17. Le retour de l'ornement : une controverse postmoderne

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  • Опубліковано 25 гру 2024

КОМЕНТАРІ • 3

  • @FlorentGARNOT
    @FlorentGARNOT Місяць тому +1

    Merci, avec quelques années de distance, pour cette conférence claire et instructive. Elle permet de mieux saisir les origines de ce qui peut apparaître comme deux radicalites et pauvretés successives, la nudité moderne et le spectaculaire facadiste. Dans les deux cas la rupture et l erreur originelle tiennentw me semble t il, a l'éloignement de l idée que le bâtiment peut - doit est on tente de dire - être authentiquement beau, c est a dire solide, bien construit, avec des matériaux nobles ou de qualité (vetustas), composé de belles formes structurelles, croisant la fonction et la beauté, et proposant au regard des ornements ou jeux de matière, lumière et ombre, qui viennent enrichir la façade et lui donner un propos.
    Il est étrange que les notions aient été a ce point détachées les unes des autres, alors que leurs croisements autorisent tant de possibilités, qui font de l architecture un si bel art.
    Espérons que le beau puisse revenir et n être pas faux.
    La ville continue... 1:12:18

  • @massimilianopassi1288
    @massimilianopassi1288 9 місяців тому +2

    any architect born before the XXth century is crying looking at what we call ornament here

  • @sapere7
    @sapere7 4 роки тому +1

    L’ architecture du “ Hangar décoré “ ... pas très séduisante,ni dans le résultat de ses réalisations du côté esthétique ( classicisme freestyle ) ni dans l’objectif de ses commanditaires et investisseurs: diversification à faible coûts et standardisation , optimisation même dans le langage décoratif qui ressemble plus à un appauvrissement de celui-ci.... architecture qui semble avoir trouvé un terrain de développement idéal aux États Unis, sans une tradition architecturale moins ancrée qu’en Europe et où tout rêve ou délire devient possible.
    Conférence très instructive ,ça aide à mieux comprendre ce mouvement postmoderniste même si on n’adhère pas mais je suis sûre qu’elle a ses amateurs, il y en a toujours pour tous les goûts.