Tout cela n'est rien à côté de cet écartèlement de l'âme en ce qu'elle a de plus profond. Je te l'écrivais tout à l'heure, je sens à la racine de mon être en ce qu'il a de plus essentiel, un irrésistible appel vers ce Dieu qui me châtie, qui me rejette loin de lui. Je sens une tendance irrépressible vers lui. Je saisis avec une évidence limpide que toutes les autres évidences de la terre ne peuvent saisir que mon être en tout ce qu'il est, est fait pour lui, est créé pour lui, qui ne peut trouver son bonheur, son assise, sa joie, sa paix qu'en Lui et en même temps, m'habite la haine, la plus féroce, la plus obstinée, la plus résolue envers ce maître dont je me suis détourné.
      Ce double mouvement situé au plus profond de mon être crée un déchirement intérieur tel que je m'étonne de ne pas être détruit et ce cri intérieur, ce cri de l'âme sort du cœur calciné, broyé de tous les damnés et cependant je ne voudrais pas être pour autant anéanti, car je veux continuer à le haïr de toute la force de ma noire volonté.
      Tu pourrais m'objecter que cette haine s'abrite derrière un mensonge, celui de cet attrait de la bonté de Dieu que je refuse. Je le sais bien, cette bonté, je préfère en détourner les yeux, mais sache que l'enfer est le royaume du père du mensonge et le palais de torture de ceux qui ont menti à leur âme, à Dieu et à leur entourage. D'un autre côté, l'enfer fait tomber le masque. Nous nous connaissons tous, non pas par notre nom, mais par notre principal péché.
      Nous nous percevons comme des incarnations de l'orgueil, de la paresse, de la luxure, de l'envie et cette vision augmente notre tourment.
      Ne crois pas à une quelconque solidarité des démons et des damnés. Nous nous haïssons d'une telle haine que la terre en serait stérilisée à jamais si une seule goutte de cette haine venait à la toucher. La haine insatiable dont nous enveloppons Dieu et notre vie passée se reporte sur les démons et les damnés. Les démons haïssent les damnés qui leur rappellent le Verbe incarné, et les damnés haïssent les démons qui les ont jetés dans cet océan de feu et qui les y tourmentent. Les damnés se haïssent mutuellement comme des complices découverts qui se rejettent la faute les uns sur les autres. Comment du reste, des damnés remplis de haine pourraient aimer d'autres damnés tout aussi remplis de haine. Ici, nul amour à donner, nul amour à recevoir.
      Ne cherche pas à savoir pour quelle faute je croupis en ces lieux désolés d'abord parce que j'y suis à plusieurs titres, mais surtout parce que, au fond, j'ai fait de ma personne le centre de ma vie et ici nous sommes des adorateurs de notre ego et c'est la seule chose, à vrai dire, qu'on ait adorée en vérité.
      Inutile de t'en dire davantage. Je ne formule qu’un souhait à ton égard, celui de te voir parmi nous. C’est très facile, il suffit de te laisser aller.
      Avec ma haine cordiale, ton ennemi sincère.

    • @stanghes6634
      @stanghes6634 9 місяців тому +4

      @@olivierleduc3256 vous avez retranscrit les paroles ? - bravo alors et merci ! - ou est-ce publié ?

    • @olivierleduc3256
      @olivierleduc3256 9 місяців тому +10

      Je ne sais pas où c’est publié. Je me suis contenté de retranscrire le texte. 😉

    • @SteevyenMPSI
      @SteevyenMPSI 20 днів тому

      Mais qui est l'auteur de cette lettre ?

  • @zaigvent4136
    @zaigvent4136 9 місяців тому +7

    A ce genre de texte fabriqué pour nous terrifier, je préfère nettement ste Thérèse de Lisieux ! C'est beaucoup plus encourageant, et les pécheurs que nous sommes ont besoin d'encouragement, moi, en tout cas !
    "Je n'aurais pas voulu ramasser une épingle pour éviter le purgatoire. Tout ce que j'ai fait c'était pour faire plaisir au bon Dieu " .

