Il parlait souvent, Gazo, mais toujours les mêmes mots. Chaque phrase revenait comme. une ritournelle lancinante, un écho qui.. se perdait dans le vide. Il répétait, ressassait, comme un naufragé agrippé à une bouée. « Tu comprends, la vie est dure », murmurait-il, sans jamais creuser plus loin. Mais cette vie-là, qu’il évoquait inlassablement, restait insaisissable, presque abstraite. Car derrière ces mots simples, il y avait un monde qu’il ne pouvait nommer, une réalité qu’il ne savait décrire. L’éducation n’avait jamais été son refuge. L’art des mots lui avait été refusé, comme si l’accès à la pensée structurée était un privilège réservé à d’autres. Les mots sont des ponts, disait un philosophe, mais pour Gazo, ils étaient des murs. Sans les outils de l’expression, il errait dans un désert verbal où chaque idée naissait incomplète, chaque émotion restait prisonnière. L’ignorance n’est pas seulement l’absence de savoirs ; c’est aussi l’incapacité de traduire l’invisible, de donner corps à l’indicible. Le langage, ce véhicule de l’esprit, lui faisait défaut. Il était réduit à des fragments, à des éclats de phrases, à des slogans usés par le temps. Ce n’était pas l’intelligence qui lui manquait, mais les clés pour l’exprimer. Car le langage n’est pas qu’un outil de communication, c’est la matrice de la pensée. Ne pas maîtriser les mots, c’est ne pas maîtriser ses idées, ses désirs, ses colères. Gazo se débattait dans une prison invisible, celle de l’ignorance verbale, qui réduit l’être à un simple écho de lui-même. Chaque répétition était un cri déguisé, une tentative désespérée de dire ce qui ne pouvait être formulé. Les autres le regardaient parfois avec lassitude, mais ils ne comprenaient pas. Derrière la répétition se cachait un gouffre, un vide que seules les bonnes paroles auraient pu combler. Car nommer, c’est exister. Se taire ou se répéter, c’est disparaître peu à peu. La société ne pardonne pas cette ignorance-là. Elle exige de chacun qu’il sache dire, expliquer, convaincre. Mais qui a tendu la main à Gazo pour lui apprendre ? Qui a pris le temps de lui montrer que les mots ne sont pas seulement des sons, mais des outils de libération ? Il y avait en lui une richesse enfouie, un potentiel inexprimé. Comme un diamant brut, jamais poli par la lumière du savoir. L’éducation ne lui avait pas donné les clés, alors il tournait en rond, cherchant à forcer des portes invisibles. Le manque d’éducation verbale n’est pas une simple carence : c’est une mutilation de l’esprit. Car sans mots, l’esprit s’égare. Sans mots, la pensée devient une prison, et le silence, une condamnation. Et pourtant, derrière ses phrases répétées, il y avait l’écho d’un monde immense, un univers qu’il ne demandait qu’à explorer. Mais encore fallait-il lui donner la carte, lui apprendre à naviguer dans l’océan des mots. Car celui qui ne maîtrise pas le langage n’est pas seulement réduit au silence : il est coupé de lui-même. Sur le terrain brûlant de l’ignorance, comme un gazon, Sans eau ni soin, poussent les mots sans fondation. Le savoir absent, juste une illusion, Chaque idée s’étiole, sans direction, sans horizon. La parole en jachère, privée de floraison, Les racines coupées, faute d’éducation. Les mots deviennent fades, perdent leur vibration, Sans lumière, sans savoir, pas de floraison. Sous ce ciel sans école, un long abandon, Les pensées tournent en rond, comme des moutons sur un gazon. Car l’esprit sans mots reste en suspension, Privé de voyage, figé dans l’inaction. L’éducation, c’est l’eau, la lumière et l’infusion, Qui transforme l’esprit, lui donne expansion. Sans elle, le verbe s’éteint, reste une prison, Et l’âme s’égare, privée d’expression gaaaazoooo
La vidéo elle régale
Ouais ça régale de ouf
@@Mohamed-ur7cp ça régale à 100%
Ça régale
Ça régale à 100%😂
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Il parlait souvent, Gazo, mais toujours les mêmes mots. Chaque phrase revenait comme.
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agrippé à une bouée. « Tu comprends, la vie est dure », murmurait-il, sans jamais creuser plus loin. Mais cette vie-là, qu’il évoquait inlassablement, restait insaisissable, presque abstraite. Car derrière ces mots simples, il y avait un monde qu’il ne pouvait nommer, une réalité qu’il ne savait décrire. L’éducation n’avait jamais été son refuge. L’art des mots lui avait été refusé, comme si l’accès à la pensée structurée était un privilège réservé à d’autres.
Les mots sont des ponts, disait un philosophe, mais pour Gazo, ils étaient des murs. Sans les outils de l’expression, il errait dans un désert verbal où chaque idée naissait incomplète, chaque émotion restait prisonnière. L’ignorance n’est pas seulement l’absence de savoirs ; c’est aussi l’incapacité de traduire l’invisible, de donner corps à l’indicible. Le langage, ce véhicule de l’esprit, lui faisait défaut. Il était réduit à des fragments, à des éclats de phrases, à des slogans usés par le temps.
Ce n’était pas l’intelligence qui lui manquait, mais les clés pour l’exprimer. Car le langage n’est pas qu’un outil de communication, c’est la matrice de la pensée. Ne pas maîtriser les mots, c’est ne pas maîtriser ses idées, ses désirs, ses colères. Gazo se débattait dans une prison invisible, celle de l’ignorance verbale, qui réduit l’être à un simple écho de lui-même. Chaque répétition était un cri déguisé, une tentative désespérée de dire ce qui ne pouvait être formulé.
Les autres le regardaient parfois avec lassitude, mais ils ne comprenaient pas. Derrière la répétition se cachait un gouffre, un vide que seules les bonnes paroles auraient pu combler. Car nommer, c’est exister. Se taire ou se répéter, c’est disparaître peu à peu. La société ne pardonne pas cette ignorance-là. Elle exige de chacun qu’il sache dire, expliquer, convaincre. Mais qui a tendu la main à Gazo pour lui apprendre ? Qui a pris le temps de lui montrer que les mots ne sont pas seulement des sons, mais des outils de libération ?
Il y avait en lui une richesse enfouie, un potentiel inexprimé. Comme un diamant brut, jamais poli par la lumière du savoir. L’éducation ne lui avait pas donné les clés, alors il tournait en rond, cherchant à forcer des portes invisibles. Le manque d’éducation verbale n’est pas une simple carence : c’est une mutilation de l’esprit. Car sans mots, l’esprit s’égare. Sans mots, la pensée devient une prison, et le silence, une condamnation.
Et pourtant, derrière ses phrases répétées, il y avait l’écho d’un monde immense, un univers qu’il ne demandait qu’à explorer. Mais encore fallait-il lui donner la carte, lui apprendre à naviguer dans l’océan des mots. Car celui qui ne maîtrise pas le langage n’est pas seulement réduit au silence : il est coupé de lui-même.
Sur le terrain brûlant de l’ignorance, comme un gazon,
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Les mots deviennent fades, perdent leur vibration,
Sans lumière, sans savoir, pas de floraison.
Sous ce ciel sans école, un long abandon,
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Car l’esprit sans mots reste en suspension,
Privé de voyage, figé dans l’inaction.
L’éducation, c’est l’eau, la lumière et l’infusion,
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ahhhhhhhh tout ça pour quoi?
La RÉGALADE fingawe BAAW flinguage tu me régale
Mdr cette vidéo est une régalade