- 187
- 64 206
Independance Prods
France
Приєднався 21 чер 2017
Bienvenue sur la chaîne UA-cam d'Independance Prods, là où les mots s’enflamment et les beats résonnent fort 🎵. Ici, le rap et le R&B se mêlent pour créer des morceaux authentiques, imprégnés de réflexions profondes sur la société, la solidarité et l'esprit collectif 🤝. Inspirés par le boom bap des années 90, nos morceaux se distinguent par des rimes riches, des métaphores puissantes, et des flows variés apportant une dynamique unique à chaque piste 🎧.
🌟 Rejoignez la communauté Independance Prods 🌟 Abonnez-vous pour ne rien manquer de nos nouveautés, et partagez notre musique si elle résonne avec vous. Chaque note est un cri de liberté, chaque rime un appel à l'action, et chaque beat un battement de cœur pour un monde plus juste 💖.
Independance Prods, c’est bien plus qu’une chaîne UA-cam. C’est un mouvement, une voix pour les sans-voix, et un hommage à l'art de la parole. Rejoignez-nous dans cette aventure musicale ✊🎵.
🌟 Rejoignez la communauté Independance Prods 🌟 Abonnez-vous pour ne rien manquer de nos nouveautés, et partagez notre musique si elle résonne avec vous. Chaque note est un cri de liberté, chaque rime un appel à l'action, et chaque beat un battement de cœur pour un monde plus juste 💖.
Independance Prods, c’est bien plus qu’une chaîne UA-cam. C’est un mouvement, une voix pour les sans-voix, et un hommage à l'art de la parole. Rejoignez-nous dans cette aventure musicale ✊🎵.
[REM/MUSIQUE FR AI] Le Flambeau des Innocents Final - #independanceprodsai
🎵 Découvrez "Le Flambeau des Innocents", une ballade poignante qui explore le sacrifice, l’humanité, et l’espoir d’un monde meilleur. 🌌
Dans cette chanson intense et émotive, un soldat confronté à un choix déchirant sacrifie tout pour sauver une innocence fragile, rappelant que le véritable courage réside dans l’amour et la justice. Chaque note, chaque mot, porte une force universelle qui résonne avec l’âme. 💔✨
Intro :
🌙 Une ambiance mystique qui nous plonge sous une lune orpheline, au bord de l’infini, là où les étoiles chuchotent des vérités oubliées.
Couplet 1 :
⚔️ Entre gloire et illusions, découvrez les dilemmes d’un soldat façonné par les chants guerriers et les ombres du passé.
Refrain :
🌟 Un cri d’humanité : rester fidèle à ses valeurs malgré le poids des batailles.
Couplet 2 :
👶 Face à l’innocence incarnée par un enfant tremblant, la conscience s’élève au-delà des ordres impitoyables.
Pont :
💥 Une balle, un sacrifice… et un espoir préservé dans la douleur.
Couplet 3 :
🕊️ Une ultime transmission : refuser l’injustice et devenir un guide pour ceux qui cherchent encore la lumière.
Outro :
🔥 Une leçon intemporelle : ce n’est pas la force des armes qui façonne le futur, mais le courage d’aimer et de protéger.
💡 Si cette chanson vous a touché, laissez un ❤️, partagez-la, et dites-nous en commentaire ce qu’elle évoque pour vous. Votre soutien est essentiel pour continuer à faire vivre ces histoires universelles. 🌟
#MusiqueÉmotion #BalladeÉpique #ChansonPoétique #LeFlambeauDesInnocents #Humanité #Sacrifice #Espoir #MusiqueFrançaise
Dans cette chanson intense et émotive, un soldat confronté à un choix déchirant sacrifie tout pour sauver une innocence fragile, rappelant que le véritable courage réside dans l’amour et la justice. Chaque note, chaque mot, porte une force universelle qui résonne avec l’âme. 💔✨
Intro :
🌙 Une ambiance mystique qui nous plonge sous une lune orpheline, au bord de l’infini, là où les étoiles chuchotent des vérités oubliées.
Couplet 1 :
⚔️ Entre gloire et illusions, découvrez les dilemmes d’un soldat façonné par les chants guerriers et les ombres du passé.
Refrain :
🌟 Un cri d’humanité : rester fidèle à ses valeurs malgré le poids des batailles.
Couplet 2 :
👶 Face à l’innocence incarnée par un enfant tremblant, la conscience s’élève au-delà des ordres impitoyables.
Pont :
💥 Une balle, un sacrifice… et un espoir préservé dans la douleur.
Couplet 3 :
🕊️ Une ultime transmission : refuser l’injustice et devenir un guide pour ceux qui cherchent encore la lumière.
Outro :
🔥 Une leçon intemporelle : ce n’est pas la force des armes qui façonne le futur, mais le courage d’aimer et de protéger.
💡 Si cette chanson vous a touché, laissez un ❤️, partagez-la, et dites-nous en commentaire ce qu’elle évoque pour vous. Votre soutien est essentiel pour continuer à faire vivre ces histoires universelles. 🌟
#MusiqueÉmotion #BalladeÉpique #ChansonPoétique #LeFlambeauDesInnocents #Humanité #Sacrifice #Espoir #MusiqueFrançaise
Переглядів: 82
Відео
[MUSIQUE FR AI] Les Ailes Rouillées - #independanceprodsai
Переглядів 8212 годин тому
🕊️ Les Ailes Rouillées est une chanson qui explore les fractures humaines, ces erreurs et indifférences qui alourdissent nos esprits et brisent les âmes les plus lumineuses. Ici, les anges symbolisent l’espoir, l’innocence et la résilience, mais leurs ailes rouillées rappellent que même les plus forts ne peuvent résister éternellement aux poids de l’injustice, des trahisons et du silence collec...
[MUSIQUE FR AI] L'étoile - #independanceprodsai
Переглядів 24414 годин тому
🌟 Découvrez "L'étoile" : un hommage poignant à la lumière brisée d'une vie marquée par la gloire et la douleur. 💔 🎵 Ce morceau explore l'histoire d'une étoile qui, en quête d'amour et de reconnaissance, s'est perdue dans les illusions de la notoriété. Chaque ligne est imprégnée d'émotion, reflétant les luttes silencieuses derrière les paillettes et les projecteurs. Une mélodie douce-amère pour ...
[RAP FR AI] Diddy Story - #independanceprodsai
Переглядів 5016 годин тому
🎙️ Diddy Story : La face sombre des élites exposée 🌌 Avec Diddy Story, découvrez un rap percutant qui révèle les scandales et les abus cachés derrière les façades dorées des puissants. Ce texte profond et engagé dénonce l’injustice, les pactes immoraux et les vies brisées au profit d’un système corrompu. Une claque musicale qui éclaire des vérités dérangeantes. ⚖️ 🎶 Description des parties : In...
[INSTRU RAP FR AI] Encore - #independanceprodsai
Переглядів 17219 годин тому
🎹 Plongez dans l’univers intemporel du boom-bap avec cet instrumental captivant à 91 BPM ! 🔥 Le piano mélancolique, allié à un beat percutant, crée une ambiance parfaite pour poser des textes profonds et introspectifs. ✨ 🎶 Cet instru offre un mélange harmonieux entre vibes old school et modernité. Les accords de piano ajoutent une touche émotionnelle, tandis que le rythme précis invite à l’écri...
[MUSIQUE FR AI] Les Maux en Chantés - #independanceprodsai
Переглядів 9621 годину тому
🎵 Les Maux en Chantés est une exploration musicale des luttes silencieuses, des douleurs enfouies et des tensions humaines. Ce morceau vous plonge au cœur des émotions contradictoires, où les doutes, les regrets, et les désillusions cohabitent avec l’espoir, l’indulgence et la résilience. À travers des paroles percutantes et une mélodie poignante, cette chanson évoque la complexité des relation...
[MUSIQUE FR AI] Comme des Âmes (Remaster) - #independanceprodsai
Переглядів 119День тому
✨ Découvrez "Comme des Âmes", un voyage poétique et introspectif à travers les rencontres qui transforment nos vies. 🌌 🌟 Couplet 1 : Plongez dans l'émotion des instants volés où des regards échangés suffisent à tisser des liens invisibles. Ces moments fugaces, tels des étoiles filantes, illuminent nos cœurs et marquent nos chemins. 🎶 Refrain : Un refrain vibrant qui compare nos interactions à d...
[MUSIQUE FR AI] Le Dernier Train - #independanceprodsai
Переглядів 15314 днів тому
🚆 "Le Dernier Train" est une métaphore poignante de la vie, décrite comme un voyage en train, où chaque station représente un moment clé, une décision prise, ou une opportunité manquée. À travers des paroles introspectives et des images puissantes, cette chanson explore le poids des regrets, les impacts des choix, et l’inéluctabilité du temps qui passe. Chaque arrêt sur ce trajet symbolique met...
[RAP FR AI] Les Signes du Destin - #independanceprodsai
Переглядів 12614 днів тому
✨ Découvrez ce morceau introspectif qui explore les signes mystérieux et les coïncidences qui guident nos vies. 🌌 Entre poésie et émotion, ce texte plonge dans les échos du destin, là où chaque détail devient un message, chaque erreur un pont vers un renouveau. Intro : 🌀 Une ouverture énigmatique où l’atmosphère et les indices subtils se mêlent à l’écho d’une quête intérieure. Couplet 1 : 🔮 Les...
