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Roland Barthes audio interview 1977 (2/5 - Le métier)
Roland Barthes interviewed by Jean Marie Benoist et Bernard Henry Levy in 1977.
Part 1 - La littérature (ua-cam.com/video/IwM4muyJ8sw/v-deo.html)
Part 2 - Le métier
Part 3 - Le plaisir de l'image (ua-cam.com/video/4bGw-JkH34w/v-deo.html)
Part 4 - Le pouvoir (ua-cam.com/video/6jkCoJA9O6g/v-deo.html)
Part 5 - Lieux et itinéraires (ua-cam.com/video/bXFEKPkgZOs/v-deo.html)
Part 1 - La littérature (ua-cam.com/video/IwM4muyJ8sw/v-deo.html)
Part 2 - Le métier
Part 3 - Le plaisir de l'image (ua-cam.com/video/4bGw-JkH34w/v-deo.html)
Part 4 - Le pouvoir (ua-cam.com/video/6jkCoJA9O6g/v-deo.html)
Part 5 - Lieux et itinéraires (ua-cam.com/video/bXFEKPkgZOs/v-deo.html)
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Відео
Roland Barthes audio interview 1977 (1/5 - La littérature)
Переглядів 19 тис.9 років тому
Roland Barthes interviewed by Jean Marie Benoist et Bernard Henry Levy in 1977. Part 1 - La littérature Part 2 - Le métier (ua-cam.com/video/s_YQS-O6mt0/v-deo.html) Part 3 - Le plaisir de l'image (ua-cam.com/video/4bGw-JkH34w/v-deo.html) Part 4 - Le pouvoir (ua-cam.com/video/6jkCoJA9O6g/v-deo.html) Part 5 - Lieux et itinéraires (ua-cam.com/video/bXFEKPkgZOs/v-deo.html)
Roland Barthes audio interview 1977 (3/5 - Le plaisir de l'image)
Переглядів 12 тис.9 років тому
Roland Barthes interviewed by Jean Marie Benoist et Bernard Henry Levy in 1977. Part 1 - La littérature (ua-cam.com/video/IwM4muyJ8sw/v-deo.html) Part 2 - Le métier (ua-cam.com/video/s_YQS-O6mt0/v-deo.html) Part 3 - Le plaisir de l'image Part 4 - Le pouvoir (ua-cam.com/video/6jkCoJA9O6g/v-deo.html) Part 5 - Lieux et itinéraires (ua-cam.com/video/bXFEKPkgZOs/v-deo.html)
Roland Barthes Radio Interview (Radioscopie, 1973)
Переглядів 71 тис.9 років тому
Roland Barthes interviewed by Jacques Chancel in 1973. Would someone transcript it in english so we can add subtitles for those who don't speak french? If you have some spare time, please help. Transcripts in other languages are also welcome.
Douche canoe
B-dew dew dew dew Bum badaa ba bum. bum. bum. badabada dew doop. Dananana!
Would have preferred it if she’d shown him The Opposite and observed his reaction. Whether and where he laughed (or not) would tell me whether his perspective is valid or fraudulent.
It's really more the interviewer giving an interesting comment on Seinfeld, and Derrida responding more or less that he's never heard of it, and disparaging the idea of linking them lol
Derrida also deconstructs the consequences of his own shit philosophy
What a boring thing to post, just banal
People who read books are slow learners.
Deconstruction from where I'M standing doesn't produce anything other than chaos, misery and some interesting but ultimately worthless (on the level of viable societal structure) ideas.
….that really was a helluva Thing when Spock died -
Heavy concepts
I heard Shitcom
cue the music
LOL in summary, "dont waste your time watching American sitcoms"
One of the best questions ever asked, got him fumbling
Reporter: I have a real intelligent analysis regard Seinfeld to share with you. Derrida: (feels IQ dropping points)
I never knew he speak english
Based
Il a le même timbre de voix que Philippe Noiret, troublant.
Jrdsudshghkeikrdvreuciiideikrrtulediuvrbhlid
Seinfeld deconsructed intellectual life. Why can't what you have in your cupboard be as important as questions about God? You can't eat God, yet food is real, and it's spectacular!
What a ridiculous and narcissistic question to a serious philosopher! Why did he put himself in such a ridiculous position?
