Відео

une merveille

merci ❤

Super❤

Entendu la version orchestrale au défilé du 14,07,23, air très cool

Après la nuit Avant le jour Et à travers les roselières Après la nuit Avant le jour J'irai chercher les hautes lumières Aux innocents les mains pleines Je t'emmène lancer les médailles Dans l'eau bleue des fontaines Et cueillir à nouveau ces visions Qu'on s'offrait autrefois comme des couronnes Ces visions qu'on s'échangeait Pour se dire, pour se rappeler Je suis veilleur, tu es musée Je veux sentir les feuilles de menthe craquer Sous nos dents avec la chlorophylle qui s'échappe Et te faire écouter le son de carillon Que fait le claquement des drisses de pavillons contre les mâts Avec en fond le grand fracas de la mer qui rapporte Et au-dessus la procession d'cargos des nuages bas et blancs J'voudrais te faire rencontrer les femmes cyprines et les volk queen Qu'elles nous habillent de robes et de diadèmes Au croisement d’Amsterdam et de la 80ème Pendant que moi j'te mettrai au poignet Des bracelets de tissus qui deviendront des bracelets de fleurs Puis des rubans, puis des violons J'porte le blason de mon clan Je l'ai désormais gravé sur la face visible de mon coeur Mais ça ne fait pas mal rassure toi au contraire J'ai fais broder le souvenir étincelants sur deux manteaux de nuit Que m'ont offerts des frères tisserands, drapiers canus J'ai à la main mes haussières Je suis prêt Après la nuit Avant le jour Et à travers les roselières Après la nuit Avant le jour Je t'offrirai les hautes lumières Aux innocents les mains pleines Je t'emmène plonger dans la Seine Et nager dans les courants forts de Beauchamp Nager dans les rivières, remonter les ruisseaux Puis prendre un bain brûlant Où je laverai ta peau au lait d'ânesse Avant de sécher ton corps moi-même, comme avant Quand on était adolescents Je veux faire l'amour dans les champs Dans les clairières, dans les taxis Je veux faire l'amour partout Même sur les toits de Paris Je veux résider au creux de ton cou Et dans tes draps parfumés au lilas Tandis qu'une madre enveloppé d'un châle rouge Bénit nos fronts en silence Avec des croix de baume au camphre J'te montrerai comment décrocher les boules blanches des symphorines Pour les éclater sous nos pieds et entre nos doigts Avant d'aller regarder la lumière d'un lampadaire qui rougoie Et qui vacille sous les berges du fleuve endormi dont les risées de vent emplissent la surface J'veux offrir cette cigarette à ma mère, Cette cigarette d'après la guerre et son odeur vanillée J'temmène voir le granite rose de ces îles qu'on peut pas déplacer mais c'est pour nous protéger J'temmène tout rejouer, peut être tout perdre mais p't être aussi tout rafler, tout braquer, tout gagner Après la nuit Avant le jour Et à travers les roselières Après la nuit Avant le jour Je t'offrirai les hautes lumières Aux innocents les mains pleines, Je t'emmène voir Tolède, Cabourg, Sienne et Navone Toucher la faience des rues de Lisbonne Et l'marbre blanc, lisse et brillant des palais J'veux entendre les salam des chauffeurs Et qu'ils nous cirent "Les enfants j'vous emmène à Orléans si ça vous plait" J'veux t'offrir le tintememnt des couverts d'argent contre le cristal et les mots précieux des miens J'veux écouterles histoires des anciens encore et encore Ces histoires millénaires qui renaissent On s'est connu il y a trois mille ans Et on s'retrouve maintenant et nos enfants en feront de même J't'emmène loin des griffes de la colère Loin des regrets, loin des nausées J't'emmène moin de la barbarie et des odeurs de kérozene brulé J'temmène courir après des filles, après des garçons, après des rêves Et contempler les vivants, Ces gens qu'on croise parfois qui nous font tomber amoureux pour deux pour trois On doit encore parcourir la terre On doit trouvers cent mille frères Et cent mille soeurs pour plus jamais être seul dans les cimetières ALors sur la colline du Palatin Par dessus les dômes byzantins Bientôt nous serons postés Nous armerons nos flèches de diamant pour devenir sagitaires Et décrocher les hautes lumières Après la nuit Avant le jour Et à travers les roselières Après la nuit Avant le jour Je t'offrirai les hautes lumières Après la nuit Avant le jour Et à travers les roselières Après la nuit Avant le jour Je t'offrirai les hautes lumières

Magnifique partage musical De ta musique et des accords arpégés Merci 🎶✈🙏🏻

Salut @kilian_p est ce que tu serai chaud de collaborer sur des morceaux ? J'adore ce que tu fais.... Je suis un artiste interprète en voie de professionnalisation je te met le nom de mon groupe actuel "Nadjoy et Sève" tu peux trouver sur youtube, ce que je fais en solo ressemblera plus a ce que tu fais pck je préfère le chant et les instru accoustique et j'adore fauve :) merci pour ton taff

La version la plus douce ✨

Grille d'accords du live, bien adaptée en version chill, bravo

Hey sèche tes larmes Et d'ailleurs pourquoi tu pleure? T'es pas comme il faut, rien va comme il faut Mais je te jure que t'a le droit au bonheur Faut juste que t'y crois, qu'au moins tu crois en moi Parce que moi je te vois Et je sais que t'es pas comme ça T'es pas un monstre, pas une ordure T'a fais du mal ça c'est sûr Et je vais pas te mentir, t'a pas toujours fais les meilleurs choix Mais c'est comme ça , c'est la vie, faut qu'on touche du bois Demain tu fera mieux , même si t'y crois pas Demain sera plus beau, même si tu le vois pas T'a les yeux plein de merde , tu vois plus les couleurs Putain mon frère t'es rempli de douleur Pourtant je te jure y'a rien de plus coloré De plus beau, de plus merveilleux que ce qui t'attend devant Devant c'est le mieux, c'est le changement Tu restera pas à jamais aussi con

La nuit s'est abattue impossible de trouver le sommeil J'ai son sourire dans la tête le tempo de son coeur dans les veines Et si le monde s'arrêtait ce serait plus mon problème Si un incendie se déclarait je chanterais le même thème Ça fait un moment que ça me trottait dans la tête L'amour mes conneries et où j'en suis dans ma quête Et aujourd'hui toutes ces idées font la fête Aujourd'hui ces idées partent à la retraite Je le jure sur la vie, sur ma liberté Tu sais à quel point ça compte pour moi Je pensais jamais un jour retrouver Une personne qui compterait autant pour moi Ça me rend inquiet , j'avais pas stressé comme ça depuis un moment Je me sens en vie et crois moi ça faisait un bout de temps Et je vois bien que tout ça ça t'inquiète Mais promis on évite de se prendre la tête Promets le moi Promets moi que si je t'aime c'est pas que pour moi Que les jours qui arrivent sont meilleurs que ceux déjà là Non pas que je me plaigne J'veux juste être dans tes bras J'veux juste être dans tes bras Promets le moi Que si le monde s'effondrait on serait toujours là Que si on s'oubliait le monde ne survivrait pas Promets moi que je suis dans d'beaux draps Que je suis dans d'beaux draps La nuit s'est abattue impossible de trouver le sommeil J'ai son sourire dans le tête le tempo de son coeur dans les veines Et si le monde s'arrêtait ce serait plus mon problème Non ce serait plus mon problème J'te jure Zoé, je crois pas que tu réalise Je pensais plus jamais ressentir ce que j'ressens Je croyais être mort , ne plus vivre avant longtemps L'enfer me tenait les tripes et m'arrachait les ligaments Je m'imagine demain , insouciant d'hier Tu me regarde , tu fais fuir la misère Sur une bécane qui brasse beaucoup trop d'air On fuit le monde , on récite du Baudelaire On s'endort souvent au bord de la mer On hurle au monde qu'on est fiers On envoie chier les trucs trop amers On s'embrasse, on met fin à la guerre Je sais que tu flippe , que tu veux pas de ça Je suis qu'un potentiel échec comme toutes les autres fois Je suis qu'un gars ordinaire , un parmi plein de rats Mais si un jour je te blesse je mourrai sans émoi Je flippe aussi, j'te dis pas à quel point Si j'essayais tu me prendrais pour un singe ou un marsouin Mais je ferai de mon mieux J'le promets sur mes mains Promets le moi Promets moi que si je t'aime c'est pas que pour moi Que les jours qui arrivent sont meilleurs que ceux déjà là Non pas que je me plaigne J'veux juste être dans tes bras J'veux juste être dans tes bras Promets le moi Que si le monde s'effondrait on serait toujours là Que si on s'oubliait le monde ne survivrait pas Promets moi que je suis dans d'beaux draps Que je suis dans d'beaux draps Zoé Je sais que t'a peur, j'ai peur aussi On a assez souffert On mérite un peu de bonheur dans nos vies Mais quand je suis avec toi, j'suis heureux , promis Je pourrai soulever le monde , voir ce qu'est vraiment la vie Devenir astronaute, ranger , pourquoi pas goûteur de fruits Alors Zoé, je te demande de pas fuir Je t'en supplie reste au plus près de moi Si tu partais je survivrais c'est promis Et je veux pas que tu reste par peur pour moi Mais sans toi la vie aurait moins bon goût Sans toi je me mettrais à y revoir flou Et je trouverais ça dommage, dommage d'avoir raté l'amour fou Zoé Je t'aime à en vivre Je voudrais ne jamais mourir Que tu sois heureuse jusqu'à la fin de ta vie Même si ça doit être sans moi Et que ça me chagrine Je vivrai, j'espère que toi aussi Mais jamais je ne t'oublierai c'est promis