[CHANSON FR AI] Les Erreurs du Passé - #independanceprodsai
Переглядів 11714 днів тому
🎶 Découvrez "Les Erreurs du Passé", un morceau poignant qui explore les cicatrices laissées par nos choix et nos souvenirs. 💔 Une introspection musicale où chaque mot résonne comme une vérité universelle. 🔍 Description des parties : Intro : 🔗 Une entrée percutante qui plante le décor : les blessures enfouies et les combats intérieurs qui façonnent notre identité. Couplet 1 : 🪞 Entre reflets du ...
[RAP FR AI] L'art du profit - #independanceprodsai
Переглядів 15014 днів тому
🎵 Découvrez "L'Art du Profit" : un hymne puissant contre les dérives du profit ! 🦅✨ Ce morceau plonge dans les mécanismes des empires bâtis sur les failles des autres, où le profit règne sur les rêves brisés. Avec des paroles percutantes et une émotion brute, il dénonce l'avidité et les sacrifices humains qu'elle engendre. 💥 Descriptif des parties du texte : Intro : ⚡ Une ouverture glaçante qui...
[RAP FR AI] Les Invisibles - #independanceprodsai
Переглядів 16714 днів тому
🌍 Les Invisibles est une chanson poignante qui met en lumière les vies oubliées et les luttes silencieuses de ceux que la société choisit d’ignorer. Des sans-abris sous les ponts aux travailleurs invisibles dans les entrepôts, des enfants sacrifiés dans les mines aux victimes de conflits oubliés, ce morceau raconte les histoires de ces âmes courageuses, éclipsées par nos habitudes et notre conf...
[MUSIQUE FR AI] L'Or des Failles - #independanceprodsai
Переглядів 17121 день тому
💔 L'Or des Failles est une chanson qui célèbre l'imperfection et les blessures du passé, ces failles qui, loin de nous affaiblir, révèlent une beauté cachée et nous rendent plus forts. Inspirée par l’art du kintsugi japonais - l’art de réparer les céramiques brisées avec de l’or -, cette musique nous invite à voir nos échecs et nos cicatrices comme des trésors précieux. Avec des paroles profond...
[SLAM FR AI] Sous Texte - #independanceprodsai
Переглядів 8021 день тому
🎙️ Découvrez "Sous-Texte", un rap introspectif où la plume devient une arme poétique et puissante. ✍️✨ 🖋️ Intro : L’ouverture met en lumière la force des mots, comparés à des galaxies en formation sous l’encre d’un stylo. Une invitation à plonger dans un univers introspectif. 💭 Couplet 1 : Chaque ligne explore l’idée que l’écriture est une cathédrale construite dans le silence. Les mots devienn...
[MUSIQUE FR AI] Jugement - #independanceprodsai
Переглядів 9221 день тому
🎭 Découvrez ce morceau poignant sur le jugement que nous portons à autrui. 💔 À travers des paroles sincères et chargées d’émotions, cette chanson invite à réfléchir sur nos actes et à poser un regard plus bienveillant sur le monde qui nous entoure. 🌍✨🔍 Détails des paroles :Intro : 👁️ Une introduction qui dévoile le poids des jugements silencieux et les blessures qu’ils infligent. Couplet 1 : 🔗 ...
[RAP FR AI] Tout s'accélère - #independanceprodsai
Переглядів 14221 день тому
[RAP FR AI] Tout s'accélère - #independanceprodsai
[RAP FR AI] L’Ombre d’un Cri - #independanceprodsai
Переглядів 18321 день тому
[RAP FR AI] L’Ombre d’un Cri - #independanceprodsai
[INSTRU AI] Instru #1 - #independanceprodsai
Переглядів 6721 день тому
[INSTRU AI] Instru #1 - #independanceprodsai
[RAP FR 2024] Le Royaume des Marionnettistes - #independanceprods
Переглядів 30821 день тому
[RAP FR 2024] Le Royaume des Marionnettistes - #independanceprods
[RAP FR AI] Les Rêves à Portée de Main - #independanceprodsai
Переглядів 11228 днів тому
[RAP FR AI] Les Rêves à Portée de Main - #independanceprodsai
[MUSIQUE FR AI] - La Plus Belle Histoire - #independanceprodsai
Переглядів 251Місяць тому
[MUSIQUE FR AI] - La Plus Belle Histoire - #independanceprodsai
[RAP FR AI] Bavures - #independanceprodsai
Переглядів 140Місяць тому
[RAP FR AI] Bavures - #independanceprodsai
[RAP FR AI] - Chœurs de Chèvres - #independanceprodsai
Переглядів 140Місяць тому
[RAP FR AI] - Chœurs de Chèvres - #independanceprodsai
[MUSIQUE FR AI] - Les Voix de l'Égalité - #independanceprodsai
Переглядів 102Місяць тому
[MUSIQUE FR AI] - Les Voix de l'Égalité - #independanceprodsai
[RAP FR AI] - Merci à mes erreurs - #independanceprodsai
Переглядів 162Місяць тому
[RAP FR AI] - Merci à mes erreurs - #independanceprodsai
[CHANSON FR AI] L'espoir - #independanceprodsai
Переглядів 124Місяць тому
[CHANSON FR AI] L'espoir - #independanceprodsai
[RAP FR AI] La Guerre des Étoiles - #independanceprodsai
Переглядів 164Місяць тому
[RAP FR AI] La Guerre des Étoiles - #independanceprodsai
[MUSIQUE FR AI] - Les Héritiers des Fables - #independanceprodsai
Переглядів 148Місяць тому
[MUSIQUE FR AI] - Les Héritiers des Fables - #independanceprodsai
[MUSIQUE FR AI] Sous le ciel de Noël - #independanceprodsai
Переглядів 238Місяць тому
[MUSIQUE FR AI] Sous le ciel de Noël - #independanceprodsai
[MUSIQUE FR AI] - Héros - #independanceprodsai
Переглядів 186Місяць тому
[MUSIQUE FR AI] - Héros - #independanceprodsai
[INTRO] Sous la lueur fragile d’une lune orpheline, Des sillons d’étoiles hantent l’horizon bleu marine. Chaque courant d’air nocturne enivre l’infini, Là où la glace et le feu s’enlacent sans répit. [COUPLET 1] Né dans un royaume où la gloire croise le fer, J’ai grandi sous l’influence des casques et des bannières. Les pavés résonnaient du fracas des ambitions, Et les chants guerriers scellaient nos illusions. Les lances qui scintillaient dans l’aube écarlates, Racontaient des batailles dignes des combats spartiates. On y voyait l’honneur tout en écartant la peur, Mais à chaque cri vainqueur, naissait une rancœur. L’acier siffle une vérité que nul ne comprend, Une détonation brutale qui laisse sans voix les survivants. Que valent les médailles au prix de l’innocence, Quand chaque victoire s’ajoute au fardeau des absences Les galons ternis pèsent sur mon existence, Sous l’armure dorée, grandit la désespérance. Un soldat peut-il briser la chaîne de l’oubli, Quand son être s’égare au milieu des fusils ? [REFRAIN] Suis-je le flambeau d’une cause désavouée ? Un cœur de pierre ou une âme désemparée ? J’implore les cieux, qu’ils éclairent mon chemin, Pour qu’au-delà du sang, je puisse rester humain. [COUPLET 2] Dans un silence pesant, un frisson fend la nuit, Un enfant s’avance, tremblant devant l’ennemi. Ses pas hésitants trahissent un poids invisible, Son souffle court exprime une peur indescriptible. Son visage apparaît, effrayé par la peur, Chaque seconde à le regarder reflète le déshonneur. Un frisson qui surgit, me rappelant mon enfance, Une flamme brulante au centre de son existence. Mon supérieur le voit, ses yeux déterminés, « Descend le ! » me dit-il d’une voix sans pitié. Mon doigt hésite, ma conscience hurle en silence, Comment détruire la plus belle des innocences ? Je baisse mon arme lorsque le doute m’écrase, Mais lui s’avance, son regard rempli de rage. Quand il vise l’enfant, le temps suspend son cours, Et dans un infime instant, je me jette à son secours. [PONT] Je me dresse, seul rempart face à la furie d’un fou, Une balle jaillit, trouve mon corps au rendez-vous. Dans ce sacrifice, ses pleurs déchirent l’enfer, L’enfant est sauvé, pour moi il n’y a plus rien à faire. [REFRAIN] Suis-je le flambeau d’une cause désavouée ? Un cœur de pierre ou une âme désemparée ? J’implore les cieux, qu’ils éclairent mon chemin, Pour qu’au-delà du sang, je puisse rester humain. [COUPLET 3] Je m’en vais dans la pénombre, mon souffle s’éteint, Mon sang dessine des rivières sur ce terrain. L’enfant, agenouillé, ses larmes mouillant ma main, Me regarde comme un père, gardien de son destin. « Pourquoi ? » me dit-il, brisé par cette folie, « Pourquoi m’avoir sauvé au prix de votre vie ? » Ma voix tremble, mais s’élève dans l’éternité, Résiste à l’injustice, refuse toujours la lâcheté. Ne plie pas sous les coups d’un pouvoir insensé, Sois un guide pour ceux que l’espoir a désertés. » Je sens son cœur battre, une promesse enflammée, Dans son regard d’enfant, le courage est gravé. « Porte ce flambeau, il guide les opprimés, Libère de ces prisons ceux qu’on a oubliés. » Ses larmes sont les dernières étoiles dans la nuit, Je m’efface, en laissant son avenir devant lui. « Petit, marche et profites de chaque matin, Dans ta lumière naîtra un futur plus humain. Sème l’espoir au creux des souvenirs du passé, Et porte la paix là où les rêves sont réalité. » [OUTRO] Je m’efface doucement, emporté par l’éternité, Mais c’est dans son regard que je comprends la vérité. Ce ne sont pas les armes qui sculptent les lendemains, Mais le courage d’aimer malgré les chemins incertains. [REFRAIN] Suis-je le flambeau d’une cause désavouée ? Un cœur de pierre ou une âme désemparée ? J’implore les cieux, qu’ils éclairent mon chemin, Pour qu’au-delà du sang, je puisse rester humain.
