DYS-moi tout ! Comprendre les troubles de l'apprentissage

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  • Опубліковано 8 вер 2024
  • Différents troubles de l’apprentissage se manifestent chez des enfants qui ont une intelligence et un comportement social normaux et qui ne présentent pas de problèmes sensoriels (vue, ouïe). Ces enfants éprouvent des difficultés à apprendre à lire, à écrire, à orthographier, à s’exprimer ou encore à se concentrer. D’où viennent ces difficultés ? Comment les prendre en charge ?
    Avec :
    Catherine Billard, pédiatre et neurologue, centre de référence des troubles de l’apprentissage, Hôpital Bicêtre ;
    Caroline Huron, psychiatre, chercheuse, Inserm U992 ;
    Lionel Lingelser, psychologue de l'éducation nationale.
    Débat animé par Eli Flory.
    En duplex avec le Pavillon des sciences de Montbéliard.
    Crédits : eppdcsi 2019

КОМЕНТАРІ • 30

  • @sylviezamanski7105
    @sylviezamanski7105 4 роки тому +14

    Je suis orthophoniste, jeune profession qui a été construite en grande partie grâce à la clinique de ses fondateurs et notamment madame Borel Maisonny qui ne disposait pas d’ IRM mais était dans sa pratique d’une immense compétence !
    Quand une famille témoigne et s’expose et explique que oui il y a des améliorations énormes pour son enfant, comment jeter ces paroles à la poubelle avec tant de mépris!!!
    Je fais partie de la première promotion de 2009 de ce DU « Perception, action et troubles des apprentissages » à l’université de Dijon. Je suis donc scandalisée par les propos de ces dames au sujet du caractère « non scientifique » et « magique » de la reprogrammation proprioceptive dans le cadre du suivi des patients dys. Comment l’université de Bourgogne accepterait de dispenser tout un DU sur le sujet si cela était le cas ? Comment l’inserm lui-même pourrait reconnaître officiellement les travaux du Dr Quercia et de ses collègues si cela était un traitement magique et fantaisiste ?
    Dommage.... Tout ce discours (rigide, bien loin de la pensée universitaire ) ne fait pas avancer la science ...Garder l’esprit ouvert, sortir de sa zone de confort voilà qui serait grand !!!

  • @emiliemialon4704
    @emiliemialon4704 4 роки тому +12

    En tant que patiente, ainsi que deux de mes enfants je suis satisfaite du traitement proprioceptifs qui est très sérieux et basé sur la science. Je soutiens les propos de présidente de Sensoridys, association française de patients souffrant d’une dysfonction proprioception.
    "Je tiens à vous faire part de la consternation des familles, pour ne pas dire de leur indignation, à la suite de cette conférence.
    A Montbéliard, la famille choisie pour témoigner avait un enfant dyslexique suivi par le Dr Quercia pour une dysfonction proprioceptive. Cet enfant, qui a eu le courage de témoigner publiquement de son parcours dys, a naïvement expliqué son évolution dans le test du maddox au cours du temps, que le pupitre et les semelles l’avaient aidé, ce qu’il devait au traitement proprioceptif. Mais, les invitées parisiennes (C.Huron et C.Billard), ont préféré ne pas entendre ce témoignage et ont prétendu être « obligées de détricoter » de manière fort brutale : « aucune preuve scientifique de l’efficacité de la posturologie », « ça fait partie des mythes », « caractère magique ».
    Hormis l’aspect humain et la violence ainsi faite à cet enfant et à sa famille, Sensoridys s’étonne de l’ambivalence de l’INSERM, qui dans le même temps met en avant les travaux du Dr Quercia dans un article fort élogieux de son magazine (N°44) et donne ensuite la parole à des personnes dont tout le discours a été d’assimiler le traitement proprioceptif des troubles des apprentissages à la posturologie et de prétendre qu’il n’a rien de scientifique : « caractère magique » (montrant ainsi leur méconnaissance totale de la recherche sur la proprioception et la dysfonction proprioceptive). Pétries de leurs certitudes, ces médecin et scientifique ont préféré rejeter, encore une fois, le témoignage des familles plutôt que de les écouter et de s’interroger sur l’intérêt et les apports de cette nouvelle approche des troubles des apprentissages. Pourtant, la curiosité et l’ouverture d’esprit aux idées nouvelles ne devraient-elles pas caractériser l’esprit scientifique ?
    En humiliant cet enfant et sa famille, c’est toutes les familles de patients traités pour une dysfonction proprioceptive Mmes Billard et Huron ont blessées, en les faisant passer au mieux pour des imbéciles incapables de juger des progrès qu’elles peuvent attribuer à ce traitement, au pire pour des esprits faibles entre les mains de praticiens peu scrupuleux. Et pourtant des familles viennent de très loin pour faire suivre ce traitement à leur enfant : Arabie Saoudite, Qatar, USA, Canada, Maroc, etc.
    Une fois de plus, une fois de trop, les patients et familles ont été écartés d’un débat qui les concerne en premier lieu !
    Exaspérés par cette mise à l’écart systématique, les familles et patients ont décidé de s’unir et de créer l’association Sensoridys. Notre association est encore jeune, mais bien déterminée à faire entendre la voix des familles et patients. Et, nous entendons la faire entendre aujourd’hui !
    Corinne Grandvincent, presidente"