Merci!! Super!

Et la vie, voici une petite lettre Attiré par le vide, j'écris ces quelques lignes emporter par le beat La musique soulage mon mal de vivrre. Ce monde me fait peur quand je regarde par la vitre et mon mal grandi. Je regrette l'époque où jetait petit. Quand j'avais encore l'âme candide J'en place une pour Gandhi Pas juste pour le rythme De l'autre côté de la rive, J'aimerai nagé dans le bonheur de la vie. Mais c'est dans la mer tume que je navigue. moi un homme incompris, Tombé dans l’oublie, C’est pour que j’écris, Chaque nuit, Pour ne pas qu’on m’oublie, parfois dans ce monde, j'ai le coeur qui part en éclat, Au fond de moi cette haine, Tu trouvera que Qui me permettent de m’évader, Le temps de pose le son. Et je vais pas te mentir j’ai pas trouvé De solutions, ou ici tout n’est pollution, Délation, explosion, extension, tension, division, incompréhension, L’horizon est assombris, J’ai jamais été la mode, Et dans ma tête c’est le désordre, Mais avec ma plume je m’envole comme je concorde, Personne ne m’as tendu de corde, Au fond dans tout cohorte je ne suis qu’un homme, J’ai pas de mode d’emplois, Dans ce monde devenu sans foi n’y loi, Ou même moi je me demande ce que j’en fais là, Mathis sans toi, mon fiston, mon fils, tu sais pas que papa pas à pas Mathis sans toi, mon Et la vie, voici une petite lettre Attiré par le vide, j'écris ces quelques lignes emporter par le beat La musique soulage mon mal de vivrre. Ce monde me fait peur quand je regarde par la vitre et mon mal grandi. Je regrette l'époque où jetait petit. Quand j'avais encore l'âme candide J'en place une pour Gandhi Pas juste pour le rythme De l'autre côté de la rive, J'aimerai nagé dans le bonheur de la vie. Mais c'est dans la mer tume que je navigue. moi un homme incompris, Tombé dans l’oublie, C’est pour que j’écris, Chaque nuit, Pour ne pas qu’on m’oublie, parfois dans ce monde, j'ai le coeur qui part en éclat, Au fond de moi cette haine, Tu trouvera je pensais avoir trouvé les clés les solutions, Les trois seul clé que j’ai trouvé c’est celle de ma coloc. De ma clé de sol dans le coup, Et de mes chansons, Qui me permettent de m’évader, Le temps de pose le son. Et je vais pas te mentir j’ai pas trouvé De solutions, ou ici tout n’est pollution, Délation, explosion, extension, tension, division, incompréhension, L’horizon est assombris, J’ai jamais été la mode, Et dans ma tête c’est le désordre, Mais avec ma plume je m’envole comme je concorde, Personne ne m’as tendu de corde, Au fond dans tout cohorte je ne suis qu’un homme, J’ai pas de mode d’emplois, Dans ce monde devenu sans foi n’y loi, Ou même moi je me demande ce que j’en fais là, Et une envie de concquerir le monde, Et d’être recconu comme la joconde, Je patiente et je compte les seconde, Pour toi, personne n’arrêtera mon envie le rap ma vie, Pour mon fils je brillerai la nuit, Pour ne pas qu’il tombe dans l’oublie, Un mal infini, qui me ronge petit à petit. Mais le monde que tu as tout autour de toi, N’est pas celui d’autrui, Alors fils fait pas comme ton père fui qu’on l’on essaie de te change, Tu risquerai de t’oublier; La société ne rigole pas avec les gens étranges, Dans un monde où tout est étrangeté, On te parle d’égalité, Mais y’a plus que des inégalités, A trop écoute je me suis perdu, Retrouve à nu, J’ai autant blessé les autres que moi même, J’ai souvent glissé, Été à la traîne, Comme les infos sur BFM, Depuis qu’on m’as volé le rôle des pere, J’ai la haine, Et je sombre dans mes ténèbres, Et une envie de concquerir le monde, Et d’être recconu comme la joconde, Je patiente et je compte les seconde, Pour toi, personne n’arrêtera mon envie le rap ma vie, Pour mon fils je brillerai la nuit, Pour ne pas qu’il tombe dans l’oublie, Un mal infini, qui me ronge petit à petit. Mais le monde que tu as tout autour de toi, N’est pas celui d’autrui, Alors fils fait pas comme ton père fui qu’on l’on essaie de te change, Tu risquerai de t’oublier; La société ne rigole pas avec les gens étranges, Dans un monde où tout est étrangeté, On te parle d’égalité, Mais y’a plus que des inégalités, A trop écoute je me suis perdu, Retrouve à nu, J’ai autant blessé les autres que moi même, Mathis j’ai souvent glissé, Été à la traîne, Comme les infos sur BFM, Depuis qu’on m’as volé le rôle des pere, J’ai la haine, Et je sombre dans mes ténèbres,

Bonjour a tous, enchanté, moi c'est Clément, Aujourd'hui je mène la danse, Dans la rap j'ai ma chance, Et il est temps que j'face bouger la France. Je crois que la vie me joue des tours, J'ai rien d'mandé, j'ai tout reçu Beaucoup de galère depuis toujours. J'ai survécu, mais rien d'être sur. Tout les jour le réveil sonne Toi et moi on s'empoisonne J'ai cru que t'étais la bonne, Mais en faite t'étais juste lamauvaise personne Et j'me balade durant mes insomnie, J'écris la nuit, Tu m'auras tout pris mais pas mon inspi, Je laisserai ma trace comme leonnard de Vinci, Aussi bon qu'un leo Messi, J'me jette a l'eau, et je navigue sur mon flot, Je te fais des jeux de mot, A l'aise sur mon bateau, Jfais couler mon encre, Et je bois un rhum comme jack Sparrow. Sur l'instru d'Hugo TSR, j'envoie en l'air tout la haut. il y a 4 ans (modifié) C'est quand j'écris que je me sens libre J'oublie pas mon passé, c'est lui qui m'a construit Jusqu'à présent et sache que dans le futur Je rêve pas forcément de liasse et de voiture C'est juste pour le loisir Un petit plaisir, quitte à choisir Je préfère rester après des miens On mas fait plus de merde que y'a de chien Dans les 101 dalmatien Dans ce monde gris, rare sans les daltoniens Comment ce comporte avec les gens Quand depuis ton enfance, Les gens te juge sans apprendre A voir ce qu’il y’a au fond, J'arrive pas à trouver pas ma place Besoin de bouger comme un nomade Peut importe où l'on me range Ici j'ai l'impression que je dérange Mais j'avance avec mes rêves étranges Envoie une instru boom-bap et tchek l'élégance Là c'est thisma qui mène la danse Tu veux percé mais ta le droit qu'à une chance La mienne à disparu dans le chapeau d'un magicien Pendant qu'ils sont tous à faire de la trap Je reste fidèle à ce bon vieux boom-bap Tellement que maintenant on m'appelle l'ancien Les grand frère se disent mauvaise graine Mais on récolte ce que l'on sème Ma petit sœurs ne crois plus au prince charmant Elle a appris à ses dépends que son charme ment

