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Lapoésie
France
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Un Brin de Poésie...
Récits - Sandor Vari
Récits - Sandor Vari
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Ariettes Oubliées - Paul Verlaine
Переглядів 379 годин тому
Il pleure dans mon coeur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon coeur ? Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un coeur qui s'ennuie Ô le chant de la pluie ! Il pleure sans raison Dans ce coeur qui s'écoeure. Quoi ! nulle trahison ?… Ce deuil est sans raison. C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine Mon coeur a ...
Chanson d'automne - Paul Verlaine
Переглядів 2419 годин тому
Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon coeur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte.
Le Paysan Céleste - Georges-Emmanuel Clancier
Переглядів 2114 годин тому
Enfant magicien perdu Je me souviendrai de ce regard Qui faisait chanter l'ombre. Des yeux de l'enfant d'autrefois caché Dans le beau visage mortel Je me souviendrai, comme de la mémoire vivante Peuplée d'ondines et de merveilles. Maintenant que tu traverses le vert miroir D'Alice et que tu rejoins les années anciennes Où ton enfance d'un cri sans fin t'appelait, O toi, veux-tu, ne nous oublie ...
Désert - Georges Emmanuel Clancier
Переглядів 3316 годин тому
Noir, jailli des moissons arrachées, un désert. Miettes d'ombres, glaneurs aveugles du désert Ils vont, rêvant leur village, heurtant le désert ; Rêvant leurs amours et les arbres et la terre Ils tâtonnent... S'ils allaient oublier leur terre, S'ils allaient perdre avec la paix leur sang de terre... Au-devant d'eux, froissement d'astre mort, la guerre, Ils touchent de leurs lèvres tremblantes l...
Arbres - Georges-Emmanuel Clancier
Переглядів 3216 годин тому
Arbre je crois en toi je crie à ton feuillage Je suis perdu loin du navire de tes ombres. Que ta sève aux rameaux de mes veines remonte Fleuve fidèle , épais, de neige et de nuage.(...) Arbre vivant et vrai qu'enlacent les collines, Arbre peuplé de chants, de durée et d'étoiles, Image de ma chair, beau visage natal Que la nuit tour à tour révèle puis incline, Arbre, en moi va mourir ton ultime ...
D'UN RIVAGE - GEORGES EMMANUEL CLANCIER
Переглядів 5316 годин тому
Du jour qui va s'éteindre la lumière a la déchirante beauté d'un être aimé dont le sourire au loin s'efface. Je n'ai plus les mots ni le chant hélas en réponse à ce foudroyant silence du monde aux rives déjà de l'absence pour que de la blessure puisse naître avec la vie fuyante une alliance ultime éprise de paix et d'oubli
Automne - Jacques Réda
Переглядів 76День тому
Ah je le reconnais, c'est déjà le souffle d'automne Errant, qui du fond des forêts propage son tonnerre En silence et désempare les vergers trop lourds ; Ce vent grave qui nous ressemble et parle notre langue Où chante à mi-voix un désastre. Offrons-lui le déclin Des roses, le charroi d'odeurs qui verse lentement Dans la vallée, et la strophe d'oiseaux qu'il dénoue Au creux de la chaleur où nou...
Les Foules - Charles Baudelaire
Переглядів 72День тому
Il n'est pas donné à chacun de prendre un bain de multitude : jouir de la foule est un art ; et celui-là seul peut faire, aux dépens du genre humain, une ribote de vitalité, à qui une fée a insufflé dans son berceau le goût du travestissement et du masque, la haine du domicile et la passion du voyage. Multitude, solitude : termes égaux et convertibles pour le poète actif et fécond. Qui ne sait ...
Après trois ans - Paul Verlaine
Переглядів 69День тому
Après trois ans Extrait Des Poèmes saturniens, Paul Verlaine Ayant poussé la porte étroite qui chancelle, Je me suis promené dans le petit jardin Qu'éclairait doucement le soleil du matin, Pailletant chaque fleur d'une humide étincelle. Rien n'a changé. J'ai tout revu : l'humble tonnelle De vigne folle avec les chaises de rotin... Le jet d'eau fait toujours son murmure argentin Et le vieux trem...
Jazz - Olivier Briat
Переглядів 76День тому
Jazz C’est une trompette qui éclate, Qui danse aux rythmes de l’Afrique, Mystérieuse et magique Dans la jolie nuit écarlate. En virtuose, joue le piano Tandis que la basse fidèle Et la batterie un peu rebelle Vont, l’accompagnant crescendo. Et la musique emporte tout En entraînant dans son sillage Tous ceux qui rêvent de voyages Jusqu’aux endroits les plus fous. Voici que le swing endiablé A fa...
Moralité de l'histoire, La Barbe Bleue - Charles Perrault
Переглядів 4514 днів тому
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Au Cabaret Vert, Cinq Heures du Soir - Arthur Rimbaud
Переглядів 114Місяць тому
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Les Conquérants - José-Maria De Heredia
Переглядів 77Місяць тому
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La Forêt - François-René de Chateaubriand
Переглядів 70Місяць тому
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Le Pont Mirabeau - Guillaume Apollinaire
Переглядів 71Місяць тому
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À la fenêtre, pendant la nuit - Victor Hugo (1802-1885)
Переглядів 2412 місяці тому
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Le poète s'en va dans les champs - Victor Hugo
Переглядів 1492 місяці тому
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Eloge De L'ombre - Hommage à Junichiro Tanizaki
Переглядів 1052 місяці тому
Eloge De L'ombre - Hommage à Junichiro Tanizaki
A écouter et à réfléchir ❤❤
a une epoque l'on avait Aragon ,Eluare ,Camus maintenant on a bhl quelle dégringolade ,pauvre France
Jean Charles Dorge Son poème une prière Son regard, humain, Sa colère, l’injustice Son pas mille, chaque jours 11/11/2024 Zineb Mokhtari
Bravo à Jean -Charles Dorge, poète du temps fort et maître des mots mystérieux.