    • @MrFradelrico
      @MrFradelrico 9 місяців тому

      Oui l'Amour avant tout et craindre Dieu n9n pour son courrou car ul est misericordieux mais nous craindre nous meme qui somles si faibles et si tiedes dans notre amour envers lui, pour tout ce qu il nous donne et accorde, craindre d être face a son propre péché vu par nous memes comme il est vu par les yeux de Dieu quu voit tout en vérité, car le péché est laid et il faut avoir une contrition sincère d etre aussi faible sur cette terre et. Cette homelie a le mzrite de nous mettre face à nous-mêmes, et parfois, voir souvent (et c est pour cela qu elle existe et qu elle existe sur terre, Dieu nous la laisse par misericorde) la peur est aussi un bon moyen pour nous sortir de la tiedeur et nous faire agir en consequence. Merci donc pour cette homélie qui réveille en utilisant cet outil qu'est l imagination: apres avoir ecouté cette video, j ai rêvé cette nuit que l humanité entiere etait arrivé au jugement et qu il nous restaient 4 jours à vivre comle un purgatoire... dès les 1ere heures on pouvait sentir monter la pression et voor ceux qui s entêtaient dans lzurs péchés en voulant "en profiter" jusqu à la derniere heure, et ceux qui souhaitaient se convertir en rejetant leurs tentations principales. Deux camps se formaient et on ne reteouvaient pas forcemznt les gens là où on les attendait! VOIR AVEC LES YEUX DE DIEU, ÇA CHANGE TOUT! TÂCHONS DE RESTER DANS LES MAINS DE LA VIERGE MARIE QUI EST NOTRE BIENHZUREUSE MERE ET GUIDE VERS LE REDEMPTEUR AFIN QUE NOUS SOYONS RECONNAISSANT À SON FILS D AVOIR RACHETÉ CE QUE NOUS NE POUVONS FAIRE NOUS SEULS. AMEN

    • @zaigvent4136
      @zaigvent4136 9 місяців тому

      Cher fradelrico, nous n'avons pas tous la même psychologie, Pour ma part, je crois que le Bon Dieu me ramène toujours à sainte Thérèse de Lisieux qui n'emprunte pas du tout ce chemin de terreur,.
      C'est juste ce que je voulais partager avec ceux qui sont comme moi et qui ont besoin de se rappeler sans cesse l'Amour de Dieu.

  • @tiboussine
    @tiboussine 9 місяців тому +1

    Bonsoir, Ce texte est inspiré ou est il un testament d'outre-tombe ? Si quelqu'un pouvait donner l'origine, merci 🙏

  • @feufollet2360
    @feufollet2360 9 місяців тому +5

    je viens moi aussi vous demander de qui est cette lettre. Merci de nous répondre

  • @fredericboucheix9888
    @fredericboucheix9888 9 місяців тому +7

    Bonjour
    Ce que je ne comprends pas trop, comment un damné peut il envoyé l'état de son existence dans l'autre monde ?

    • @josuedenoun3221
      @josuedenoun3221 9 місяців тому +1

      Cette lettre est fabriquée pour servir de prédication.
      Cela dit il existe un passage du nouveau testament qui relate les états d’âme d’un damné, il s’agit du mauvais riche dans Luc 16:19

  • @ghislainegigi7944
    @ghislainegigi7944 9 місяців тому

    Bonsoir M.l'abbé Chautard
    Méditation.
    Demain ne nous appartient pas ! Préparez vous à la rencontre de votre Dieu. Ne vous ventez pas du lendemain ! Car vous ne savez pas ce qu'un jour peut enfanter.

  • @micheldama1956
    @micheldama1956 9 місяців тому +8

    Ou se procurer le texte SVP?

