superbe cette interview et étonnamment réconfortant de constater que je ne suis pas seul à réaliser qu'aujourd'hui, en terme de design objet/service, le plus éthique serait de ne rien faire !
La rêverie, la sensualité, la beauté, poser des choses qui vibrent, c'est ce qui manque à certaines villes.Sortir une rivière de son cercueil par exemple ! car oui il y a des villes capable d'enterrer leurs rivières, c'est le cas à Lausanne.Pourquoi? d'ailleurs il n'y a pas plus d'arbres?,le béton est intéressant mais il bloque la respiration, l'évacuation des eaux, empêche la vie d'apparaître à nos yeux, les néons de la ville de voir les étoiles dans le ciel,, toute possibilité de ce qui peut nous apporter joie et paix, une fleur par exemple.Ce designer me semble être un artiste avant tout, il me touche pour tout ce qu'il partage ici, j'espère vraiment que l'on ne se retrouvera pas dans une ville "SMART" ou smart city, prisonniers de technologies et privés de rêveries !.Car où il n'y a plus de rêve, il n'y a plus de vie.Les urbanistes doivent relever le défi et mettre du vivant, de la chaleur, de la féminité dans nos rues !
superbe cette interview et étonnamment réconfortant de constater que je ne suis pas seul à réaliser qu'aujourd'hui, en terme de design objet/service, le plus éthique serait de ne rien faire !
La rêverie, la sensualité, la beauté, poser des choses qui vibrent, c'est ce qui manque à certaines villes.Sortir une rivière de son cercueil par exemple ! car oui il y a des villes capable d'enterrer leurs rivières, c'est le cas à Lausanne.Pourquoi? d'ailleurs il n'y a pas plus d'arbres?,le béton est intéressant mais il bloque la respiration, l'évacuation des eaux, empêche la vie d'apparaître à nos yeux, les néons de la ville de voir les étoiles dans le ciel,, toute possibilité de ce qui peut nous apporter joie et paix, une fleur par exemple.Ce designer me semble être un artiste avant tout, il me touche pour tout ce qu'il partage ici, j'espère vraiment que l'on ne se retrouvera pas dans une ville "SMART" ou smart city, prisonniers de technologies et privés de rêveries !.Car où il n'y a plus de rêve, il n'y a plus de vie.Les urbanistes doivent relever le défi et mettre du vivant, de la chaleur, de la féminité dans nos rues !