Espace Colonie
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Illusions cosmiques. Comment et pourquoi des erreurs se sont-elles produites en science?
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L'astronomie désigne l'observation du ciel nocturne, et toutes les techniques permettant d'en savoir plus sur les astres que l'on peut y voir. Très calculatoire, cette discipline remonte à plus de 5000 ans, et était déjà présente durant l'Antiquité. C'est elle qui a permis de connaître les planètes du Système solaire, et de comprendre que la Terre tourne autour du Soleil. Aujourd'hui elle est autant pratiquée par des amateurs que des professionnels, grâce à de nombreux outils d'observation accessibles pour tous, comme les télescopes ou les lunettes astronomiques. [Illusions cosmiques. Comment et pourquoi des erreurs se sont-elles produites en science et en astronomie ?)
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#idées fausses #espace #science #science #spatio #temporelle #multivers #espace #univers #temps #physique
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КОМЕНТАРІ

  • @f.RGNR59
    @f.RGNR59 26 днів тому

    T’es un peu à l’ouest toi !!!

  • @aissabriand
    @aissabriand 27 днів тому

    Moi une question me taraude l'esprit si la terre à 4.56 milliards d'année environs pourquoi peut -on voir le passé à 14 milliards d'années regarde si une planète ou une étoile ultra courte à 500 millions d'années de vie prend vie mais à 10 milliards d'année de la terre, on ne pourras pas l'observer ? non il me semble, oula excuse moi je suis malade fatigué d'apprendre je crois, je vais faire une pause ap ta réponse, et merci de Saint Pierre et Miquelon man, ta vidéo été super merci à ton équipe tec aussi surtout, si tu en a une ct super ! :) Peace!

  • @felixbouvet1746
    @felixbouvet1746 4 місяці тому

    Cette vidéo m'a beaucoup passionné ça passait très vite et j'ai appris plein de choses merci beaucoup moi ça me fatigue beaucoup la Big Bang et justice pourrait passer avant s'il y avait pas une autre vie avant l'élément quantique et qui constitue la matière noire ça s'appelle le axion pendant la Big Bang a eu la grande unification et le air électrot négativité😮😮😅

  • @darkstar4572
    @darkstar4572 4 місяці тому

    Rien à voir avec le multivers titre mensongè, c est pour faire dormir, on apprend rien, ce type de vidéo m enerve.

  • @Morocons297
    @Morocons297 4 місяці тому

    Une nouvelle chaîne qui m'a l'air plutôt bien!

  • @aissabriand
    @aissabriand 4 місяці тому

    c fait par ia? bonjour :)

    • @Morocons297
      @Morocons297 4 місяці тому

      Ça n'a pas l'air

    • @mbioarbamichelpatrickouedr3255
      @mbioarbamichelpatrickouedr3255 4 місяці тому

      Bien sûr que...😉

    • @aissabriand
      @aissabriand 4 місяці тому

      @@mbioarbamichelpatrickouedr3255 😂

    • @1664julien1664
      @1664julien1664 Місяць тому

      Comme dit plus bas... c'est un truc que j'ai déjà écouté sur une chaîne et/ou appli de relaxation.. c'est pas tout jeune. l'IA existait sûrement mais on n'en parlait pas au tout cas !

    • @ynakobok5605
      @ynakobok5605 2 дні тому

      Si c'est le cas c'est toujours mieux que la connerie humaine

  • @2jas746
    @2jas746 4 місяці тому

    En vraix cest Que des hypothèses et non une vérité

  • @2jas746
    @2jas746 4 місяці тому

    L'univers est créateur donc il créera infiniment et se développera inexorablement comme il l'a toujours fait.