[INTRO] Sous les cieux couverts, des anges s’enferment, Les ailes rouillées se cachent sous l’épiderme. Elle s’installe partout où l’humain oublie, L’impact des actes qui finit par les clouer à vie. [COUPLET 1] Les ailes rouillent quand l’empathie se perd, Quand les cœurs s’éteignent dans un monde amer. Les fractures grandissent dans des liens fragiles, Et l’espoir finit par s’éteindre sous des lois stériles. Les promesses brisées, les mensonges, les trahisons, En ont plombé certaines dans leur ascension. Dans des bureaux sombres, des regards glacés, Scellent des destins sous des mots acérés. Les guerres dans les rues, les bombes dans les cieux, Font plier les plumes sous des sanglots silencieux. Les anges pleurent, mais leurs voix se brisent, La corrosion se répand là où la haine divise. [REFRAIN] Les ailes rouillées à cause de nos erreurs, Rongées par des choix qui pourrissent les valeurs. Elles meurent à petit feu sous l’indifférence, Les anges s’effacent dans nos fausses croyances. [COUPLET 2] Les plumes se perdent sous les pluies de fer, Quand la planète crie et que l’Homme désespère. Des racines arrachées, des fleuves vidées, Et les battements d’ailes deviennent plus chargés. Des esprits enfermés par des juges qui condamnent, Les serments trahis alimentent les drames. Des ailes fendues cherchent une direction, Mais leur vision se perd dans l’illusion. Tous ceux qui regardent sans jamais agir, Font rouiller les ailes qui voulaient construire. Un monde de fer brûle sous les regards fuyants, Et les plumes collées se figent dans le néant. [REFRAIN] Les ailes rouillées à cause de nos erreurs, Rongées par des choix qui pourrissent les valeurs. Elles meurent à petit feu sous l’indifférence, Les anges s’effacent dans nos fausses croyances. [PONT] Les mots qu’on tait, les gestes indifférents, Ajoutent une couche de rouille au fil du temps. Des promesses vides, des regards sans foi, Donnent des vérités noyées dans des langues de bois. [COUPLET 3] Mais sous cette rouille, une énergie résiste, Des anges humains qui refusent le supplice. Ils ramassent les plumes emportées par le vent, Et tentent de corriger les vols décevants. Des ouvriers assemblent des morceaux d’ailes dispersées, Pour raviver ce que la chute a laissée. D’autres polissent le métal pour faire briller, Les ailes qui se fissurent en perdant leur clarté. Même si la rouille a recouvert des souvenirs, Les anges ont tout ce qu’il faut pour reconstruire. Et dans chaque effort pour alléger leurs fardeaux, Ils luttent jusqu’à la mort pour réparer ce fléau. [REFRAIN] Les ailes rouillées à cause de nos erreurs, Rongées par des choix qui pourrissent les valeurs. Elles meurent à petit feu sous l’indifférence, Les anges s’effacent dans nos fausses croyances. [OUTRO] Il est temps de révéler ce que nous laissons rouiller, Les ailes cachées que nous essayons de broyer. Un geste réveille l’audace quand tout cède à la peur, Et redore les ailes de celui qui en oublie la valeur.
tr belle
Ta voix me fête pansez a Sarah la chanteuses magnifique ''celle qu'il chantais la reprise de despatico '' mes sérieux tes une voix vocale magnifique ' ❤❤❤❤❤
Je c'est pas qu'il tu est mes ta une voix magnifique tu brille a merveille ❤❤❤❤❤❤❤❤❤
C'est une des voix que nous générons via intelligence artificielle (branche #independanceprodsai) 🫶🏼 nous revenons bientôt avec cette artiste IA n'hesitez pas à nous suivre pour d'autres coups de coeurs comme celui-ci 🙏🏼 merci pour le commentaire nous n'aurions pas pu penser que ces musiques puissent amener à confondre un ou une artiste ❤️
Mega geil 😊😊😊
Ses mon tonton et des copains a mon père
[INTRO] Dans l'ombre des palais, des rumeurs s'élèvent, P.Diddy accusé, des secrets qui se révèlent. Des enfants abusés, des vies qu'on massacre, L'élite dans la nuit orchestre ses attaques. [COUPLET 1] Des soirées clandestines où le luxe est un poison, Où des cœurs innocents se brisent dans les salons. Des pactes signés à l’encre des larmes d’enfants, Des âmes arrachées pour satisfaire les puissants. Epstein dans son île, un empire de silence, Un réseau tentaculaire nourri par l’arrogance. Les stars et les riches s’y donnent rendez-vous, La vérité dissimulée derrière des verrous. P.Diddy, Weinstein, et des noms sans visage, Des fêtes où le plaisir devient un esclavage. Le mal prospère quand la peur est reine, Et les cris des victimes qu’ils étouffent sur scène. [REFRAIN] C’est l’enfer humain, tout s’achète, tout se vend, Des rêves brisés pour nourrir les puissants. Des vies sacrifiées, des cris qu’on efface, Un empire construit sur les ruines de l’impasse. Ils détruisent l’avenir pour combler leurs plaisirs, Des pactes obscurs et l’innocence finit par souffrir. Quand le mensonge prend l’ascenseur pour s’imposer, La vérité monte doucement les escaliers. [COUPLET 2] La liste s’allonge, mais les langues se lient, Hollywood démasqué, dans ses pires folies. Des visages qu’on adore, des idoles déchues, Derrière le glamour, des crimes mis à nu. Des initiations sombres, des serments dans le noir, Des rites sacrificiels pour asseoir leur pouvoir. Ils volent l’innocence pour nourrir leurs appétits, Des enfants pris au piège, et des vies qu’ils ont détruit. Epstein n’était qu’un pion dans un jeu infernal, Les élites unies par un pactes immoral. Des fortunes s’écoulent pour bâillonner les voix, Mais la vérité surgit, brisant toutes leurs lois. Des symboles partout, des messages codés, L’industrie du rêve, un miroir brisé. Et P.Diddy n’est qu’un chapitre d’une saga, Où les monstres prospèrent sous des costumes Prada. [REFRAIN] C’est l’enfer humain, tout s’achète, tout se vend, Des rêves brisés pour nourrir les puissants. Des vies sacrifiées, des cris qu’on efface, Un empire construit sur les ruines de l’impasse. Ils détruisent l’avenir pour combler leurs plaisirs, Des pactes obscurs et l’innocence finit par souffrir. Quand le mensonge prend l’ascenseur pour s’imposer, La vérité monte doucement les escaliers. [PONT] Les palais s’effondrent, les masques s’effritent, Quand la lumière dévoile ces âmes hypocrites. Leur pouvoir vacille sous le poids des victimes, Et l’écho des abus résonne dans les abîmes. [OUTRO] Des îles désertées, des noms murmurés, Une liste incomplète, mais tellement de cœurs blessés. L’histoire retiendra ces crimes dissimulés, Quand l’élite s’écroule c’est l’humanité qui renaît.