  • @charlenebaraton8181
    @charlenebaraton8181 4 роки тому +13

    Maman de 3 garçons n'ayant aucun DYS de diagnostiqué pour le moment mais avec un gros retard d'apprentissage scolaire + encoprésie + mauvaise perception de placement de la langue + problème de sommeil + douleur aux jambes + torticolis à répétition + difficultés de concentration, d'attention... le diagnostique du syndrome de dysproprioception a été une évidence pour nous et un réel soulagement. Donc je me permet de remettre le post de Corinne Grandvincent, la présidente de Sensoridys, association française de patients souffrant d’une dysfonction proprioceptive, a été supprimé. Je trouve cela étrange donc je le remets car il représente la voix de nombreuses familles qu'il serait intéressant d'écouter... En espérant ne pas me retrouverégalement bannie des commentaires!
    " Je tiens à vous faire part de la consternation des familles, pour ne pas dire de leur indignation, à la suite de cette conférence.
    A Montbéliard, la famille choisie pour témoigner avait un enfant dyslexique suivi par le Dr Quercia (Chercheur associé - Unité INSERM U1093 Cognition Action et Plasticité Sensorimotrice) pour une dysfonction proprioceptive. Cet enfant, qui a eu le courage de témoigner publiquement de son parcours dys, a naïvement expliqué son évolution dans le test du maddox au cours du temps, que le pupitre et les semelles l’avaient aidé, ce qu’il devait au traitement proprioceptif. Mais, les invitées parisiennes (C.Huron et C.Billard) ont préféré ne pas entendre ce témoignage et ont prétendu être « obligées de détricoter » de manière fort brutale : « aucune preuve scientifique de l’efficacité de la posturologie », « ça fait partie des mythes », « caractère magique ».
    Hormis l’aspect humain et la violence ainsi faite à cet enfant et à sa famille, Sensoridys s’étonne de l’ambivalence de l’INSERM qui, dans le même temps, met en avant les travaux du Dr Quercia dans un article fort élogieux de son magazine (N°44) et donne ensuite la parole à des personnes dont tout le discours a été d’assimiler le traitement proprioceptif des troubles des apprentissages à la posturologie et de prétendre qu’il n’a rien de scientifique : « caractère magique » (montrant ainsi leur méconnaissance totale de la recherche sur la proprioception et la dysfonction proprioceptive). Pétries de leurs certitudes, elles ont préféré rejeter, encore une fois, le témoignage des familles plutôt que de les écouter et de s’interroger sur l’intérêt et les apports de cette nouvelle approche des troubles des apprentissages. Pourtant, la curiosité et l’ouverture d’esprit aux idées nouvelles ne devraient-elles pas caractériser l’esprit scientifique ?
    En humiliant cet enfant et sa famille, ce sont toutes les familles de patients traités pour une dysfonction proprioceptive que Mmes Billard et Huron ont blessées, en les faisant passer au mieux pour des imbéciles incapables de juger des progrès qu’elles peuvent attribuer à ce traitement, au pire pour des esprits faibles entre les mains de praticiens peu scrupuleux. Et pourtant des familles viennent de très loin pour faire suivre ce traitement à leur enfant : Arabie Saoudite, Qatar, USA, Canada, Maroc, etc.
    Une fois de plus, une fois de trop, les patients et familles ont été écartés d’un débat qui les concerne en premier lieu !
    Exaspérés par cette mise à l’écart systématique, les familles et patients ont décidé de s’unir et de créer l’association Sensoridys. Notre association est encore jeune, mais bien déterminée à faire entendre la voix des familles et patients. Et, nous entendons la faire entendre aujourd’hui !
    Corinne Grandvincent
    Présidente de Sensoridys
    sensoridys.fr/"
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  • @docteurbenedicteallory3425
    @docteurbenedicteallory3425 4 роки тому +11

    Tout le monde peut être en désaccord, la démarche scientifique se base sur le scepticisme.
    Cependant les scientifiques se doivent de vérifier les informations avant de les distribuer.
    Le traitement proprioceptif mis au point par le docteur Quercia (chercheur à l’inserm ) et enseigné à l’université de Bourgogne n’est en aucun cas un traitement de posturologie, il n’est pas magique, il permet aux rééducations de s’exprimer pleinement, l’objectif étant d’aider le patient en souffrance .
    Tourner en ridicule un traitement que l’on ne connaît pas, humilier un patient, rester campé sur ses positions en gloussant, voici des méthodes qui me font penser à une époque bien reculée où l’on pensait que la terre était plate.

  • @mathildelilaspark7367
    @mathildelilaspark7367 4 роки тому +11

    Maman étant suivit pour le traitement proprioceptif et ma fille aussi, je peux témoigner que celui-ci est vraiment efficace, et que l'on peut avoir une vie changé en pleins de points positifs grace à lui. Je ne comprends donc pas pourquoi le commentaire de Corinne Grandvincent, la présidente de Sensoridys, association française de patients souffrant d’une dysfonction proprioceptive, a été supprimé. Je trouve cela étrange donc je le remets car il représente la voix de nombreuses familles qu'il serait intéressant d'écouter... En espérant ne pas me retrouverégalement bannie des commentaires!
    " Je tiens à vous faire part de la consternation des familles, pour ne pas dire de leur indignation, à la suite de cette conférence.
    A Montbéliard, la famille choisie pour témoigner avait un enfant dyslexique suivi par le Dr Quercia (Chercheur associé - Unité INSERM U1093 Cognition Action et Plasticité Sensorimotrice) pour une dysfonction proprioceptive. Cet enfant, qui a eu le courage de témoigner publiquement de son parcours dys, a naïvement expliqué son évolution dans le test du maddox au cours du temps, que le pupitre et les semelles l’avaient aidé, ce qu’il devait au traitement proprioceptif. Mais, les invitées parisiennes (C.Huron et C.Billard) ont préféré ne pas entendre ce témoignage et ont prétendu être « obligées de détricoter » de manière fort brutale : « aucune preuve scientifique de l’efficacité de la posturologie », « ça fait partie des mythes », « caractère magique ».
    Hormis l’aspect humain et la violence ainsi faite à cet enfant et à sa famille, Sensoridys s’étonne de l’ambivalence de l’INSERM qui, dans le même temps, met en avant les travaux du Dr Quercia dans un article fort élogieux de son magazine (N°44) et donne ensuite la parole à des personnes dont tout le discours a été d’assimiler le traitement proprioceptif des troubles des apprentissages à la posturologie et de prétendre qu’il n’a rien de scientifique : « caractère magique » (montrant ainsi leur méconnaissance totale de la recherche sur la proprioception et la dysfonction proprioceptive). Pétries de leurs certitudes, elles ont préféré rejeter, encore une fois, le témoignage des familles plutôt que de les écouter et de s’interroger sur l’intérêt et les apports de cette nouvelle approche des troubles des apprentissages. Pourtant, la curiosité et l’ouverture d’esprit aux idées nouvelles ne devraient-elles pas caractériser l’esprit scientifique ?
    En humiliant cet enfant et sa famille, ce sont toutes les familles de patients traités pour une dysfonction proprioceptive que Mmes Billard et Huron ont blessées, en les faisant passer au mieux pour des imbéciles incapables de juger des progrès qu’elles peuvent attribuer à ce traitement, au pire pour des esprits faibles entre les mains de praticiens peu scrupuleux. Et pourtant des familles viennent de très loin pour faire suivre ce traitement à leur enfant : Arabie Saoudite, Qatar, USA, Canada, Maroc, etc.
    Une fois de plus, une fois de trop, les patients et familles ont été écartés d’un débat qui les concerne en premier lieu !
    Exaspérés par cette mise à l’écart systématique, les familles et patients ont décidé de s’unir et de créer l’association Sensoridys. Notre association est encore jeune, mais bien déterminée à faire entendre la voix des familles et patients. Et, nous entendons la faire entendre aujourd’hui !
    Corinne Grandvincent
    Présidente de Sensoridys
    @t"

