Відео

Effectivement, j'espère le nouveau PDG, ancien ingénieur va réussir à prendre les bonnes décisions.

Un grand merci pour votre retour, A très vite, Olivier

Merci pour votre retour. Restons optimiste.

Merci pour votre retour. Il faut rester optimiste. Ce sont des outils, à nous d'en faire le meilleur.

Merci pour votre retour. Restons optimiste, ce sont des outils, à nous d'en faire le meilleur.

Merci pour toutes ces prècisions.

Un grand merci pour votre commentaire.

@@user-dc5uw5hw8d Je vous rassure, je suis bien un humain.

Merci pour votre retour. Dans un monde globalisé, un risque systémique est global.

Un grand merci pour votre retour

Merci pour retour. L'occident effectivement sur certains points doit se remettre en question.

Merci pour votre retour. Il est vrai que beaucoup d'acteur sur cette planète ont une part de responsabilité.

Un grand merci pour votre retour. Les sociétés ont besoin de crises pour rebondir. À très vite, Olivier

Un grand merci pour votre retour, A très vite, Olivier

Un grand merci pour votre commentaire.

Bonjour à vous, Un grand merci pour votre retour. A très vite, Olivier

Effectivement, la technologie de l'impression 3D existe depuis les années 1980, avec la découverte de la stéréolithographie en 1984 par Charles W. Hull. Pour les particuliers, il existe pour le moment environ 300 lieux collectifs pour l'impression 3D, souvent appelés "makerspaces" ou "fab labs", en France.

Oui, effectivement vous avez raison de souligner ce problème. Il y a une forte perte de compétences. À très vite, Olivier

Je comprends votre point de vue. Il faut trouver un juste équilibre et respecter ses valeurs.

@@OlivierDupontGenevois Respecter le wokisme ??? Combien de morts et de vies brisées à cause du wokisme ? Voilà un sujet pour une vidéo…

Un grand merci pour votre commentaire. Force est de constater que Boeing est dans l'obligation de se réformer pour rebondir.

Merci pour votre commentaire. Pouvez-vous svp me communiquer vos source pour éclairer notre audience.

Merci pour votre retour.

Un grand merci pour pour retour, A très vite, Olivier

Un grand merci pour votre commentaire. Cela me touche énormément. A très vite, Olivier

@@OlivierDupontGenevois merci à vous pour vos vidéos +1 abonné

@@fdp321 Un grand merci à vous, A très vite, Olivier

tout à fait d'accord en dehors des 2 crashs et la porte dont ils sont directement responsable,, 'il semblerait que les incidents sont à peu près équivalent chez airbus; en nombre tout comme au niveau de gravité, les compagnies et les groupes de maintenances ont la plus grosse part de l'origine des incidents

Un grand merci pour votre commentaire pour enrichir le débat ?

Merci pour votre retour. C'est effectivement un bien commun à tous les habitants de cette planéte. A très vite, Olivier

Un grand merci pour votre commentaire. Vous avez tout à fait raison. À très vite, Olivier

Un grand merci pour votre retour. A très vite, Olivier

Un grand merci pour votre retour. À très vite, Olivier

Merci pour votre retour, La référence de l’enquête se trouve sur ua-cam.com/video/NPOHf20slZg/v-deo.htmlsi=yFR05C96te64oJrZ

Un grand merci pour votre retour. J'espère sincèrement que vous avez raison.

Un grand merci pour votre participation active. Vous avez raison, le CO2 est essentiel pour la croissance des plantes. Cependant, l'excès de CO2 dû aux activités humaines cause des perturbations climatiques graves, comme la hausse des températures et les événements météorologiques extrêmes. Les taxes sur le CO2 sont destinées à réduire ces émissions et à financer des solutions durables. Trouver un équilibre est crucial pour protéger notre planète et sa biodiversité.

