LES DJIZ 2019- ILS SONT LIBRES

DAKOURI Dago Alain Ricard-Elvis (Djidjignou)
Les DjiZ
DJAHI Dakouri Olivier (Nanegnon)
Originaire de LAKOTA ville située à environ 250 km d’Abidjan dans la région du Sud Bandama, DAKOURI Dago Alain et DJAHI Dakouri Olivier font partie de la tribu DEBOUA et particulièrement du village de GBELIE.
Très tôt ils se font remarquer par leur talent d’artiste avec un timbre vocal hors paire au cours de différents concours organisés durant les vacances scolaires dans le canton. Elèves brillants et studieux, DJIDJIGNOU et NANEGNON ne résistent plus au fil des temps à leur passion commune (la musique), ils comprirent que leur Chemin était ailleurs que sur les bancs de l’école, c’est ainsi que contre vent et marée ils abandonnent cahiers, stylos, livres et bancs pour accomplir leur mission, à savoir transporter les mélomanes dans un espace paradisiaque à travers leur composition et leur voix.
En 1999 alors qu’ils sont respectivement en classe de première (1ere) D et troisième (3e) pour se lancer à l’aventure ils débarquent à Abidjan grande métropole, centre d’affaires, plaque tournante du show biz mondial.
Ils se font appeler les DjiZ pluriel de Dji syllabe DIDA leur langue maternelle qui signifie panthère, car il va falloir être à la fois endurant et coriace pour traverser la jungle. Une jungle composée de corrupteurs, de parasites, de profiteurs pour les jeunes qui décident d’embrasser leur passion et d’en faire leur boulot.
Il faille aussi batailler dur pour se faire une place et trouver de bons et vrais promoteurs. En hommes avertis, Les DjiZ ne sont nullement découragés par la traversée du désert qui fait d’eux successivement des cireurs et serveurs dans les bistrots.
Ils sortent dans toutes ces difficultés un premier album dans le premier trimestre de l’an 2000 ce qui marque le début de leur jeune carrière.
Sans soutien ni promotion cet opus de Huit titres (GNEZE) qui veut dire pitié passe inaperçu, mais les DjiZ font leur petit bon homme de chemin oh que difficile, tant bien que mal ils se familiarisent avec la cité et ses milieux, se font des contacts participent à certains spectacles urbains et se font peu à peu connaitre.
En Mai 2002 ils mettent sur le marché un autre album (tout se paie ici bas) qui connait le même sort que le précédent par fautede moyen pour la promotion, néanmoins cet album les fait connaitre par un grand nombre de mélomanes et les DjiZ commencent à avoir des fans dans le milieu du show Biz, pour couronner cela, ils sont invités en 2004 à paris par la BCCC pour participer au salon du chocolat, où ils courtois, des grands noms du foot Ivoirien (Didier DROGBA, Bonaventure KALOU, Maestro)(voir annexe pour photos) qui sont fort impressionnés par leur talent tout comme les visiteurs européens qui ne désemplissaient pas le stand Ivoirien qui s’étonnaient de pareilles voix. Ils font le jingle de l’émission gag « du coq à l’âne » produit et présenté par le tonitruant John Jay. Fort de toutes ces marque de reconnaissance pour le travail abattu, les deux lutins de la musique Ivoirienne sont plus que jamais galvanisé et décident coute que coute d’imposer le LIGBOUTOUWELY (la parole chanté, qui tire un peu sur les griots) leur genre musical peu connu dans ce milieu et ayant progressivement des adeptes.
Guide-nous leur troisième galette fait alors sont apparition sur le marché des disques, au printemps de l'an 2006 le résultat ne fut certes pas celui ex conté mais guide-nous se comporte mieux. Les DjiZ sont de plus en plus invités à des cérémonies urbaines, officiels, des dîners gala et chaque fois ils se distinguent par leur prestation qu’ils font en live et leur accapela extraordinaire ce qui leur a valu d’ailleurs le sobriquet de «les dieux de l’accapela ».
Petit à petit les maîtres de la parole tissent leur toile et prennent beaucoup de mélomanes dont des sommités avertis du showbiz mondial tels que King MENSAH du TOGO, Boni GNAHORE de Côte d’Ivoire et l’animateur et mérite le Congolais Robert BRAZZA, père de l’émission plus d’Afrique sur Canal+ Satellite. Ils enchaînent dîners gala sur dîners gala et deviennent les artistes les plus sollicités pour les dîners VIP.
En Février 2010 ils sortent « Le Baptême » le quatrième album avec lequel ils font le tour de la côte d’Ivoire.
Auteurs, compositeurs, arrangeurs, producteurs et distributeurs, les DjiZ et leur staff managérial font une promotion de proximité, ils sillonnent quasiment les dix communes de la capitale économique de la Côte d’Ivoire Abidjan en offrant des spectacles gratuits au cours des quels ils vendent les Compact disc de «le Baptême », un mois durant. Pari gagné, l’album se vend à plus de trois milles (3000) exemplaires sans compter ceux vendus dans les bacs à cassettes. Après plusieurs conférences de presses, la déferlante sur l’intérieur se préparaient lorsque malheureusement, arriva

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La vérité a vraiment triomphé

[@obrouelyseeouraga3376]

Weeeeep c'est ça même