Bonjour a tous, enchanté, moi c'est Clément, Aujourd'hui je mène la danse, Dans la rap j'ai ma chance, Et il est temps que j'face bouger la France. Je crois que la vie me joue des tours, J'ai rien d'mandé, j'ai tout reçu Beaucoup de galère depuis toujours. J'ai survécu, mais rien d'être sur. Tout les jour le réveil sonne Toi et moi on s'empoisonne J'ai cru que t'étais la bonne, Mais en faite t'étais juste lamauvaise personne Et j'me balade durant mes insomnie, J'écris la nuit, Tu m'auras tout pris mais pas mon inspi, Je laisserai ma trace comme leonnard de Vinci, Aussi bon qu'un leo Messi, J'me jette a l'eau, et je navigue sur mon flot, Je te fais des jeux de mot, A l'aise sur mon bateau, Jfais couler mon encre, Et je bois un rhum comme jack Sparrow. Sur l'instru d'Hugo TSR, j'envoie en l'air tout la haut. il y a 4 ans (modifié) C'est quand j'écris que je me sens libre J'oublie pas mon passé, c'est lui qui m'a construit Jusqu'à présent et sache que dans le futur Je rêve pas forcément de liasse et de voiture C'est juste pour le loisir Un petit plaisir, quitte à choisir Je préfère rester après des miens On mas fait plus de merde que y'a de chien Dans les 101 dalmatien Dans ce monde gris, rare sans les daltoniens Comment ce comporte avec les gens Quand depuis ton enfance, Les gens te juge sans apprendre A voir ce qu’il y’a au fond, J'arrive pas à trouver pas ma place Besoin de bouger comme un nomade Peut importe où l'on me range Ici j'ai l'impression que je dérange Mais j'avance avec mes rêves étranges Envoie une instru boom-bap et tchek l'élégance Là c'est thisma qui mène la danse Tu veux percé mais ta le droit qu'à une chance La mienne à disparu dans le chapeau d'un magicien Pendant qu'ils sont tous à faire de la trap Je reste fidèle à ce bon vieux boom-bap Tellement que maintenant on m'appelle l'ancien Les grand frère se disent mauvaise graine Mais on récolte ce que l'on sème Ma petit sœurs ne crois plus au prince charmant Elle a appris à ses dépends que son charme ment

Zoé Zoé, aujourd'hui j'ai huit ans Les mots qu'on m'avait appris ont disparus J'ai du mal à faire des phrases construites comme il faut Mais pour une fois j'en ai pas envie C'est comme si mon esprit était à moitié éteint Qu'une partie était restée avec toi là-bas Le paysage défile par la fenêtre du train Qui nous emmène à nouveau et j'me dis C'est beau les plaines C'est beau le mois de juin C'était beau hier, c'était beau ce matin C'est beau les filles quand les choses sont douces Sans violence ni dépit, j'avais failli oublier depuis le temps Cette nuit à côté de toi, c'était comme du lait Comme du coton qui m'a enveloppé de nulle part Si on me l'avait dit j'y aurais pas cru Alors j'me repasse le film en continu Les images de la veille se superposent au détail du wagon Elles flottent devant mes yeux comme sur la houle J'te revois perdue dans la foule Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent Et font des grands gestes absurdes Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos Et puis tes joues et puis ta peau Et moi qui croyait que j'étais pas comme il fallait Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas J'me suis perdu, j'ai bu la tasse Pour les bras d'une infirmière, j'me suis conduis comme une crasse Et moi qui croyait que j'étais pas comme il fallait Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas Mais si tu m'jures, que tout ça c'est du passé Alors d'accord on tire un trait, on recommence à s'apprivoiser Zoé Zoé, aujourd'hui j'ai huit ans Et j'voudrais qu'ça dure un peu J'écoute absolument pas ce qu'on me dit J'fais semblant d'être assis à mon siège Les gars m'parlent Mais c'est comme si on était de part et d'autre d'une porte vitrée Je regarde le paysage défiler par la fenêtre du train Qui nous emmène à nouveau Et j'me dis C'est beau les champs C'est beau le mois de juin C'était beau hier, c'était beau ce matin C'est beau les filles quand y a pas de peur, pas de dégoût, pas de mépris Quand les choses sont limpides Cette nuit à côté de toi c'était comme une lueur dans les profondeurs J'me suis enfin senti reprendre des couleurs Si on me l'avait dit j'y aurais pas cru Alors j'me repasse le film en continu Les images de la dernière fois se superposent au détail du wagon Elles dansent par dessus le monde matériel J'te revois sur l'herbe au bord du fleuve J'revois la forme des nuages, les péages, les routes, les villages Et j'nous revois dans le nuit chaude tout à l'heure Le vent dans tes cheveux les lampadaires qui défilent en orange Et toi qui t'excuses en pleine rue Et puis tes larmes et puis tes bras Et moi qui croyait que j'étais pas comme il fallait Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas J'me suis perdu, j'ai bu la tasse Pour les bras d'une infirmière, j'me suis conduis comme une crasse Et moi qui croyait que j'étais pas comme il fallait Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas Mais si tu m'jures, que tout ça c'est du passé Alors d'accord on tire un trait, on recommence à s'apprivoiser Zoé Zoé, aujourd'hui j'ai huit ans et j'espère que toi aussi J't'imagine en train d'émerger doucement de cette nuit un peu courte Ton pas léger sur le béton nu J'croise deux doigts pour que tu sois comme moi Dans un état un peu second Et qu'tu regardes, rêveuse, les rails au loin En espérant voir passer le train qui nous emmène à nouveau et qu'tu t'dis C'est beau l'été C'est beau le mois de juin C'était beau hier, c'était beau ce matin C'est beau les garçons quand ils sont gentils et droits Qui sont vertueux même s'ils sont un peu maladroits Cette nuit à ses côtés, c'était spécial et nouveau Moi qui pensait t'connaître j'me suis trompée Si on me l'avait dit j'y aurais pas cru Zoé j'espère que tu t'repasses le film en continu Que les images se superposent aux détails de ta chambre Qu'elles flottent au dessus de ton lit défait Quand on a traversé la ville dans la chaleur naissante Et qu'sur le coup la crasse et la laideur ont parus presque supportables Zoé j'ai peur de souffrir comme toi J'suis plus habitué à ça Je sais pas où ça va nous mener Mais j'crois qu'il faut qu'on s'donne les moyens d'être fixés Faut qu'on se revoit Et moi qui croyait que j'étais pas comme il fallait Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas J'me suis perdu, j'ai bu la tasse Pour les bras d'une infirmière, j'me suis conduis comme une crasse Et moi qui croyait que j'étais pas comme il fallait Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas Mais si tu m'jure, que tout ça c'est du passé Alors d'accord on tire un trait, on recommence à s'apprivoiser

