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Voici publiée pour la première fois à l'aide de MAO (musique assistée par ordinateur) la suite de valses composée par Offenbach : Souvenir des bords du Rhin, dédiée par le compositeur "aux amateurs de Cologne". Et aujourd'hui, concernant cette pièce, on n'en sait pas plus. A-t-elle été jouée ou non ? Et dans quel cadre ou circonstance ? Toujours est-il que sa forme est curieuse et ne correspond guère aux partitions composées par le Maître à la même époque. Je pense avant tout à l'Ouverture à grand orchestre ou à la Grande scène espagnole. Curieux enchainement harmoniques, parfois. On retrouve aussi le même type de papier musique qu'Offenbach utilisait dix ans auparavant, et la même façon de disposer dessus son effectif orchestral, avec les violons et le altos en haut page, au dessus des vents. Mais bien que la date inscrite par le compositeur puisse prêter à interprétation, il semble bien que ce soit en 1845 qu'a été composé cette suite de valses. L'orchestration tonitruante pourrait aussi être un indice quant à sa destination. Les grands bals parisiens ? A savoir les bois par deux, quatre cors, mais surtout deux trompettes auxquelles viennent s'ajouter deux cornets, trois trombones, deux ophicléides et moultes percussions. Quant à la coda, elle est on ne peut plus atypique, avec un long temps de repos pour les danseurs, et un presto final des plus resserés. En tout cas, Offenbach ne cessera jamais de nous étonner. C'est aussi ce qui fait son génie. Alors, en attendant d'en savoir un peu plus sur l'histoire de ce Souvenir des bords du Rhin [il n'y a pas d'S à Souvenir, tout comme Souvenir d'Aix], en attendant aussi qu'un vrai orchestre veuille bien s'en emparer, écoutons cet enregistrement inédit.

MAGNIFIQUE Musique.. faisons un rêve.. Vienne au concert du Nouvel An 2026...ou Cologne, ou notre Orchestre Philarmonique de Liège avec son prochain nouveau chef..

Pourquoi une armature en ré si cette pièce est en si bémol ?

Durant le confinement, j'ai publié sur ma chaine Orphée 58 l'ouverture de Luc et Lucette, un des premiers ouvrages lyriques d'Offenbach représenté en 1854 Salle Herz et dont j'avais retrouvé tout le matériel de la création dans les archives de la famille Offenbach. Quelques temps plus tard, j'ai publié le livret. Et aujourd'hui je publie sous forme de playlist la partition que vous pouvez écouter et suivre sur votre écran. Il s'agit de la publication d'un document de travail restitué par un logiciel de MAO (Musique Assistée par Ordinateur), avant tout documentaire et nullement artistique. Pour une bonne lecture le format HD est nécessaire.

Durant le confinement, j'ai publié sur ma chaine Orphée 58 l'ouverture de Luc et Lucette, un des premiers ouvrages lyriques d'Offenbach représenté en 1854 Salle Herz et dont j'avais retrouvé tout le matériel de la création dans les archives de la famille Offenbach. Quelques temps plus tard, j'ai publié le livret. Et aujourd'hui je publie sous forme de playlist la partition que vous pouvez écouter et suivre sur votre écran. Il s'agit de la publication d'un document de travail restitué par un logiciel de MAO (Musique Assistée par Ordinateur), avant tout documentaire et nullement artistique. Pour une bonne lecture le format HD est nécessaire.

Durant le confinement, j'ai publié sur ma chaine Orphée 58 l'ouverture de Luc et Lucette, un des premiers ouvrages lyriques d'Offenbach représenté en 1854 Salle Herz et dont j'avais retrouvé tout le matériel de la création dans les archives de la famille Offenbach. Quelques temps plus tard, j'ai publié le livret. Et aujourd'hui je publie sous forme de playlist la partition que vous pouvez écouter et suivre sur votre écran. Il s'agit de la publication d'un document de travail restitué par un logiciel de MAO (Musique Assistée par Ordinateur), avant tout documentaire et nullement artistique. Pour une bonne lecture le format HD est nécessaire.

Durant le confinement, j'ai publié sur ma chaine Orphée 58 l'ouverture de Luc et Lucette, un des premiers ouvrages lyriques d'Offenbach représenté en 1854 Salle Herz et dont j'avais retrouvé tout le matériel de la création dans les archives de la famille Offenbach. Quelques temps plus tard, j'ai publié le livret. Et aujourd'hui je publie sous forme de playlist la partition que vous pouvez écouter et suivre sur votre écran. Il s'agit de la publication d'un document de travail restitué par un logiciel de MAO (Musique Assistée par Ordinateur), avant tout documentaire et nullement artistique. Pour une bonne lecture le format HD est nécessaire.

Durant le confinement, j'ai publié sur ma chaine Orphée 58 l'ouverture de Luc et Lucette, un des premiers ouvrages lyriques d'Offenbach représenté en 1854 Salle Herz et dont j'avais retrouvé tout le matériel de la création dans les archives de la famille Offenbach. Quelques temps plus tard, j'ai publié le livret. Et aujourd'hui je publie sous forme de playlist la partition que vous pouvez écouter et suivre sur votre écran. Il s'agit de la publication d'un document de travail restitué par un logiciel de MAO (Musique Assistée par Ordinateur), avant tout documentaire et nullement artistique. Pour une bonne lecture le format HD est nécessaire.