Vous soulignez un aspect fondamental de l'écosystème : le cycle naturel du carbone, où le CO2 est utilisé par les plantes pour la photosynthèse, produisant ainsi de l'oxygène et soutenant la vie sur Terre. Vous avez également raison de dire que l'activité humaine perturbe ce cycle naturel, principalement en brûlant des combustibles fossiles et en déforestant, ce qui entraîne une accumulation excessive de CO2 dans l'atmosphère. Le problème n'est pas le CO2 en soi, mais l'excès de CO2 causé par les activités humaines qui dépasse la capacité naturelle des plantes et des océans à l'absorber. Cette accumulation conduit au réchauffement climatique et à ses conséquences néfastes. Les startups et les technologies de capture du carbone ne se voient pas comme des solutions uniques mais comme des outils supplémentaires pour aider à rééquilibrer ce cycle perturbé. En parallèle, il est crucial de protéger et restaurer les écosystèmes naturels, de réduire les émissions à la source et de promouvoir des modes de vie durables. En fin de compte, la lutte contre le changement climatique nécessite une approche globale qui intègre la technologie, la conservation de la nature et la réduction de notre empreinte carbone. C'est un défi complexe qui nécessite la coopération et les efforts de tous. Merci pour votre réflexion sur ce sujet essentiel.

@@OlivierDupontGenevois Je ne prévois en rien de "lutter contre le réchauffement climatique" car on ne lutte pas contre le changement, on s'y adapte ou on s'éteint selon moi. Je souligne effectivement d'autres facettes du problème, mais... sans jugement ni agressivité, cela me parait naïf de croire que les solutions puissent venir de ceux qui ont principalement créé le problème(l'industrie). Tant que ce ne sera pas rentable, rien ne sera fait, que des petites usines de com en vitrine... La captation du carbone n'est même pas une partie de la solution mais une partie du problème plutôt selon moi, car c'est l’Ouroboros !!! c'est comme la clim. Vos usine à décarboner consomment de l'énergie et donc créent de la chaleur en disant lutter contre le réchauffement! Ce n'est qu'une réflexion personnelle mais des fois je me dis que pour réparer au mieux ce que j'ai cassé, je ferai mieux d’arrêter de toucher. J'espère cependant que vos espoirs ne soient pas vains mais vu comment les start up ont réussi à sauver nos économies, j'ai vraiment peur quand elles me disent qu'elles veulent sauver le climat.

Vous avez raison de souligner que la quantité de CO2 capturée par les technologies actuelles est encore très faible par rapport aux émissions mondiales. En 2023, les émissions mondiales de CO2 étaient estimées à environ 36 milliards de tonnes, donc les 36 000 tonnes capturées par certaines installations représentent effectivement une fraction minime. Cependant, il est important de voir ces technologies comme étant en phase de développement. Leurs capacités et leur efficacité devraient augmenter avec le temps et les investissements en recherche et développement. Pour l'instant, elles ne peuvent pas résoudre le problème à elles seules, mais elles font partie d'un ensemble de solutions nécessaires pour réduire les émissions globales. La reforestation et les solutions naturelles sont également essentielles et peuvent être mises en œuvre à grande échelle. En fin de compte, il faudra une combinaison de stratégies - réduction des émissions à la source, augmentation de l'efficacité énergétique, adoption des énergies renouvelables, reforestation et capture du carbone - pour faire face à l'urgence climatique. Merci pour votre contribution à cette discussion essentielle et pour encourager une réflexion approfondie sur les solutions possibles.

Un grand merci pour votre participation à ce débat. Vous soulignez un point crucial : la comparaison entre les technologies de capture du CO2 et des solutions naturelles comme la reforestation. Planter des arbres est en effet une méthode efficace et naturelle pour capturer le CO2. Cependant, il est important de considérer que cette solution seule ne suffira pas à compenser les émissions actuelles à grande échelle. Les technologies de capture et de stockage du carbone (CSC) représentent un complément nécessaire, surtout pour les secteurs difficiles à décarboner comme l'industrie lourde. Bien que les coûts initiaux pour la conception et la construction de ces usines soient élevés, ces technologies peuvent devenir plus efficaces et moins coûteuses avec le temps et l'innovation. En résumé, une approche intégrée combinant la reforestation, la réduction des émissions à la source, et l'investissement dans des technologies de CSC est indispensable pour lutter efficacement contre le réchauffement climatique. Plutôt que de voir ces solutions comme concurrentes, il est plus constructif de les considérer comme complémentaires.