Après la nuit, Avant le jour, Et à travers les roselières Après la nuit, Avant le jour, J'irais chercher, les hautes lumières. Aux innocents les mains pleines, J't'emmène lancer des médailles dans l'eau bleue des fontaines Et cueillir à nouveau ces visions qu'on s'offrait autrefois, Comme des couronnes. Ces visions qu'on s'échangeait pour se dire, pour se rappeler, Je suis veilleur, tu es musée. Je veux sentir les feuilles de menthe craquer sous nos dents Avec la chlorophylle qui s'échappe. Et t'faire écouter le son de carillons qu'fait le claquement des drisses de pavillon Contre les mâts, avec en fond le grand fracas de la mer qui rapporte, Et au dessus la procession de cargo des nuages bas et blancs. Je voudrais te faire rencontrer les femmes cyprines et les bolqueens Qu'elles nous habillent de robes et de diadèmes au croisement d'Amsterdam, Et d'la 80ème pendant que moi je te mettrais au poignet des bracelets de tissu Qui deviendront des bracelets de fleurs, puis des rubans, puis des violons. Je porte le blason d'mon clan, J'l'ai désormais gravé sur la face visible de mon cœur, Mais ça ne fait pas mal rassure toi au contraire, J'ai fait broder nos souvenirs étincelant sur des manteaux de nuit Qu'mon offert des frères tisserands drapiers de canut J'ai à la main mes aussières, je suis prêt. Après la nuit, Avant le jour, Et à travers les roselières Après la nuit, Avant le jour, Je t'offrirai les hautes lumières. Aux innocents les mains pleines je t'emmène plonger dans la Seine Et nager dans les courants fort de Beauchamp, Nager dans les rivières, remonter les ruisseaux, Puis prendre un bain brûlant, où je laverais ta peau Au lait d'ânesse, avant de sécher ton corps moi même Comme avant, quand on était adolescent. Je veux faire l'amour dans les champs, dans les clairières, dans les taxis, Je veux faire l'amour partout, même sur les toits de Paris. Je veux résider au creux de ton cou, et dans tes draps parfumés aux lilas, Tandis qu'une madré enveloppé d'un châle rouge bénit nos fronts En silence avec des croix de baume au camphre. Je te montrerai comment décrocher les boules blanches des symphorines Pour les éclater sous nos pieds et entre nos doigts, Avant d'aller regarder la lumière d'un lampadaire qui rougeoie Et qui vacille sur les berges du fleuve endormi, Dont les risées de vent emplissent la surface. Je veux offrir cette cigarette à ma mère, Cette cigarette d'après la guerre et son odeur vanillé, Je t'emmène voir le granit rose de ses îles qu'on ne peut pas déplacer Mais c'est pour nous protéger, Je t'emmène tout rejouer, peut être tout perdre, Mais peut être aussi tout rafler, tout braquer, tout gagner Après la nuit, Avant le jour, Et à travers les roselières Après la nuit, Avant le jour, Je t'offrirai les hautes lumières. Aux innocents les mains pleines je t'emmène voir Taulet, Cavour, Sienne et Navone, Toucher la faïence des rues de Lisbonne, Et le marbre blanc, lisse et brillant des palais. Je veux entendre les Salam des chauffeurs, Et qui nous crie, les enfants je vous emmène à Orléans si ça vous plait. Je veux t'offrir le tintement des couverts d'argent contre le cristal Et les mots précieux des miens. Je veux écouter les histoires des anciens encore et encore, Ces histoires millénaires qui renaissent, On s'est connu y a trois mille ans, on se retrouve maintenant, Et nos enfants feront de même. Je t'emmène loin des griffes de la colère, loin des regrets, loin des nausées, Je t'emmène loin de la barbarie et des odeurs de kérosène brûlé, Je t'emmène courir après des filles, après des garçons, après des rêves, Et contempler les vivants, ces gens qu'on croise parfois Et qui nous font tomber amoureux pour deux, pour trois. On doit encore parcourir la terre, On doit trouver cent mille sœurs et cent mille frères, Pour plus jamais être seul dans les cimetières, Alors sur la colline du Palatin, par dessus les dômes byzantins Bientôt nous serons postés, nous armerons nos flèches de diamants, Pour devenir sagittaires et décrocher, les hautes lumières Après la nuit, Avant le jour, Et à travers les roselières Après la nuit, Avant le jour, Je t'offrirai les hautes lumières. Après la nuit, Avant le jour, Et à travers les roselières Après la nuit, Avant le jour, Je t'offrirai les hautes lumières.

ı feel in my heart

nice man

Après la nuit Avant le jour Et à travers les roselières Après la nuit Avant le jour J'irai chercher les hautes lumières [Couplet 1] Aux innocents les mains pleines Je t'emmène lancer les médailles Dans l'eau bleue des fontaines Et cueillir à nouveau ces visions Qu'on s'offrait autrefois comme des couronnes Ces visions qu'on s'échangeait Pour se dire, pour se rappeler Je suis veilleur, tu es musée Je veux sentir les feuilles de menthe craquer Sous nos dents avec la chlorophylle qui s'échappe Et te faire écouter le son de carillon Que fait le claquement des drisses de pavillons contre les mâts Avec en fond le grand fracas de la mer qui rapporte Et au-dessus la procession d'cargots des nuages bas et blancs J'voudrais te faire rencontrer les femmes cyprines et les vols queen Qu'elles nous habillent de robes et de diadèmes Au croisement d’Amsterdam et de la 80ème Pendant que moi j'te mettrai au poignet Des bracelets de tissus qui deviendront des bracelets de fleurs Puis des rubans, puis des violons J'porte le blason de mon clan Je l'ai désormais gravé sur la face visible de mon cœur Mais ça ne fait pas mal rassure toi au contraire J'ai fait broder nos souvenirs étincelants sur deux manteaux de nuit Que m'ont offerts des frères tisserands, drapiers canuts J'ai à la main mes haussières Je suis prêt Après la nuit Avant le jour Et à travers les roselières Après la nuit Avant le jour Je t'offrirai les hautes lumières [Couplet 2] Aux innocents les mains pleines Je t'emmène plonger dans la Seine Et nager dans les courants forts de Beauchamp Nager dans les rivières, remonter les ruisseaux Puis prendre un bain brûlant Où je laverai ta peau au lait d'ânesse Avant de sécher ton corps moi-même, comme avant Quand on était adolescents Je veux faire l'amour dans les champs Dans les clairières, dans les taxis Je veux faire l'amour partout Même sur les toits de Paris Je veux résider au creux de ton cou Et dans tes draps parfumés au lilas Tandis qu'une madre enveloppé d'un châle rouge Bénit nos fronts en silence Avec des croix de baume au camphre Je te montrerai comment décrocher les boules blanches des symphorines Pour les éclater sous nos pieds et entre nos doigts Avant d'aller regarder la lumière des lampadaires Qui rougeoie et qui vacille sur les berges des fleuves endormis Dont les risées de vent emplissent la surface Je veux offrir cette cigarette à ma mère Cette cigarette d'après la guerre et son odeur vanillée Je t'emmène voir le granit rose de ces îles qu'on peut pas déplacer mais c'est pour nous protéger Je t'emmène tout rejouer, peut-être tout perdre Mais peut-être aussi tout raffler, tout braquer, tout gagner [Refrain] [Couplet 3] Aux innocents les mains pleines je t'emmène voir Tolède, Cavour, Sienne et Navonne Toucher la faïence des rues de Lisbonne Et le marbre blanc lisse et brillant des palais Je veux entendre les salams des chauffeurs et qui nous crient "Les enfants je vous emmène à Orléans si ça vous plaît" Je veux t'offrir le tintement des couverts d'argent contre le cristal Et les mots précieux des miens Je veux écouter les histoires des anciens encore et encore Ces histoires millénaires qui renaissent On s'est connus y'a 3000 ans, on se retrouve maintenant Et nos enfants feront de même J't'emmène loin des griffes de la colère, loin des regrets, loin des nausées J't'emmène loin de la barbarie et des odeurs de kérosène brûlé J't'emmène courir après des filles, après des garçons, après des rêves Et contempler les vivants Ces gens qu'on croise parfois qui nous font tomber amoureux pour deux, pour trois On doit encore parcourir la Terre On doit trouver cent mille sœurs et cent mille frères Pour plus jamais être seuls dans les cimetières Alors sur la colline du Palatin, par dessus les Dômes byzantins Bientôt nous seront postés Nous armerons nos flèches de diamants pour devenir sagittaires Et décrocher les hautes lumières