    • @olivierleduc3256
      @olivierleduc3256 9 місяців тому +2

      J'étais jusqu'à hier dans la force de l'âge caressant de nombreux projets, jouissant d'un bon métier, aimant la vie et ses plaisirs. Tout s'est brisé hier à la suite d'un accident. Une douleur intense m'a serré le cœur et quoi que j’aie eu quelques minutes avant l'issue fatale, mon esprit d'un coup paniqué a songé à tout, sauf à s'en remettre à Dieu.
      Pas un souffle de repentir, pas l'once d'une prière n'a soulevé mon cœur et me voici plongé dans cet enfer dont j'avais redouté il y a fort longtemps les horreurs, mais dont la crainte s'était émoussée avec les années et quoi que de temps à autre, quelque prédicateur s'escrima à rallumer cette crainte salutaire, mon esprit volatile se refusait à m'arrêter à une pensée aussi sombre et surtout à prendre les moyens qui m'eussent permis d'y échapper. Avant d'être figé dans l'antre basse où je me tiens désormais, je passais devant mon juge. Je ne vis pas le Christ, j'en étais indigne, mais j’eus une telle conscience de sa présence que toute mon âme aurait voulu disparaître, se ramasser sur elle et se terrer pour ne pas avoir à supporter un regard que je ne pouvais voir, mais dont je pressentais l'acuité. En un clin d'œil, je ne vis que trop clair dans mon existence. Au-delà de quelques bons mouvements, de menus actes de piété, de bonté. Au-delà même de l'accomplissement de certains devoirs, je ne vis que trop le refus de Dieu, inscrit au plus profond de mon être.
      Au fond, ce Dieu que j'avais prié de temps à autre, était pour moi un étranger dont je n'hésitais pas à enfreindre les commandements. Instantanément ma vie entière et surtout cet éloignement de Dieu m’apparurent avec une telle évidence que je n'eus d’autre dessin que de fuir Dieu et je me précipitais de moi-même dans ce lieu obscur. Quoique privé de mon corps, je suis comme encastré dans un trou pratiqué dans une muraille de feu, écrasé de toutes parts, au milieu des ténèbres les plus épaisses. Il n’y a point de lumière mais chose que je ne saurais comprendre malgré cela, on aperçoit tout ce qui peut être un tourment pour l’existence.
      Pour vous qui êtes encore sur terre, cela ne fait que quelques heures que je m’y trouve. C’est peu, selon votre temps. Pour nous le temps n’est plus. Aussi difficile que cela soit compréhensible pour une âme de la terre, le futur n'existe plus mais, chose étonnante, mystérieuse, le passé continue d’exister. Non pour nous distraire, cela n’est plus possible, mais pour nous seriner continuellement le gâchis immense de notre vie terrestre et le poids écrasant, consternant, de notre culpabilité.
      C’est vrai, je revois ma vie, mais comme un cauchemar dont il n’existe aucun réveil.
      Chaque souvenir est une torture. Mes innombrables péchés m’assaillent comme un essaim de vilaines guêpes, ils me reviennent à la mémoire, ils m'accusent, ils me flagellent, ils me raillent et je ne vois que trop bien le temps précieux que j'ai perdu.
      Je ne saisis que trop nettement la disproportion entre le plaisir fugitif que j’y ai trouvé et la peine éternelle que j’en éprouve. Les bonnes actions elles-mêmes ne m’offrent guère de soulagement loin s’en faut.
      Déjà je ne puis me réjouir d’avoir servi un Dieu pour lequel je n’ai présentement qu’une haine viscérale. Mais en outre je vois que ces bonnes actions furent immanquablement stérilisées par une folle insouciance. Au lieu de poursuivre dans ce chemin de vertu, ces quelques bonnes œuvres n’ont servi qu’à me rassurer, à me dédouaner à bon compte des péchés graves que je commettais.
      Une bonne prière, une messe écoutée, voire une confession de temps à autre, à tout cela, je n’ai pas donné suite. Comme une bonne graine de l’Évangile, elles n’ont pas donné le fruit qu’elles étaient en droit d’escompter. Tout est retombé à plat. Ce qui fait le tourment de mon remords c'est cet invraisemblable gâchis. Je suis passé si souvent à côté de la grâce, j’aurais pu si facilement remettre de l'ordre dans ma vie. J'étais si avantagé par la foi reçue par une éducation chrétienne des manières de penser catholique, au milieu d'une génération ignorante, que j'ai presque peine à penser que j'ai perdu mon âme. Moi, un catholique de tradition, à jamais. Jamais toujours ces mots sont ici écrits en lettres de feu, au milieu des ténèbres, ils habitent toujours notre pensée. Et cela participe de ces chaînes infernales.