♥♥♥♥
♥♥♥♥
♥♥♥♥
Toujours un régal 🎧🎵🎶🎶👌👍💪👏👏👏👏😁
Merci l'ami ;) prends soin de toi
[INTRO] Le silence se fend comme un cristal brisé, Un éclat de verre dans la nuit, des vérités masquées. Chacun porte un poids, dissimulant des secrets, Quand les mots sont des vagues dans le courant des regrets. [COUPLET 1] Elle répète : « Tes choix ne sont pas les miens, Mais si tu trébuches, ne cherche pas mes mains. » Il sourit sans rancune : « Les routes se croisent, Mais qui peut juger les détours et les phrases ? » Des idées barricadés derrière des remparts, Chaque plainte est une flèche tirée dans le brouillard. Un choix, un refus, un combat en miroir, Deux avis qui se heurtent quand il portent leur espoir. Le dilemme posé là, affrontera deux visions, Soit un puits de rancunes, soit un vent de passions. Peu importe la moitié, c’est un tout qui nous freine, Des convictions qui s’enchainent et la crainte se déchaine. [REFRAIN] En observant le monde à travers des fissures, L’isolement résonne comme une autre blessure. Peu importe… [COUPLET 2] Un champs de plaintes dans un jardin de doutes Des oreilles qui s’entrouvrent quand plus personne n’écoute. L’un récolte ses fruits, l’autre pleure les saisons, Mais nul ne voit le sens du vent qui pourrait briser sa raison. La jalousie s’immisce dans les méandres des louanges, Une flamme qui s’embrase sous la glace, d’un choix qui dérange. Les certitudes se protègent, force de constater, Le ciel perd sa lumière, prisonnier des regrets. Les plaintes sont des chaînes qui rouillent dans l’oubli, Des lambeaux de colère perdus dans l'infini. Mais si l’on tendait l’oreille pour voir la souffrance, On trouverait peut-être un semblant d’indulgence. [REFRAIN] En observant le monde à travers des fissures, L’isolement résonne comme une autre blessure. Peu importe nos camps, nos luttes ou nos guerres, Peu-importe… [PONT] Si l’on brisait le verre, qu’y trouverait-on ? Des morceaux de rêves ou des vies en question ? Entre l’idée diffuse et les récits qu’on tait, Un pont suspend nos voix, un rythme imparfait. [COUPLET 3] L’un se plaint des journées qui n’en finissent jamais, Pris dans un sablier où ses rêves se taisent. Le poids des obligations pèse sur ses souhaits, Sa fatigue se cache dans une bride de malaise. Un autre s’insurge contre des guerres invisibles, Le labeur dévore ses forces indicibles. Il se heurte à des murs qu’il ne peut abattre, Les dettes le retiennent dans une cage de plâtre. Une voix jalouse le reflet des autres vies, Elle scrute l’apparence sans voir les défis. Dans chaque costume, elle cherche une faille, Mais oublie sa personne, trompée par le détail. [REFRAIN] En observant le monde à travers des fissures, L’isolement résonne comme une autre blessure. Peu importe nos camps, nos luttes ou nos guerres, Peu-importe nos souffrances, du moment qu’on espère. [OUTRO] Se plaindre creuse un vide que rien ne comblera, Des mots lancés au vent, mais qu’entend-tu de là ? Ce n’est pas la météo qui alourdit nos jour, Mais le fait d’ignorer que le temps passe toujours.
❤❤❤❤
[Couplet 1] Il suffit d’un regard, d’un sourire échangé, Pour que deux âmes, en silence, se mettent à danser. Des étrangers dans la foule, un instant volé, Et nos vies, par magie, se retrouvent liées. Parfois c’est juste un geste, un mot partagé, Comme une étoile filante, qu’on n’peut attraper. Les rencontres sont des livres ouverts qu’on dévore, Des chapitres de nous qu’on découvre encore. À chaque carrefour, on se perd, on se trouve, Des chemins qui s’entrelacent et parfois se prouvent. Les visages inconnus deviennent familiers, Comme un écho lointain qui revient se mêler. [Refrain] On s’croise, on s’effleure, dans le vent du hasard, Comme des âmes en voyage, sans boussole, sans phare. Chaque rencontre est une graine, plantée quelque part, Qui germe dans nos cœurs, même dans le brouillard. Les mots se mêlent, les regards s'enchaînent, On se change, on s’échappe, dans le tourbillon des veines. On se quitte, on se trouve, comme les étoiles du soir, Un lien invisible, une lumière dans le noir. [Couplet 2] Il y a ceux qui restent, et ceux qui s’en vont, Mais chacun nous façonne, façonne nos leçons. Un visage familier dans une ville inconnue, C’est comme un phare allumé dans un monde perdu. Les rencontres sont des mystères, des souvenirs en mer, On se plonge, on s’immerge, dans cet univers. Les adieux, les éclats, même les sourires perdus, Sont des traces de lumière, des empreintes ténues. Chaque main tendue, chaque sourire qu’on sème, Fait grandir nos racines, allume le poème. Des visages de passage, des phrases sans fin, Qui résonnent en nous, longtemps après leur chemin. [Refrain] On s’croise, on s’effleure, dans le vent du hasard, Comme des âmes en voyage, sans boussole, sans phare. Chaque rencontre est une graine, plantée quelque part, Qui germe dans nos cœurs, même dans le brouillard. Les mots se mêlent, les regards s'enchaînent, On se change, on s’échappe, dans le tourbillon des veines. On se quitte, on se trouve, comme les étoiles du soir, Un lien invisible, une lumière dans le noir. [Pont] “Et si tout n’était que le fruit du destin, Des âmes qui se croisent, s’aiment et se prennent la main ? Chaque histoire qu’on tisse est un fil d’or, Qui relie nos cœurs, du sol jusqu’à l’aurore.” [Couplet 3] Peut-être qu’un jour, nos chemins se recroiseront, On rira des souvenirs, des faux noms. Car même après des années, on n’oublie jamais, Le visage de celui qui nous a changés. Nos âmes se dessinent dans l’espace d’un instant, On laisse des traces, comme des nuages flottants. On s’échappe, on revient, dans les rêves nocturnes, Nos vies sont des miroirs qui se cherchent dans la brume. Et si le monde tourne, nous, on trace nos routes, À chaque croisement, on efface les doutes. Parce que chaque rencontre nous transforme un peu, Nous montre un reflet de ce qu’on peut être mieux. [Outro] On s’croise, on s’effleure, dans le vent du hasard, comme des âmes
[INTRO] Je monte dans le train, mes bagages sont légers, Mais la « Station des Inertes » me pèsent sans arrêt. Les vitres nous diffusent des images du passé, Témoins du présent auquel on voudrait échapper. [COUPLET 1] Première arrêt : l’amitié, une gare en ruines, Des promesses jetées dans des vies clandestines. Des amis que j’ai laissés sur « Le quai de l’attente », Des regrets m’accompagnent dans le wagon de l’absence. Le train poursuit sa course, et je vois sur les murs, Une victoire isolée, dans un couloir qui rassure, Un choix que j’ai suivi au mépris de gens bien. Mais qui laisse derrière des futurs incertains. À tous les guichets, je sens que du monde attend, Les impacts de mes choix rebondissent forcément. Mes silences, mes excès, mes décisions absurdes, Ont laissé une empreinte sur une Terre à pentes rudes. [REFRAIN] C’est le dernier train, où le temps nous rattrape, Les instants s’évaporent, les choix nous échappent. Les wagons sont remplis de vies à recoller, Sur les rails embrasées, on n’a plus rien à gagner. Le sifflet déchire l’air, une alarme incessante, À croire en ce qui reste on oublie le bon sens. [COUPLET 2] Le train s’arrête au quai des « Lendemains rêvés », Des projets que j’ai tués par peur de me lancer. Je vois des opportunités que j’ai laissées mourir, Des promesses que mes doutes ont fini par trahir. Des affiches arrachées couvrent le sol fissuré, Elles portent des slogans que je n’ai pas su signer. Les passagers peuvent descendre, mais personne ne veut, Les portes restent closes, comme figées par l’aveu. Un contrôleur me fixe, un carnet dans ses mains, Ses pages déroulent des choix noyés dans le commun. « Tu portes sur ton dos les départs que tu fuis, Mais regarde encore : tout peut renaître d’ici. » [REFRAIN] C’est le dernier train, où le temps nous rattrape, Les instants s’évaporent, les choix nous échappent. Les wagons sont remplis de vies à recoller, Sur les rails embrasées, on n’a plus rien à gagner. Le sifflet déchire l’air, une alarme incessante, À croire en ce qui reste on oublie le bon sens. [PONT] Le train repart, laissant tout derrière moi, Des morceaux dispersés, égarés sur les voies. Les roues s’élancent vers la « Voie des erreurs », Et le paysage défile sur la « Ligne des rancœurs ». [COUPLET 3] Le train quitte le « Pont des Retournements », Un lieu où je repense à mes fautes d’antan. Les piliers forment une figure de renoncement, Et les clous figent l’ensemble des jugements. Le Terminus se rapproche, mais tout semble distant, Comme si le train fuyait tout ce qui est important. [REFRAIN] C’est le dernier train, où le temps nous rattrape, Les choix s’évaporent, les instants nous échappent. Les wagons sont remplis de vies pleines de regrets, Sous le cris des rails, on n’a plus rien à gagner. Le sifflet déchire l’air, une alarme assourdissante, À voir ce qu’il reste on n’a pas pris le bon sens. [OUTRO] Le train s’arrête au « Terminus du non-retour », Là où j’abandonne le reste pour toujours. Les portes s’ouvrent sur un quai déserté, Nous sommes arrivés au terme d'un court trajet.
