3ème mi-temps en chanson - Privas - Avignon le Pontet (2015)

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  • Опубліковано 14 жов 2024
  • J’ai visité bien des grands villes
    J’ai vu Paris et ses banlieues
    Oh Villageois dormez tranquille
    Oh Ardéchois vivez heureux
    Piétinant vos grandes artères
    Si les yeux m’ont piqué un peu
    C’est les relents pétrolifères
    L’émotion n’est plus dans ces lieux.
    Moi la montagne c'est mon décor, le soleil levant
    Qu'elle est jolie quand je m'endors, la chanson du vent.
    Et la pluie mouille-t-elle encore le pavé parisien
    Chez nous quand il pleut dehors qu’il sera beau mon jardin.
    Les Ardéchois les 07
    Vous dîtes qu’on retarde un peu
    Et qu’on a l’air un peu bébête
    Paraît qu’on est des culs terreux
    Alors pourquoi dans cette Ardèche
    Sur ces cailloux et dans fleurs
    Vous y venez frottez vos fesses
    C’est vrai que ça leur donne des couleurs.
    Moi la montagne c'est mon décor, le soleil levant
    Qu'elle est jolie quand je m'endors, la chanson du vent.
    Et le soleil brûle t'il encore le pavé parisien
    Chez nous quand il fait chaud dehors, il y aura du bon vin.
    Chez nous quand on boit un verre
    Ben c’est encore entre copain
    C’est pas dans un salon d’affaires
    On connaît encore nos voisins
    Les Ardéchois ça tire-bouchonne
    A la santé de vos bouchons
    Et de votre air qui empoisonne
    Chez nous l’air et le vin sont bon
    Moi la montagne c'est mon décor, le soleil levant
    Qu'elle est jolie quand je m'endors, la chanson du vent.
    Et l’automne arrive sur Paris, la vilaine saison
    Chez nous quand arrive la pluie, vive les champignons.
    Les paysans dans leur chaumières
    Les grands ensembles aux citadins
    Les truites sont dans nos rivières
    La Tour Eiffel aux parisiens
    Paris Paris chante ta Seine
    Marseille chante ton Vieux Port
    Mais laissez-moi chanter l’Ardèche
    Mais laissez-moi vous dire encore…
    Que la montagne c’est mon décor et j’en suis bien content
    Que j’aime entendre quand je m’endors la chanson du vent.
    Prétentieux laissez-les un brin, vous en avez besoin
    De ces culs terreux qui valent bien certains cul-cul parisiens.
    Lalalalalalala…

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