      Sur terre, vous avez de la peine à vous imaginer la nature de ce feu infernal. Ce feu est en effet terriblement différent de celui de la Terre. Lorsque j'étais jeune, j'aimais chanter au coin du feu, la danse du feu me fascinait, libre, ardente, brillante, jeune, la flamme est une beauté de la terre.
      Ici le feu n'est ni libre, ni brillant, ni jeune. Il est seulement ardent. Il brûle, sans éclairer. Il calcine, sans consumer.
      Surtout comme une douleur qui enferme l'esprit, en l'empêchant de songer à toute autre chose, la douleur de ce feu est telle, qu'elle empêche l'âme de s'évader intérieurement. Impossible de songer à autre chose qu'à sa faute, à son malheur à son éternelle peine. Enfermée comme dans une cage de feu, l'âme ne peut méditer que son malheur, ne peut sentir que son tourment, ne peut se nourrir que de sa souffrance. Tout cela n'est rien à côté de cet écartèlement de l'âme en ce qu'elle a de plus profond. Je te l'écrivais tout à l'heure, je sens à la racine de mon être en ce qu'il a de plus essentiel, un irrésistible appel vers ce Dieu qui me châtie, qui me rejette loin de lui. Je sens une tendance irrépressible vers lui. Je saisis avec une évidence limpide que toutes les autres évidences de la terre ne peuvent saisir que mon être en tout ce qu'il est, est fait pour lui, est créé pour lui, qui ne peut trouver son bonheur, son assise, sa joie, sa paix qu'en Lui et en même temps, m'habite la haine, la plus féroce, la plus obstinée, la plus résolue envers ce maître dont je me suis détourné.
      Ce double mouvement situé au plus profond de mon être crée un déchirement intérieur tel que je m'étonne de ne pas être détruit et ce cri intérieur, ce cri de l'âme sort du cœur calciné, broyé de tous les damnés et cependant je ne voudrais pas être pour autant anéanti, car je veux continuer à le haïr de toute la force de ma noire volonté.
      Tu pourrais m'objecter que cette haine s'abrite derrière un mensonge, celui de cet attrait de la bonté de Dieu que je refuse. Je le sais bien, cette bonté, je préfère en détourner les yeux, mais sache que l'enfer est le royaume du père du mensonge et le palais de torture de ceux qui ont menti à leur âme, à Dieu et à leur entourage. D'un autre côté, l'enfer fait tomber le masque. Nous nous connaissons tous, non pas par notre nom, mais par notre principal péché.
      Nous nous percevons comme des incarnations de l'orgueil, de la paresse, de la luxure, de l'envie et cette vision augmente notre tourment.
      Ne crois pas à une quelconque solidarité des démons et des damnés. Nous nous haïssons d'une telle haine que la terre en serait stérilisée à jamais si une seule goutte de cette haine venait à la toucher. La haine insatiable dont nous enveloppons Dieu et notre vie passée se reporte sur les démons et les damnés. Les démons haïssent les damnés qui leur rappellent le Verbe incarné, et les damnés haïssent les démons qui les ont jetés dans cet océan de feu et qui les y tourmentent. Les damnés se haïssent mutuellement comme des complices découverts qui se rejettent la faute les uns sur les autres. Comment du reste, des damnés remplis de haine pourraient aimer d'autres damnés tout aussi remplis de haine. Ici, nul amour à donner, nul amour à recevoir.
      Ne cherche pas à savoir pour quelle faute je croupis en ces lieux désolés d'abord parce que j'y suis à plusieurs titres, mais surtout parce que, au fond, j'ai fait de ma personne le centre de ma vie et ici nous sommes des adorateurs de notre ego et c'est la seule chose, à vrai dire, qu'on ait adorée en vérité.
      Inutile de t'en dire davantage. Je ne formule qu’un souhait à ton égard, celui de te voir parmi nous. C’est très facile, il suffit de te laisser aller.
      Avec ma haine cordiale, ton ennemi sincère.