[INTRO] Les pas sur ma route croisent l’écho du mystère, Des indices discrets qui glissent dans l’atmosphère. Le vent dans les feuilles chante une mélodie, Et je marche, guidé par l’ombre et l’alchimie. [COUPLET 1] Une pièce qui tombe, pile au bon endroit, Un reflet sur le mur qui redessine mes choix. Dans une ruelle déserte, un chat qui m’attend, Comme si chaque détour portait un mot du temps. Un regard échappé, des lèvres qui chuchotent, Devant des messages cryptés cachés dans chaque note. Une plume dans la rue, qui tombe comme un signal, L’univers, complice, joue un rôle marginal. Chaque faux-pas peut devenir un sentier dévoilé, Une boussole cassée, un cap, une destinée. Je tends l’oreille aux silences qui me parlent, Le hasard s’illumine quand la nuit devient opale. [REFRAIN] Les signes du destin, comme des flammes dans l’ombre, Ils rallument l’espoir quand la raison succombe. Une étoile qui chute, un regard qui revient, Même après les faux pas, ils réparent nos liens. Les signes du destin, des éclats sur la voie, Un souffle qui console quand tout s’effondre en toi. Chaque erreur devient un pont sous mes mains, Un guide invisible vers un monde plus humain. [COUPLET 2] Une horloge arrêtée pile sur mon âge, Un 22 heures 22 qui délivre un message. Des étoiles alignées dans un ciel éclatant, Le vent qui se lève au moment important. Un mot sur un livre qui semble fait pour moi, Devant ce chemin oublié qui porte ma voix. Un éclat de lumière au détour d’un regard, Et le monde entier peut devenir mon boulevard. Je vois des tableaux peints dans chaque situation, C’est comme si l’univers écrivait la une partition. Les coïncidences perce les murs de ma raison, Et moi, spectateur, je compose ma maison. [REFRAIN] Les signes du destin, comme des flammes dans l’ombre, Ils rallument l’espoir quand la raison succombe. Une étoile qui chute, un regard qui revient, Même après les faux pas, ils réparent nos liens. Les signes du destin, des éclats sur la voie, Un souffle qui console quand tout s’effondre en toi. Chaque erreur devient un pont sous mes mains, Un guide invisible vers un monde plus humain. [PONT] C’est un fil invisible qui est tendu dans le chaos, Un fil qu’on devine mais qu’on ne voit qu’en écho. Je cherche à saisir ce qui m’échappe sans fin, Mes choix, mes peurs mes erreurs mes chagrins. [REFRAIN] Les signes du destin, comme des flammes dans l’ombre, Ils rallument l’espoir quand la raison succombe. Une étoile qui chute, un regard qui revient, Même après les faux pas, ils réparent nos liens. Les signes du destin, des éclats sur la voie, Un souffle qui console quand tout s’effondre en toi. Chaque erreur devient un pont sous mes mains, Un guide invisible vers un monde plus humain. [OUTRO] Ces pas sur ma route croisent l’écho du mystère, Je suis un vagabond porté par l’univers. Chaque signe éclaire les murs de ma prison, Me libère doucement au rythme d’une chanson.
👊👊👊
[INTRO] Dans chaque moments, des blessures, des combats, Un passé qu’on enterre, mais qui reste là. Les cicatrices qu’on cache comme des secrets, Elles construisent nos vies, mais détruisent nos projets. [COUPLET 1] Chaque regard au miroir reflète un champ de bataille, Des coups qu’on encaisse, des espoirs qu’on entaille. Un sourire factice, mais le cœur sous pression, Des souvenirs en boucle, enfermés dans une prison. Le temps apaise, disent-ils, mais c’est un leurre, Les blessures du passé rappellent leur douleur. Et parfois, elles s’insinuent dans ce qu’on aime, Pour ternir la beauté des moments qu’on sème. On bâtit des murs pour garder les autres loin, Mais ces murs deviennent nos propres besoins. Chaque rêve effleuré se heurte à un fracas, Un fragment d’hier qui ravive les tracas. [REFRAIN 1] Les cicatrices parlent, elles murmurent nos échecs, Des souvenirs qui blessent, des nuits qu’on rejette. Elles détruisent le beau, effacent l’arc-en-ciel, Mais peut-être qu’un jour, elles nous ouvriront le ciel. Les cicatrices parlent, elles murmurent nos échecs, Des souvenirs qui blessent, des nuits qu’on rejette. Elles détruisent le beau, effacent l’arc-en-ciel, Mais peut-être qu’un jour, elles nous ouvriront le ciel. [COUPLET 2] Le passé, encré qu’on traîne sur nos pas, Chaque victoire ternie par ce qu’on ne dit pas. Des souvenirs d’enfance, des promesses avortées, Des rêves qu’on enterre pour ne pas les regretter. Et dans l’amour, elles plantent leurs griffes, Des doutes qui rongent, des peurs qui glissent. Chaque sourire donné devient une menace, Quand les souffrances raisonnent : "Tout finit par se briser, hélas." Mais dans ces douleurs, il y a des vérités, Des forces qu’on découvre, des combats pour aimer. Elles nous forgent, nous brisent, mais jamais ne nous tuent, Les éraflure restent, mais l’âme s’éprend de vertus. [REFRAIN 2] Les cicatrices parlent, elles murmurent nos échecs, Des souvenirs qui blessent, des nuits qu’on rejette. Elles détruisent le beau, effacent l’arc-en-ciel, Mais peut-être qu’un jour, elles nous ouvriront le ciel. Les cicatrices parlent, elles murmurent nos échecs, Des souvenirs qui blessent, des nuits qu’on rejette. Elles détruisent le beau, effacent l’arc-en-ciel, Mais peut-être qu’un jour, elles nous ouvriront le ciel. [PONT] La beauté renaît, si on ose se regarder, Accepter les fissures comme des chemins de vérité. Elles ne sont pas que douleur, mais aussi renouveau, Un passé qu’on transforme pour préserver ce qu’on aime de beau. [OUTRO] Les cicatrices qu’on porte, un poids et une clé, Elles nous rappellent qu’on vit, qu’on a su avancer. Ce qui est beau peut durer, si on ose l’accepter, Les blessures du passé ne sont pas là pour nous briser.
[INTRO] Ils saisissent les failles, sculptent leurs empires, Sur les ruines des autres, leurs victoires s’inspirent. Ils amassent et ramassent là où l’espoir dessert, Le profit règnent sur des rêves qu’ils enterrent. [COUPLET] Ils flairent les faiblesses comme un loup grâce au vent, Chaque chute les nourrit, ils réduisent même le temps. Ils avancent masqués sous des airs d’innocence, Mais chaque main tendue prend un jour tout son sens. Leurs pactes se négocient sous des faux semblants, Ils n’offrent que des chaînes dans des écrins brillants. Ils transforment les efforts en gloire pour leur nom, Se serviront de votre sueur pour redorer leur blason. Chaque sourire qu’ils offrent contient une menace, Leur parole séduit, mais leurs gestes les encrassent. Ils prospèrent sans fin, récoltant ce qu’ils n’ont pas semé, Leurs racines ne poussent jamais sauf dans ce qu’ils ont volé. [REFRAIN] Ce sont les charognards d’un monde désaccordé, Leur fortune se nourrit des vies qu’ils ont dérobé. Ils gravissent des montagnes de promesses broyées, Le profit grandit là où l’humanité a cédé. [COUPLET] Ils vous observent de près, repérant les failles, Ils comptent vos faiblesses pour que vos vies déraillent. Chaque geste qu’ils posent est un poids dans la balance, Un calcul précis qui aggrave votre errance. Ils prétendent vous sauver, mais creusent des fausses, Leur aide est un poison qui vous ronge jusqu’à l’os. Ils récoltent vos joies, s’abreuvent de vos peines, Et vous laissent à nu quand leur tirelire est pleine. Leurs amitiés s’usent comme de vieux vêtements, Des liens qu’ils casse dès qu’ils n’y a plus d’argent. Ils parasitent les esprits, laissant des cœurs vidés, Et transformeront même votre empathie en regret. [REFRAIN] Ce sont les charognards d’un monde désaccordé, Leur fortune se nourrit des vies qu’ils ont dérobé. Ils gravissent des montagnes de promesses broyées, Le profit grandit là où l’humanité a cédé. [PONT] Ont-ils tort ou raison de vivre sans scrupule ? Leur monde prospère là où le nôtre recule. Chaque acte qu’ils posent nourrit leur égoïsme, Un jour viendra où ils provoqueront leur séisme. [COUPLET] Ils paradent dans des halls où le paraître étincelle, Des royaumes éphémères fleuris sur des querelles. Leurs costumes scintillent, mais leur vide est bruyant, Ils adaptent leurs mensonges au gré des courtisans. Mais quand la fête est fini et que la musique cesse, Leurs reflets disparaissent, avalés par leur stress. Leurs trônes sont bancals, faits d’histoires irréelles, Et leur chute s’écrira sur les larmes qui ruissèlent. [REFRAIN] Ce sont les charognards d’un monde désaccordé, Leur fortune se nourrit des vies qu’ils ont dérobé. Ils gravissent des montagnes de promesses broyées, Le profit grandit là où l’humanité a cédé. [OUTRO] Leur empire s’éteindra quand l’histoire les jugera, Et leurs rires disparaîtront sous le poids des combats. Quand les voix s’uniront pour briser leur prison, Le banquet s’effondrera, laissant place aux raisons.