​@@OlivierDupontGenevoisBonjour, je continue de penser que planter quelques milliards ou dizaines de milliards d'arbres par an serait efficace, pas besoin de matériaux, de fondations, de déplacements hormis aller jeter des graines ou noyaux dans certaines zones et la Nature fera le reste en quelques années. Je connais bien le monde des startups qui surfent sur les bonnrs tendances et en vivent très bien un certain temps avec xe l'argent publique et privée. Slts.

@@entangled31415 Merci d'avoir exposé votre point de vue

@@entangled31415 Un grand merci pour votre point de vue.

Merci à vous, A très vite, Olivier

Vous soulignez un point important : les technologies actuelles de capture du CO2 sont énergivores et peuvent, dans certains cas, émettre autant de CO2 qu'elles n'en captent. Cela limite leur efficacité et leur viabilité économique. Cependant, la recherche et le développement dans ce domaine visent à améliorer l'efficacité de ces technologies. Pour l'instant, elles ne sont qu'une partie de la solution. La priorité doit rester sur la réduction des émissions à la source et la protection des écosystèmes naturels. Merci pour votre vigilance et votre contribution à ce débat essentiel.

@@OlivierDupontGenevois Le problème est que l'augmentation des émissions (de la consommation mondial donc) dépasse déjà l'amélioration de l'efficacité énergétique (à cause de l'effet rebond). Donc y ajouter une consommation d'énergie équivalente à la "consommation d'aujourd'hui" (en imaginant que l'amélioration de l'efficacité nous permette de ne pas consommer plus tout en produisant plus), demanderait donc en gros de doubler la production actuelle qui est je le rappel à 80% d'énergie fossile (qu'il faudrait remplacer dans le même temps et bien sûr sans les utiliser ou le moins possible). J'ai comme un doute sur la faisabilité d'un tel projet (même en étant très optimiste). 🤔

Vous avez raison de dire que le CO2 est crucial pour la photosynthèse, permettant aux plantes de produire de l'oxygène et de soutenir la vie sur Terre. Cependant, le problème n'est pas le CO2 en lui-même, mais l'excès de CO2 dû aux activités humaines. Cet excès contribue au réchauffement climatique, perturbant les écosystèmes et provoquant des conditions météorologiques extrêmes. L'objectif n'est pas d'éliminer le CO2, mais de réduire les émissions excessives pour retrouver un équilibre. En augmentant la concentration de CO2 bien au-delà des niveaux naturels, nous risquons de créer des conditions climatiques dangereuses pour toutes les formes de vie. Injecter du CO2 dans les serres est une pratique courante pour augmenter la croissance des plantes dans un environnement contrôlé, mais cela ne peut pas être appliqué à l'échelle planétaire sans conséquences négatives. La clé est de trouver un équilibre, en réduisant les émissions tout en protégeant et en augmentant la végétation. En conclusion, il s'agit de gérer judicieusement les niveaux de CO2 pour maintenir la santé de notre planète et de ses habitants.

Le problème avec le Co² et plus précisément les GES c'est que environ 99,96% de l''air sec n'est pas composé des GES "d'azote (78,08 %), d'oxygène (20,95 %) et, pour moins de 1 %, de gaz rares comme l'argon (0,93 %)", donc les 0.04% qui reste avec la vapeur d'eau qui varie entre 3% et 5% mais qu'on ne calcule pas ici car la vapeur d'eau ne reste pas plus de 10jours dans l'air (retombe en pluie, neige...) et donc ne peut pas modifier le climat sur le long terme, font que la température de la planète n'est pas en moyenne de -19° mais de en moyenne environ +15°. Augmenter même légèrement les taux de GES augmente énormément la température de la planète et n'oubliez pas que nous sommes passé de environ 0.027% en "1850" à environ 0.04% en "2020" à cause des activités humaines, donc il faut être inconscient ou mal informé pour pensez cela ne changera rien. Une tel hausse en si peu de temps n'est pas gérable par la nature.

