Excellent ,j ai 50 ans et j avais oublié ça....c'était une ptit dessin animé pour nous les petits.c etait quand même moins triste avant.... Merci pour ce bijoux
Ahhhhh les années 70 tout petit j'étais émerveillé devant c'est petites créatures et cette musique formidable pour'pour l'époque et que dire des chadoks.
Qu elle nostalgie j'ai en ce moment en voyant tout cela , ppff c'est vraiment passé bien trop vite 😢 , c était vraiment une belle époque en ce temps là un Les amis 👋 , sa donne envie de retrouver cette période de mes années , c'est si triste maintenant 😢 " vive les années 80 forever " 👏🙋💖
trop mimi ce petit dessin animé d'Antenne 2 ça rappelle de bons souvenirs quand j'étais petit je regardais beaucoup ça ça me faisait rigoler c'est peu de chose mais ça garde des bons souvenirs bien tendres😊🌸
Compositeur des "interludes" comme on les appelait à l'époque : Jean-Jacques Perrey, moins connu que Francis Lai (qui a officié pour FR3) et Vladimir Cosma (le bon vieux temps où la télé savait quand commencer et quand s'arrêter). Jean-Jacques Perrrey a contribué à la première parade électrique de Disneyworld Californie, dans les années 70. Ses musiques souvent courtes et guillerettes se sont bien prêtées à des génériques et des jingles lorsqu'il est revenu des Etats Unis. Malgré son âge avancé (il a été, comme Pierre Heny, pionnier de la musique électronique, dans une catégorie moins contemporaine et plus ludique), il est encore actif.
avec plaisir, quand on peut rendre service ! Les "interludes" servaient à... meubler, à une époque où une grande partie de la télé était en direct (imaginez la performance de l'Eurovision, qui permettait de synchroniser un grand événement diffusé dans plusieurs pays européens en même temps, sans les moyens techniques d'aujourd'hui !). Les émissions n'étaient pas toujours prêtes, il y avait des problèmes techniques à ajuster, surtout que les studios n'étaient pas tous concentrés au même point (Cognacq-Jay, tous premiers studios de la télé française - l'ORTF - n'existent plus, puis ce fut les Buttes-Chaumont (studios rasés et devenus résidence de standing début 90's)... l'ORTF est la première instance d'état qui gère tout, fin 50's début 60's. On scinde d'abord la radio, avec la construction de la Maison de la Radio en 1963 (France Inter, France Culture, France Musique [classique], gestion de la production radiophonique officielle, et de deux orchestres de grande renommée. La SFP (société française de production) est donc aux Buttes-Chaumont, grand lieu de construction de décors et de costumes pour les séries sérieuses ou plus légères, mais aussi les émissions en direct sur plateau (jeux, magazines) et la SFP déplace ses moyens techniques pour les grandes émissions (Dimanche Martin au défunt théâtre Wagram, Champs-Elysées au pavillon Gabriel, etc.). La SFP assure aussi les émissions en région, au prix de défis technologiques très complexes à l'époque, car en direct en plus ! Midi-Première, les jeux de 20h qui se promenaient de ville en ville, les informations régionales qui existaient déjà pour rappeler qu'il n'y avait pas que Paris en France. Les grandes antennes de diffusion sont gérées à part par TDF (Télé Diffusion de France), qui fait en sorte que la majeur partie du réseau de la France puisse recevoir les 2, puis 3 chaînes rebaptisées TF1, Antenne 2 et FR 3. Plus tard, on créera l'institut National Audiovisuel, qui aura à charge de stocker les archives des chaînes publiques (par la suite, les premières chaînes "privées" auront l'obligation de le faire en interne), et surtout de savoir les conserver, puis de les restaurer et les numériser. Soyons nostalgiques jusqu'au bout, et imaginons un Valéry Giscard d'Estaing, qui gère au début des années 70 cette grande nouveauté qui est la télé (la radio pose moins problème, c'est un média beaucoup plus ancien). Il incarne une droite traditionnelle, mais ouvre la porte à la fantaisie et la liberté d'expression. A titre d'exemple, programme de février 72 : "1ère chaîne - 2ème chaîne". Dans "jours de France", le programme était donné du jeudi au mercredi. 