Petite on te fait croire que tu seras la femme d’un seul homme. Un homme qui prendra soin de toi, un homme pour qui tu sera tout. On te laisse imaginer que ce monde est prêt à t’accueillir mais on oublie de te prévenir qu’en réalité ce monde est un monde dangereux et qu’en tant que femme, il sera difficile d’y trouver ta place. Lorsque tu arrête de jouer à la poupée avec ta jeune soeur, tu pense quitter le monde de l’enfance mais tu te trompe. Ton innocence tu la perds quelques années plus tard, à l’âge de 15 ans lorsque tu pense vivre ta première fois avec ton petit ami de l’époque. Lorsque cette première fois tu la vis finalement dans la violence et la brutalité. Cette violence sera tellement insupportable à gérer pour ton corps d’adolescente que ce souvenir viendra se réfugier au plus profond de ta mémoire. Là où le cerveau humain décide de ranger certains souvenirs lorsqu’ils sont trop douloureux pour être supportables. Ce souvenir ne refera surface que 8 ans plus tard suite à un choc violent. A ce moment précis ton adolescence se brise et tu te réfugie dans le silence. Sans vraiment te rappeler pourquoi, le regard des autres t’effraie. Mais tu continue ta vie. 2 ans plus tard, tu rencontre un homme d’âge mûr qui te séduis et te fais croire monts et merveilles. A ce moment précis tu pense avoir trouvé le prince charmant dont on t’a tant parlé étant petite. Il est beau et grand. Pas de cheval blanc, mais des paroles douces et mielleuses qui te promettent un avenir. Ce que tu ne sais pas c’est que cet avenir aura un prix que tu ne sera jamais en mesure de payer. Au début il te voue une adoration sans limite, te traite comme si tu étais la prunelle de ses yeux. Puis cette illusion prend fin petit à petit. Les mots blessent parfois plus que les coups. Et les mots il sait les contrôler. Minutieusement, avidement, assidûment, il passe 4 ans de sa vie à te détruire petit à petit. Alternant caresses et mots doux puis gifles et violence, puis pardons et excuses, éteignant chaque jour un peu plus la lueur au fond de tes yeux. Il t’entraine avec lui dans son gouffre. Il t’isole et tu te retrouve à faire le vide autour de toi. Supprimant chacune des issues qui te permettraient de lui échapper, refermant chacune des portes susceptibles de s’ouvrir sur un avenir différent. Pour lui, la souffrance est un artefact qui te colle à la peau. Plus tu souffre et plus tu en deviens belle. Tu as 17 ans lorsque ce cauchemar commence. Tu en as 21 lorsque tu décide que cette fois sera la dernière. Tu réussi enfin à dire adieu. On t’explique que tu as été sous l’emprise d’un pervers narcissique. On t’explique le concept pour que tu n’aies plus jamais à faire face à ce genre d’individu. Pourtant même des années plus tard, il cherche encore à renouer le contact avec toi par tous les moyens. Tu résiste. Tu te dis que cette homme a été la pire rencontre de ta vie. Seulement cette fois encore tu te trompe. Ta confiance en toi est altérée. Tu cherche désespérément le réconfort et la douceur que tu n’as jamais connu. Les rencontres s’enchaînent sans jamais éprouver le sentiment d’être désirée pour ce que tu es. Lorsque un homme bien se présente à toi, tu ne le vois même pas. Inconsciemment tu t’obstine à chercher l’introuvable. Tu cherche un homme qui n’existe pas puisque pour espérer atténuer ces cicatrices, rien ne te suffira jamais. Tu t’emploiera à détruire chacune de tes relations sans même te rendre compte que c’est ta propre volonté. Comme une punition qu’on s’inflige à soi-même après avoir subi des années de servitude auprès d’un homme qui ne méritait pas l’importance que tu lui as donné. Et puis il y a ce soir-là. Le soir où ta vie de femme bascule de nouveau. Soir où tu vivras l’enfer que vit 1 femme sur 3 au moins une fois dans sa vie. Le mot en V. Celui qui est tabou, celui que l’on ne doit pas prononcer et qui fait pourtant de nombreuses victimes chaque année. Après cette soirée tu pense que l’enfer est derrière toi mais en réalité il vient seulement de t’ouvrir ses portes. Tu te retrouve seule pour gérer l’insupportable de nouveau. Le système te lâche. Le corps médical, le corps judiciaire, le corps sécurité. Parce qu’en réalité ce putain de mot en V, personne n’a la moindre idée de comment y faire face et le gérer. Les médias, les publicitaires, les systèmes de santé et de prévention te laissent croire qu’on sera là pour toi si une chose pareille arrive mais la réalité c’est que tu es seule. Tu lutte pendant des mois. Tu crois devenir folle. La présence des autres, le toucher, les odeurs, les sons te harcèlent. Tout te ramène à cette fameuse soirée. Tu te retrouve à guetter le moindre mouvement, la moindre des ombres au coin de la rue, le moindre des bruits inquiétants. L’insécurité te suit partout. Le reflet de ton corps dans le miroir te fait horreur. Les regards des hommes sur toi sont comme des brûlures insupportables. Un feu qui te consume chaque jour un peu plus. Ta souffrance prends tellement de place qu’elle ne laisse place à rien ni personne et détruit absolument tout sur son passage. Tu pense perdre la raison. Tu perds le contrôle de ta vie et tu te retrouve hospitalisée pendant 6 mois. Tu pense sincèrement à en finir. Chaque jour cette idée semble devenir la seule et unique issue possible. Les souvenirs te harcèlent. Tu ne pense pas pouvoir t’en sortir. Tu pense avoir touché le fond. Ce que tu ne sais pas encore, c’est que ce puit est sans fin. Pourtant tu t’accroche. Tu sors enfin et tu tente de reprendre le court de ta vie. Tu mets en œuvre tellement de choses pour essayer de t’en sortir mais la vérité c’est que ta vie est déjà brisée. En quelques sortes tu es déjà condamnée. Tu sais au fond de toi que cette existence n’aura jamais rien de normale malgré ce que l’on essaye de te faire croire dans les centres d’aide. Lorsque tu tombera enceinte, la terreur que ce bébé puisse être une fille sera tellement forte que ton corps tentera de dissimuler à ton esprit cette nouvelle insupportable. Ce bébé se cachera au plus profond de toi si bien que tu ne t’apercevra même pas qu’il est là. Jusqu’à ce qu’une analyse sanguine brise cette illusion et éveille au plus profond de toi cette terreur. Parce que tu ne souhaite pas élever une fille dans ce monde là. Un monde où la femme n’y a vraiment sa place qu’une fois sur trois. Et parce que tu sais que quoique tu fasse pour tenter de la préserver tout au long de sa vie, tu ne seras jamais réellement en mesure de la protéger des autres. Cette idée est tellement insupportable que la nature finit par décider pour toi et tu fais une fausse couche dont tu ne te remettra certainement jamais. Même bien plus tard lorsque la question d’avoir des enfants avec l’homme que tu aimera se posera réellement. La peur t’envahira de nouveau. Un jour, tu décide de rassembler ton courage pour enfin faire ce que tu n’avais pas pu faire avant. Réclamer justice. Seulement lorsque tu le retrouve tu te rends compte que l’homme qui a brisé ta vie n’est pas seul. Qu’il a une compagne et des enfants. Tu comprends que faire justice ne signifiera pas seulement détruire sa vie à lui mais aussi celle de sa famille. Alors tu te rétracte. Tu te sacrifie pour le bien d’une famille qui n’est même pas la tienne. Et tu encaisse lorsque le peu de personne qui t’entoure encore te reproche de ne pas avoir eu le courage de déposer plainte. Tu te taies. Parce qu’après tout, cette plainte n’aurait rien changé. 6 mois de prison. 6 mois nourri et logé aux frais de la société contre une vie entière de brisée. Tout cela au nom d’un système qu’ils ont le culot d’appeler « justice ». La colère fait place à la peine et te dévore un peu plus de l’intérieur. Elle te pousse dans des actes que tu n’aurais jamais pu soupçonner avant ça. Des actes qui te mettent en danger sans même que les conséquences puissent avoir la moindre importance à tes yeux. Plus rien n’a réellement d’importance à vrai dire… Toute ta vie, les mêmes questions te poursuivront. Chaque fois qu’un homme s’intéressera un peu à toi, tu te demanderas si ce n’est pas pour tes fesses, pour ta poitrine généreuse ou pour ta peau jugée si douce. Tu te demandera toute ta vie ce que tu vaux et ce que tu représente aux yeux des hommes qui croiseront ton chemin. La terreur de n’être qu’un vulgaire morceau de viande te poursuivra. Même lorsque tu rencontreras quelqu’un de bien qui t’aimera pourtant comme un fou… Tu as 24 ans, tu te nommes Marine et ta vie de femme ne fait que commencer. Du haut de tes 24 ans tu sais déjà que ce monde est brutal. Tu sais déjà qu’une vie peut basculer en une fraction de seconde. Et pourtant tu continues à croire en ce monde. Tu continues de croire qu’il reste encore des gens capables de réfléchir, capables de lire un témoignage comme celui-ci et d’en tirer des enseignements, capables de partager une expérience telle que celle-ci pour que les choses évoluent et que d’autres jeunes femmes n’aient pas à vivre une telle vie.

