Les gens ètaient courageux à l’époque!!ils travaillaient pour eux, il fallait y aller pour vivre et les cultivateurs s'entraidaient il le fallait parfois en fonction du travail! Ils n 'avaient pas le temps de s'ennuyer et la paresse ètait mal vu !!Ils étaient vraiment courageux en fonction du travail des saisons mais trés bien organisés sans se laisser déborder, autrement ça se voyait dans certaines fermes ou les vaches ètaient trés sales écurie pas assez nettoyée etc...... Je respecte les gens de la terre mes grands parents ètaient cultivateurs respect à cette profession! On a besoin d'eux faut pas l’oublier pour puvoir se nourrir !
Encore un belle incursion chez ce monsieur René , ceux qui ont vécu ces époques , savent ce que c est le dur labeur .Car en leurs temps , ca bossait dur été comme hivers , c était plus convivial entre les voisins. De nos jours beaucoup ne connaissent pas leurs voisins , l égoïsme et la jalousie sont devenus , plus important que l amitié et rendre service .Je comprend ces anciens , qui ont subit ces guerres , la pauvreté et la maladie .Le modernisme EST ARRIVER et a fini par de les achever , combien de ferme sont à l abandon , ou d agriculteurs suicidé .Heureusement des jeunes , se bougent Maraicher ils cultivent , dans des serres , sans tracteurs , ca rapporte si ont se bouge , mais être esclaves des bêtes, il y a moins de prétendants
Génial bcp de souvenirs., les œufs , poulet , lapins . Si seulement ont revivait 24 h nos politicards et l urbain comprendrais mieux la valeur du bon ! suffisance et le respect du travail ... Merci à tous c'est témoignage 😍❤💯👍🏻👍🏻👏🏼👏🏼👏🏼
Du Québec également, région Abitibi-Temiscamingue. Nous étions heureux sans le savoir en ce temps-là. Ici on n'avait pas les boeufs pour les travaux agricoles mais on a connu les chevaux avant les tracteurs puis les grosses machines agricoles. Merci de nous partager tes souvenirs René.
justement je lis un roman "sous le manteau du silence " de Claire Bergeron , la vie d'une "garde Lambert " qui une fois diplomée part travailler à Amitibi dans les années 40 , un joli voyage que je vous le conseille !
toujours tres interessant , merci à vous tous ! René est tres positif et je me pose la question sur les capacités de durée d'activités et intellectuelles des hommes et femmes "obligés " d'interrompre au nom de l'heure de départ en retraite ...et si nous étions faits pour une vie active plus longue tant qu'on a la santé au lieu d'un départ prématuré fixé à ...64 ans , pourquoi réserver la longévité seulement aux politiques , médecins , notaires , avocats , magistrats etc ?
Sans le savoir et sans le vouloir ce Monsieur à participé à l'évolution du système agricole qui est ce qu'il est aujourd'hui ......et ça continu .... les fermes les plus en phase avec la nature sont les plus vulnérables , pas techniquement elles sont logiques de taille humaine , mais économique car le système n'en veut pas !....... faire de la vente directe oui, mais comment toucher les citadins lorsque tu es perdu dans la campagne ????..... et le citadin est il capable de comprendre et de soutenir ce type ferme sans ce faire niquer ( commu ) par le système en place ?????? bonne continuation
Les gens ètaient courageux à l’époque!!ils travaillaient pour eux, il fallait y aller pour vivre et les cultivateurs s'entraidaient il le fallait parfois en fonction du travail! Ils n 'avaient pas le temps de s'ennuyer et la paresse ètait mal vu !!Ils étaient vraiment courageux en fonction du travail des saisons mais trés bien organisés sans se laisser déborder, autrement ça se voyait dans certaines fermes ou les vaches ètaient trés sales écurie pas assez nettoyée etc...... Je respecte les gens de la terre mes grands parents ètaient cultivateurs respect à cette profession! On a besoin d'eux faut pas l’oublier pour puvoir se nourrir !
Encore un belle incursion chez ce monsieur René , ceux qui ont vécu ces époques , savent ce que c est le dur labeur .Car en leurs temps , ca bossait dur été comme hivers , c était plus convivial entre les voisins. De nos jours beaucoup ne connaissent pas leurs voisins , l égoïsme et la jalousie sont devenus , plus important que l amitié et rendre service .Je comprend ces anciens , qui ont subit ces guerres , la pauvreté et la maladie .Le modernisme EST ARRIVER et a fini par de les achever , combien de ferme sont à l abandon , ou d agriculteurs suicidé .Heureusement des jeunes , se bougent Maraicher ils cultivent , dans des serres , sans tracteurs , ca rapporte si ont se bouge , mais être esclaves des bêtes, il y a moins de prétendants
de mon québec lointain . bien,tres bon reportage
Génial bcp de souvenirs., les œufs , poulet , lapins .
Si seulement ont revivait 24 h nos politicards et l urbain comprendrais mieux la valeur du bon ! suffisance et le respect du travail ...
Merci à tous c'est témoignage
😍❤💯👍🏻👍🏻👏🏼👏🏼👏🏼
Du Québec également, région Abitibi-Temiscamingue. Nous étions heureux sans le savoir en ce temps-là. Ici on n'avait pas les boeufs pour les travaux agricoles mais on a connu les chevaux avant les tracteurs puis les grosses machines agricoles. Merci de nous partager tes souvenirs René.
justement je lis un roman "sous le manteau du silence " de Claire Bergeron , la vie d'une "garde Lambert " qui une fois diplomée part travailler à Amitibi dans les années 40 , un joli voyage que je vous le conseille !
toujours tres interessant , merci à vous tous ! René est tres positif et je me pose la question sur les capacités de durée d'activités et intellectuelles des hommes et femmes "obligés " d'interrompre au nom de l'heure de départ en retraite ...et si nous étions faits pour une vie active plus longue tant qu'on a la santé au lieu d'un départ prématuré fixé à ...64 ans , pourquoi réserver la longévité seulement aux politiques , médecins , notaires , avocats , magistrats etc ?
Ben , encore un homme plein de bon sens................... A méditer !
Sans le savoir et sans le vouloir ce Monsieur à participé à l'évolution du système agricole qui est ce qu'il est aujourd'hui ......et ça continu .... les fermes les plus en phase avec la nature sont les plus vulnérables , pas techniquement elles sont logiques de taille humaine , mais économique car le système n'en veut pas !....... faire de la vente directe oui, mais comment toucher les citadins lorsque tu es perdu dans la campagne ????..... et le citadin est il capable de comprendre et de soutenir ce type ferme sans ce faire niquer ( commu ) par le système en place ?????? bonne continuation