1ère chaîne : prise des programmes (d'où, en plus des interludes, des génériques d'ouverture et de fin) à 12h30, avec "télé-midi 72" (l'ancêtre de Midi-Première), émission en direct et itinérante en France, déjà présentée par Danièle Gilbert. En 1972, le mercredi des enfants était le jeudi. Après une pause "mire" (et France Inter en fond sonore), "émissions pour les enfants" à 15h25. à 18h30, "dernière heure" (programme court, eh oui déjà ! Sans autre précision), à 18h35 "vivre au présent - jeunes (avec des petits reportages et en séquence pop, le groupe "ange"). à 18h55, Calimero. De 19h à 19h25, actualités régionales (avant qu'elles ne soient refoulées sur FR 3 qui ouvrit l'année suivante). 19h25, jeu "réponse à tout", 19h45 "télé-soir" (pas de précisions, sans doute une présentation des programmes du soir). A 20h15, 4e épisode de la série "François Gaillard" (Pierre Santini). 20h30, "l'actualité en question" présentée par un certain Etiene Mougeotte, à 21h30 "mission impossible". 22h20, "une semaine à Sapporo" [émission spéciale] pas de précision, et à 23h20 "télé-nuit", dernier journal d'information avant d'éteindre les lumières et de fermer les portes jusqu'au lendemain... Je ne vais pas vous faire toute la semaine. fouillez les archives sur Internet ! Bon, allez juste pour les bons souvenirs, la 2ème chaîne ne commençait qu'à 14h30 avec la célèbre "aujourd'hui Madame".
Même chose: Balthazar m'était tout à fait inconnu, contrairement aux "2" que j'ai vus pendant des heures et des heures dans les années 80... Comme c'est loin tout ça, comme dirait Alphonse Allais!
Excellent ,j ai 50 ans et j avais oublié ça....c'était une ptit dessin animé pour nous les petits.c etait quand même moins triste avant....
Merci pour ce bijoux
Oh la la quelle joie de revoir ça. Mon enfance. La France de cette période me manque terriblement.🥺
Ahhhhh les années 70 tout petit j'étais émerveillé devant c'est petites créatures et cette musique formidable pour'pour l'époque et que dire des chadoks.
Qu elle nostalgie j'ai en ce moment en voyant tout cela , ppff c'est vraiment passé bien trop vite 😢 , c était vraiment une belle époque en ce temps là un Les amis 👋 , sa donne envie de retrouver cette période de mes années , c'est si triste maintenant 😢 " vive les années 80 forever " 👏🙋💖
Années 70
Elle était belle notre époque 💖💖💖
trop mimi ce petit dessin animé d'Antenne 2 ça rappelle de bons souvenirs quand j'étais petit je regardais beaucoup ça ça me faisait rigoler c'est peu de chose mais ça garde des bons souvenirs bien tendres😊🌸
Que de beaux souvenirs ❤❤❤
N'oublions pas les Tifins sur TF1 de Catherine Chaillet. C'était la belle époque !
Compositeur des "interludes" comme on les appelait à l'époque : Jean-Jacques Perrey, moins connu que Francis Lai (qui a officié pour FR3) et Vladimir Cosma (le bon vieux temps où la télé savait quand commencer et quand s'arrêter). Jean-Jacques Perrrey a contribué à la première parade électrique de Disneyworld Californie, dans les années 70. Ses musiques souvent courtes et guillerettes se sont bien prêtées à des génériques et des jingles lorsqu'il est revenu des Etats Unis. Malgré son âge avancé (il a été, comme Pierre Heny, pionnier de la musique électronique, dans une catégorie moins contemporaine et plus ludique), il est encore actif.
Merci pour ces précisons
avec plaisir, quand on peut rendre service ! Les "interludes" servaient à... meubler, à une époque où une grande partie de la télé était en direct (imaginez la performance de l'Eurovision, qui permettait de synchroniser un grand événement diffusé dans plusieurs pays européens en même temps, sans les moyens techniques d'aujourd'hui !). Les émissions n'étaient pas toujours prêtes, il y avait des problèmes techniques à ajuster, surtout que les studios n'étaient pas tous concentrés au même point (Cognacq-Jay, tous premiers studios de la télé française - l'ORTF - n'existent plus, puis ce fut les Buttes-Chaumont (studios rasés et devenus résidence de standing début 90's)...