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 5 місяців тому

    Hartle et Hawking suggèrent que si nous pouvions remonter le temps de l'Univers, nous remarquerions que tout près de ce qui aurait dû être le début, le temps cède la place à l'espace de telle manière qu'il n'y a plus que de l'espace, et pas de temps. Le début d'un phénomène est un concept défini par le temps. Si le temps n'existait pas avant le Big Bang, le concept d'un commencement de l'Univers n'a plus de sens. D'après la proposition de Hartle-Hawking, l'Univers n'a donc pas d'origine, telle que nous le comprenons normalement. L'Univers, avant le Big Bang, était comme une singularité à la fois spatiale et temporelle. Ainsi, l'Univers tel que proposé par le modèle de Hartle-Hawking n'a pas de commencement. C'est cependant un univers différent de l'univers stationnaire de Hoyle. Il n'a simplement pas de limites initiales, ni dans le temps, ni dans l'espace[1].

    • @pierred.6287
      @pierred.6287 5 місяців тому

      Bravo pour vos explications qui sont plus claires que dans la vidéo. Tous les scénarios proposés sur le destin de l'univers ne sont que des théories qui ne font qu'ajouter des inconnues à l'équation. Si on admet que l'univers a eu un commencement (le BB), il devrait aussi avoir une fin. Mais là il y a qqch qui cloche. Car pour que l'univers ait un début (hypothétique), il fallait bien qu'il y ait eu un élément déclencheur qui ne soit pas dépendant du temps ni de l'espace, ni de la matière tels qu'on les conçoit par le truchement de nos sens ou des appareils hautement sophistiqués qui en sont le prolongement. Ce qui signifie que ce "déclencheur" n'est pas lui-même soumis aux lois de la physique mais qu'il constitue la véritable inconnue du monde observable. D'autre part, si l'on admet que le monde est un cycle éternel de phénomènes physiques, sa répétition nécessite une entité immanente qui ne soit pas elle-même soumises aux conditions de ce phénomène cyclique. Dans tous les cas, c'est cette entité qui est la véritable inconnue. Car, en fait, on ne peut observer le monde et, à plus forte raison le concevoir, comme si nous étions extérieur à lui, alors que, en réalité, nous en faisons partie intégrante; donc que notre vision du monde reste relative.