    • @p.l.1708
      @p.l.1708 9 місяців тому +1

      ​@@olivierleduc3256merci beaucoup 🙏

  • @theshibasmiley3611
    @theshibasmiley3611 9 місяців тому +3

    Ce genre d'homélie appelle à la conversion non pas pour les bonnes raisons.
    Elle appelle à la conversion par un "sauve qui peut"! "Sois bien attentif à garder ta place au paradis, n'aime pas Dieu pour Lui, mais aime-le pour avoir ta part au ciel. Crains-Le !"
    Au final c'est de l'égoïsme, une sorte d'amour de soi et s'assurer d'une place aux premières loges.
    Pax et gratia.

    • @larguierguillaume5609
      @larguierguillaume5609 9 місяців тому +2

      L'Église enseigne que quand on n'a pas l'amour, il faut la crainte
      Tout simplement car par la crainte servile, l'âme cherchera à se couper promptement du peché mortel. Cependant cette crainte servile n'est pas suffisante pour se sauver car quiconque aime Dieu imparfaitement, aime sont prochain imparfaitement. Mais cette disposition d'esprit est un moyen pour Dieu qui peut réveiller l'âme aveuglé par le peché pour progressivement avec sa bonne volonté et la grâce du Bon Dieu la faire passer de cette crainte servile à une sainte crainte, la crainte filiale, celle qui implique un véritable amour de Dieu.
      Voilà pourquoi la considération des peines de l'enfer a toujours été un grand moyen de conversion.

    • @theshibasmiley3611
      @theshibasmiley3611 9 місяців тому

      @@larguierguillaume5609 peut-être mais voyez le mal que cela a produit dans les consciences, les gens ne croient plus, et les anciens pas nécessairement pour les bonnes raisons. C'est eux-mêmes qu'ils risquent d'aimer, car ils ne craignent pas Dieu, mais leur propre damnation.
      Je doute que l'on voit beaucoup de gens passer d'une crainte servile à l'amour véridique de Jésus-Christ. Prier pour sauver son âme, c'est passer à côté de la relation filiale, confiante à laquelle nous sommes tous appelés. Nous confions cela entre ses mains.
      Notre Père est bon, la Miséricorde est au centre du Message de NS Jésus-Christ.
      Cette Homélie est peut-être utile pour les enfants dans la foi que sont les musulmans. Mais cela relève plus de racolage que de l'évangile.
      Le Seigneur a transfiguré la prédication du Dieu qui punit tel que le prêchait Saint Jean-Baptiste. Le Dieu du contrat, celui des amis de Job. Dans la lignée des prophètes.
      NS au contraire à révélé la Miséricorde du Père, ce n'est pas le Dieu comptable qui est à l'œuvre, c'est le Dieu responsable qui nous veut libres et adultes, capables, par notre baptême et par l'Esprit, de prendre des décisions en fonction de chaque situation.
      Passer à côté de ça, c'est passer à côté d'une relation saine, et ne pas aimer Dieu pour qui il est, mais pour la peur des peines que supposément il nous infligerait. Ça fait penser à l'Islam, vous en conviendrez. Il manque plus que la Shahada, le Dieu du contrat, les peines corporelles, la menace de l'enfer brandie à tout bout de champ, et la conversion est opérée.
      Le recours à la crainte et à l'enfer est ce qu'il y a de plus facile à prêcher. Ça demande moins d'effort car l'argument d'autorité est puissant. Appeler à la responsabilité des gens, de ce qu'ils font de leur vie depuis qu'ils sont devenus enfants de Dieu, une anamnese complète, c'est autre chose. Nous sommes tous appelés à vivre de l'Esprit et à discerner.
      Que la Paix du Christ soit avec nous

