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Bonsoir,MR s'il vous plaît je suis étudiant en droit et collectivités locales Master pro est il possible de continuer avec la thèse sans avoir travailler.merci

He is so hot. I do not understand what he says but that french voice is 🥵

super vidéo explicative !

Elle a écrit le meilleur manuel de DDO. Une génie de la pédagogie

Comment jugé un juriste en droit devant un médecin ?

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Bravo à Mme Keim Bagot mais elle dit qu'aucune proposition de loi n'a été effectuée pour améliorer le système or Monsieur Ruffin député a notamment proposé il y a 5 ans l'indemnisation du burn out dans un tableau dès 10 % et la suppression des crrmp

شكرا جزيلا

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Mon examen complet, minutieux, est apparemment glacé quoique doux et prévenant. Calme-t-il « la colère du vagin » ? Ce n’était pas pour blaguer que Whoopy Goldberg s’en prenait aux examens gynécologiques : « N’y aurait-il pas une façon moins brutale, moins douloureuse, de les pratiquer ? a demandé l’actrice afro-américaine. Pourquoi cette lumière aveuglante ? Pourquoi ces étriers d’acier dignes d’une chambre de torture, ce bec de canard infâme et glacé qu’on vous enfonce dans le ventre ? » Oui, on peut faire mieux, ajouter des coussinets, tiédir dans sa main les écarteurs. Mais il suffit qu’on paraisse affectueux pour que l’équivoque pointe. La vue et le contact du corps d’autrui éveillent des sensations, délient des pulsions qu’il faut contrôler. Le spéculum glacé sans préliminaires, les gestes brusques et l’environnement technique sonore, l’acier heurtant le verre, l’indifférence affectée du médecin, tout est fait pour écarter l’équivoque. En dépersonnalisant l’acte, le médecin se protège contre le soupçon du viol. Son agression, rude et froide, est calculée pour déjouer le piège de la tendresse qui fausserait la relation et son jugement. Il faut que la patiente, quoique consentante, redoute la corvée : les mains étrangères, les durs outils, elle doit les subir, les accueillir, ils comblent son désir d’aller au fond des choses. Si les gestes sont doux et lents, les appareils tiédis et lubrifiés, l’intimité préservée par une légère pénombre, une blouse qui cache le corps mais qui pourrait masquer une anomalie. Hors de la vue de la patiente, la lumière focalisée magnifie son sexe. L’équilibre sensuel, les réactions physiques, l’humidification et les contractions du vagin ne sont pas le souci du seul sexologue, consulté toujours trop tard, quand le couple va mal… On apprend à toujours maîtriser ses émotions dans les investigations les plus intimes, les fantasmes restent en lisière du rêve éveillé. La médecine est une conduite à deux, on tient à être en phase, en éveil mais détendu, vigilant, à l’écoute des sensations. Un médecin n’est jamais qu’un humain disposé à en aider un autre, je gardais mes habits de ville pour ne pas jouer les saints en soutane blanche. A l’égal du Tarnhelm, le heaume magique de l’Or du Rhin, la blouse du médecin le rend invisible. Armure d’impunité, elle veut déjouer toute accusation d’actes non consentis ; ce n’est qu’une hypocrisie, comme l’excuse d’agir au bénéfice au patient prétend justifier les audaces de la science. Séparer les sexes au lycée croit préserver la virginité des filles, éviter les grossesses précoces. En Orient, on enferme les femmes pour les préserver des rencontres interdites. La France militaire se méfie de la mixité, on sait trop où elle mène ; à la caserne, on assure la tranquillité des hommes d’armes et la sécurité des soldates ; les femmes étaient jusqu’à peu exclues des sous-marins et de la gendarmerie du maintien de l’ordre. En Allemagne, elles sont une pour dix hommes dans les services médicaux et sanitaires : les instructeurs militaires apprennent aux soldats à résister à la tentation permanente, en les déconditionnant en séminaire ! Mais les aveux d’avoir été agressées se multiplient. Les prêtres sont soumis à une discipline qui vaut bien celle des militaires ; elle n’est guère plus efficace que l’éthique imposée aux médecins. Les patients restent absurdement confiants dans les traditions et le serment d’Hippocrate, ils déposent peu de plaintes, moins encore que contre les prêtres : rares sont les abus dénoncés, le mouvement « #metoo » les multiplie. Est-ce la frange visible d’un non-dit général ? Qui dira la fréquence des faveurs indues ? La transgression se contente d’actes incomplets qui agressent également ou humilient. (Dr J.L. Roy, interniste, Dijon, en retraite, jlroy@orange.fr).

Bravo !

Une très belle présentation => Merci Mme Guégan pour cet éclairage !

Merci professeur.

Bravo

je suis en embarasse dans cette ceremonie parceque je suis tutor sans lettre de presentatione excuse moi