Derrida was among other things a philosophical jokester, a clown of sorts. You might even call him a "merry prankster." His saying, "Turn off the sitcom and do your homework" could be partly tongue-in-cheek. He would have appreciated this Seinfeld scene in any case: ua-cam.com/video/BLXtHU_HGXs/v-deo.html (In French, 'dérider' is a verb meaning to cheer up or brighten up; 'ridērer' is Latin for laugh and 'deridēre' means to deride. In English we have 'deride', 'ridicule', and 'ridiculous'. Did Derrida regard his own name as a sign of his vocation as jester?)
I mean the do your homework seems to mean here "if you're going to interview a philosopher known for a particular concept, maybe read up a little bit on the guy instead of arriving with nothing except some pre-conception of his work you cooked in your head". Derrida was right, and tbh he could've taken it way more badly, exposing the interviewer with a snappy remark was awkward for the interviewer for sure, but I've seen people flatly walk out of interviews for stuff like this.
Merci pour ce rappel! Mais BHL, alors-là, ah ahah!
2:37 L'acte d'écrire est le prolongement de l'acte de penser (il n'en est même pas séparable) : on pense toujours avec du langage, il n'y a pas de pensée préalable au langage qui est en nous, on pense en parlant et on parle en pensant. Barthes visualise déjà sa pensé comme une forme écrite, il a tendance à penser par phrase et non par pensé.
3:46 Barthes à voulus réhabiliter le lecteur car d'une part il y'avait une tache historique à accomplir selon lui : la facon dont on parle de la littérature est une façon qui privilégiait beaucoup l'écrivain, toutes les histoires de la littéraire est l'histoire des écrivains. La lecture n'était pas un niveau auquel on s'intéressait quand on faisait une théorie de la littérature car on ne s'intéressait pas au lecteur. Maintenant on d'associer le lecteur à la jouissance d'écrire, il n'ya pas de jouissance d'écrire sans jouissance de lire car les deux se con-pénètrent. Par conséquent s'il y'a une nouvelle théorie de la littérature, on doit tenir compte du lecteur. "Les écrivains sont seulement lus" Bachelard, on peut se demander si les écrivains ont-ils éxisté ? Oui, on les lit encore, à travers des éclairages historiques très différents, ils n'ont jamais toujours le même sens.
8:59 Le signe c'est un objet historique, c'est une sorte de notion qui est apparu dans notre civilisation occidentale au moment des stoïciens, qui a ensuite traversé une carrière de définitions variées et cette notion a repri intérêt à travers les recherches de la linguistique. La sémiologie s'est donné comme une science qui analysait les signes et autant que possible au sein de la vie sociale, sans séparer le signe de son impact et de son existance social. Cette sémiologie a évolué car elle s'est pénétré et donc par conséquent elle est en train d'éclater ou en tout cas d'éssemer dans d'autres types de recherches.
10:50 L'histoire intellectuelle selon Barthes, est une sorte de vague successive de langage différents or Marx et Freud ont posé une sorte de rupture dans le langage occidentale où nous sommes encore (il n'y a pas encore eu mutation)
12:38 "Toute phrase est un engagement et tout discours est un engagement historique" Barthes. La jouissance d'écrire est une jouissance dangereuse car elle est pénétré de responsabilité car ce qu'on écrit a des incidences, on est donc responsable de ce que l'on écrit et de forme à laquelle on écrit.
13:58 Barthes vit dans la pensée que dans la société actuelle, il y'a une division des langages. Nous parlons une langue commune qui est le français mais si on passe au niveau des discours qui sont fait avec de la langue mais qui ne sont pas seulement de la langue, à ce moment là les discours sont divisés et à travers ce médium commun qui est la langue française il y'a des langages différents qui ne communiquent pas. D'où le fait que Barthes n'est compris que d'un certain public : un des grands problèmes de notre société selon lui car notre société est divisé, il y'a encore une division des classes et par là même une division des langages même si les langages sociaux ne reflètent pas seulement et simplement les divisions des classes.
Maître 🙏
3:18 Le pouvoir dans le langage : la parole humaine dans sa grammaire, dans se structure est toujours assertive; quand par exemple des positions de valeurs valeurs se glissent dans ce qu'on dit - assertion de valeur - si une énonciation est donné par une position de valeurs, devant un fait, qui relève du comme s'il allait de soi qu'on pense que c'est bien ou mal. D'où son texte intitulé Mythologies, intolerance à "ce qui va de soi" du langage. La façon dont sont données les informations dans la presse ou dans la télévision le choque car il ne les trouvent jamais assez objectives.