    • @larguierguillaume5609
      @larguierguillaume5609 9 місяців тому +1

      @@theshibasmiley3611 Je vous dis cela déjà parce que c'est pas ce moyen que le Bon Dieu ma appelé à la conversation, est pourtant j'étais déjà catholique donc c'est avant tout par expérience.
      On ne cesse d'entendre aujourd'hui que Dieu est bon qu'il est miséricordieux et c'est très vrai, mais sa miséricorde ne peut pas être comprise si on comprend pas sa justice. Il est bien la l'aveuglement actuel, penser que l'on peu offensé Dieu indéfiniment sans en risquer les conséquences sous prétexte qu'il est miséricordieux. Très nombreux sont ceux qui on prêché sur les peine de l'enfer et très nombreux sont les ouvrages qui on encourager à les méditer souvent. Saint Ignace par exemple dans sa celebre retraite, ou saint François de Sales dans sont ouvrage "introduction a la vie dévote" cela est extrêmement nécessaire surtout aujourd'hui ou on ne croit même plus a l'enfer, tout les grand saints craignaient l'enfer de saint françois d'assise au saint curé d'ars. Cette crainte est nécessaire déjà pour ceux qui sont aveuglé par le peché, mais elle l'est tout autant pour ceux déjà avancé dans la vertu car cela permet de combattre la tiédeur et s'efforcer de cherché une plus grande perfection. Cela par permet surtout de considérer la patiente et la miséricorde infini que Dieu a eu a notre égard ainsi que tout les secours et les grâces qu'il nous à donné pour éviter cette peine alors que l'on a cessé de l'offenser par nos pechés.
      Tout cela c'est a cause de notre faiblesse humaine, c'est comme un enfant qui ne fait pas une bêtise parce qu'il sait qu'il risque d'être puni par la suite, c'est imparfait mais c'est nécessaire pour qu'il apprenne progressivement à aimer le bien comme une fin en soi. Et nous pour ne pas tomber dans la présomption nous devons le méditer régulièrement pour nous rappeler que le ciel se mérite.
      Cette crainte n'est pas une fin, c'est un moyen qui a fait largement ces preuves
      Je vous recommande certains ouvrages comme le livre des dialogues de sainte Catherine de sienne ou les revelation de sainte Brigitte de suède qui sont d'un grand profit intellectuel et spirituel sur ces questions et bien d'autres.

  • @cedric504
    @cedric504 9 місяців тому

    😥

  • @cavok0050
    @cavok0050 9 місяців тому +2

    Excusez mon ignorance, à t on le droit de prier pour les damnés ? Ça fait froid dans le dos cette vidéo

    • @ludivine3277
      @ludivine3277 9 місяців тому +6

      Non car leur jugement est juste, ils sont les seuls fautifs de leur damnation et rien ne peut soulager leur sort. On sait que quand une âme est damnée elle ne peut pas dire que son jugement est injuste, elle sait pourquoi elle l'est. Il me semble que sainte Catherine de Gênes, dans son traité sur le purgatoire, dit même que si l'enfer n'était que justice il devrait être encore pire, mais Dieu a permis que ce ne soit pas le cas. Par contre il faut beaucoup prier pour les âmes du purgatoire et pour les âmes qui se perdent sur terre

    • @jeanmarcdelleci2639
      @jeanmarcdelleci2639 9 місяців тому

      Si, tu peux, ne t'inquiètes pas Marie redirigera en grâce la force de tes prières vers les pêcheurs en action de grâce car en vérité tes prières ne t'appartiennent plus
      Vas en paix et contentes-toi de fortifier ta foi de tes prières

    • @jean-jacquesmostacci4336
      @jean-jacquesmostacci4336 6 місяців тому

      L'enfer est rempli de personnes qui se détestent les unes, les autres. C'est un lieu où l'ambiance est lourde. C'est les conséquences de leurs actes. L'enfer, c'est nous qui nous le fabriquons.

  • @Alex_33_3
    @Alex_33_3 9 місяців тому +1

    Je suis en pleine conversion,
    Mais j’ai rencontré et adhéré à des choses terribles. (Pacte avec l’ennemi enfant).
    Suis je damné ? Le baptême peut il me sauver ?