  • @sandrineestrada3990
    @sandrineestrada3990 4 роки тому +13

    Je ne comprends pas pourquoi le commentaire de Corinne Grandvincent, la présidente de Sensoridys, association française de patients souffrant d’une dysfonction proprioceptive, a été supprimé. Je trouve cela étrange donc je le remets car il représente la voix de nombreuses familles qu'il serait intéressant d'écouter... En espérant ne pas me retrouverégalement bannie des commentaires!
    " Je tiens à vous faire part de la consternation des familles, pour ne pas dire de leur indignation, à la suite de cette conférence.
    A Montbéliard, la famille choisie pour témoigner avait un enfant dyslexique suivi par le Dr Quercia (Chercheur associé - Unité INSERM U1093 Cognition Action et Plasticité Sensorimotrice) pour une dysfonction proprioceptive. Cet enfant, qui a eu le courage de témoigner publiquement de son parcours dys, a naïvement expliqué son évolution dans le test du maddox au cours du temps, que le pupitre et les semelles l’avaient aidé, ce qu’il devait au traitement proprioceptif. Mais, les invitées parisiennes (C.Huron et C.Billard) ont préféré ne pas entendre ce témoignage et ont prétendu être « obligées de détricoter » de manière fort brutale : « aucune preuve scientifique de l’efficacité de la posturologie », « ça fait partie des mythes », « caractère magique ».
    Hormis l’aspect humain et la violence ainsi faite à cet enfant et à sa famille, Sensoridys s’étonne de l’ambivalence de l’INSERM qui, dans le même temps, met en avant les travaux du Dr Quercia dans un article fort élogieux de son magazine (N°44) et donne ensuite la parole à des personnes dont tout le discours a été d’assimiler le traitement proprioceptif des troubles des apprentissages à la posturologie et de prétendre qu’il n’a rien de scientifique : « caractère magique » (montrant ainsi leur méconnaissance totale de la recherche sur la proprioception et la dysfonction proprioceptive). Pétries de leurs certitudes, elles ont préféré rejeter, encore une fois, le témoignage des familles plutôt que de les écouter et de s’interroger sur l’intérêt et les apports de cette nouvelle approche des troubles des apprentissages. Pourtant, la curiosité et l’ouverture d’esprit aux idées nouvelles ne devraient-elles pas caractériser l’esprit scientifique ?
    En humiliant cet enfant et sa famille, ce sont toutes les familles de patients traités pour une dysfonction proprioceptive que Mmes Billard et Huron ont blessées, en les faisant passer au mieux pour des imbéciles incapables de juger des progrès qu’elles peuvent attribuer à ce traitement, au pire pour des esprits faibles entre les mains de praticiens peu scrupuleux. Et pourtant des familles viennent de très loin pour faire suivre ce traitement à leur enfant : Arabie Saoudite, Qatar, USA, Canada, Maroc, etc.
    Une fois de plus, une fois de trop, les patients et familles ont été écartés d’un débat qui les concerne en premier lieu !
    Exaspérés par cette mise à l’écart systématique, les familles et patients ont décidé de s’unir et de créer l’association Sensoridys. Notre association est encore jeune, mais bien déterminée à faire entendre la voix des familles et patients. Et, nous entendons la faire entendre aujourd’hui !
    Corinne Grandvincent
    Présidente de Sensoridys
    sensoridys.fr/"
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  • @emiliemialon4704
    @emiliemialon4704 4 роки тому +10

    JE SOUTIENS. En tant que patiente et deux de mes enfants aussi les propose de notre asso via sa présidente :
    "Je tiens à vous faire part de la consternation des familles, pour ne pas dire de leur indignation, à la suite de cette conférence.
    A Montbéliard, la famille choisie pour témoigner avait un enfant dyslexique suivi par le Dr Quercia pour une dysfonction proprioceptive. Cet enfant, qui a eu le courage de témoigner publiquement de son parcours dys, a naïvement expliqué son évolution dans le test du maddox au cours du temps, que le pupitre et les semelles l’avaient aidé, ce qu’il devait au traitement proprioceptif. Mais, les invitées parisiennes (C.Huron et C.Billard), ont préféré ne pas entendre ce témoignage et ont prétendu être « obligées de détricoter » de manière fort brutale : « aucune preuve scientifique de l’efficacité de la posturologie », « ça fait partie des mythes », « caractère magique ».
    Hormis l’aspect humain et la violence ainsi faite à cet enfant et à sa famille, Sensoridys s’étonne de l’ambivalence de l’INSERM, qui dans le même temps met en avant les travaux du Dr Quercia dans un article fort élogieux de son magazine (N°44) et donne ensuite la parole à des personnes dont tout le discours a été d’assimiler le traitement proprioceptif des troubles des apprentissages à la posturologie et de prétendre qu’il n’a rien de scientifique : « caractère magique » (montrant ainsi leur méconnaissance totale de la recherche sur la proprioception et la dysfonction proprioceptive). Pétries de leurs certitudes, ces médecin et scientifique ont préféré rejeter, encore une fois, le témoignage des familles plutôt que de les écouter et de s’interroger sur l’intérêt et les apports de cette nouvelle approche des troubles des apprentissages. Pourtant, la curiosité et l’ouverture d’esprit aux idées nouvelles ne devraient-elles pas caractériser l’esprit scientifique ?
    En humiliant cet enfant et sa famille, c’est toutes les familles de patients traités pour une dysfonction proprioceptive Mmes Billard et Huron ont blessées, en les faisant passer au mieux pour des imbéciles incapables de juger des progrès qu’elles peuvent attribuer à ce traitement, au pire pour des esprits faibles entre les mains de praticiens peu scrupuleux. Et pourtant des familles viennent de très loin pour faire suivre ce traitement à leur enfant : Arabie Saoudite, Qatar, USA, Canada, Maroc, etc.
    Une fois de plus, une fois de trop, les patients et familles ont été écartés d’un débat qui les concerne en premier lieu !
    Exaspérés par cette mise à l’écart systématique, les familles et patients ont décidé de s’unir et de créer l’association S####. Notre association est encore jeune, mais bien déterminée à faire entendre la voix des familles et patients. Et, nous entendons la faire entendre aujourd’hui !
    Corinne G.

