Séances commentées - Les secrets de la motivation et de la finesse

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  • Опубліковано 23 жов 2024

КОМЕНТАРІ • 3

  • @SylvainMANIER-wl1bn
    @SylvainMANIER-wl1bn 23 години тому

    Encore une vidéo bien Intéressante. Bravo et merci pour tous ces conseils

  • @lafandedadou491
    @lafandedadou491 8 місяців тому

    Merci pour la vidéo ! J'ai ce problème d'anticipation des actions du cheval, mais je n'avais pas encore trouvé d'où ça venait jusqu'à maintenant. Puis ce que c'est lié à l'instant présent, je pense que c'est aussi lié aux outils qu'on utilise en travail à pied. J'ai commencé le travail à pied y'a un peu plus d'un an, et d'un coup on m'avait mis un tas de nouveaux outils entre les mains, ce qui me demandait une sacrée gymnastique du cerveau pour me rappeler ce que je devais faire de mes bras avec la longe, le stick et la corde attachée au stick (J'ai retiré cette dernière, parce que sinon je n'allais jamais m'en sortir 😂) tout en étant concentrée sur le cheval et sur ses réponses en plus d'essayer de faire l'exercice correctement. J'ai découvert y'a pas longtemps que c'était beaucoup plus facile pour moi de travailler en liberté, que dans ces exercices là le cheval était beaucoup plus connecté et beaucoup plus intéressé (La sensation de longe invisible dont tu parlais dans une autre vidéo justement) parce que je n'avais plus qu'un stick entre les mains et que c'était beaucoup plus facile pour moi à gérer, et donc plus facile pour moi de me poser dans le moment présent et de communiquer avec lui. Sauf que j'ai l'impression qu'il y a cette croyance générale que les débutants ont forcément besoin des outils pour progresser, et que seuls les pro peuvent se permettre de faire le maximum de choses en liberté. Je ne trouve pas les outils mauvais, pas du tout, je veux juste dire par là que c'est complètement faux puis ce que tous ces outils, quand on n'y connait pas grand chose, peuvent plus facilement nous induire en erreur que si on en avait un minimum. Et là, on peut mieux apprendre à communiquer au savoir être, puis ce qu'on a pas grand chose pour "contraindre" le cheval. Petit problème, les cours de travail à pied que je fais sont en collectif, on est parfois beaucoup dans un même espace donc plus compliqué de retirer la longe des chevaux dans ces moments-là, et les profs que j'ai sont un peu moins axés sur ces exercices en liberté, et les cours particuliers c'est pas trop gérable niveau argent.
    En plus, je ne sais pas si c'est commun, mais j'ai du mal à être juste avec le cheval, dans le moment présent, si quelqu'un est continuellement en train de m'observer. Les profs peuvent donner des conseils, des indications, nous permettent de nous améliorer, bien sûr, mais je trouve qu'on a besoin d'une petite marge de temps de qualité, de jeu, seul à seul avec le cheval, sans pression d'un regard extérieur, même si celui-ci est avec de bonnes intentions, pour avancer à son rythme et de façon instinctive sans se demander si la personne près de nous va trouver notre façon de faire "mauvaise" ou pas assez efficace de son point de vue. Et si on ressent cette pression, on est encore dans la réflexion, dans le mental, on est tendu, et ça empêche d'être dans le moment présent.

    • @Domino_Comportementaliste
      @Domino_Comportementaliste  8 місяців тому

      Merci pour ton commentaire! Pour moi c'est bien l'inverse en effet: pour savoir utiliser les outils, il faut déjà avoir un certain niveau. Un débutant devrait commencer simplement par travailler son savoir être, le lâcher prise, la conscience de ses gestes, apprendre à lire et répondre au cheval. Sur des choses simples avec un cheval bien dressé, calme et ouvert à la communication, évidemment. Ensuite, on peut compliquer petit à petit et introduire les outils. Si on commence par les outils: on a tendance à se cacher derrière et à ne plus bosser son savoir être! Le soucis c'est qu'on veut aller trop vite et on ne commence pas par le bon bout... On veut de suite apprendre aux débutants à faire... au lieu de leur apprendre à être!