8:32 La seule position éthique pour échapper au pouvoir n'est pas de le combattre car à ce moment là où rejoint une position d'anti-pouvoir qui est une position de pouvoir mais de tricher le pouvoir. Il y'a des résistance ponctuelles qui sont possibles mais aussi nécessaire; le tout c'est d'intervenir ponctuellement et de ne pas constituer un corps de langage, un corps oppositionnel de langage qui devient un système de pouvoir langagier - car le langage (du) militant apporte du pouvoir à son tour. S'il y'a une nature humaine par rapport au pouvoir, il serait dans la nature humaine de vouloir humaine selon Barthes.
12:12 Selon Barthes, la réalité elle même forme un système de pouvoir - si par exemple il se promène dans la rue et qu'il voie une certaine forme de normalité dans la façon dont les gens s'assemblent, s'activent, parlent etc - qui s'oppose au jaillissement du sujet que je suis. Il y'a dans Nietzsche une critique profonde de la langue qui est elle-même en tant que langue dans un appareil de pouvoir, il parle de "servilité de la langue".
15:20 L'aphorisme permet une fracture du pouvoir (ramène à ce qu'a dit Barthes sur les Fragments et Haïku dans la précédente interview). - Rêve utopique de Barthes : une information rigoureusement radicalement objective, c'est-à-dire qui donnerai l'effet sans aucun jugement de valeur, sans aucune assertion de valeurs dans la forme linguistique du discours. Il faut reconnaître que ça n'existe pas dans la société. L'écriture intervient comme une libération mais qui permet d'imaginer un langage qui affirme, qui est dans l'assertion mais qui n'est pas dans le pouvoir (qui décolle l'assertion du pouvoir) parce que, l'écriture affirme n'est pas un signifié, n'est pas un sens mais un signifiant. L'écriture reconnaît de droit la pluralité des sens pour ce qu'elle dit et c'est en cela qu'elle peut être à la fois affirmative et à la fois libérateur.
22:28 Quand on passe de "critique et vérités" au "plaisir du texte" on s'aperçoit d'un déplacement, que Barthes déjoue un certain nombre d'attentes qui auraient pu être programmé linéairement. Dans une suite de livre (dans celle de Barthes) il y'a des déplacement, des abjurations, des reniement mais il y'a aussi des obsessions, il y'a des fixité. Le problème étant de ne pas jouer ces fixité, ces obsessions dans une position de pouvoir qui se cristaliserai.
3:00 Une esthétique n'est pas une représentation abstraite, c'est un système de valeur qui fait partie d'un corps. Roland Barthes s'ennuie au cinéma à cause de ses partis pris esthétique. Le cinéma est trop riche, trop de choses se passent; une minute de mobilité du film est d'une richesse telle que ça l'épuise.
11:40 la fascination de la photographie a toujours été la fascination du "ça a été", quelque chose où la mort a son mot à dire (fascination necrophilique) de ce que qui a été mort mais qui se représente comme voulant être vivant. Il faudrait donc retrouver tout une esthétique générale de fascination où on retrouverai des correspondant dans le texte par exemple, avec un temps grammaticale comme l'imparfait qui est le temps de la fascination - qui est si important dans les romans - qui est le temps du "ça a été" mais en temps qu'on le désire, qu'on l'a désiré; en temps qu'il est là et qu'en même temps il n'est plus là. C'est pourquoi l'image (la photographie) est douloureux car l'image est toujours un peu "ce dont je suis exclu". Ce qu'il y'a de fascinant dans la photographie, c'est que c'est un art mécanique et qui atteste, du moins fictivement, la vérité, la réalité de ce qui s'est produit. Dans la photographie, le problème n'est pas de représenter quelque chose, c'est de se rappeler (de se remémorer) que le souvenir est un jeu fondamentale avec le mourir.
14:40 Il y'a un pouvoir de l'image sur l'écriture dans le fait que toute écriture trouve son économie de jouissance dans la calligraphie et dans le fait que l'écriture ou même la voix humaine (en tout cas me verbale) peuvent se mettre souvent en scène à la façon du visible.
