Elle est née d'une ferme, tout en haut d'un rocher Cette ville que j'ai tant, tant et tant aimée Du lavoir à l'hiver, de l'église à l'été Les siècles s'enchaînaient aux années Ils avaient les moissons pour vacances l'été Et les femmes saignaient sur le lin des rouets Et la pluie tombait blanche sur les toits ardoisés Dans la ville que j'ai tant aimée. On y venait de Nantes les dimanches d'été Avant qu'elle ne soit grande quand notre siècle est né Chemises et robes blanches, les jardins ouvriers Fleurissaient sous les ciels de pommiers C'est la fin de l'enfance, et nous avons dansé Dans l'école un dimanche il y a six années Le soleil a brillé sur les toits ardoisés De la ville que j'ai tant aimée. Et les filles riaient, et les hommes buvaient La ville était adulte et les arbres chantaient Et puis une ombre grise un matin s'est levée L'herbe rouille et l'aubier est gelé Ils ont tout brisé, balayé et brûlé Ils ont tout interdit tout arraché Et la pluie tombe noire sur les toits ardoisés De la ville que j'ai tant aimée. J'y ai vu un gamin en costume arlequin Peindre un arbre bleuté dans un étang gelé Nous avons su apprendre aux enfants à rêver Dans la ville qu'ils ont tant aimée...
Quel beau duo, quelle belle chanson!
Les Simon & Garfunkel bretonnes !! ☺️👍🤘
Remarquable et magnifique duo, bravo et merci pour ces instants magiques et tendres
Tres joli, bravo à vous deux, en ce triste jour
Un peu de paix beaucoup de douceurs et un peu de sagesse dans cette magnifique chanson que j aime aussi interprété. Très jolie harmonie de voix. Bravo
Vous êtes des amours.Magnifique
je viens juste pauser mon commentaire, pour dire qu'il n'y a rien de mieux que de chanter en famille ou entre amis. :D très belle chanson ^^
Trop belle les filles ! aque vous êtes ! ! et ! des voix à croquer sur cette magnifique chansons!!! bisous à vous 2
Merci aque je vous aimes. .
Elle est née d'une ferme, tout en haut d'un rocher
Cette ville que j'ai tant, tant et tant aimée
Du lavoir à l'hiver, de l'église à l'été
Les siècles s'enchaînaient aux années
Ils avaient les moissons pour vacances l'été
Et les femmes saignaient sur le lin des rouets
Et la pluie tombait blanche sur les toits ardoisés
Dans la ville que j'ai tant aimée.
On y venait de Nantes les dimanches d'été
Avant qu'elle ne soit grande quand notre siècle est né
Chemises et robes blanches, les jardins ouvriers
Fleurissaient sous les ciels de pommiers
C'est la fin de l'enfance, et nous avons dansé
Dans l'école un dimanche il y a six années
Le soleil a brillé sur les toits ardoisés
De la ville que j'ai tant aimée.
Et les filles riaient, et les hommes buvaient
La ville était adulte et les arbres chantaient
Et puis une ombre grise un matin s'est levée
L'herbe rouille et l'aubier est gelé
Ils ont tout brisé, balayé et brûlé
Ils ont tout interdit tout arraché
Et la pluie tombe noire sur les toits ardoisés
De la ville que j'ai tant aimée.
J'y ai vu un gamin en costume arlequin
Peindre un arbre bleuté dans un étang gelé
Nous avons su apprendre aux enfants à rêver
Dans la ville qu'ils ont tant aimée...