@@BeerInBlood Vous avez raison de souligner l'importance des gaz à effet de serre (GES), même s'ils ne représentent qu'une petite fraction de l'atmosphère. Ces GES, y compris le CO2, sont essentiels pour maintenir la température moyenne de la Terre à environ +15°C au lieu de -19°C. Cependant, depuis 1850, la concentration de CO2 est passée de 0,027% à 0,04% en raison des activités humaines, ce qui entraîne un réchauffement rapide. Cette augmentation rapide perturbe le climat et dépasse la capacité d'adaptation de la nature. Il est donc crucial de réduire nos émissions de GES pour stabiliser le climat.

@@OlivierDupontGenevois C'est exactement ce que je dis. Réduire les émissions de Co² et non en émettre plus en en captant une "petite partie". Il ne faut pas faire comme vous le faites, c'est à dire ne compter que ce que vous allez capter sans compter ce que vous allez émettre (et je ne parle même pas des impactes environnementaux engendrés par l'extraction des recoures nécessaire à la fabrication, l'implantation et l'entretien, qui je le rappel encore une fois devra se faire "sans" ou avec un minimum d'utilisation d'énergies fossiles). 😉 Comme je l'ai déjà dit, c'est juste une "bonne solution" pour faire de l'argent et maintenir une "croissance économique" (croyance économique plutôt), mais certainement pas une solution pour réduire la concentration de GES dans l'atmosphère. Ce n'est pas moi qui le dis mais "les maths et la physique".

Votre analyse met en lumière des points pertinents sur les défis de la capture du CO2. En effet, extraire du CO2 de l'air est énergétiquement coûteux en raison de sa faible concentration (0,04%) et de la faible densité de l'air. Actuellement, les technologies de capture et de stockage du carbone (CSC) nécessitent des subventions importantes et peuvent sembler peu rentables. Cependant, il est important de continuer à explorer et développer ces technologies car elles peuvent jouer un rôle crucial dans la lutte contre le changement climatique, notamment en complément des réductions d'émissions. Des innovations technologiques et des économies d'échelle pourraient améliorer leur rentabilité à long terme. Lutter contre le réchauffement climatique nécessite une approche multifacette incluant la réduction des émissions, l'augmentation de l'efficacité énergétique et l'investissement dans des technologies émergentes. La coopération internationale et les subventions ciblées peuvent aider à surmonter les obstacles actuels et rendre ces solutions plus viables. Je vous encourage à poursuivre cette réflexion et à consulter diverses sources scientifiques pour une compréhension plus complète de ces enjeux complexes. Merci pour votre contribution à cette discussion et bonne journée à vous également.

@@OlivierDupontGenevois Re bonjour, mon message était surtout là pour vous alertez sur un exemple de surspéculation sur les nouvelles technologies qu’on voit régulièrement de la part des gens desquelles ce ne sont pas le domaine. Il y a certes des progrès à faire dans certains domaine, mais je peux vous garantir que cette technologie ne sera utile si et seulement nous n’avons plus le choix que de retiré du CO2 de l’atm . Comme vous le soulignez il faut avoir une vision multi facette, par la j’entends écologique, économique, sociale et physique. Et d’un point de vue purement scientifique il est assez simple de montrez que nous aurons de moins en moins d’énergie donc de moins en moins de flux physique. De ce point de vue, toute technologie ayant une mauvaise rentabilité énergétique ou économique est à exclure. Par ailleurs, j ai assez bossé sur le sujet des parcs énergétiques pour savoir de quoi il est retour donc je vous retourne votre conseil. Je précise que je suis en formation d’ingénieur de maitrise du risques industriels. Cela fait un peu argument ad hominem mais cela donne déjà un peu plus de crédibilité à mes propos et comme je l ai dit chaqu’un son domaine. En espérant ne pas avoir été agressif et à avoir réussie à faire passer mon message.