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 5 місяців тому

    Découverte d’une nouvelle forme de matière induite par une température atomique inférieure au zéro absolu En amenant un nuage d’atomes à une température inférieure au zéro absolu, dite « absolue négative », des physiciens ont constaté qu’ils semblaient présenter un état quantique jusqu’à présent inconnu. À cette température, les atomes pouvaient notamment être organisés selon des motifs géométriques spécifiques et complexes appelés « réseaux de Kagome ». La substance quantique résultante pourrait être une toute nouvelle forme de matière. Dans les années 1800, Lord Kelvin a défini l’échelle de température en affirmant qu’aucune matière ne peut aller en dessous du zéro absolu (0 Kelvin, soit environ -273,15 °C). Cependant, les physiciens ont découvert plus tard que la température absolue d’un gaz est proportionnelle à l’énergie moyenne des particules qui le composent. La température absolue est la température mesurée à partir du zéro absolu, qui correspond à l’état au cours duquel les particules ne possèdent plus d’énergie cinétique (donc immobiles). Une température plus élevée correspond, quant à elle, à une énergie cinétique donnée. Cependant, des physiciens ont découvert dans les années 1950 que ce principe n’était pas toujours valable, notamment en raison de la manière dont l’énergie est distribuée entre les atomes. Le zéro absolu correspond à l’état dans lequel les particules ont une entropie minimale. Pour les ensembles d’atomes présentant une température absolue positive, seuls quelques-uns se déplacent avec une énergie cinétique élevée, tandis que la plupart ont un niveau d’énergie faible. En revanche, cette distribution d’énergie s’inverse lorsque les atomes sont exposés à une température absolue négative. En d’autres termes, ceux se déplaçant avec une énergie cinétique élevée deviennent plus nombreux que ceux possédant une énergie plus faible (entropie maximale). Les particules aux températures absolues négatives possèdent ainsi plus d’énergie que celles aux températures absolues positives. Paradoxalement, les premières sont donc techniquement « plus chaudes » que les secondes. La combinaison des deux ferait circuler l’énergie ou la chaleur des unes (à l’absolu négatif) vers les autres (à l’absolu positif). En explorant cet étrange état des particules en contrôlant leurs niveaux d’énergie et leurs états quantiques, des chercheurs de l’Université de Cambridge ont découvert que la matière présentait un état inhabituel. Selon les experts, l’expérience n’a été possible qu’en utilisant les principes de la mécanique quantique et non ceux de la thermodynamique. Leurs travaux ont été présentés le 5 juin 2024, à l’occasion de la réunion annuelle de la Division de physique atomique, moléculaire et optique de l’American Physical Society à Fort Worth, au Texas. Un comportement similaire à l’énergie noire ? Dans le cadre de son expérience, l’équipe de Cambridge a placé un nuage contenant des milliers d’atomes de potassium dans une chambre à vide, puis les a exposés à une température proche du zéro absolu. Pour ce faire, les chercheurs ont utilisé des lasers et des champs magnétiques. « Nous utilisons des atomes neutres dans des réseaux optiques comme simulateurs quantiques analogiques », ont-ils expliqué dans leur étude. Cela a entre autres permis de contrôler les états quantiques et énergétiques des atomes, de sorte à les amener à une température absolue négative. À noter que ces mêmes chercheurs ont déjà réalisé une expérience plus ou moins similaire en 2013, en utilisant un gaz quantique ultrafoid composé d’atomes de potassium. Les lasers et les champs magnétiques avaient permis d’arranger les atomes individuels au sein d’un réseau. À des températures absolues positives, les atomes se repoussaient, rendant la configuration instable. En revanche, les températures absolues négatives (induites en ajustant le champ magnétique) les ont amenés à s’attirer entre eux, rendant ainsi le système plus stable. « Cela fait passer soudainement les atomes de leur état d’énergie le plus stable et le plus bas à l’état d’énergie le plus élevé possible, avant qu’ils ne puissent réagir », a expliqué dans un article de blog de la revue Nature l’un des auteurs de l’étude, Ulrich Schneider, de l’Université de Cambridge. « C’est comme marcher dans une vallée et se retrouver instantanément au sommet d’une montagne », a-t-il ajouté. Les experts en ont déduit que cet état pourrait conduire à une nouvelle forme de matière. Le protocole de la nouvelle expérience a été amélioré dans ce sens, en incitant les atomes à s’arranger selon des motifs complexes hexagonaux et triangulaires appelés réseaux de Kagome. Les chercheurs ont alors constaté que les atomes pouvaient être amenés à présenter des états quantiques au cours desquels leur énergie provient de l’interaction avec d’autres atomes. Cependant, de façon étonnante, ils ne présentaient aucune énergie cinétique. Il est intéressant de noter que le gaz exposé à une température absolue négative se comporte de manière similaire à l’énergie noire, la force hypothétique qui serait entre autres responsable de l’accélération de l’expansion de l’Univers et qui s’oppose à l’attraction gravitationnelle. Schneider et ses collègues ont constaté, au cours de leur précédente expérience, que les atomes attirés les uns par les autres doivent normalement être influencés par la gravité, mais ne le sont pas en raison de la stabilité induite par l’absolu négatif. En prochaine étape, les chercheurs prévoient d’explorer plus avant les propriétés exactes de cette nouvelle matière.