je peux l'utiliser pour une parodie?

Hello mec, bravo pour cette instrumentale. Alors je sais pas si tu verras ce message, mais est-ce que c'est possible de l'utiliser pour une cover ? Je te mentionnerai en description avec le lien vers ta vidéo bien évidemment :)

Splendide ❤️

Tu te demandes si tu es une bête féroce ou bien un saint Mais tu es l'un, et l'autre. Et tellement de choses encore Tu es infiniment nombreux Celui qui méprise, celui qui blesse, celui qui aime, celui qui cherche Et tous les autres ensembles Trompe-toi, sois imprudent, tout n'est pas fragile N'attends rien que de toi, parce que tu es sacré Parce que tu es en vie Parce que le plus important n'est pas ce que tu es, mais ce que tu as choisi d'être Oh oh oh qu'est-ce que tu fais? Arrête! Qu'est-ce qu'il te prend de faire des trucs pareil? Pourquoi tu te fais du mal comme ça? Qu'est ce qui ne va pas? Parle-moi, tu sais que tu peux tout me dire Mais nan mais c'est des conneries tout ça tu le sais Regarde-moi dans les yeux. Regarde-moi. On s'en branle, c'est pas important Moi je te trouve magnifique. Depuis la première fois que je t'ai vu D'ailleurs, je ne m'en suis toujours pas remis Et puis comment je ferais sans toi moi? Et puis comment l'univers il ferait sans toi? Ça ne pourra jamais fonctionner. C'est impossible Alors faut pas pleurer! Faut pas pleurer Parce que ça va aller je te le promets, ça va aller Parce qu'on est de ceux qui guérissent De ceux qui résistent, de ceux qui croient aux miracles Pas de ceux qui disent que lorsque les tables bougent C'est que quelqu'un les pousse du pied Mais un jour tout ça on n'y pensera même plus On aura tout oublié, comme si ça n'avait pas existé En attendant passe tes bras autour de mon cou si tu veux Pendant que je te répète ces phrases qui nous donnaient de l'élan Tu te souviens? Tu te souviens? Tu nous entends le Blizzard? Tu nous entends? Si tu nous entends, va te faire enculer Tu pensais que tu allais nous avoir hein? Tu croyais qu'on avait rien vu? Surprise connard! Tu nous entends la Honte? Tu nous entends? Si tu nous entends fais gaffe quand tu rentres chez toi toute seule le soir On pourrait avoir envie de te refaire la mâchoire avec des objets en métal Ou de te laver la tête avec du plomb, qu'est-ce que t'en dis? Tu nous entends la Tristesse? Tu nous entends? Si tu nous entends, c'est que toi aussi, tu vas bientôt faire ton sac Prendre la première à gauche, deuxième à droite, puis encore à gauche et aller niquer ta race Félicitations! Bravo! Tu nous entends la Mort? Tu nous entends? Si tu nous entends sache que tu nous fais pas peur, tu peux tirer tout ce que tu veux On avance quand même, tu pourras pas nous arrêter Et on laissera personne derrière, on laissera personne se faire aligner Tout ça c'est fini! Tu nous entends la Dignité? Tu nous entends? Si tu nous entends sache qu'on a un genou à Terre et qu'on est désolés On est désolés de tout ce qu'on a pu te faire, mais on va changer! On va devenir des gens biens, tu verras! Et un jour tu seras fière de nous Tu nous entends l'Amour? Tu nous entends? Si tu nous entends, il faut que tu reviennes parce qu'on est prêts maintenant, ça y est On a déconné c'est vrai mais depuis on a compris Et là on a les paumes ouvertes avec notre cœur dedans Il faut que tu le prennes et que tu l'emmènes Tu nous entends l'Univers? Tu nous entends? Si tu nous entends, attends-nous! On arrive On voudrait : tout comprendre, tout savoir, tout voir, tout vivre On cherche la porte du nouveau monde pour pouvoir s'y fondre en grand Tu nous entends toi qui attends? Tu nous entends? Si tu nous entends souviens toi que t'es pas tout seul. Jamais On est tellement nombreux à être un peu bancals un peu bizarres Et dans nos têtes il y a un blizzard Comme les mystiques losers au grand cœur Il faut qu'on sonne l'alarme, qu'on se retrouve, qu'on se rejoigne Qu'on s'embrasse, qu'on soit des milliards de mains sur des milliards d'épaules Qu'on se répète encore une fois que l'ennui est un crime Que la vie est un casse du siècle, un putain de piment rouge Nique sa mère le Blizzard Nique sa mère le Blizzard Tout ça c'est fini

Cest quoi l'amour Jsens plus lodeur des sentiments Depuis ma derniere copine jai pris qlq centimètre Jsuis pas la pour Jessaye davoir la confiance de maman Lui prouver jsrai au sommet Et qule public sra la pour mentendre Si jai loccase jvais sauter non pas renoncer La vie est deja nul Alors pourquoi tu veux la romancer J'ai traversé des periode sombres avec des moments sinistres Jprends des risques avec la zik Jai pas lsalaire d'un ministre Profiter des gens que t'aimes avant qula mort les finissent Jprofite aussi dmon inspi avant que celle ci périsse Pourquoi tu parles de code de rue jai même pas celui de la route En c'moment jveux voyager quitte a finir dans la soute Pourquoi chercher un stage- jdois faire un travaille sur moi Pourquoi s'alcoolisé alors qu'un psy peu tt arranger Oh papa Stp arrête, crie pas a tt va quand ya les invités Viens on stape de faire comme si tt va bien ouais Ouais que tout va bien Et jsais tres bien qucest compliqué pour ma famille qui m'entoure Et parfois jme mens a moi meme Jsuis mon propre menteur Et si la flemme tue ma musique Qu'elle est la peine qui l'encourt Et quand je vois mon futur Est-ce que j'ai l'air dun mentor Ouais c'est vrai jai eu des bonnes notes mais ça ça veut rien dire Jme demande comment ça fait mal de tomber dans l'oublie Et jme demande comment ça fait mal de tomber dans l'oublie ×2

superbe

l'instru a été composée par qui?