  • @anne-charlottedeclercq2533
    @anne-charlottedeclercq2533 4 роки тому +13

    Étant neuropsychologue et ayant suivi le DU « Perception, action et troubles des apprentissages » à l’université de Dijon, je suis assez scandalisée par les propos de ces dames au sujet du caractère « non scientifique » et « magique » de la reprogrammation proprioceptive (posturologie) dans le cadre du suivi des patients « dys ». En réalité, c’est tout le contraire ! Comment l’université de Bourgogne accepterai de dispenser tout un DU sur le sujet si cela n’avait pas été le cas ? Comment l’inserm lui même pourrait reconnaître officiellement les travaux du Dr Quercia et ses collègues si cela n’était pas le cas ? J’ai moi même effectué des études sur l’efficacité de ce suivi chez les dyspraxiques et les résultats parlent d’eux même ...!
    Dommage.... Tout ce discours (rigide, bien loin de la pensée universitaire justement) ne fait pas avancer la science ...

  • @pratfabienne800
    @pratfabienne800 4 роки тому +13

    Je ne comprends pas pourquoi le commentaire de la présidente de Sensoridys, association française de patients souffrant d’une dysfonction proprioceptive, a été supprimée. Je trouve cela étrange donc je le remet car il représente la voix de nombreuses familles qu'il serait intéressant d'écouter... En espérant ne pas me retrouver moi également bannie des commentaires!
    En tant que présidente de Sensoridys, association française de patients souffrant d’une dysfonction proprioceptive, je tiens à vous faire part de la consternation des familles, pour ne pas dire de leur indignation, à la suite de cette conférence.
    A Montbéliard, la famille choisie pour témoigner avait un enfant dyslexique suivi par le Dr Quercia (Chercheur associé - Unité INSERM U1093 Cognition Action et Plasticité Sensorimotrice) pour une dysfonction proprioceptive. Cet enfant, qui a eu le courage de témoigner publiquement de son parcours dys, a naïvement expliqué son évolution dans le test du maddox au cours du temps, que le pupitre et les semelles l’avaient aidé, ce qu’il devait au traitement proprioceptif. Mais, les invitées parisiennes (C.Huron et C.Billard) ont préféré ne pas entendre ce témoignage et ont prétendu être « obligées de détricoter » de manière fort brutale : « aucune preuve scientifique de l’efficacité de la posturologie », « ça fait partie des mythes », « caractère magique ».
    Hormis l’aspect humain et la violence ainsi faite à cet enfant et à sa famille, Sensoridys s’étonne de l’ambivalence de l’INSERM qui, dans le même temps, met en avant les travaux du Dr Quercia dans un article fort élogieux de son magazine (N°44) et donne ensuite la parole à des personnes dont tout le discours a été d’assimiler le traitement proprioceptif des troubles des apprentissages à la posturologie et de prétendre qu’il n’a rien de scientifique : « caractère magique » (montrant ainsi leur méconnaissance totale de la recherche sur la proprioception et la dysfonction proprioceptive). Pétries de leurs certitudes, elles ont préféré rejeter, encore une fois, le témoignage des familles plutôt que de les écouter et de s’interroger sur l’intérêt et les apports de cette nouvelle approche des troubles des apprentissages. Pourtant, la curiosité et l’ouverture d’esprit aux idées nouvelles ne devraient-elles pas caractériser l’esprit scientifique ?
    En humiliant cet enfant et sa famille, ce sont toutes les familles de patients traités pour une dysfonction proprioceptive que Mmes Billard et Huron ont blessées, en les faisant passer au mieux pour des imbéciles incapables de juger des progrès qu’elles peuvent attribuer à ce traitement, au pire pour des esprits faibles entre les mains de praticiens peu scrupuleux. Et pourtant des familles viennent de très loin pour faire suivre ce traitement à leur enfant : Arabie Saoudite, Qatar, USA, Canada, Maroc, etc.
    Une fois de plus, une fois de trop, les patients et familles ont été écartés d’un débat qui les concerne en premier lieu !
    Exaspérés par cette mise à l’écart systématique, les familles et patients ont décidé de s’unir et de créer l’association Sensoridys. Notre association est encore jeune, mais bien déterminée à faire entendre la voix des familles et patients. Et, nous entendons la faire entendre aujourd’hui !
    Corinne Grandvincent
    Présidente de Sensoridys
    sensoridys.fr/