Durant le confinement, j'ai publié sur ma chaine Orphée 58 l'ouverture de Luc et Lucette, un des premiers ouvrages lyriques d'Offenbach représenté en 1854 Salle Herz et dont j'avais retrouvé tout le matériel de la création dans les archives de la famille Offenbach. Quelques temps plus tard, j'ai publié le livret. Et aujourd'hui je publie sous forme de playlist la partition que vous pouvez écouter et suivre sur votre écran. Il s'agit de la publication d'un document de travail restitué par un logiciel de MAO (Musique Assistée par Ordinateur), avant tout documentaire et nullement artistique. Pour une bonne lecture le format HD est nécessaire.

Durant le confinement, j'ai publié sur ma chaine Orphée 58 l'ouverture de Luc et Lucette, un des premiers ouvrages lyriques d'Offenbach représenté en 1854 Salle Herz et dont j'avais retrouvé tout le matériel de la création dans les archives de la famille Offenbach. Quelques temps plus tard, j'ai publié le livret. Et aujourd'hui je publie sous forme de playlist la partition que vous pouvez écouter et suivre sur votre écran. Il s'agit de la publication d'un document de travail restitué par un logiciel de MAO (Musique Assistée par Ordinateur), avant tout documentaire et nullement artistique. Pour une bonne lecture le format HD est nécessaire.

Durant le confinement, j'ai publié sur ma chaine Orphée 58 l'ouverture de Luc et Lucette, un des premiers ouvrages lyriques d'Offenbach représenté en 1854 Salle Herz et dont j'avais retrouvé tout le matériel de la création dans les archives de la famille Offenbach. Quelques temps plus tard, j'ai publié le livret. Et aujourd'hui je publie sous forme de playlist la partition que vous pouvez écouter et suivre sur votre écran. Il s'agit de la publication d'un document de travail restitué par un logiciel de MAO (Musique Assistée par Ordinateur), avant tout documentaire et nullement artistique. Pour une bonne lecture le format HD est nécessaire.

Beautiful ❤

Aujourd'hui un extrait de Belle Lurette, cet opéra-comique posthume sur lequel travaillait Offenbach juste avant de mourir et que Léo Delibes dût achever afin que l'ouvrage puisse être porté à la scène. Ce qui est particulièrement émouvant, c'est de penser qu'au moment où il compose ces couplets plein de verve et de spiritualité, l'état de santé d'Offenbach est catastrophique. Son corps est totalement décharné et il est épuisé par une toux incessante. Et pourtant...

Aujourd'hui un document historique. A la sortie de la seconde guerre mondiale fut créé le service lyrique de la Radio Diffusion Française. Et lors d'un des premiers concerts donnés à la radio, et peut-etre même le tout premier (c'est à vérifier), fut programmé le final de l'acte III de La Vie parisienne d'Offenbach. Pourquoi ce choix ? Peut-etre parce qu'il représente un des sommets de la gaité en musique, et de la gaité, les français en avaient bien besoin. Et puis tout l'art bouffe d'Offenbach est concentré dans ce mémorable crescendo de joyeuse folie. Les sources recueillies (disque Pyral) ne nous ont pas permis de restituer un son de meilleure qualité. Mais le contenu de cet enregistrement reste exceptionnel. C'est aussi la naissance du service lyrique de la radio qui pendant presque trente ans comblera le auditeurs et nous permet aujourd'hui encore de découvrir ou redécouvrir les trésors de notre patrimoine interprétés par une troupe exceptionnelle d'artistes chanteurs et comédiens.

Unbekanntes neu entdecken.

Je vous en prie de publier l’intégrale de ce concert.

Hey, I've been using the Vienna Symphonic Library (music software that uses sound samples from real instruments) in order to create realistic sounding performances. One of the things I would like to do is create some recordings from lesser known works like this, but one of the main issues is getting the scores. Where do you find them?

Je m'attendais à une gentille niaiserie, et c'est un véritable petit enchantement. Quelle jolie découverte.

1:59

Ce délicieux chanteur, que j'aime beaucoup, n'est pas ici tout à fait dans son emploi (et il ne risque pas le sol final, à raison). Savez-vous s'il chante aussi les 3 autres rôles dans cet enregistrement (s'il s'agit bien d'une intégrale) ?

La parodie Bellini-Donizetti-Verdi est fabuleuse, je ne connaissais pas, j'en pleure de rire.

Ca ressemble à un brouillon du "duo" du notaire

On comprend que ce soit resté dans les cartons. Une succession de tierces.

Apparemment, après une rapide recherche, Henri Gui, né en 1926, serait toujours de ce monde... 98 ans !

Quelle beauté !

Burles en fait bien une bien plus savoureuse et offenbachienne interprétation.