[INTRO] Des corps dans la pénombre, oubliés par la foule, Certains sont invisibles quand les regards s'écroulent. Au pied des tours de verre, leurs destins sont pliés, Le silence pour témoin d’un monde qui les a jetés. [COUPLET 1] Un carton pour abri sous le bruit des sirènes, Des repas parfois grattés dans l’oubli des poubelles. Les passants détournent les yeux et serrent leurs sacs, Comme si la misère était le synonyme d’une attaque. D’autres dorment sous les ponts quand la ville les écrase, Le sol leur sert de lit, la pierre reste leur base. Les trottoirs racontent ce que leurs semelles ont marqués, Mais personne ne s’arrête pour entrevoir la vérité. Sous la misère du froid, des êtres en sommeil, Rappelant qu’un geste pourrait changer leur ciel. Si l’on tendait la main, brisant l’oubli si tenace, Notre monde n’aurait plus jamais la même face. [REFRAIN] Ils existent, mais leurs voix restent effacées, Leurs cris étouffés dans des écrans de fumée. Des mains tendues qui s’envole dans les airs, Ils sont bien là, mais personne ne les éclaire. Ils vivent sous le poids de nos certitudes, Les Invisibles s’enlisent dans nos habitudes. [COUPLET 2] Dans les champs assoiffés, leurs dos sont courbés, À récolter nos fruits qu’ils ne consommeront jamais. Des journées s’écoulent, des existences à genoux, Vendues au silence pour un salaire trop flou. Les entrepôts retiennent des vies sans visage, Ils produisent nos désirs sans arrêt dans des cages. Leurs mains forgent des biens que leurs foyers ignorent, Un labeur quotidien qui dévore leurs tout leur corps. Si l’on voyait le prix qu’exigent nos conforts, Ces vies piétinées pour ériger nos décors. Chaque pierre qu’on empile alourdit leur fardeau. Leurs vies oubliées nous appellent au renouveau. [REFRAIN] Ils existent, mais leurs voix restent effacées, Leurs cris étouffés dans des écrans de fumée. Des mains tendues qui s’envole dans les airs, Ils sont bien là, mais personne ne les éclaire. Ils vivent sous le poids de nos certitudes, Les Invisibles s’enlisent dans nos habitudes. [PONT] Ils vivent dans des zones qu’on ne veut pas nommer, Leurs luttes sont oubliés comme-ci s’était du passé. Leur présence est réelle, mais on les pousse au vide, Les Invisibles avancent sur des terres trop arides. [COUPLET 3] Dans les mines profondes, des enfants sacrifiés, Extraient des trésors dont ils ne profiteront jamais. Leurs doigts saignent, mais personne ne l’admet, Nos écrans cachent toujours des vies sacrifiées. Sous les bombes de fer, des villes en poussière, Des vies menacées sous des cieux en colère. Leurs maisons éventrées par le fracas des armes, Laissent des silences lourds mais trop peu le proclame. Et si l’on voyait ce qu’ils portent sur leurs dos, On comprendrait enfin le vrai poids de nos mots. [REFRAIN] Ils existent, mais leurs voix restent effacées, Leurs cris étouffés dans des écrans de fumée. Des mains tendues qui s’envole dans les airs, Ils sont bien là, mais personne ne les éclaire. Ils vivent sous le poids de nos certitudes, Les Invisibles s’enlisent dans nos habitudes. [OUTRO] Un monde trop pressé pour leur tendre la main, Leurs faces se perdent dans les méandres humains. Mais le jour s’écrira où leurs voix s’imposeront, Les Invisibles alors feront entendre raison.
🖤
[INTRO] Des lignes fines sont au cœur du marbre froid, Elles cachent des trésors que l’œil ne voit pas. C’est dans les cassures que la beauté se dévoile, Là où le vide dessine une vive nuée d’étoiles. [COUPLET 1] On court après l’or, mais le métal nous ment, Les miroirs se ternissent quand le mental est absent. Les rêves dorés ne sont que des histoires, Car le parfait ne portera jamais d’espoir. Les cicatrices parlent, elles chantent nos défaites, Les maux gravés sont des serments que l’on rejette. Sous la pierre fendillée peut naître un joyau brut, Et les forces enfouies triomphent dans une lutte. Le beau se cache où peu de personnes s’aventurent, Dans la marge du réel, on peut trouver nos ratures. Quand les failles jaillissent, le monde se reforme, Et l’imparfait, redevient le berceau de la norme. [REFRAIN] C’est dans l’or des failles que la vie s’écrit, Les blessures d’hier sculptent aujourd’hui. Chaque défaut laisse un poème ancré, Un chant brisé que le temps veut bercer. C’est dans l’or des failles que tout prend un sens, Et si cette puissance devenait notre essence. [COUPLET 2] Ils veulent tout lisser, gommer les contours, Faire des vies des photos figées pour toujours. Mais la beauté surgit sous le coup des blessures, Quand les fêlure du temps forgent notre armure. Les roses sans épines perdent leur magie, Et les jours trop parfaits brouillent nos envies. Un diamant brut révèle ses entailles au jour, Chaque reflet capture un instant de bravoure. L’imperfection révèle des formes inédites, Une énergie vive qui dépasse les limites. Quand l’épreuve reconstruit ce qu’on croyait détruit, Tout ce qui fléchit renaît et porte son fruit. [REFRAIN] C’est dans l’or des failles que la vie s’écrit, Les blessures d’hier sculptent aujourd’hui. Chaque défaut laisse un poème ancré, Un chant brisé que le temps veut bercer. C’est dans l’or des failles que tout prend un sens, Et si cette puissance devenait notre essence. [PONT] Là où le temps craque, des fleurs éclosent, Et dans l’ivresse du soir, les idées explosent. Les défauts sont les racines d’un monde enchanté, Où ils deviennent la base de toutes les vérités. [COUPLET 3] Dans la fente du temps, un nouveau sens s’anime, Quand quelque chose s’effondre, le courage s’exprime. Entre les défaillances cachées, un sens s’éveille, Transformant l’échec en victoire sans pareille. De ce qui s’éteint, on rallume la flamme, Et la réalité triomphe du vague à l’âme. La cassure n’est plus un signe à redouter, Elle rassemble ce qu’on pensait dessoudé. [REFRAIN] C’est dans l’or des failles que la vie s’écrit, Les blessures d’hier sculptent aujourd’hui. Chaque défaut laisse un poème ancré, Un chant brisé que le temps veut bercer. C’est dans l’or des failles que tout doit prendre sens, Car le passé qu’on a créé peut nourrir l’existence. [OUTRO] L’or des failles réveille nos mémoires, Transformant les brèches en une victoire. Les morceaux brisés composent une unité, Et dans nos entailles se forme l’éternité.
🎧🎶🎵👌👍💪👏👏👏👏😉😁
Texte percutant sur une très belle prod🙏
Merci l'ami 🙏🏼 prends soin de toi et de tes proches 🫶🏼
Salut j'aimerais connaître l'APP qui permet de faire ça svp
Salut, tu as plein d'apps qui te permettent ça (aimusic, Suno, etc) nous sommes sur Suno de notre côté 👌🏼
@independanceprodsofficiel Ok cool je télécharge immédiatement merci
[INTRO] Une ombre à la fenêtre, un silence dans la nuit, Un cœur trop lourd, épuisé par la vie. L’histoire qu’on ignore, gravée dans les regards, Un cri dans le vide, une lumière tard le soir. [COUPLET 1] Il était juste un gamin, perdu dans les rangs, Un visage dans la foule, effacé par le vent. À l’école, il croisait des regards méprisants, Des mots comme des lames, des rires déchirants. Ils l’attendaient dehors, à la fin des journées, Des coups dans l’ombre, ses larmes cachées. Il rentrait le cœur vide, mais jouait l’illusion, Un sourire pour ses parents, une fausse confession. Les murs de sa chambre gardaient ses secrets, Des griffures sur le papier, des rêves qui mouraient. Il parlait à la lune, son seul confident, Cherchant une échappée dans un monde étouffant. [REFRAIN] C’est l’histoire d’un enfant qu’on a laissé tomber, Dans le bruit des insultes, dans les nuits sans pitié. Il cherchait une lumière, mais le noir l’a trouvé, Et dans un dernier souffle, il a tout arrêté. C’est l’histoire d’un enfant qu’on a laissé tomber, Dans le bruit des insultes, dans les nuits sans pitié. Il cherchait une lumière, mais le noir l’a trouvé, Et dans un dernier souffle, il a tout arrêté. [COUPLET 2] Les adultes détournaient les yeux, aveuglés, Trop pris par leur routine pour voir ses reflets. Les professeurs restaient neutres, complices par le silence, Chaque rire dans son dos devenait une sentence. Le soir, il écrivait des poèmes dans un coin, Des mots pleins de douleur, qui criaient son chagrin. Il parlait d’un garçon qui voulait s’échapper, De chaînes invisibles qui le faisaient plier. Il décrivait un saut, un battement d’ailes, Un instant suspendu, un adieu sans querelle. « Ce garçon est parti, mais il n’était pas coupable, C’est le monde autour de lui qui était insoutenable. » [REFRAIN] C’est l’histoire d’un enfant qu’on a laissé tomber, Dans le bruit des insultes, dans les nuits sans pitié. Il cherchait une lumière, mais le noir l’a trouvé, Et dans un dernier souffle, il a tout arrêté... [PONT] Et si vous aviez su lire entre ses lignes, Si vous aviez tendu la main au lieu de fuir les signes. Peut-être qu’il serait là, qu’il aurait tenu bon, Mais à force de fermer les yeux, on ne voit plus les leçons. [OUTRO] Quand vous lirez ces mots, vous comprendrez peut-être, Que ce garçon perdu, c’était tout mon être. J’ai écrit ma douleur pour que vous sachiez enfin, Que parfois les héros tombent, quand ils n’ont plus de chemin.