    • @anneelkhoury9485
      @anneelkhoury9485 9 місяців тому +3

      Oui le baptême sauve

    • @bernadetteroque1422
      @bernadetteroque1422 9 місяців тому +3

      Oui ,le baptême est une nouvelle naissance!
      Il vous faut passer par les sacrements de l’Eglise avec l’aide d’un prêtre. Vous devez beaucoup prier le Christ et sa mère, Marie, pour résister aux attaques des ténèbres.
      Dieu vous aime infiniment, bien au delà de votre péché, et attend de votre part une réponse d’amour.

    • @MrWookie21
      @MrWookie21 9 місяців тому +1

      Lisez et comprenez les Évangiles, il y a 3 baptêmes qu'un enfant ne peut comprendre. Nous sommes nés dans la chair et vivons dans un monde affairé à promouvoir notre égo et l'assujettir à la compulsion. Seul l'Agneau immaculé de Dieu, notre Seigneur Jésus Christ est en mesure de nous sauver de l'emprise du diable par le prix de son précieux sang et de nous purifier par sa Parole.
      Dans votre situation ne réside pas seulement le fait de la chair que nous héritons tous par nature, suite au péché originel ; mais également celui d'avoir été en relation avec l'occultisme et dont vous devez vous repentir.
      Priez en affirmant votre Foi envers Christ, car il est le Haut Prêtre de votre confession en vue de votre rédemption.

    • @MrFradelrico
      @MrFradelrico 9 місяців тому +1

      La misericorde du Seigneur est infiinie, sinon pourquoi Jesus serait-il venu. Sans lui nous ne pouvons rien mais avec lui nous sommes entre de bonnes mains... et ce n est pas à nos merites qu il nous sauve, mais parce qu il est bon. "Si tubrztiens les fautes Seigneur qui donc subsistera..." c est dans le De Profondis je croix ça veut tout dire. Cette "lettre" du damné est un beau prèche en ce sens qu il nous rappelle que l Enfer n est pas un lieu de joie mais que c est bien le lieu de ceux qui rejettent la bonté de Dieu... Si vous aimez Dieu et ce malgré vos erreurs, vous pouvez esperer en la misericorde de Dieu qui est notre Pere comme la parabole du fils prodigue. Ce damné de la lettre est comme Judas, il pense dans son orgueil que son pécher est plus grand que la misericorde de Dieu, et il se sent tellement honteux qu il ne veut pas s humilier au pied du Seigneur et de lui même il choisit la mort de l'âme... Humilions nous humblement c est la voie du salut pour tous les pecheurs que nous sommes, du 1er au dernier. Soyez tous béni

    • @Alex_33_3
      @Alex_33_3 9 місяців тому +3

      Merci, pour vos réponses encourageante. Je vais continuer à avancer et prier

  • @veroniquelac7644
    @veroniquelac7644 9 місяців тому +3

    Ça serait bien d’ouvrir une Bible de temps en temps....vous verriez que l’Enfer n’est pas encore ouvert il faut le jugement dernier d’abord, là il est dans le séjour des morts....ouvrir la Bible et demander au Seigneur de vous instruire dans toute la vérité, se repentir être évidemment pardonné par Jésus et avoir une relation personnelle avec Christ. Jésus vous aime il est vivant.

    • @larguierguillaume5609
      @larguierguillaume5609 9 місяців тому +1

      Luc 16:19-31

    • @veroniquelac7644
      @veroniquelac7644 9 місяців тому

      Oui oui c'est bien ça Apocalypse 20: 1-15 jugement du Grand Trône blanc.Dans Luc Jésus parle du séjour des morts et du sein d'Abraham pas de démons qui tourmentent mais de chaleur et de flammes. L'étang de feu et de souffre tourmentera le diable et les démons et les humains qui n'ont pas voulu se repentir au jugement dernier. L'enfer n'est pas un parc d'attraction pour le diable et les démons tourmentant l'humanité déchue pour l'éternité. Ils brûleront et souffriront autant que les humains. A l'origine c'est pour eux que cet endroit a été créé.

