Les clefs déverrouillent, les portes s'ouvrent, les pas jouent du parquet ciré, empruntent des escaliers, les pendules sonnent les heures, le temps n'existe plus, les voix se modulent dans les espaces, les matières, les volumes, la sensation du confort, de l'intimité , les questions engendrent les commentaires, les explications enseignent, le plan des lieux et leurs retombes se conçoivent dans les pensées, les savoir faire et les talents ornementent, le rêve nous offre un voyage au sein de cet univers intime et enchanteur...
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Les clefs déverrouillent, les portes s'ouvrent, les pas jouent du parquet ciré, empruntent des escaliers, les pendules sonnent les heures, le temps n'existe plus, les voix se modulent dans les espaces, les matières, les volumes, la sensation du confort, de l'intimité , les questions engendrent les commentaires, les explications enseignent, le plan des lieux et leurs retombes se conçoivent dans les pensées, les savoir faire et les talents ornementent, le rêve nous offre un voyage au sein de cet univers intime et enchanteur...
Faudrait savoir. Nous leurs coupons la tête et après nous les envions.
Mais dans sa chaumière, mais dans sa chaumière
Je n'ai pas vu pauvre Martin
Pauvre Martin, pauvre misère, tremblant de froid, mourant de faim
Confession de Marie-Antoinette
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