Lyrics 🙂 Royaume des Marionnettistes [INTRO] Sous ce chapiteau géant, l’absurde fait son show, Un festival de paillettes, pour cacher ce chaos. Les clowns sont au pouvoir, maquillés de mensonges, Bienvenue, dans ce fabuleux cirque où tout le monde replonge. [COUPLET 1] Les acrobates virevoltent, suspendus par des chaînes, Ils dansent sur des fils qui s’emmêlent comme de la laine… Les fauves rugissent, dans des cages dorées, Domptés par ceux qui les abrutissent, pour mieux les contrôler. Les magiciens font apparaitre des tours sans mystère, Sous une cape scintillante qui dissimulent un désert. Les jongleurs, font voler des sphères sans passion, Des vérités masquées dans un monde d’illusions. Les spectateurs applaudissent en criant « encore ! », C’est vrai qu’ils payent pour des spectacles qui les endorment encore. Et quand le rideau tombe c’est le même show qui recommence, Un éternel looping avec toujours plus d’arrogance. [REFRAIN] Bienvenue dans ce cirque, royaume des illusions, Chaque levée d’rideau cache des secrets sous condition. Dans, l’arène des rêves, même les étoiles s’effacent, Sur la piste aux mirages difficile de garder la face. [COUPLET 2] Sous le chapiteau de Bezos, les drones font le show, Un ballet mécanique qui étouffe les idéaux. Musk promet des étoiles, mais trace des sillons, Un empire de poussière dans notre champ de vision. Zuckerberg jongle avec nos vies pour mieux les commercer, Chaque balle lancée transforme nos libertés en cendriers. Et les Gates cachés derrière leur écran de mensonges, Font croire à des remèdes pendant que la maladie nous ronge. Monsanto laboure toujours, des champs de désespoir Et ses récoltes empoisonneront, jusqu’aux derniers espoirs. Nestlé, assoiffe des peuples pour remplir des bouteilles, Un géant vorace, à l’appétit sans pareil. Disney vend du rêve, éloigné de toute réalité, Une histoire brillante, maquillant des vérités. Les acteurs jouent leur scène, enfermés dans des rôles, Et la foule s’égare, devant ce qui leur parait drôle. [REFRAIN] Bienvenue dans ce cirque, royaume des illusions, Chaque levée d’rideau cache des secrets sous condition. Dans, l’arène des rêves, même les étoiles s’effacent, Sur la piste aux mirages difficile de garder la face. Encore bienvenue dans ce cirque, théâtre des caprices, Un monde qui s’étouffe sous le poids des cicatrices. Quand les projecteurs s’éteignent et que la scène s’efface, Il ne reste que des ombres dans le vide de l’espace. [PONT] Qui manipule les fils dans un jeu de clivage ? Le pouvoir avance masqué drapé dans son nuage. Un rire froid qui résonne, dans un vide glacé, Mesdames messieurs ce cirque n’arrêtera jamais de danser. [REFRAIN] Bienvenue dans ce cirque, royaume des faux semblants… Où chaque rideau masque des jeux étourdissants. Dans l’arène des rêves, les étoiles se brisent, Et le palais des glaces dévoile toutes les méprises. Encore bienvenue dans ce cirque, empire des pantins, Un monde perdu qui se noie dans son propre destin. Quand les projecteurs s’éteignent et que le temps s’efface, Il ne reste que des braises dans le souffle de l’espace. [OUTRO] Adieu dans ce cirque, si les lumières s’éteignent On fera place à la relève pour que les esprits s’étreignent. Mais quand le rideau tombera et que tout sera fini, Il ne restera que le silence pour hanter l’infini Donc faites du bruit …
[INTRO] Il était une fois, au seuil du néant, Un point qui s’étirait, défiant le temps. La nuit s’effaçait sous une force impromptue, Et l’espace naissait d’une absence rompue. [COUPLET 1] Un point pressé d’exister fendait l’immobile, La matière s’effondrait, brutale et subtile. Des réseaux qui s’élevaient, des mailles infinies, Tissant l’invisible, défiant l’inertie. Quand le temps s’invente, il plie et se dilate, Les dimensions surgissent alors en courbes délicates. Chaque particule trouvait un accord insensé, Un univers ébauché qui continu de se dessiner. Les atomes dansent, fragiles funambules, Un théâtre grandiose aux lois minuscules. Et tout prend racine dans ce chaos latent, Un récit premier, féroce et exaltant. [REFRAIN] L’univers, une énigme aux sources insondables, Un conte qui s’écrit en fragments indéniables. Chaque étoile contient une histoire unique, Une fresque mouvante, aux couleurs magnifiques. C’est un voyage de folie, un vestige sacré, Un chant éternel, peut-être orchestré. [COUPLET 2] Les galaxies s’étendent en spirales mouvantes, Des bras majestueux chargés de forces vivantes. Des géants flamboyants éclairent les abîmes, Ciselant des mondes dans des creusets sublimes. Des sphères naissent, brûlent, se figent ou explosent, Les étoiles offrent des symphonies grandioses. Des planètes errantes, reliques dispersées, Tournoient dans le vide, en quête de clarté. Chaque astre raconte une quête solitaire, Où le temps se plie sous des forces adversaires. Un univers vaste, théâtre infini, Où chaque pièce joue un rôle inédit. [REFRAIN] L’univers, une énigme aux sources insondables, Un conte qui s’écrit en fragments indéniables. Chaque étoile contient une histoire unique, Une fresque mouvante, aux couleurs magnifiques. C’est un voyage de folie, un vestige sacré, Un chant éternel, peut-être orchestré. [PONT] Quand les dernières flammes se seront éteintes, Quand la nuit reprise effacera les teintes, Il restera un vide, un temps arrêté, L’ultime page d’une œuvre achevée. [COUPLET 3] Au sein d’un système, une étoile fragile, Offre sa lumière à des mondes dociles. Des sphères gravitent dans un mouvement précis, Chacune portant son mystère enfoui. Et là, sous des cieux où le cobalt s’étend, La Terre, berceau, s’élève en vibrant. Des mers indomptées et des montagnes altières, Portent l’histoire d’une vie passagère. L’air qu’on respire, chargé d’antiques empreintes, Raconte les luttes et des forces contraintes. Un point suspendu dans l’immensité, Une île fertile où le vivant a germé. [REFRAIN] L’univers, un mystère aux sources insondables, Un conte qui s’écrit en fragments mémorables. Chaque étoile recèle une lumière antique, Une fresque mouvante aux couleurs énigmatiques. C’est un voyage insensé, un chant sacré, Une musique éternelle que le vide a gardée. [OUTRO] Il était une fois, peut-être, un instant, Où tout s’effondra pour créer le vivant. Un récit qui voyage à travers l’immensité, Où ils vécurent pendant des milliards d’années.
😊trop fort le texte , avec beaucoup de vérité ...je vous souhaite toute la réussite du monde je m'abonne à votre chaîne direct 👍
Merci beaucoup pour ton commentaire 🫶🏼 bienvenue dans la family 😉 prends soin de toi et de tes proches 🙏🏼
[INTRO] Dans les studios modernes, on trafique les voix, Une chorale de bêlements noyé sous leurs choix. Des sons dénaturés, l’émotion effacée, Un troupeau qui s’égare dans des airs glacées. [COUPLET 1] Autotune sur max, l’authenticité s’efface, Une mélodie fade, répétée mille fois en masse. Chaque voix se transforme, même pas besoin d'y croire, C'est l'ère des clones vocaux, et des hits sans espoir. Les mots ont moins de poids, des phrases banales, Collées sur un beat lourd, mécanique et brutal. Des artistes de façade, portés sur un piédestal, Leur bêlement standard devient presque viral. Les rimes sont prévisibles, le fond n’a plus d’histoire, Le succès se vend vite, mais l’art n’a plus de gloire. Chaque track se ressemble, juste une voix qui sature, Le talent dilué dans des sons sans texture. [REFRAIN] Bêlement dans le flow, les chèvres font des hits, Calibrées à outrance, sous autotune elles s’agitent. Uniformes, mécaniques, toutes les voix se ressemblent, Dans ce troupeau formaté, l’argent les rassemble. [COUPLET 2] Des millions sur les streams, mais où est l’émotion ? Un rideau d’effets qui masque l’intention. Les rimes sont forcées, des paroles sans portée, Un mirage en carton qu’on finit par jeter. Le producteur dicte tout : "Donne-moi des hits carrés, On veut des hooks faciles, qu’ils soient vite streamés." Les artistes exécutent, l’industrie les transforme, Un moule qui écrase tout, et l’art se déforme. Le public consomme, sans se poser de question, Pris au piège d’un système qui détourne l’attention. Mais dans ce grand désert, une étincelle persiste, Des talents qui se cachent de ces pistes trop simplistes. [REFRAIN] Bêlement dans le flow, les chèvres font des hits, Calibrées à outrance, sous autotune elles s’agitent. Uniformes, mécaniques, toutes les voix se ressemblent, Dans ce troupeau formaté, l’argent les rassemble. [PONT] Entends-tu cette note, qui brise la mécanique ? Un air de liberté, une échappée symbolique. Une voix qui refuse de se noyer dans l’effet, Elle clame haut et fort que l’art défie les faux traits. [COUPLET 3] Des chèvres sous les projecteurs, mais où sont les Hommes ? L’art s’effondre ici sous des airs qui assomment. Chaque piste est un produit, calibré pour les masses, Mais qui osera chanter ce que la vie fracasse ? Un beat peut être lourd, mais faut-il le sentir, Chaque note doit vibrer, porter son avenir. Alors peut-être un jour, sous l’emprise des machines, On verra des artistes renaître dans les ruines. [REFRAIN] Bêlement dans le flow, les chèvres font des hits, Calibrées à outrance, sous autotune elles s’agitent. Uniformes, mécaniques, toutes les voix se ressemblent, Dans ce troupeau formaté, l’argent les rassemble. [OUTRO] Et si demain les chèvres retrouvaient leur voix, Abandonnant l’effet pour des textes de choix ? La musique redeviendrait enfin ce qu’elle était, Un battement de cœur que personne n’arrêterait.
