Dans l’étreinte étouffante d’un parking souterrain, l’obscurité devient un personnage à part entière, enveloppant chaque recoin d’une menace invisible.
Loin d’être simplement un décor, ce parking devient le reflet de la solitude humaine et de nos peurs enfouies
À travers l’isolement, le spectateur est confronté à une terreur qui va au-delà du visible, où les ténèbres extérieures deviennent un miroir des ténèbres intérieures.
Une œuvre où l’horreur, loin de se contenter du superficiel, puise dans les recoins les plus profonds de notre psyché, nous rappelant que ce qui nous effraie le plus n’est pas ce que l’on voit, mais ce que l’on ne comprend pas.
Merci à Hugo, Jordan et Gabriel pour leur participation.
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