9:23 la méthode de travail (d'écriture) de Roland Barthes : un type d'artisanat très conscient et très ritualisé. Le texte qu'il produit suit un circuit de transformation qui est réglé par son expérience et par son désir. Ça démarre par des petites fiches - où il écrit quelque chose qu'il a lu et qui l'intéresse ou une idée qu'il avait - ça s'accumule, il le ventile et le place puis enfin le rédige (lentement parce qu'il cherche beaucoup ses phrases) et une fois rédigé il corrige énormément. Tout ça pas à la machine car Barthes croit au plaisir de l'écriture manuel, tout ce qui relève du graphisme l'intéresse, il a besoin de ce plaisir manuel de formes les mots, de ses instruments de graphismes (plumes etc); ce moment où il écrit à la mais sur le papier pour porter des corrections entre les lignes et autres seulement possibles sur la page manuscrite - car elles sont homogènes à son émission de spontanéité, avec des reprises, des remords; des greffes, des transplantations - et impossible sur la page dactylographié - qui est le mouvement où il objectivise le produit, qui a été précédemment entièrement subjectivisé par la présence de son corps, un produit qu'il detache de son corps où les lettres viennent dans un code typographique et où au final ça commence à devenir un objet; cela lui permet de voir les effets que ça pourrait avoir sur le lecteur. C'est, selon Barthes, une pratique très classique, qui s'inscrit dans une idée du style qui s'apparente à la façon dont les écrivains d'autrefois travaillaient leur style.
17:38 Dans l'acte d'écrire il y'a pleins de chose, du point de vue psychique, qui se mélangent. Il y'a le fait qu'on aime écrire quelque soit les difficultés intérieurs du texte, ça reste très énigmatique mais il est incontestable que ça existe. Il y'a aussi - tout ce dont parlait Levy - tous les fantomes de protections, tous les surmoi, les impératifs doctrinaux, ce qu'on se doit à soi-même par rapport à son passé, par rapport aux gens qui nous entourent; et tout ça se mélangent au plaisir d'écrire.
18:46 Il y'a toujours des débordements d'effets dans la litterature, l'effet est toujours debordé par d'autres effets c'est le contraire d'un phénomène scientifique. C'est ce qui fait aussi la pérennité d'une écriture, c'est parce qu'il n'y a pas de vérité de l'écriture qu'elle est sinon éternel, tout au moins pérenne : c'est parce que l'écriture à le droit au contresens - au parasens, développement de sens paralogique - qu'elle dure. Le livre n'est pas éternel mais il est à la lettre multiple, il est polymorphe, il est polyphonique (d'où le fait qu'on doit ou qu'on peut lire un livre par fragment)
20:16 Barthes a écrit peu de livres suivit/continue car il aime beaucoup les formes brèves, il aime commencer. Il a un plaisir d'invention à trouver ou à faire l'attaque d'un paragraphe, d'un fragments; il aime rompre avec le rien qui précède et donc en multipliant les fragments, il multiplie les plaisir d'attaque. Il y'a aussi une vieille rancœur de jeunesse à l'égard de la dissertation et ses impératifs de rhétorique (assez creuses selon lui). Il fallait développer, c'est-à-dire faire une nappe de discours qui était à la fois construite et continue. Correction : une écriture plus interrompu que fragmenté (car Fragments = objets qui ont des contours très irréguliers; Mathématique), les fragments idéaux de Barthes seraient des fragments avec un certain callibre, une certaine dimension et régularité. Ce qui le plaît c'est l'entame, l'attaque, l'interruption et la fin car elle pose un problème de composition intéressant car il faut bien finir le fragment sans le finir sur un coup de trompette. Barthes voudrait faire l'équivalent en écriture des intermèdes Schumanien et le fait que Barthes joue régulièrement du piano, il serait possible qu'il y'aie un rapport, une articulation entre son type d'écriture et la pratique de la musique : NON selon Barthes car ce sont des ordres très discontinues.
22:26 Roland Barthes récuse un discours de maîtrise double : la maitrise de l'auteur sur le sens - que le lecteur réécrit le texte pour lui-même, qu'il en possède sa propre lecture - et la maîtrise du lecteur qu'il croit obtenir en lisant l'intégralité du texte - assumer qu'un livre n'est pas fait pour être lu entièrement, il y'a des passages qui se sautent etc. On peut donc se donner le droit de juger un livre en ne l'ayant pas lu entièrement, en ayant prélevé dans ce livre des prises d'écriture (approche par symptôme). Comme une écoute aigu à certains moments et distraite dans d'autres. Lorsqu'un livre excitations Barthes, il lève la tête parce qu'il le fait penser à autre chose. Une écoute polyphonique, l'esprit part dans tous les sens et a envie de créer (et est ému parfois intellectuellement); pendant la pratique d'écriture, on croit que tout ce qu'on écrit va être intégralement lus alors peut-être que savoir écrire, c'est savoir disposer des plages moins importantes qui ne seront peut-être pas lus.