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 5 місяців тому

    Big Bang ou rebond éternel : de nouvelles découvertes redessinent les débuts de notre univers L’origine de l’univers a toujours été un sujet de débat passionnant et complexe parmi les scientifiques. Deux théories dominantes ont émergé au fil des temps : la théorie du Big Bang et celle de l’Univers rebondissant. Cependant, de nouvelles recherches semblent remettre en question la viabilité de cette dernière, ouvrant une nouvelle perspective sur nos origines et l’évolution de l’Univers. La théorie du Big Bang est la plus largement acceptée concernant l’origine de l’univers. Selon cette dernière, il aurait commencé comme un point extrêmement chaud et dense, souvent appelé « singularité », il y a environ 13,8 milliards d’années. Pour des raisons encore inconnues, cette singularité aurait commencé à se dilater dans un processus appelé « inflation ». Au fur et à mesure que l’univers se dilatait, il se refroidissait, permettant la formation de particules subatomiques, puis d’atomes. Par la suite, de manière schématique, ces atomes se sont regroupés pour former des étoiles et des galaxies. Les preuves de cette théorie comprennent l’expansion continue de l’univers et le fond diffus cosmologique, représentant l’écho du Big Bang. Face à elle, la théorie de l’Univers rebondissant propose une alternative à la singularité du Big Bang. Dans cette perspective, l’univers actuel est le dernier d’une série d’univers, chacun se contractant en un petit volume avant de se dilater à nouveau. Cette contraction et cette expansion forment le « rebond ». Dans certains modèles de l’Univers rebondissant, ce cycle se répète indéfiniment. L’idée derrière cette théorie est de résoudre certains problèmes associés à la singularité du Big Bang, notamment le dysfonctionnement des lois de la physique conventionnelle. Cependant, il est important de noter que la théorie de l’Univers rebondissant est encore largement débattue contrairement à la théorie du Big Bang. Récemment, deux études publiées indépendamment mettent en doute cette idée, soutenant plutôt que l’expansion et la contraction de l’univers pourraient n’avoir eu lieu qu’une seule fois. L’une est publiée dans la revue Physical Review Letters, l’autre dans la revue Journal of Cosmology and Astroparticle Physics. Anomalies dans le fond diffus cosmologique La première étude s’est concentrée sur un aspect spécifique de la théorie de l’Univers rebondissant connu sous le nom de cosmologie quantique en boucle (LQC). La LQC prédit certaines anomalies dans le fond diffus cosmologique, un écho lumineux de l’univers encore jeune, qui devraient être observables si notre univers est le produit d’un rebond. En effet, la LQC évite les singularités, qui sont problématiques, car la physique et les mathématiques ne fonctionnent pas quand elles sont appliquées à un point infiniment petit. La LQC s’appuie sur un pont entre la physique classique et la mécanique quantique, connu sous le nom de gravité quantique en boucle, qui postule que la force de gravité s’épuise à de très petites distances plutôt que d’augmenter à l’infini. Cependant, lorsque les chercheurs ont comparé les prédictions de la LQC avec les données réelles du CMB, de 2009 à 2013, fournies par l’observatoire spatial Planck, ils n’ont trouvé aucun signe tangible de ces anomalies. Cela suggère que les modèles de l’Univers rebondissant qui s’appuient sur la LQC pour expliquer les anomalies du CMB peuvent être écartés. Malgré ces découvertes, la question sur l’origine de l’univers perdure. Les partisans du Big Bang soutiennent qu’il a eu un début, mais cela laisse en suspens la singularité insondable qui a tout déclenché. D’autre part, les théories des cosmologies cycliques proposent que l’univers soit immortel et traverse des rebonds sans fin. Un univers véritablement cyclique n’a ni début ni fin. Il se compose d’une série de rebonds qui remontent à un nombre infini de cycles et qui continueront à l’infini. Et parce qu’un tel univers n’a pas de début, il n’y a pas de Big Bang et pas de singularité. Cependant, un obstacle se dresse face à la théorie d’un univers éternellement cyclique, selon le physicien William Kinney de l’Université de Buffalo, co-auteur de la seconde étude. Il s’agit de l’entropie, qui s’accumule à chaque rebond de l’univers. Souvent considérée comme la quantité de désordre dans un système, l’entropie est liée à la quantité d’énergie utile du système : plus l’entropie est élevée, moins il y a d’énergie disponible. En remontant dans le temps, au début de l’univers, cette idée implique de facto une quantité infiniment petite d’entropie certes, mais bien présente et qui ressemble alors très fortement à un Big Bang. Les chercheurs ont donc examiné les implications de cette augmentation de l’entropie dans un univers cyclique. Ils ont conclu que même si un univers cyclique peut contourner le problème de l’entropie en se dilatant beaucoup à chaque cycle, cette solution elle-même garantit que l’univers n’est pas immortel. En d’autres termes, même un univers qui subit des rebonds cycliques aurait dû avoir une singularité pour tout mettre en mouvement en premier lieu. Cela renforce l’idée que l’univers a probablement eu un début, ce qui est en accord avec la théorie du Big Bang et contredit l’idée d’un univers éternellement rebondissant. Bien que le débat sur l’origine de l’univers soit loin d’être terminé, ces nouvelles recherches apportent des perspectives intéressantes et remettent en question certaines théories existantes. En effet, elles ne prouvent pas définitivement que la théorie de l’Univers rebondissant est incorrecte, mais elles mettent en évidence des problèmes avec certaines versions de cette théorie. Les chercheurs continuent donc d’étudier ces questions, à la recherche de la vérité sur l’origine de l’Univers et son évolution.