Superbe !! N'y aurait-il pas juste l'instru ?

Mes amis entendaient la vie que j'ai eu Où les gens m'attendaient, je n'suis pas venu Si je les emmêle, si je dérange C'est qu'je suis un pêle-mêle, un mélange J'suis trop compliqué, je n'choisirai jamais Que les deux côtés, ne me demandez Pas où je veux aller, même les singes singent les sages Et tous ces sages ont fait des cases où tous nous ranger Eh, eh, aye, aye Aye, aye, aye Si je vous gêne, bah c'est la même Si je vous gêne, bah c'est la même Eh, eh, aye, aye Aye, aye, aye Si je vous gêne, bah c'est la même Si je vous gêne, bah c'est la même On prend des boîtes, on y range les gens qu'au fond jamais, jamais l'on ne comprend Comme l'Homme est fait de mille boîtes, ces boîtes que l'on prend ne sont jamais assez grandes J'ai suivi mille chemins et serré dix mille mains On peut aimer Brel et Megui, aimer même nos ennemis J'suis trop compliqué, je ne rentrerai jamais Dans vos petites cases, je vis au jour le jour Alors je zigzague toujours avec ces lunettes noires J'entends les gens se demander "quand est-ce que tombe le masque?" Eh, eh, aye, aye Aye, aye, aye Si je vous gêne, bah c'est la même Si je vous gêne, bah c'est la même Eh, eh, aye, aye Aye, aye, aye Si je vous gêne, bah c'est la même Si je vous gêne, bah c'est la même T'es entrée dans ma vie, ô ma liberté chérie La vie, c'est des envies, l'envie avant les avis T'es entrée dans ma vie, ô ma liberté chérie La vie, c'est des envies, l'envie avant les avis Eh, eh, aye, aye Aye, aye, aye Si je vous gêne, bah c'est la même Si je vous gêne, bah c'est la même Eh, eh, aye, aye Aye, aye, aye Si je vous gêne, bah c'est la même Si je vous gêne, bah c'est la même Eh, eh, aye, aye Aye, aye, aye Si je vous gêne, bah c'est la même Si je vous gêne, bah c'est la même

who is the artist of this melody??????

Super ! J'adore Tu aurais les accords pour la guitare stp ?

Comme le ciel aujourd’hui ma mine de crayon est grise, c’est vrai. souvent je n’ai pas l’morale Je suis d’humeur morose, mes ressentis je les aiguises, c’est vrai. souvent je n’ai pas l’mot rare Je n’vois même plus l’heure passer, les aiguilles sont devenues folles Certains adorent leurs passés, d’autres le fuient dans des nuits folles

J’adore incroyable vraiment pourrais tu donner les accords après l’intronsil te plaît ça serait génial.. je rêve de la jouer cette chanson merci beaucoup vieux frère

Beautiful

Le tueur c’était moi Je suis victime de mon mal-être De mon crime, je suis témoin Je pars de ce monde dans ma lettre Je pars deux secondes avec elle Et j’oublie tout comme un enfant J’nobéis plus comme un ado J’fous mes pensées dans l’sac a dos Et j’pars avec, vers les étoiles Je suis quelqu’un de bien au fond Avec tes larmes, j’peins sur cette toile Du ciel je n’peux voir le fond Mais j’l’imagine, beau comme cette fille Comme une machine, moi j’obéis À mes pulsions, à mes envies ça n’mattire que des ennuies Mais rien à foutre, ça m’rend heureux Enfin je crois, mais j’suis pas sûr J’suis pas tout seul, moi je suis deux J’me lève et je fonce dans le mur J’suis plus cet homme, j’n’ai plus sept ans Tu sais où j’suis, comment sais-tu ? Face à la mort, est-ce qu’il s’est tu ? Je disfonctionne une fois de plus Je me sens bien une fois de moins Personne te prends, comme un vieux bus Il n’y aura pas, de lendemain Comme une balle perdue Je n’sais pas trop où je vais mais j’fais du mal au gens Médocs sur ma table de chevet Sur le lit de ma mort Je commencerai à prier Je contrôle mes humeurs Pour me retenir de crier Le jour du testament, j’aurai testé les hommes Tu me déteste comme avant et j’tiens à toi comme à la mort J’en ai marre d’écouter l’même bruit Je voudrai voir le monde brûler Faudrait qu’je parte vraiment d’ici Je prends mon sac et je voudrai Enfin me vider de cette vie Enfin m’évader des sévices On consomme, l’industrie vicer Joint consumé, client servi S’il te plaît rends moi un service Je t’en supplie mec ferme ta gueule Ne joue au gamin serviable Si dans ta chambre tu sers le diable Tu serres les poings, contrôle ta force Tu es le pain, j’suis Francis Ponge Je te décris, en métaphores je t’efface avec une éponge Tu perds la face, tu deviens fou Tu prends des cachets, ça t’étouffe Case du crime cochée par ton clone Fin du jeu, il cachera ton corps

Bonjour possibilité de faire un son dessus et de publier sur Instagram ? :) au passage au top l’instru 🙏🏻

Zoé Zoé, aujourd'hui j'ai huit ans Les mots qu'on m'avait appris ont disparus J'ai du mal à faire des phrases construites comme il faut Mais pour une fois j'en ai pas envie C'est comme si mon esprit était à moitié éteint Qu'une partie était restée avec toi là-bas Le paysage défile par la fenêtre du train Qui nous emmène à nouveau et j'me dis C'est beau les plaines C'est beau le mois de juin C'était beau hier, c'était beau ce matin C'est beau les filles quand les choses sont douces Sans violence ni dépit, j'avais failli oublier depuis le temps Cette nuit à côté de toi, c'était comme du lait Comme du coton qui m'a enveloppé de nulle part Si on me l'avait dit j'y aurais pas cru Alors j'me repasse le film en continu Les images de la veille se superposent au détail du wagon Elles flottent devant mes yeux comme sur la houle J'te revois perdue dans la foule Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent Et font des grands gestes absurdes Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos Et puis tes joues et puis ta peau Et moi qui croyait que j'étais pas comme il fallait Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas J'me suis perdu, j'ai bu la tasse Pour les bras d'une infirmière, j'me suis conduis comme une crasse Et moi qui croyait que j'étais pas comme il fallait Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas Mais si tu m'jures, que tout ça c'est du passé Alors d'accord on tire un trait, on recommence à s'apprivoiser Zoé Zoé, aujourd'hui j'ai huit ans Et j'voudrais qu'ça dure un peu J'écoute absolument pas ce qu'on me dit J'fais semblant d'être assis à mon siège Les gars m'parlent Mais c'est comme si on était de part et d'autre d'une porte vitrée Je regarde le paysage défiler par la fenêtre du train Qui nous emmène à nouveau Et j'me dis C'est beau les champs C'est beau le mois de juin C'était beau hier, c'était beau ce matin C'est beau les filles quand y a pas de peur, pas de dégoût, pas de mépris Quand les choses sont limpides Cette nuit à côté de toi c'était comme une lueur dans les profondeurs J'me suis enfin senti reprendre des couleurs Si on me l'avait dit j'y aurais pas cru Alors j'me repasse le film en continu Les images de la dernière fois se superposent au détail du wagon Elles dansent par dessus le monde matériel J'te revois sur l'herbe au bord du fleuve J'revois la forme des nuages, les péages, les routes, les villages Et j'nous revois dans le nuit chaude tout à l'heure Le vent dans tes cheveux les lampadaires qui défilent en orange Et toi qui t'excuses en pleine rue Et puis tes larmes et puis tes bras Et moi qui croyait que j'étais pas comme il fallait Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas J'me suis perdu, j'ai bu la tasse Pour les bras d'une infirmière, j'me suis conduis comme une crasse Et moi qui croyait que j'étais pas comme il fallait Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas Mais si tu m'jures, que tout ça c'est du passé Alors d'accord on tire un trait, on recommence à s'apprivoiser Zoé Zoé, aujourd'hui j'ai huit ans et j'espère que toi aussi J't'imagine en train d'émerger doucement de cette nuit un peu courte Ton pas léger sur le béton nu J'croise deux doigts pour que tu sois comme moi Dans un état un peu second Et qu'tu regardes, rêveuse, les rails au loin En espérant voir passer le train qui nous emmène à nouveau et qu'tu t'dis C'est beau l'été C'est beau le mois de juin C'était beau hier, c'était beau ce matin C'est beau les garçons quand ils sont gentils et droits Qui sont vertueux même s'ils sont un peu maladroits Cette nuit à ses côtés, c'était spécial et nouveau Moi qui pensait t'connaître j'me suis trompée Si on me l'avait dit j'y aurais pas cru Zoé j'espère que tu t'repasses le film en continu Que les images se superposent aux détails de ta chambre Qu'elles flottent au dessus de ton lit défait Quand on a traversé la ville dans la chaleur naissante Et qu'sur le coup la crasse et la laideur ont parus presque supportables Zoé j'ai peur de souffrir comme toi J'suis plus habitué à ça Je sais pas où ça va nous mener Mais j'crois qu'il faut qu'on s'donne les moyens d'être fixés Faut qu'on se revoit Et moi qui croyait que j'étais pas comme il fallait Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas J'me suis perdu, j'ai bu la tasse Pour les bras d'une infirmière, j'me suis conduis comme une crasse Et moi qui croyait que j'étais pas comme il fallait Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas Mais si tu m'jure, que tout ça c'est du passé Alors d'accord on tire un trait, on recommence à s'apprivoiser

