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Whaou ! Aucun commentaire ? Pas dynamique l'école....

Il fallait lui lecher les pieds tellement le mec est con descendant Un conseil n invitez pas les escrocs et les traîtres .... ni oubli ni pardon

.... une petite pub pour ton bouquin au passage ne fait de mal à personne...😄😄😄😄😄

Quid des banlieues ? Seule les campagnes sont concernées par ce dispositif

Toujours mêler les thèmes de l'antisémitisme, du négationnisme, à d'autres . Israël occupé donc illégalement la Palestine ... c'est donc un fait avéré, tout comme il y a des lois (65) discriminatoires en Israël contre les non juifs encore du factuel ....

Difficile à regarder l'image tremble, le cadrage est à revoir.

La fonction politique n’est pas démontrable

Hé beh dites donc, le moins que l'on puisse dire c'est que les interventions de ce brave petit propagandiste de Reichstadt n'intéressent pas grand monde. C'est plutôt rassurant de voir que personne ne s'intéresse à ce guignol et ses petits amis "fact checkers" de pacotille. Ce gens n'ont aucune crédibilité et ça se sait...

Merci pour cette vidéo !

Qu'est-il possible de faire lorsque nous sommes un salarié dans le privé qui souhaite se former ?

1 - Je n’ai pas envie de polémiquer avec les Espagnols, mais la frontière entre l’Espagne et le reste de l’Europe, ce n’est pas un éventuel hiatus de LGV entre Dax et Irun, c’est la différence d’écartement des voies ferrées. Cette différence résulte d’un choix très ancien de la part de l’Espagne. C’est vers 1985 que l’Espagne a décidé de convertir son réseau à l’écartement européen. A part les LGV qui sont à l’écartement européen, on n’a pas vu grand-chose jusqu’à maintenant. 2 - Porter à 220 km/h la vitesse limite sur la ligne des Landes entre Pessac et Lamothe d’une part, et entre Lamothe et Morcenx d’autre part, ne nécessite que l’adaptation de la signalisation et de la caténaire. La SNCF a fait cela sur la plus grande partie de Paris à Bordeaux, d’abord à 200 puis à 220. Cela a coûté bien moins cher qu’une ligne nouvelle et cela n’a pas nécessité de fermer la ligne pendant 10 ans. Il n’y a pas de raison recevable pour qu’on ne sache pas faire dans les années 2020 ou 2030 ce qu’on faisait dans les années 70 et 80. De toute façon la caténaire de la ligne des Landes, bientôt centenaire, aura besoin d’une sérieuse remise à niveau quoi qu’il arrive. Il n’y a aucun passage à niveau de Bordeaux à Morcenx, donc on a le droit de circuler à plus de 160 pour peu que la signalisation s’y prête et que la qualité géométrique de la voie soit à la hauteur. Cette amélioration a minima permet de faire Bordeaux Dax en 55 minutes, soit moins de 10 minutes de plus que par GPSO. Concernant Bordeaux à Toulouse, il y a 125 passages à niveau. C’est sans doute regrettable mais de toute façon le tracé de cette ligne ne permet de dépasser 160 km/h que sur de trop courts tronçons. L’allusion à des "virages à angle droit" à Langon et à Auch n’est pas pertinente. A Langon, la courbe fait bien 90° mais on y passe quand même à 160 km/h. Quant à Auch, on n’y est jamais passé pour relier Bordeaux et Toulouse… Alors pourquoi en parler ? 3 - L’objectif d’Alain Rousset est de reporter la moitié du fret routier sur la voie ferrée. Cet objectif est pertinent et réaliste. En effet, l’immense majorité du trafic est constituée de transport à longue distance, domaine de pertinence du fer par excellence. Il y a 10 000 camions par jour. Si on transporte 5 000 semi-remorques par jour, cela nécessite environ 60 trains par jour et par sens à raison de 44 semi-remorques par train. Il reste à leur trouver les sillons ad hoc au sud de Bordezaux mais aussi au nord en direction de Libourne. 4 - Concernant l’artificialisation des sols, c’est vrai qu’une bonne partie des emprises retourne à la nature au bout d’un temps plus ou moins long. Donc il n’y aura pas 5000 ha définitivement artificialisés. Le total de 700 ha me paraît cependant sous-estimé. 5 - Ce n’est pas à Ychoux mais à Lamothe (sur la commune du Teich et à 3 km à l’ouest de la gare de Facture-Biganos) que la ligne d’Arcachon se branche sur celle de Dax. Comme dit Alain Rousset, c’est dommage qu’il ne puisse pas présenter une carte : la desserte de Langon n’a rien à voir avec celle d’Arcachon. C’est probablement un lapsus de sa part. 6 - La comparaison des temps de trajet entre le train et la voiture est faussée : les temps de trajet du train sont de gare à gare et non de porte à porte. Accessoirement, Bordeaux à Angoulême en train c’est plutôt 38 mn que 30 et Bordeaux à Poitiers, plutôt 1H20 que 1H10. Les gains de temps dus à GPSO ce n’est pas une à deux heures. Plus précisément c’est une heure entre Bordeaux et Toulouse, 1H30 entre Toulouse et Bayonne, mais seulement une dizaine de minutes entre Bordeaux et Dax (mais entre Mont-de-Marsan et Tarbes en 1924, le train à vapeur mettait 10 à 20 minutes de moins que GPSO). 7 - Si on manque de trains entre Bordeaux et Paris, c’est à cause du succès mais c’est aussi parce que la SNCF a ferraillé une bonne partie de ses TGV pour des raisons comptables alors qu’ils auraient pu encore servir. 8 - Alain Rousset a parfaitement raison d’évoquer la pollution par les micro-particules de pneu. C’est la principale source de pollution automobile et au final, les voitures électriques en émettent plus que les voitures thermiques parce qu’elles consomment plus de caoutchouc… 9 - LGV ou pas, les camions resteront sur la route parce que la disparition des TGV sur la ligne des Landes ne permettra pas de report modal parce que ce report nécessite beaucoup de sillons supplémentaires. Il n’y a que 6 à 7 TGV par jour et par sens. Au mieux, cela ne permettra que de renforcer la desserte entre Bordeaux et Arcachon conformément aux objectifs du Réseau Expresse Métropolitain (REM). Et comme Alain Rousset le dit lui-même, le tronçon de Bordeaux à Facture (il a dit Ychoux mais c’est Facture) est tellement chargé qu’il n’est pas possible d’y ajouter des trains). Quant au tronçon de La-Grave-d'Ambarès à Libourne, à 2 voies seulement, il est encore plus saturé et on se demande comment on pourrait y ajouter quelques dizaines de trains de fret par jour et par sens. 10 - Un petit mot sur l’enquête d’utilité publique. L’avis de la commission d’enquête est défavorable. Elle incluait une forte proportion de hauts gradés de la gendarmerie et de la police. Comme quoi, les opposants à GPSO ne sont pas tous des écologistes radicaux et sectaires.