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 5 місяців тому

    James Webb a la capacité de regarder très loin dans l'espace, et par conséquent, très loin dans le passé. En effet, la lumière a beau se déplacer à la vitesse vertigineuse de 300 000 kilomètres par seconde, l'Univers est si vaste que certaines images qui nous parviennent aujourd'hui ont des milliards d'années !

  • @tigerweedillegal
    @tigerweedillegal 5 місяців тому

    On sera mort depuis trente milliards d'année pendant le.big crunch mdr

  • @f.RGNR59
    @f.RGNR59 5 місяців тому

    Sinon, sympa le nouveau nom de la chaîne.

  • @f.RGNR59
    @f.RGNR59 5 місяців тому

    Parfait pour ceux qui ont du mal à dormir…..

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 5 місяців тому

    James Webb a la capacité de regarder très loin dans l'espace, et par conséquent, très loin dans le passé. En effet, la lumière a beau se déplacer à la vitesse vertigineuse de 300 000 kilomètres par seconde, l'Univers est si vaste que certaines images qui nous parviennent aujourd'hui ont des milliards d'années !

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 5 місяців тому

    Big Bang ou rebond éternel : de nouvelles découvertes redessinent les débuts de notre univers L’origine de l’univers a toujours été un sujet de débat passionnant et complexe parmi les scientifiques. Deux théories dominantes ont émergé au fil des temps : la théorie du Big Bang et celle de l’Univers rebondissant. Cependant, de nouvelles recherches semblent remettre en question la viabilité de cette dernière, ouvrant une nouvelle perspective sur nos origines et l’évolution de l’Univers. La théorie du Big Bang est la plus largement acceptée concernant l’origine de l’univers. Selon cette dernière, il aurait commencé comme un point extrêmement chaud et dense, souvent appelé « singularité », il y a environ 13,8 milliards d’années. Pour des raisons encore inconnues, cette singularité aurait commencé à se dilater dans un processus appelé « inflation ». Au fur et à mesure que l’univers se dilatait, il se refroidissait, permettant la formation de particules subatomiques, puis d’atomes. Par la suite, de manière schématique, ces atomes se sont regroupés pour former des étoiles et des galaxies. Les preuves de cette théorie comprennent l’expansion continue de l’univers et le fond diffus cosmologique, représentant l’écho du Big Bang. Face à elle, la théorie de l’Univers rebondissant propose une alternative à la singularité du Big Bang. Dans cette perspective, l’univers actuel est le dernier d’une série d’univers, chacun se contractant en un petit volume avant de se dilater à nouveau. Cette contraction et cette expansion forment le « rebond ». Dans certains modèles de l’Univers rebondissant, ce cycle se répète indéfiniment. L’idée derrière cette théorie est de résoudre certains problèmes associés à la singularité du Big Bang, notamment le dysfonctionnement des lois de la physique conventionnelle. Cependant, il est important de noter que la théorie de l’Univers rebondissant est encore largement débattue contrairement à la théorie du Big Bang. Récemment, deux études publiées indépendamment mettent en doute cette idée, soutenant plutôt que l’expansion et la contraction de l’univers pourraient n’avoir eu lieu qu’une seule fois. L’une est publiée dans la revue Physical Review Letters, l’autre dans la revue Journal of Cosmology and Astroparticle Physics. Anomalies dans le fond diffus cosmologique La première étude s’est concentrée sur un aspect spécifique de la théorie de l’Univers rebondissant connu sous le nom de cosmologie quantique en boucle (LQC). La LQC prédit certaines