@@laero9664 Merci pour votre retour. Tous les points de vue sont acceptables quand ils sont argumentés comme le vôtre.

La France est en quatrième position en Europe avec seulement 385 millions de tonnes de CO2, affichant un niveau d'émissions relativement bas principalement grâce à son mix énergétique largement décarboné reposant sur l'énergie nucléaire, tandis que l'Allemagne émet 674 millions de tonnes d'équivalent CO2. Bien qu'une organisation internationale comme l'ONU puisse coordonner et collecter des fonds pour des projets de réduction des émissions, il est évident que les principaux pollueurs - la Chine, les États-Unis, l'Inde, la Russie, le Japon et l'UE avec ses 27 pays - devraient être les contributeurs majeurs dans la lutte contre le changement climatique, en raison de leur responsabilité historique et de leur capacité économique à financer des projets, partager des technologies propres, investir dans la recherche et mettre en place des politiques ambitieuses de réduction de leurs propres émissions.

@@OlivierDupontGenevois juste pour exemple, la chine en fait beaucoup plus que la France et la France a réduit ses émissions grâce à "la chine" qui produit pratiquement tout pour la France. C'est un peu facile de rejeter la faute sur "la personne" a qui on demande de faire notre boulot parce que nous ne voulons plus nous "salir les mains" puis la regarder et dire "mais vous avez les mains sales !" tout en profitant du boulot fait... 😉

@@BeerInBlood Un grand merci pour votre réponse . Vous soulevez un point important sur la répartition des responsabilités dans le réchauffement climatique. Bien que la Chine soit le plus grand émetteur de CO2, une partie de ses émissions est due à la production de biens pour des pays comme la France. La France a réduit ses émissions domestiques, mais il est crucial de considérer l'empreinte carbone de sa consommation, incluant les produits importés. Une solution durable nécessite une coopération mondiale et des efforts partagés pour réduire notre impact environnemental.

Un grand merci pour votre retour, A très vite, Olivier

Un grand merci pour votre retour. Je comprends votre point de vue. Force est de constater que dans notre histoire économique, tous les grands acteurs économiques peuvent représenter malheureusement un risque

@@paccosolutions1063 ha bon l impetialisme chinois devenu totalitaire sous Mao conyrolant sa population téprimé tien an men hong kong et la revolte pacigique ded parapluies le paisible Tibet. Les ouighours et le controle sociale par point. Ka pollution . Les manipulations des virus. Les milliers we chinois confinés deportés pendant le Covid. Les enfants explotés le nèocolonialisme en AFRIQUE. L EXPLOITATION DES AUTRES PAYS ASIATIQUE VTRAIMENT J EN VEUT PAS DE VOTRE SYSTEME CHINOIS

Tout d'abord, je vous remercie pour votre participation, même si vous n'êtes pas d'accord avec moi. J'aurais aimé des arguments plus factuels. Ce sont les fondements de tous les débats.

Vous avez tout à fait raison, le monde ne se limite pas à l'Occident ou aux États-Unis. En effet, la mondialisation a rendu les pays interdépendants, créant ainsi un système complexe où les actions d'un pays peuvent avoir des répercussions sur d'autres. Lorsque nous parlons de la Chine comme d'un potentiel danger systémique, il ne s'agit pas uniquement de ses relations avec les pays occidentaux, mais aussi de son influence sur l'ensemble du système international. Cependant, il est important de noter que la perception de la Chine comme étant un danger peut varier considérablement d'un pays à l'autre, en fonction de leurs intérêts et de leurs relations avec ce pays. Certains pourraient voir la Chine comme une opportunité, tandis que d'autres pourraient la percevoir comme une menace. Il est donc essentiel d'avoir une perspective globale et nuancée sur cette question.

Merci pour votre retour.