  • @laetitiaarrault-meunier3540
    @laetitiaarrault-meunier3540 4 роки тому +7

    Je suis Podologue D.E et je fais partie de la promotion 2014-2015 « Alain Berthoz » du DU « Perception, action et troubles des apprentissages » à l’université de Dijon, dont les enseignants(dont fait parti le Dr Quercia) sont des enseignants-chercheurs, des enseignants ou des chercheurs :
    - du laboratoire INSERM U 1093 Cognition Action et Plasticité Sensorimotrice
    - de l’UFR de Médecine,
    - du Laboratoire d’Etude de l’Apprentissage et du Développement - LEAD - CNRS
    UMR5022.
    Ou des praticiens médicaux et paramédicaux ayant une expérience confirmée dans le domaine.
    J’ai fait ce Diplôme Universitaire car j’ai 2 garçons ayant entre autre chacun une dyslexie et une dysgraphie qui ont bénéficiés du traitement proprioceptif mis en place par le Dr Quercia et sincèrement ils ont fait de très gros progrès en peu de temps, cela les a beaucoup aidé.
    La prise en charge proprioceptive est beaucoup plus globale et pluridisciplinaire et très différente d'une prise en charge en posturologie , elle ne remplace en aucun cas les autres prises en charges (ergothérapie, orthophonie, psychomotricité, pédopsychiatrie, neuro psychologie...), ni les aménagements scolaires mais il leur permet une plus grande efficacité en améliorant la perception et l’ attention (c’est également le retour que j’ai des professionnels de santé avec qui je travaille et de mes patients également .)
    C’est donc pour tout cela que je suis scandalisée par les propos de ces dames au sujet du caractère « non scientifique » et « magique » de la reprogrammation proprioceptive dans le cadre du suivi des patients dys. Comment l’université de Bourgogne accepterait de dispenser tout un DU sur le sujet si cela était le cas ? Comment l’inserm lui-même pourrait reconnaître officiellement les travaux du Dr Quercia et de ses collègues si cela était un traitement magique et fantaisiste ?
    Je me permet également de remettre le post de Corinne Grandvincent, la présidente de Sensoridys, association française de patients souffrant d’une dysfonction proprioceptive, qui a été supprimé. Je trouve cela étrange donc je le remets car il représente la voix de nombreuses familles qu'il serait intéressant d'écouter... En espérant ne pas me retrouver également bannie des commentaires! " Je tiens à vous faire part de la consternation des familles, pour ne pas dire de leur indignation, à la suite de cette conférence. A Montbéliard, la famille choisie pour témoigner avait un enfant dyslexique suivi par le Dr Quercia (Chercheur associé - Unité INSERM U1093 Cognition Action et Plasticité Sensorimotrice) pour une dysfonction proprioceptive. Cet enfant, qui a eu le courage de témoigner publiquement de son parcours dys, a naïvement expliqué son évolution dans le test du maddox au cours du temps, que le pupitre et les semelles l’avaient aidé, ce qu’il devait au traitement proprioceptif. Mais, les invitées parisiennes (C.Huron et C.Billard) ont préféré ne pas entendre ce témoignage et ont prétendu être « obligées de détricoter » de manière fort brutale : « aucune preuve scientifique de l’efficacité de la posturologie », « ça fait partie des mythes », « caractère magique ». Hormis l’aspect humain et la violence ainsi faite à cet enfant et à sa famille, Sensoridys s’étonne de l’ambivalence de l’INSERM qui, dans le même temps, met en avant les travaux du Dr Quercia dans un article fort élogieux de son magazine (N°44) et donne ensuite la parole à des personnes dont tout le discours a été d’assimiler le traitement proprioceptif des troubles des apprentissages à la posturologie et de prétendre qu’il n’a rien de scientifique : « caractère magique » (montrant ainsi leur méconnaissance totale de la recherche sur la proprioception et la dysfonction proprioceptive). Pétries de leurs certitudes, elles ont préféré rejeter, encore une fois, le témoignage des familles plutôt que de les écouter et de s’interroger sur l’intérêt et les apports de cette nouvelle approche des troubles des apprentissages. Pourtant, la curiosité et l’ouverture d’esprit aux idées nouvelles ne devraient-elles pas caractériser l’esprit scientifique ? En humiliant cet enfant et sa famille, ce sont toutes les familles de patients traités pour une dysfonction proprioceptive que Mmes Billard et Huron ont blessées, en les faisant passer au mieux pour des imbéciles incapables de juger des progrès qu’elles peuvent attribuer à ce traitement, au pire pour des esprits faibles entre les mains de praticiens peu scrupuleux. Et pourtant des familles viennent de très loin pour faire suivre ce traitement à leur enfant : Arabie Saoudite, Qatar, USA, Canada, Maroc, etc. Une fois de plus, une fois de trop, les patients et familles ont été écartés d’un débat qui les concerne en premier lieu ! Exaspérés par cette mise à l’écart systématique, les familles et patients ont décidé de s’unir et de créer l’association Sensoridys. Notre association est encore jeune, mais bien déterminée à faire entendre la voix des familles et patients. Et, nous entendons la faire entendre aujourd’hui ! Corinne Grandvincent Présidente de Sensoridys sensoridys.fr/"

  • @ladyslexievaincre4100
    @ladyslexievaincre4100 4 роки тому +8

    Les troubles Dys , sont un problème majeur de santé publique, car ils impactent le développement et l’intégration de nos enfants dans la société. Ce sont des troubles qui persistent malgré nos prises en charge actuelles, ce sont des handicaps, d’autant plus sévères qu’ils sont invisibles .
    Les travaux scientifiques depuis 2003, confirment l’intérêt majeur de l’approche proprioceptive dans la dyslexie.
    Le rapport de l’INSERM confirme la sécurité de la prise en charge proprioceptive, et ne peut pas conclure, avec raison, par manque de travaux suffisants.
    Donc devant notre impuissance face au handicap que représente la dyslexie, je ne comprends pas que le Dr Billard est occulté l’aspect proprioceptif dans son travail de 2013, sur les troubles sensoriels dont visuel chez l’enfant dyslexique. . (Interprétation du dépistage sensoriel dans les troubles des apprentissages ? Archives de Pédiatrie Volume 20, Issue 1, January 2013, Pages 103-110)
    Cela aurait scientifiquement permis de faire avancer nos connaissances et le débat sur l’intérêt ou non de la prise en charge proprioceptive.
    Je pense que l’handicap que subissent nos enfants mérite que nous prenions le temps de dialoguer et d’essayer de comprendre les intérêts et limites de l’approche proprioceptive.
    Je suggère que la FFDys met en place les conditions nécessaires pour permettre un tel dialogue.

