La forêt de Larringes a quelque chose de magique et d'intemporel.
Après quelques pas pour s'y plonger et quitter la lisière, nous sentons déjà l'air imbibé d'humus nous remplir les poumons et nous vitaliser. Comment ne pas faire corps avec la majesté de ses sapins, la douceur de sa mousse nous caressant les pieds et les rayons du soleil transperçant la forêt comme avec les vitraux d'une cathédrale ?
A cet instant même, alors que tous nos sens sont en éveil, captant le moindre souffle de nature, il nous paraît évident d'y chanter quelques doux mots d'amour.
Et nous songeons, dès lors, aux amants du pont de Bayonne.
Quelle joie de pouvoir interpréter cette chanson de La Machine pour l'habiller de notre empreinte.
@legrandbarbichonprod