    • @larguierguillaume5609
      @larguierguillaume5609 9 місяців тому +8

      Si vous pouvez lire la bible aujourd'hui, c'est bien grâce à la tradition catholique par laquelle elle nous a été transmise.
      Qu'est ce qui vous semble le plus logique, que nos propre lumières suffisent, que seul la bible compte pour comprendre la parole de Dieu et que cela n'a été compris que 15 siècles après la venu de notre Seigneur, sachant néanmoins que les principaux fondateur du protestantisme n'était pas d'accord entre eux et que le protestantisme n'a jamais brillé par son unité. Ou bien est-il plus logique de croire que c'est par la tradition catholique ininterrompu depuis notre Seigneur par la succession apostolique que Dieu à transmis sa parole en fondant son Eglise sur saint Pierre garantissant son unité doctrinale.
      Et il plus logique de penser que tout les catholiques ne lisent pas la bible ou ne la comprennent pas et se laisse trompé depuis des siècles par les mêmes soit disant fausses doctrines qui se sont pourtant répandu de manière cohérente avec travers le monde sans liens direct entre elle. Ou bien est il plus logique que les catholiques lisent la bible et la comprenne à la lumière de la grâce et de la multitude de ceux qui l'on compris, enseigné et appliqué par la grâce de Dieu avant eux.
      Je vous renvoi donc le conseil, demander au Seigneur de vous (laissez) instruire dans toute la vérité à la lumière de ses amis qui n'on cessé de recevoir des grâces pour la la comprendre et l'enseigner.

    • @veroniquelac7644
      @veroniquelac7644 9 місяців тому

      @@larguierguillaume5609
      Je dis juste que " malheur à l'homme qui se confie dans l'homme" juste que l'église catholique a fait passer la tradition avant la Parole de Dieu, juste que c'est le Saint-Esprit qui nous conduit dans toute la vérité et que heureusement que Luther la recherchée suffisamment pour pouvoir anéantir l'hypocrisie catholique romaine qui manipule le peuple ignorant et illettré de l'époque pour faire croire à des hérésies qui ont entraîné des multitudes à la perdition religion idolâtres s'il en est qui croit que l'ont peut atteindre Dieu par nos bonnes œuvres alors que l'homme non régénéré ne peut rien faire de lui même. Je ne vais pas faire un roman mais seul le Saint-Esprit peut vous venir en aide si vous cherchez Dieu de tout votre coeur, le Seigneur cherche une relation d'amour réciproque et désintéressé avec ses enfants pour cela il faut naître de nouveau comme Jésus l'a expliqué à Nicodème. Soyez éclairé par la vérité, les enseignants sont nécessaires mais les vrais pas les dogmes..... babyloniens.

    • @ottis3740
      @ottis3740 9 місяців тому +1

      Sur la croix Jésus à dit au bon larron AUJOURD'HUI tu sera avec moi au paradis .

  • @CielVenus1
    @CielVenus1 9 місяців тому +1

    Toujours aussi gai à St pie X à ce que je vois.

  • @audreychose7469
    @audreychose7469 9 місяців тому +5

    Pourquoi une âme de damné déteste Dieu ?

    • @Cecile1670
      @Cecile1670 9 місяців тому

      il hait car il est sorti de la grâce de Dieu par sa propre volonté..l enfer l'enferme dans l'unique loi du mal dont Dieu ne fait plus partie

    • @MrWookie21
      @MrWookie21 9 місяців тому

      Car c'est une tautologie.

    • @ansgardedesaintcrespin9459
      @ansgardedesaintcrespin9459 9 місяців тому

      Un damné est privé de la présence de Dieu

  • @Leonmagnetiseurcoupeurde-en1gz
    @Leonmagnetiseurcoupeurde-en1gz 9 місяців тому

    Je pensais que le spiritisme était interdit par l église 😙

  • @josuedavid2820
    @josuedavid2820 9 місяців тому +1

    Il est facile de tomber dans le péché, tout comme il est facile de mal visé. Mais s'appliquer a visé a etre droit juste et bon c'est pas facile dans ce monde dirigé par les méchants. Implorons la grâce et la miséricorde. Dieu est grand.

  •  9 місяців тому

    Amen