Salut, je suis un grand fan de Fauve, même en 2019. Tu pourrais faire l'instru de 4000 îles stp ?

Salut c'est un morceau magnifique et je trouve que tu l'as très bien réalisé ! C'est dommage qu'on ne puisse pas la télécharger car avec les convertisseur UA-cam on perd en qualité déjà que le sons n'est pas très fort :/ en tout cas bravo malgré tout

Trop bien génial

Est-ce que tu penses que tu pourrais partager ta tablature ? 🙄🙏🏼

Résultats de recherche Résultat du Knowledge Graph Lettre à Zoé Fauve Zoé, Zoé, aujourd'hui j'ai huit ans, Les mots qu'on m'avait appris ont disparus, J'ai du mal à faire des phrases construites comme il faut, Mais pour une fois j'en ai pas envie, C'est comme si mon esprit était à moitié éteint, Qu'une partie était restée avec toi là-bas. Le paysage défile par la fenêtre du train, Qui nous emmène à nouveau et j'me dis, C'est beau les plaines, C'est beau le mois de juin, C'était beau hier, C'était beau ce matin, C'est beau les filles quand les choses sont douces, Sans violence ni dépit j'avais failli oublier depuis le temps. Cette nuit à côté de toi c'était comme du lait, Comme du coton qui m'a enveloppé de nulle part. Si on me l'avait dit j'y aurais pas cru, Alors j'me repasse le film en continu. Les images de la veille se superposent au détail du wagon, Elles flottent devant mes yeux comme sur la houle. J'te revois perdue dans la foule Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment. Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent Et font des grands gestes absurdes. Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos, Et puis tes joues et puis ta peau. Et moi qui croyait que j'étais pas comme il fallait. Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas. J'me suis perdu, j'ai bu la tasse, Pour les bras d'une infirmière, j'me suis conduis comme une crasse. Et moi qui croyait que j'étais pas comme il fallait. Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas. Mais si tu m'jures, que tout ça c'est du passé, Alors d'accord on tire un trait, on recommence à s'apprivoiser. Zoé, Zoé, aujourd'hui j'ai huit ans, Et j'voudrais qu'ça dure un peu, J'écoute absolument pas ce qu'on me dit, J'fais semblant d'être assis à mon siège, Les gars m'parlent Mais c'est comme si on était de part et d'autre d'une porte vitrée. Je regarde le paysage défiler par la fenêtre du train Qui nous emmène à nouveau, Et j'me dis, C'est beau les champs, C'est beau le mois de juin, C'était beau hier, C'était beau ce matin, C'est beau les filles quand y'a pas de peur, pas de dégoût pas de mépris. Quand les choses sont limpides, Cette nuit à côté de toi c'était comme une lueur dans les profondeurs. J'me suis enfin senti reprendre des couleurs, Si on me l'avait dit j'y aurais pas cru. Alors j'me repasse le film en continu. Les images de la dernière fois se superposent au détail du wagon, Elles dansent par dessus le monde matériel. J'te revois sur l'herbe au bord du fleuve, J'revois la forme des nuages, les péages, les routes, les villages. Et j'nous revois dans le nuit chaude tout à l'heure. Le vent dans tes cheveux les lampadaires qui défilent en orange. Et toi qui t'excuse en pleine rue, Et puis tes larmes et puis tes bras. Et moi qui croyait que j'étais pas comme il fallait. Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas. J'me suis perdu, j'ai bu la tasse, Pour les bras d'une infirmière, j'me suis conduis comme une crasse. Et moi qui croyait que j'étais pas comme il fallait. Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas. Mais si tu m'jures, que tout ça c'est du passé, Alors d'accord on tire un trait, on recommence à s'apprivoiser. Zoé, Zoé, aujourd'hui j'ai huit ans, Et j'espère que toi aussi. J't'imagine en train d'émerger doucement de cette nuit un peu courte, Ton pas léger sur le béton nu. J'croise deux doigts pour que tu sois comme moi, Dans un état un peu second. Et qu'tu regarde rêveuse les raild au loin, En espérant voir passer le train qui nous emmène à nouveau et qu'tu t'dis, C'est beau l'été, C'est beau le mois de juin, C'était beau hier, C'était beau ce matin, C'est beau les garçons quand ils sont gentils et droits, Qu'ils sont vertueux même s'ils sont un peu maladroits Cette nuit à ses côtés c'était spécial et nouveau, Et moi qui pensait t'connaître j'me suis trompée. Si on me l'avait dit j'y aurais pas cru. Zoé j'espère que tu t'repasse le film en continu. Que les images se superposent au détail de ta chambre, Qu'elles flottent au dessus de ton lit défait. Quand on a traversé la ville dans la chaleur naissante, Et qu'sur le coup la crasse et la laideur ont parus presque supportables. Zoé j'ai peur de souffrir comme toi, J'suis plus habitué à ça. Je sais pas où ça va nous mener Mais j'crois qu'il faut qu'on s'donne les moyens d'être fixés. Faut qu'on se revoit. Et moi qui croyait que j'étais pas comme il fallait. Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas. J'me suis perdu, j'ai bu la tasse, Pour les bras d'une infirmière, j'me suis conduis comme une crasse. Et moi qui croyait que j'étais pas comme il fallait. Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas. Mais si tu m'jure, que tout ça c'est du passé, Alors d'accord on tire un trait, on recommence à s'apprivoiser.

franchement je kiff tes instru, je v m'en sortir pour rapper (bien sur) je te citerai

Merci, j'avais besoin d'un instrumental pour un oral, ça fait 3 semaines que j'en cherche un. Et j'ai essayé avec Fauve (Un groupe que j'apprécie beaucoup) et je suis tombée sur toi, so, merciiii QwQ ..

Tu joues en capo?

est ce que je peux me servir de ton instru stp je vais faire un musique parodie je mettre le lien de ta chaine et de l instru en question

Puis-je me servir de ton instrumental pour faire un Cover dessus? ( je mettrai donc ton lien :))

Très bien ! Merci !

gg mec +1 abos