  • @jeapy06
    @jeapy06 4 роки тому +8

    Nous sortons juste d'un rendez vous avec un podologue formé à la méthode sévèrement critiquée lors de cette émission et ce qui nous a été expliqué ne reléve pas d'incantations magiques... on teste par nous même ... sans censurer ce qui pourrait aider notre fils ! J'ai moi aussi pu voir ce commentaire de la présidente de Sensorydys et ne comprend pas sa disparation qui est contraire au droit fondamental à l'expression

    • @jeapy06
      @jeapy06 4 роки тому +3

      J'ai retrouvé le message de Sensoridys et même en l'épluchant en détail je ne vois pas ce qui peut motiver une censure... "En tant que présidente de Sensoridys, association française de patients souffrant d’une dysfonction proprioceptive, je tiens à vous faire part de la consternation des familles, pour ne pas dire de leur indignation, à la suite de cette conférence.
      A Montbéliard, la famille choisie pour témoigner avait un enfant dyslexique suivi par le Dr Quercia (Chercheur associé - Unité INSERM U1093 Cognition Action et Plasticité Sensorimotrice) pour une dysfonction proprioceptive. Cet enfant, qui a eu le courage de témoigner publiquement de son parcours dys, a naïvement expliqué son évolution dans le test du maddox au cours du temps, que le pupitre et les semelles l’avaient aidé, ce qu’il devait au traitement proprioceptif. Mais, les invitées parisiennes (C.Huron et C.Billard) ont préféré ne pas entendre ce témoignage et ont prétendu être « obligées de détricoter » de manière fort brutale : « aucune preuve scientifique de l’efficacité de la posturologie », « ça fait partie des mythes », « caractère magique ».
      Hormis l’aspect humain et la violence ainsi faite à cet enfant et à sa famille, Sensoridys s’étonne de l’ambivalence de l’INSERM qui, dans le même temps, met en avant les travaux du Dr Quercia dans un article fort élogieux de son magazine (N°44) et donne ensuite la parole à des personnes dont tout le discours a été d’assimiler le traitement proprioceptif des troubles des apprentissages à la posturologie et de prétendre qu’il n’a rien de scientifique : « caractère magique » (montrant ainsi leur méconnaissance totale de la recherche sur la proprioception et la dysfonction proprioceptive). Pétries de leurs certitudes, elles ont préféré rejeter, encore une fois, le témoignage des familles plutôt que de les écouter et de s’interroger sur l’intérêt et les apports de cette nouvelle approche des troubles des apprentissages. Pourtant, la curiosité et l’ouverture d’esprit aux idées nouvelles ne devraient-elles pas caractériser l’esprit scientifique ?
      En humiliant cet enfant et sa famille, ce sont toutes les familles de patients traités pour une dysfonction proprioceptive que Mmes Billard et Huron ont blessées, en les faisant passer au mieux pour des imbéciles incapables de juger des progrès qu’elles peuvent attribuer à ce traitement, au pire pour des esprits faibles entre les mains de praticiens peu scrupuleux. Et pourtant des familles viennent de très loin pour faire suivre ce traitement à leur enfant : Arabie Saoudite, Qatar, USA, Canada, Maroc, etc.
      Une fois de plus, une fois de trop, les patients et familles ont été écartés d’un débat qui les concerne en premier lieu !
      Exaspérés par cette mise à l’écart systématique, les familles et patients ont décidé de s’unir et de créer l’association Sensoridys. Notre association est encore jeune, mais bien déterminée à faire entendre la voix des familles et patients. Et, nous entendons la faire entendre aujourd’hui !
      Corinne Grandvincent
      Présidente de Sensoridys
      sensoridys.fr/ "

  • @sensoridys
    @sensoridys 4 роки тому +3

    En tant que présidente de Sensoridys, association française de patients souffrant d’une dysfonction proprioceptive, je tiens à vous faire part de la consternation des familles, pour ne pas dire de leur indignation, à la suite de cette conférence.

    A Montbéliard, la famille choisie pour témoigner avait un enfant dyslexique suivi par le Dr Quercia (Chercheur associé - Unité INSERM U1093 Cognition Action et Plasticité Sensorimotrice) pour une dysfonction proprioceptive. Cet enfant, qui a eu le courage de témoigner publiquement de son parcours dys, a naïvement expliqué son évolution dans le test du maddox au cours du temps, que le pupitre et les semelles l’avaient aidé, ce qu’il devait au traitement proprioceptif. Mais, les invitées parisiennes (C.Huron et C.Billard) ont préféré ne pas entendre ce témoignage et ont prétendu être « obligées de détricoter » de manière fort brutale : « aucune preuve scientifique de l’efficacité de la posturologie », « ça fait partie des mythes », « caractère magique ».

    Hormis l’aspect humain et la violence ainsi faite à cet enfant et à sa famille, Sensoridys s’étonne de l’ambivalence de l’INSERM qui, dans le même temps, met en avant les travaux du Dr Quercia dans un article fort élogieux de son magazine (N°44) et donne ensuite la parole à des personnes dont tout le discours a été d’assimiler le traitement proprioceptif des troubles des apprentissages à la posturologie et de prétendre qu’il n’a rien de scientifique : « caractère magique » (montrant ainsi leur méconnaissance totale de la recherche sur la proprioception et la dysfonction proprioceptive). Pétries de leurs certitudes, elles ont préféré rejeter, encore une fois, le témoignage des familles plutôt que de les écouter et de s’interroger sur l’intérêt et les apports de cette nouvelle approche des troubles des apprentissages. Pourtant, la curiosité et l’ouverture d’esprit aux idées nouvelles ne devraient-elles pas caractériser l’esprit scientifique ?
    En humiliant cet enfant et sa famille, ce sont toutes les familles de patients traités pour une dysfonction proprioceptive que Mmes Billard et Huron ont blessées, en les faisant passer au mieux pour des imbéciles incapables de juger des progrès qu’elles peuvent attribuer à ce traitement, au pire pour des esprits faibles entre les mains de praticiens peu scrupuleux. Et pourtant des familles viennent de très loin pour faire suivre ce traitement à leur enfant : Arabie Saoudite, Qatar, USA, Canada, Maroc, etc.
    Une fois de plus, une fois de trop, les patients et familles ont été écartés d’un débat qui les concerne en premier lieu !
    Exaspérés par cette mise à l’écart systématique, les familles et patients ont décidé de s’unir et de créer l’association Sensoridys. Notre association est encore jeune, mais bien déterminée à faire entendre la voix des familles et patients. Et, nous entendons la faire entendre aujourd’hui !
    Corinne Grandvincent
    Présidente de Sensoridys
    sensoridys.fr/

  • @valerieetismaelflores3986
    @valerieetismaelflores3986 4 роки тому +3

    Comment peut-on laisser un enfant décrire son propre traitement ??? C'est comme si un opéré du cœur expliquait les gestes chirurgicaux qu'il a subit. Si Mesdames Huron et Billard veulent échanger sur les traitements des troubles de la proprioception (et non la posturologie) en public, qu'elles le fassent avec des professionnels pratiquants et ayant publié sur le sujet.

