L'avocat de la terreur (Extrait 2)

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  • Опубліковано 12 вер 2024
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    Un film de Barbet Schroeder
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    Communiste, anticolonialiste, d’extrême droite ? Quelle conviction guide Jacques Vergès ? Barbet Schroeder mène l’enquête pour élucider le " mystère ". Au départ de la carrière de cet avocat énigmatique : la guerre d’Algérie et Djamilah Bouhired, la pasionaria qui porte la volonté de libération de son peuple. Le jeune homme de loi épouse la cause anticolonialiste, et la femme. Puis disparaît huit ans. A son retour, Vergès défend les terroristes de tous horizons (Magdalena Kopp, Anis Naccache, Carlos) et des monstres historiques tels que Barbie.
    D’affaires sulfureuses en déflagrations terroristes, Barbet Schroeder suit les méandres empruntés par " L’avocat de la terreur ", aux confins du politique et du judiciaire. Le cinéaste explore, questionne l’histoire du " terrorisme aveugle " et met à jour des connexions qui donnent le vertige.
    Le Nouvel Observateur : "Le film dure 2h15, il passe comme un éclair, et au générique de fin on se dit qu’on aimerait en voir et en entendre deux ou trois heures de plus."
    Le Monde : "la densité de récits, l’accumulation romanesque, le réservoir d’histoires (...) Le film (...) n’est pourtant pas une fiction mais un documentaire (...) C’est aussi un incroyable thriller d’espionnage, avec ses secrets d’Etat (...) Me Vergès est un formidable catalyseur pour un cinéaste qui n’a jamais cessé de montrer que la vérité est parfois faite de paradoxe et de confusion."
    Télérama : "Malgré l’absence de tout commentaire en voix off, qui laisse parfois Barbet Schroeder se replier sur une position de non-jugement, une hypothèse se fait jour : et si la " machine Vergès " carburait à l’affectif.
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