Publiée dans sa version pour piano en 1852, cette mazurka (qu'on appelle aussi polka-mazurka) fut composée et créée avec orchestre lors des concerts de midi qu'Offenbach organisait au Théâtre Français alors qu'il y était directeur de la musique. C'est la première fois que cette pièce est redonnée depuis sa création et enregistrée dans le cadre de notre intégrale de la musique symphonique d'Offenbach en MAO. Cette jolie danse a été inspirée par et dédiée à Madeleine Brohan, une des plus remarquables sociétaires de la Comédie française. Avec sa soeur Augustine (pour qui il composera le schottisch des clochettes), elle fut une grande protectrice pour Offenbach. Il leur devra beaucoup en ce qui concerne l'obtention de sa licence d'exploitation du Théâtre des Bouffes-Parisiens.

Comme dans Les Contes d'Hoffmann où les couplets de Franz apportent une touche "bouffe" à la partition d'Offenbach, on trouve aussi cette touche légère dans le trio de l'argent des Fées du Rhin ou encore dans le duo diplomatique de Fantasio. Dans Robinson Crusosé, c'est la chanson "anthropophagique" du pot au feu qui apporte son grain de folie à une partition à dominante romantique. L'art des contrastes chers à Offenbach. Et pour nous l'occasion de retrouver les artistes qui soutiennent le cuisinier Jim Cox, alias Maurice Siezes, à savoir Pierrette Delange et Bernard van der Mersch.

Une archive très ancienne, et de fait une qualité sonore très "ancienne" aussi. Mais quel document ! qui nous arrive d'une époque où la Radio avait la bonne idée de présenter des concerts-lectures de petits ouvrages lyrique en 1 acte de différents compositeurs. Tout comme nous le faisons aujourd'hui à l'Odéon de Marseille ou au Casino de Briançon, et comme nous le faisons naguère sur la Péniche Opéra ou à l'École Normale à Paris. C'était en 1947 et ça s'appelait Le Club d'essai. Les chanteurs de la troupe sortaient à peine du Conservatoire, et ils étaient accompagnés au piano par de jeunes maîtres qui laisseront un nom dans l'histoire de la musique : le claveciniste Pierre Veyron-Lacroix et surtout le compositeur Jean-Michel Damase.

Ça c'est une trouvaille ! À écouter le matin, pour se mettre de bonne humeur.

Merci pour ce partage.

Спасибо за эту прекрасную и прекрасно исполненную музыку❤

Où je me régale !

Avec Bernard Van der Meersch dans les quelques répliques de Toby ;-)

Voilà un merveilleux enregistrement ! Jean Mollien a interprété le rôle de Hoffmann plusieurs fois à travers son carrier, mais voici la seule preuve disponible au publique. Quelque part dans les archives de INA existe l'opéra intégral avec les nommes d'ORTF très connu-Jean Mollien, Denise Montiel, Claudine Collart, Rene Biano, Freda Betti et n'oublions pas Joseph Peyron... Selon moi, il pourrait être un morceau intéressant dans l'histoire de l'opéra français. Espérons qu'un jour il sera disponible. Merci pour le partage.

Magnifique ❤

Merci pour tous ces raretés que vous nous faites découvrir. Cette pièce est courte, elle a été composée à quelle occasion ? Pas pour le film russe de 1923?!

❤

Depuis le temps que je voulais entendre les Travaux d'Hercule, du fond du cœur merci!

Plus enlevé que les journaux du matin de Strauss qui sont très viennois et assez ennuyeux.

Auriez vous une version écrite de ce conte ?

Paul Terry/Commonwealth toons

Un baryton exceptionnel

Oh ... un "nouveau" RR! Chouette alors!

C'EST EXCELLENT ÇA, MERCI!

Not worth performing despite an effort at different sections including one in the minor key. Inge might have preferred the Baroness's aria from Act lV in the first published (5 Act) version. It is not sentimental and contains satire like being related to nobility, and patter for a woman.

This is so ordinary. I don't agree with the music director for my faithful translation in Greenford decades ago but in one of the best productions of it. However he liked cuts of bars (from 5 act to 4 act versions). But I think he would agree with me about the new version from sketches adding to the short act 4 of the 5 act version. the latter was the first version to be published.

Pourriez vous réaliser le Trio des Marmitons d’Offenbach des Brigands en instrumental ? Merci !

Banal! Leave the sketches as sketches. I'll check to see if the extra music is redeemed by any good plot-line. I'll re-watch Act lV in the Theatre des Champs Elysées on UA-cam. I like the original i.e. published Act V version. Why add to it? It had been vetted and with a slight shortening of the dialogue it is ample. Unlike with the sketches Offenbach's standard is maintained.

Yes. I agree. It doesn't always follow. I would like people to sometimes use the more operatiic version of "Is life a Boon?"(tenor) sometimes. "the Yeomen of the Guard", Gilbert and Sullivan with several ideas from the drama "Don Cesar de Bazan" Yet another version was lost. I would rather say Meilhac and Halévy and Offenbach, Da Ponte and Mozart etc..