  • @ophelieimmobilierdugard
    @ophelieimmobilierdugard 4 роки тому +4

    Ce qui me choque le plus le témoignage du petit Léonard qui a été complètement pris de haut par les 2 médecins invitées sur le plateau.
    Je suis dyslexique mon fils aussi et j ai tout essayé avant d aller voir le Dr Quercia. J ai eu de meilleurs résultats depuis que mon fils porte ses prismes car il est hypophorique, des semelles orthopédiques et des alphs. Lors du test de Maddox mon fils devait voir un point et une droite rouge avec le casque audio on a porté du volume de plus en plus fort la droite s est transformée en pointillé... Non le traitement proprioceptif n est pas magique c est un traitement et donc il traite les symptômes de la dysproprioception.
    Je suis navrée de voir aussi peu de considération envers le traitement que vous ne connaissez apparemment pas Mesdames.
    Dommage cela aurai pu être intéressant et un droit de réponse du Dr Quercia serai souhaitable @lacitedessciences.
    Bon courage à tous les dyslexiques 💪👍

  • @Met474
    @Met474 3 місяці тому

    Je ne comprends pas comment en 2024 on peut dire "comment éviter l'apparition des DYS" alors que c'est un trouble qui a ma connaissance (si des professionnels vois se message merci de le signaler et de me.dire si oui ou non je me.trompe) les troubles dys sont présents des la naissance et ne sont juste pas identifiable avant l'écriture et la lecture, même si d'autres indices peuvent aider

  • @Ridergeekette
    @Ridergeekette 4 роки тому +4

    Vous avez raison Caroline, vous êtes effectivement trop âgée. Je pense aussi que vous avez oublié de préciser le mot "bornée" et "fermée d'esprit". Quelle horreur... Avez vous ne serait-ce qu'essayer de comprendre ce qu'est la proprioception, vous êtes-vous formée pour avoir un avis objectif ? La réponse est non. Dans l'idéal il faut arrêter de parler de ce qu'on ne connait pas, surtout pour dire n'importe quoi.

  • @lolo0671
    @lolo0671 4 роки тому +4

    Grotesque et scandaleux, j’invite les docteurs Billard et Huron dans mon cabinet d’orthodontie , pour les éclairer sur le sujet. Avec plus de connaissances ils seraient sans doute moins méprisant...

  • @nadinecartier8081
    @nadinecartier8081 5 місяців тому

    Pas d'orthophoniste pour un bilan, que faire ?
    Depuis la maternelle, le primaire j'ai alerté tous les enseignants sur le fait qu'il n'aimait pas dessiner, qu'il n'arrivait pas à écrire correctement personne ne m'a écouté et je trouve cela inadmissible. Ils ne s'en sont rendu compte qu'une fois arrivee en cm1 et encore, parce que je n'arrêtais pas de dire qu'il y avait un souci, ill a fallu qu'en CM2 je prenne l'initiative d'un rdv avec un ergotherapeuthe pour un bilan qui a effectivement confirmé ce que je pensais un trouble important de dysgraphie et de motricité fine. Ou etaient les enseignants si moi sa grand-mère je men suis rendu compte, pourquoi pas eux, pourquoi n'a t'il reçu aucune aide, pourquoi ? Pourquoi toutes ces annees de perdues , à qui la faute ce petit garcon va faire comment maintenant avec l'entrée en 6e qui approche?
    Que faire, vers qui se tourner les parents sont laissés seuls les seances ergo coûtent très chères, psychomotricienne impossible les parents n'ont pas les moyens.non plus Je suis une grande mère très très en colère. Quels autres bilans faire?? Pas d'aide, personne pour expliquer aux parents.

    • @Met474
      @Met474 3 місяці тому

      Bonjour madame, est ce que votre fils possède un PAP c'est un plan d'adaptation qui permet en fonction de l'hadicap de l'équilibré avec des adaptations facilitant son apprentissage, comme votre fils on m'a enfin déclaré un handicap en 6eme alors que ma mère avait des doute des mon CE1, ce PAP m'a permis a partir de la 4eme de posséder un ordinateur portable pendant les cours, j'ai appris à me servir d'un ordinateur avec mon ergothérapeute et cela m'a permis d'être au même niveau que les autres. Voilà j'espère que je vous ai aidé et n'hésitez pas a posé des questions a l'ergothérapeute de votre fils, bonne journée à vous.