After a couple episodes of Seinfeld Derrida would be deconstructing his philosophy of deconstruction and discover he is Kramer’s doppelgänger.
Un phénomène 🙏👍❤️🌹
Outre l extrême qualité de son langage, je suis frappé par sa lucidité sur la désagrégation de la littérature française. S'il vivait encore, serait-il classé à l extrême droite ?
Qui sait? Et qu'aurait-il écrit? "Sémiologie du Macronisme", avec des chapitres comme "la Bête de l'Evènement", "Nous sommes en guerre" ou "Manspreading"... "Jouissance et responsabilité chez Marlène Schiappa"... "Déchiffrer Sandrine Rousseau"... "Jacline qui? Le langage social d'Eric Zemmour"... "L'Imaginaire des Gilets Jaunes"... "Ecrire sur soi: l'Infatuation dans la pensée politique française" "Les petits univers: de la fessée de Jean-Jacques Rousseau à l'anus de Bruno Lemaire" "L'Europe! L'Europe! Du cabri sautant sur une chaise aux jeunes dansant dans le Parlement européen, analyse des discours sur le projet européen" ...
Irony is the basis of 100% of humour. Irony is Greek for "disassemble". In some sense, anything that is comedic is deconstructionist, or partakes of the same underlying spirit.
La voix. Le cri. La recitation.
L'homme en chair et en os qui parle d'une facon dont je peux tout comprendre mais son ecriture m'as toujours echappée.
i need someone to edit the sigma male music playing over derrida when he lays out the cold, hard truth
that would be hilarious
ua-cam.com/video/4WWIfIKIODw/v-deo.htmlfeature=shared
7:19 question sur soi 16:04 27:30 9:45 science qui analyse les signes 16:56 l’auteur 20:33 écrire sur soi : idée de suicide 29:43 le refus du monsieur 35:53 maladie 39:10 obligation de lecture 41:20 parole vs écriture 42:48 bataille 43:30 ennui 49:22 exclus de son langage
Watching Jacque Derrida try and interact with normal ass humans while growing more and more exasperated is still one of the funniest things I’ve ever seen.
He was the most dapper uber-nerd on the planet!
Can't even spell his name - OK, genius.
nah i think this was an example of what he called an American question. Where they just expect you to just expound on a topic without doin any work on one's their end
I feel like there was confusion between the traditional definition of 'deconstructing' (i.e. the breaking apart of an object or piece of media to investigate/analyse/satirise its constituent parts) and Derrida's deconstructive thought (i.e. the much broader theory of language/meaning as a decentralised relational system). Seinfeld is a deconstruction of the sitcom in one sense of the word, but wholly unrelated in the other. I think you can kinda see where the interviewer was coming from.
You say "much broader" to refer to the Derridean sense of "deconstruct," but I actually take his deconstruction to be a narrower application of the "traditional" definition of the term. He's also "breaking apart an object" to investigate it, but the only objects he cares about are texts imbued with the langauge of "traditional Western metaphysics"
@DaggerMan11 okay Derrida now we know you did it for Ulysses so can you do it for Seinfeld for all the Americans watching at home. We at the network that produces Seinfeld would really like it if you did that also so please philosophize!
This situation gives me “Curb your enthusiasm” vibes rather than “Seinfeld”. DJ play the piano song. Larry David would profit anyway.
Superbe moment en compagnie de Roland Barthes. L'échange avec J. Chancel est particulièrement agréable et fluide.
I thought he was going to deconstruct the name: Seinfeld translates from German as "field of being." Derrida could have had fun with that.
wow
Intéressant
His honesty on reading; is liberating....
(annoying Bass riff)
Ä
The visible look of disgust is perfect.
I'm afraid I would watch endless re-runs of the worst episodes of Seinfeld before I ever sit down and torture myself with Derrida's garbled and pointless musings again, as I had to in college.
Ah le signe! Le sens du signe la sémiologie, la jouissance de la sémiotique jusqu’au fragment d’un discours amoureux!!! Tout ça, c’est Lui!!! Merci Roland Barthe
Human nature needs laughter as much as oxygen, you obsessive compulsive old man.
Books can make you laugh, maybe you should try to pick up a book sometime; Don Quixote is a good one, has great laughs here and there too.
@@meateatingvegan1582 You make me laugh, too. Get some protein, it'll help your brain cells.
@@macksters1 Eat shit, because that would be a fitting diet for your shit takes.
These pretzels are making me thirsty.