Bonjour et merci 😌 Respect monsieur jacques Prévert 💙🕯️😌
J'aimais tant le poème : Que serai-je sans toi ?
J’aime beaucoup votre chaîne UA-cam, merci pour ces beaux partages , merci encore 🌹
@@noelleglez1021 Merci
La musique nuit à la poésie et vice versa.
❤❤❤😂😂😂❤❤❤
❤❤Qu'est ce que c'est beau. Merci beaucoup pour votre partage ❤❤❤
Magnifique ❤
Loin des oiseaux, des troupeaux, des villageoises, Je buvais, accroupi dans quelque bruyère Entourée de tendres bois de noisetiers, Par un brouillard d’après-midi tiède et vert. Que pouvais-je boire dans cette jeune Oise, Ormeaux sans voix, gazon sans fleurs, ciel couvert. Que tirais-je à la gourde de colocase ? Quelque liqueur d’or, fade et qui fait suer. Tel, j’eusse été mauvaise enseigne d’auberge. Puis l’orage changea le ciel, jusqu’au soir. Ce furent des pays noirs, des lacs, des perches, Des colonnades sous la nuit bleue, des gares. L’eau des bois se perdait sur des sables vierges, Le vent, du ciel, jetait des glaçons aux mares… Or ! tel qu’un pêcheur d’or ou de coquillages, Dire que je n’ai pas eu souci de boire ! Mai 1872 Arthur Rimbaud, Derniers vers
❤❤❤❤❤❤
non les lames ne se ressemblent pas du tout Aragounet
Que votre poème est magnifique, Saint clair de lune 😂😂😂😊
La voilà la voix d'Aragon dans son poème superbe : La rose et le réséda (1943) : www.google.com/search?q=celui+qui+croyait+au+ciel+celui+qui+n%27y+croyait+pas&oq=celui+qui+croyait+au+ciel+celui+qui+n%27y+croyait+pas+&gs_lcrp=EgZjaHJvbWUyBggAEEUYOTIHCAEQABiABDIHCAIQABiABDIICAMQABgWGB4yCggEEAAYgAQYogQyCggFEAAYgAQYogQyCggGEAAYgAQYogTSAQkxMjQ3NmowajeoAgCwAgA&sourceid=chrome&ie=UTF-8#fpstate=ive&vld=cid:5101928b,vid:oC-Zkvpr9hs,st:0
Louis Aragon (1897 - 1982) - Le Fou d'Elsa (1963) Les larmes se ressemblent Dans le ciel gris des anges de faïence Dans le ciel gris des sanglots étouffés Il me souvient de ces jours de Mayence Dans le Rhin noir pleuraient des filles-fées On trouvait parfois au fond des ruelles Un soldat tué d’un coup de couteau On trouvait parfois cette paix cruelle Malgré le jeune vin blanc des coteaux J’ai bu l’alcool transparent des cerises J’ai bu les serments échangés tout bas Qu’ils étaient beaux les palais les églises J’avais vingt ans Je ne comprenais pas Qu’est-ce que je savais de la défaite Quand ton pays est amour défendu Quand il te faut la voix des faux-prophètes Pour redonner vie à l’espoir perdu Il me souvient de chansons qui m’émurent Il me souvient des signes à la craie Qu’on découvrait au matin sur les murs Sans en pouvoir déchiffrer les secrets Qui peut dire où la mémoire commence Qui peut dire où le temps présent finit Où le passé rejoindra la romance Où le malheur n’est qu’un papier jauni Comme l’enfant surprit parmi ses rêves Les regards bleus des vaincus sont gênants Le pas des pelotons à la relève Faisait frémir le silence rhénan
magnifique
❤
❤ 😢 ❤
❤❤❤Merci beaucoup
Quelle est cette musique ? Aragon assassiné.
❤ PERFECTION ❤
Trop fort
❤❤❤Merci
Bonjour, excusez-moi, s'il vous plaît. Je serais très heureux si vous pouviez projeter les poèmes sur l'écran. Vous lisez très bien, j'aimerais le lire avec vous pour la prononciation. Salutations.
Il faut mettre les sous-titres, dans parametres.
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Un joyau..!!! L'âme de la poétique.. De l'humanitude...du cœur 1:58 ❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤ 🎉🎉🎉🎉🎉🎉🎉🎉🎉 BenjwaaganFay/ Sénégal/ Afrique
قيو
Merci.
Merci.
Merci !
❤❤❤Superbe merci beaucoup ❤❤❤
Merci beaucoup pour votre service qui nous permet d’apprendre
Absolument parfait
Il était chirurgien débutant en 14 et après...
💙🤍❤️
C'est beau... Merci
c très beau et bien lu ❤
C'est, sans doute, pour celà qu'on ne les remarque plus, ou on ne VEUT plus les voir ??????????????
Que c'est beau ! Votre voix sur ces notes de piano égrenées. Merci à vous. Très bien.
Que j’aime ce poème… merci 🙏
Je ne connaissais pas cette poésie de Du Bellay...👌
❤ PERFECTION ❤️ 😊
Tiens c barrière de bègles.....est ce que je le vaut..........
Ce poème est très touchant, merci
Exact ! Merci 🙏🏻
❤ PERFECTION ❤
❤❤❤❤❤
La véritable beauté ❤❤
❤❤❤ Merci