  • @floriangirard2052
    @floriangirard2052 4 роки тому +2

    Relais du message de Sensoridys, qui répond à la critique scientifique du traitement proprioceptif pour dys (39'35") par les intervenantes.
    Je me permet également de remettre le post de Corinne Grandvincent, la présidente de Sensoridys, association française de patients souffrant d’une dysfonction proprioceptive, qui a été supprimé. Je trouve cela étrange donc je le remets car il représente la voix de nombreuses familles qu'il serait intéressant d'écouter... En espérant ne pas me retrouver également bannie des commentaires! " Je tiens à vous faire part de la consternation des familles, pour ne pas dire de leur indignation, à la suite de cette conférence. A Montbéliard, la famille choisie pour témoigner avait un enfant dyslexique suivi par le Dr Quercia (Chercheur associé - Unité INSERM U1093 Cognition Action et Plasticité Sensorimotrice) pour une dysfonction proprioceptive. Cet enfant, qui a eu le courage de témoigner publiquement de son parcours dys, a naïvement expliqué son évolution dans le test du maddox au cours du temps, que le pupitre et les semelles l’avaient aidé, ce qu’il devait au traitement proprioceptif. Mais, les invitées parisiennes (C.Huron et C.Billard) ont préféré ne pas entendre ce témoignage et ont prétendu être « obligées de détricoter » de manière fort brutale : « aucune preuve scientifique de l’efficacité de la posturologie », « ça fait partie des mythes », « caractère magique ». Hormis l’aspect humain et la violence ainsi faite à cet enfant et à sa famille, Sensoridys s’étonne de l’ambivalence de l’INSERM qui, dans le même temps, met en avant les travaux du Dr Quercia dans un article fort élogieux de son magazine (N°44) et donne ensuite la parole à des personnes dont tout le discours a été d’assimiler le traitement proprioceptif des troubles des apprentissages à la posturologie et de prétendre qu’il n’a rien de scientifique : « caractère magique » (montrant ainsi leur méconnaissance totale de la recherche sur la proprioception et la dysfonction proprioceptive). Pétries de leurs certitudes, elles ont préféré rejeter, encore une fois, le témoignage des familles plutôt que de les écouter et de s’interroger sur l’intérêt et les apports de cette nouvelle approche des troubles des apprentissages. Pourtant, la curiosité et l’ouverture d’esprit aux idées nouvelles ne devraient-elles pas caractériser l’esprit scientifique ? En humiliant cet enfant et sa famille, ce sont toutes les familles de patients traités pour une dysfonction proprioceptive que Mmes Billard et Huron ont blessées, en les faisant passer au mieux pour des imbéciles incapables de juger des progrès qu’elles peuvent attribuer à ce traitement, au pire pour des esprits faibles entre les mains de praticiens peu scrupuleux. Et pourtant des familles viennent de très loin pour faire suivre ce traitement à leur enfant : Arabie Saoudite, Qatar, USA, Canada, Maroc, etc. Une fois de plus, une fois de trop, les patients et familles ont été écartés d’un débat qui les concerne en premier lieu ! Exaspérés par cette mise à l’écart systématique, les familles et patients ont décidé de s’unir et de créer l’association Sensoridys. Notre association est encore jeune, mais bien déterminée à faire entendre la voix des familles et patients. Et, nous entendons la faire entendre aujourd’hui ! Corinne Grandvincent Présidente de Sensoridys sensoridys.fr/"

  • @thepinbenoit892
    @thepinbenoit892 4 роки тому +1

    Des rechercheurs de l'INSERM qui emettent des critiques/comparaisons/amalgames sans faire de recherche sérieuses sur les travaux d'autres chercheurs eux même de l'INSERM...De quoi emettre un doute serieux quand à la qualité des travaux de Mme BILLARD et HURON.

  • @virginiemacle2358
    @virginiemacle2358 4 роки тому +3

    Je suis ostéopathe DO nouvellement diplômée du DU perception Action et troubles des Apprentissages ..comment peux t-on prétendre être scientifiques et osez discréditer un accompagnement que l'on ne connait vraisemblablement pas du tout. Dire que les actions que l'on a sur la proprioception relèvent de la magie et de la sorcellerie, montre bien mesdames votre totale ignorance scientifique dans ce domaine .Je pense à toutes ces familles d'enfants DYS ... quelle horreur

  • @emiliemialon4704
    @emiliemialon4704 4 роки тому

    Essai

  • @emilielaroche4527
    @emilielaroche4527 4 роки тому +12

    Je ne comprends pas pourquoi le commentaire de Corinne Grandvincent, la présidente de Sensoridys, association française de patients souffrant d’une dysfonction proprioceptive, a été supprimé. Je trouve cela étrange donc je le remets car il représente la voix de nombreuses familles qu'il serait intéressant d'écouter... En espérant ne pas me retrouverégalement bannie des commentaires!
    " Je tiens à vous faire part de la consternation des familles, pour ne pas dire de leur indignation, à la suite de cette conférence.
    A Montbéliard, la famille choisie pour témoigner avait un enfant dyslexique suivi par le Dr Quercia (Chercheur associé - Unité INSERM U1093 Cognition Action et Plasticité Sensorimotrice) pour une dysfonction proprioceptive. Cet enfant, qui a eu le courage de témoigner publiquement de son parcours dys, a naïvement expliqué son évolution dans le test du maddox au cours du temps, que le pupitre et les semelles l’avaient aidé, ce qu’il devait au traitement proprioceptif. Mais, les invitées parisiennes (C.Huron et C.Billard) ont préféré ne pas entendre ce témoignage et ont prétendu être « obligées de détricoter » de manière fort brutale : « aucune preuve scientifique de l’efficacité de la posturologie », « ça fait partie des mythes », « caractère magique ».
    Hormis l’aspect humain et la violence ainsi faite à cet enfant et à sa famille, Sensoridys s’étonne de l’ambivalence de l’INSERM qui, dans le même temps, met en avant les travaux du Dr Quercia dans un article fort élogieux de son magazine (N°44) et donne ensuite la parole à des personnes dont tout le discours a été d’assimiler le traitement proprioceptif des troubles des apprentissages à la posturologie et de prétendre qu’il n’a rien de scientifique : « caractère magique » (montrant ainsi leur méconnaissance totale de la recherche sur la proprioception et la dysfonction proprioceptive). Pétries de leurs certitudes, elles ont préféré rejeter, encore une fois, le témoignage des familles plutôt que de les écouter et de s’interroger sur l’intérêt et les apports de cette nouvelle approche des troubles des apprentissages. Pourtant, la curiosité et l’ouverture d’esprit aux idées nouvelles ne devraient-elles pas caractériser l’esprit scientifique ?
    En humiliant cet enfant et sa famille, ce sont toutes les familles de patients traités pour une dysfonction proprioceptive que Mmes Billard et Huron ont blessées, en les faisant passer au mieux pour des imbéciles incapables de juger des progrès qu’elles peuvent attribuer à ce traitement, au pire pour des esprits faibles entre les mains de praticiens peu scrupuleux. Et pourtant des familles viennent de très loin pour faire suivre ce traitement à leur enfant : Arabie Saoudite, Qatar, USA, Canada, Maroc, etc.
    Une fois de plus, une fois de trop, les patients et familles ont été écartés d’un débat qui les concerne en premier lieu !
    Exaspérés par cette mise à l’écart systématique, les familles et patients ont décidé de s’unir et de créer l’association Sensoridys. Notre association est encore jeune, mais bien déterminée à faire entendre la voix des familles et patients. Et, nous entendons la faire entendre aujourd’hui !
    Corinne Grandvincent
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    sensoridys.fr/"
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