l'ORTF est la première instance d'état qui gère tout, fin 50's début 60's. On scinde d'abord la radio, avec la construction de la Maison de la Radio en 1963 (France Inter, France Culture, France Musique [classique], gestion de la production radiophonique officielle, et de deux orchestres de grande renommée. La SFP (société française de production) est donc aux Buttes-Chaumont, grand lieu de construction de décors et de costumes pour les séries sérieuses ou plus légères, mais aussi les émissions en direct sur plateau (jeux, magazines) et la SFP déplace ses moyens techniques pour les grandes émissions (Dimanche Martin au défunt théâtre Wagram, Champs-Elysées au pavillon Gabriel, etc.). La SFP assure aussi les émissions en région, au prix de défis technologiques très complexes à l'époque, car en direct en plus ! Midi-Première, les jeux de 20h qui se promenaient de ville en ville, les informations régionales qui existaient déjà pour rappeler qu'il n'y avait pas que Paris en France.
Les grandes antennes de diffusion sont gérées à part par TDF (Télé Diffusion de France), qui fait en sorte que la majeur partie du réseau de la France puisse recevoir les 2, puis 3 chaînes rebaptisées TF1, Antenne 2 et FR 3. Plus tard, on créera l'institut National Audiovisuel, qui aura à charge de stocker les archives des chaînes publiques (par la suite, les premières chaînes "privées" auront l'obligation de le faire en interne), et surtout de savoir les conserver, puis de les restaurer et les numériser.
Soyons nostalgiques jusqu'au bout, et imaginons un Valéry Giscard d'Estaing, qui gère au début des années 70 cette grande nouveauté qui est la télé (la radio pose moins problème, c'est un média beaucoup plus ancien). Il incarne une droite traditionnelle, mais ouvre la porte à la fantaisie et la liberté d'expression.
A titre d'exemple, programme de février 72 : "1ère chaîne - 2ème chaîne". Dans "jours de France", le programme était donné du jeudi au mercredi. 1ère chaîne : prise des programmes (d'où, en plus des interludes, des génériques d'ouverture et de fin) à 12h30, avec "télé-midi 72" (l'ancêtre de Midi-Première), émission en direct et itinérante en France, déjà présentée par Danièle Gilbert. En 1972, le mercredi des enfants était le jeudi. Après une pause "mire" (et France Inter en fond sonore), "émissions pour les enfants" à 15h25. à 18h30, "dernière heure" (programme court, eh oui déjà ! Sans autre précision), à 18h35 "vivre au présent - jeunes (avec des petits reportages et en séquence pop, le groupe "ange"). à 18h55, Calimero. De 19h à 19h25, actualités régionales (avant qu'elles ne soient refoulées sur FR 3 qui ouvrit l'année suivante). 19h25, jeu "réponse à tout", 19h45 "télé-soir" (pas de précisions, sans doute une présentation des programmes du soir). A 20h15, 4e épisode de la série "François Gaillard" (Pierre Santini). 20h30, "l'actualité en question" présentée par un certain Etiene Mougeotte, à 21h30 "mission impossible". 22h20, "une semaine à Sapporo" [émission spéciale] pas de précision, et à 23h20 "télé-nuit", dernier journal d'information avant d'éteindre les lumières et de fermer les portes jusqu'au lendemain...
Je ne vais pas vous faire toute la semaine. fouillez les archives sur Internet ! Bon, allez juste pour les bons souvenirs, la 2ème chaîne ne commençait qu'à 14h30 avec la célèbre "aujourd'hui Madame".
Encore merci, on sent le passionné !
Cet interlude était sympa contrairement aux pages de publicité qui polluent de manière excessive notre petit écran !
Ah! J'adorais regarder les interludes des Petits A2 et de Balthazar.
Nostalgie …..à la recherche d’une jeunesse perdue
Même chose: Balthazar m'était tout à fait inconnu, contrairement aux "2" que j'ai vus pendant des heures et des heures dans les années 80... Comme c'est loin tout ça, comme dirait Alphonse Allais!
comme si c'était hier !
et il'y avait les tifin de tf1
Les Tifins 😃 j’avais oublié. Je vais de ce pas les retrouver sur UA-cam. Merci
merci ++++++++++
et oui.
Me rappelle pas de balthazar , la Musique est sympa
1980
AU LIEU DE DIFFUSEE LES MIRE DIFFUSEZ LES PETITS DEUX