anomalies dans le fond diffus cosmologique, un écho lumineux de l’univers encore jeune, qui devraient être observables si notre univers est le produit d’un rebond. En effet, la LQC évite les singularités, qui sont problématiques, car la physique et les mathématiques ne fonctionnent pas quand elles sont appliquées à un point infiniment petit. La LQC s’appuie sur un pont entre la physique classique et la mécanique quantique, connu sous le nom de gravité quantique en boucle, qui postule que la force de gravité s’épuise à de très petites distances plutôt que d’augmenter à l’infini. Cependant, lorsque les chercheurs ont comparé les prédictions de la LQC avec les données réelles du CMB, de 2009 à 2013, fournies par l’observatoire spatial Planck, ils n’ont trouvé aucun signe tangible de ces anomalies. Cela suggère que les modèles de l’Univers rebondissant qui s’appuient sur la LQC pour expliquer les anomalies du CMB peuvent être écartés. Malgré ces découvertes, la question sur l’origine de l’univers perdure. Les partisans du Big Bang soutiennent qu’il a eu un début, mais cela laisse en suspens la singularité insondable qui a tout déclenché. D’autre part, les théories des cosmologies cycliques proposent que l’univers soit immortel et traverse des rebonds sans fin. Un univers véritablement cyclique n’a ni début ni fin. Il se compose d’une série de rebonds qui remontent à un nombre infini de cycles et qui continueront à l’infini. Et parce qu’un tel univers n’a pas de début, il n’y a pas de Big Bang et pas de singularité. Cependant, un obstacle se dresse face à la théorie d’un univers éternellement cyclique, selon le physicien William Kinney de l’Université de Buffalo, co-auteur de la seconde étude. Il s’agit de l’entropie, qui s’accumule à chaque rebond de l’univers. Souvent considérée comme la quantité de désordre dans un système, l’entropie est liée à la quantité d’énergie utile du système : plus l’entropie est élevée, moins il y a d’énergie disponible. En remontant dans le temps, au début de l’univers, cette idée implique de facto une quantité infiniment petite d’entropie certes, mais bien présente et qui ressemble alors très fortement à un Big Bang. Les chercheurs ont donc examiné les implications de cette augmentation de l’entropie dans un univers cyclique. Ils ont conclu que même si un univers cyclique peut contourner le problème de l’entropie en se dilatant beaucoup à chaque cycle, cette solution elle-même garantit que l’univers n’est pas immortel. En d’autres termes, même un univers qui subit des rebonds cycliques aurait dû avoir une singularité pour tout mettre en mouvement en premier lieu. Cela renforce l’idée que l’univers a probablement eu un début, ce qui est en accord avec la théorie du Big Bang et contredit l’idée d’un univers éternellement rebondissant. Bien que le débat sur l’origine de l’univers soit loin d’être terminé, ces nouvelles recherches apportent des perspectives intéressantes et remettent en question certaines théories existantes. En effet, elles ne prouvent pas définitivement que la théorie de l’Univers rebondissant est incorrecte, mais elles mettent en évidence des problèmes avec certaines versions de cette théorie. Les chercheurs continuent donc d’étudier ces questions, à la recherche de la vérité sur l’origine de l’Univers et son évolution.

  • @batis612
    @batis612 5 місяців тому

    Nôtres planète est sûr ont gaspiller nôtres énergie à chercher ailleurs alors que nos océan nous savons rien aller voires alors que tous est devants notre porte 🚪 😇

  • @juandiaz-en1yg
    @juandiaz-en1yg 5 місяців тому

    Voyage à travers des images oui, dans l'univers il faut sortir de la terre.