Bravo Ophélie beau parcours 👍

Super intervention Ewan !! Tata est fière de toi !! Bisous ❤❤❤

Bonjour Pensez à relire vos sous-titres, ça fait tache...

Plus de quatre décennies de République islamique ont fortement isolé les femmes iraniennes, qui ont été contraintes d’affronter dans la solitude un État violent, sans l’aide des hommes. Elles vont jouer un rôle important dans des évènements qui vont conduire non seulement à la fin de la République Islamique, mais aussi à la fin de l’islam. En accordant aux hommes les privilèges d’un patriarcat désuet, le régime des mollahs a réussi pendant plusieurs décennies à rendre les hommes complices de sa politique répressive envers les femmes. Les Iraniens ont reconnu leurs filles et leurs sœurs dans le sort tragique de la jeune fille de 22 ans et ont compris qu’un pouvoir politique qui humilie les femmes détruit aussi les familles, les vies, et les hommes Dans l’espace privé, celles-ci devaient subir la violence conjugale contre laquelle aucune loi dans ce pays ne les protège. Et dans l’espace public, elles subissaient systématiquement des insultes et des humiliations des forces de l’ordre, sous les regards indifférents des hommes. La mort de Mahsa Amini a réveillé les hommes et les a rendus conscients des souffrances des femmes. Ils ont reconnu leurs filles et leurs sœurs dans le sort tragique de la jeune fille de 22 ans et ont compris qu’un pouvoir politique qui humilie les femmes détruit aussi les familles, les vies, et les hommes. Ils ont enfin compris que leur sort est étroitement lié à celui des femmes et que celles-ci, en réclamant leurs droits fondamentaux, ne s’opposent pas à eux, mais au pouvoir religieux qui glorifie un patriarcat démodé. Cette nouvelle solidarité qui se manifeste entre les femmes et les hommes, dans toutes les villes iraniennes et entre toutes les classes sociales, prouve que quatre décennies de dictature religieuse n’ont pas réussi à venir à bout de la cohésion sociale en Iran. Alors que la société est paralysée par d’innombrables crises politiques et économiques, les Iraniens pleurent aujourd’hui ensemble la mort des libertés à travers leur deuil de Mahsa Amini. Ils montrent qu’ils sont une grande nation qui sait se solidariser à un moment clé de son histoire pour dire NON à l’une des pires dictatures religieuses de toute l’histoire de l’humanité. Un totalitarisme qui se cache derrière une fausse religion ne peut que s’effondrer.