[INTRO] Elles ont bravé les normes, défié les interdits, Pour ouvrir des chapitres où la justice s’écrit. Des actes inoubliables, des mots réfléchis, Des femmes qui ont changé tellement de vies. [COUPLET 1] Mary Wollstonecraft, plume contre l’ignorance, Elle réclame l’éducation et l’indépendance. Ses idées posent les bases d’un monde équilibré, Pour que les femmes soient enfin respectées. Emmeline Pankhurst, elle marche sous les huées, Elle exige le vote, jamais intimidée. Sa détermination renverse les barrières, Ses pas sont inscrits dans les livres scolaires. Clara Zetkin appelle à l’union des nations, Elle érige un jour pour marquer les actions. Le 8 mars devient une date fondamentale, Pour rappeler à tous une cause primordiale. [REFRAIN] Elles ont forcé les portes, bravé l’oppression, Des luttes audacieuses pour changer les nations. Héroïnes du courage, figures immortelles, Leur combat construit l’égalité universelle. Elles ont pris des risques que d’autres fuyaient, Leurs voix résonnent dans les droits qu’on connaît. [COUPLET 2] Simone de Beauvoir, ses livres comme des armes, Elle expose les rouages d’un système infâme. Elle écrit l’histoire d’un genre enchaîné, Envoie des mots tranchants pour le libérer. Betty Friedan s’élève, brisant les illusions, Elle dévoile les poids de fausses traditions. Son livre libère les femmes enfermées, Et leur redonne le droit de rêver, d’exister. Simone Veil au front, le regard sans détour, Elle offre aux femmes le choix de changer leur parcours. Dans l’hémicycle froid, elle affronte la haine, Et fait voter des lois qui apaisent les peines. [REFRAIN] Elles ont forcé les portes, bravé l’oppression, Des luttes audacieuses pour changer les nations. Héroïnes du courage, figures immortelles, Leur combat construit l’égalité universelle. Elles ont pris des risques que d’autres fuyaient, Leurs voix résonnent dans les droits qu’on connaît. [COUPLET 3] Ruth Bader Ginsburg, pionnière de la justice, Elle déconstruit des lois où tout était factice. Chaque décision qu’elle prend redéfinit les rôles, Elle laisse aux femmes le droit de prendre le contrôle. Leymah Gbowee, par des mots et des prières, Elle réunit des femmes pour désarmer la guerre. Elle prouve que l’unité renverse les puissants, Un exemple à suivre pour les peuples souffrants. Adèle Haenel, dans les projecteurs froids, Dénonce l’omerta et défie les lois. Elle brise le silence d’une industrie figée, Et donne aux victimes le droit de parler. [REFRAIN] Elles ont forcé les portes, bravé l’oppression, Des luttes audacieuses pour changer les nations. Héroïnes du courage, figures immortelles, Leur combat construit l’égalité universelle. Elles ont pris des risques que d’autres fuyaient, Leurs voix résonnent dans les droits qu’on connaît. [OUTRO] Elles ont ouvert des voies dans des mondes fermés, Chaque lutte acharnée est une page à tourner. Leur héritage vivant inspire nos combats, Pour que l’égalité triomphe à chaque fois.
🖤 Force Collective ! ua-cam.com/video/VHKwZddWS3E/v-deo.htmlsi=mpnypwToXUlvtfr1
Cimer l'ami 👌🏼 bien le son 😉
[INTRO] J'ai gravé sur ma peau les leçons du passé, Mes faux-pas m’ont appris à mieux me relever. Les échecs sont des guides, je les prends pour alliés, Merci à mes erreurs, je leur dois mes trophées. [COUPLET 1] J'avance dans le noir, sur des routes défoncées, Des rêves en papier prêts à s’envoler. Les choix tordus m’ont mené là où ça ne brille pas, Mais c’est dans l’ombre, frère, qu’on forge nos pas. Les doutes me parlaient, voix sèches, mots tranchants, Je les ai retournés, j'en ai fait mon ciment. Je trace ma route même quand tout part en vrille, L’erreur n’est qu’une brique sur laquelle je m’appuie. Les critiques à la pelle ? Laisse-les crier à tout va, Je les entends à peine, moi j’avance en tout cas. Trop de regards braqués, j’ai fini par m’en contrefoutre, C’est en tombant cent fois qu’on trouve sa propre route. [REFRAIN] Merci à mes erreurs, mes failles et mes détours, Elles m’ont forgé un cœur solide comme une tour. Je transforme les épreuves en flammes de victoire, C’est en tombant cent fois que j’ai appris à croire. [COUPLET 2] On m’a dit "tomber, c’est la honte, ça t’enterre", Mais sans chute, mec, qui connaît la galère ? J’ai nagé dans des flots trop profonds pour mes bras, Les courants m'ont roulé, mais j’en suis sorti là. Les juges sans visage ? Laisse-les critiquer, Les routes sans erreurs n’existent que dans leurs pensées. J’ai plié des genoux sans jamais plier l’âme, J’ai gardé le cap en traversant mes drames. C’est dans les faux pas qu'on réécrit la donne, La force vient du combat quand la faiblesse abandonne. Les dettes du passé ? Je les rembourse en leçons, Aujourd'hui, mon frère, je suis ma direction. [REFRAIN] Merci à mes erreurs, mes failles et mes détours, Elles m’ont forgé un cœur solide comme une tour. Je transforme les épreuves en flammes de victoire, C’est en tombant cent fois que j’ai appris à croire. [PONT 1] J’ai écrit mes leçons sur les murs de mes peurs, Avec des phrases qui blessent et des mots sans rancœur. Mais demain appartient à ceux qui se relèvent, On construit mieux un toit quand l’orage s’achève. [REFRAIN] Merci à mes erreurs, aux détours, aux tempêtes, Elles m'apprennent l’audace quand la vie me rejette. J’ai tiré de mes chutes la force pour m’élever, C’est en tombant plus bas que j’ai su m’envoler. [PONT 2] Les faiblesses d’hier m’ont sculpté dans la roche, C’est dans le pli des vents que ma force s’accroche. Un pas loin de l’abîme et pourtant me voici, Reconnaissant des fautes qui m’ont construit aujourd’hui. [OUTRO] J’ai gravé sur ma peau les leçons du passé, Mes faux-pas m’ont appris à mieux me relever. Je souris aux erreurs, je leur tends la main, Merci à ces leçons, elles qui forgent mon destin.
bien
Cimer frolox :)
bien
ça change un peu ;) et ça donne un aperçu de ce que l'IA peut donner ajd :)
Lyrics 😉 [INTRO] Les cieux s’effacent, remplis de nos déchets, Une trace de l’orgueil que l’homme a projeté. L’espace comme miroir, reflet de nos peurs, Les étoiles s’éteignent, victimes de nos erreurs. [COUPLET 1] Des satellites errants, comme des âmes perdues, Des fragments métalliques qui traversent la vue. Chaque fusée lancée creuse un peu plus nos tombes, Des rêves artificiels dans des cieux plus sombres. L’univers infini devient une prison, Quand l’homme y impose sa folle ambition. Les milliardaires s’envolent, la Terre à l’abandon, À quoi bon conquérir l’espace si c’est pour tourner en rond ? La beauté cosmique se teinte de rouille, Chaque tir de fusée, comme un pavé dans la foule. Les étoiles gémissent dans le silence froid, Spectatrices forcées des hommes dont elles sont les proie. Des rêves technologiques, mais à quel prix ? Chaque progrès construit sur les larmes de la vie. On explore l’infini, mais on oublie nos racines, La Terre en agonie, et personne n’imagine. [REFRAIN] C’est la guerre des étoiles, l’orgueil nous dévore, On brise l’univers pour bâtir un décor. Des rêves de grandeur, mais rien dans le cœur, On sème des débris là où brille la lueur. C’est la guerre des étoiles, l’homme a tout oublié, Sous le masque du progrès, des rêves déchiquetés. Les cieux sont devenus une poubelle d’orgueil, Le futur enchaîné par des rêves sans accueil. [COUPLET 2] Les cieux sont un musée de nos ambitions, Une collection de failles, de mauvaises décisions. Chaque lancement inscrit une marque dans l’histoire, Mais rien ne brille jamais en noircissant l’espoir. Des orbites surchargées, des collisions fatales, L’homme joue avec l’éther, du haut de ses erreurs bancales. Un empire interstellaire fondé sur l’égoïsme, Pendant que la Terre pleure noyée sous notre cynisme. La conquête galactique, un rêve qui s’effrite, On déplace nos vices pour les mettre en orbite. L’espace mérite mieux que nos guerres stériles, A croire que l’homme ne sait que construire des missiles. L’éternité pleure, l’infini se brise, Les étoiles nous fuient, comme une vieille devise. Si on ne change rien, on marquera la fin, Non de l’univers, mais du genre humain. [REFRAIN] C’est la guerre des étoiles, l’orgueil nous dévore, On brise l’univers pour bâtir un décor. Des rêves de grandeur, mais rien dans le cœur, On sème des débris là où brille la lueur. C’est la guerre des étoiles, l’homme a tout oublié, Sous le masque du progrès, des rêves déchiquetés. Les cieux sont devenus une poubelle d’orgueil, Le futur enchaîné par des rêves sans accueil. [PONT] L’homme est un fléau, même dans les étoiles, Il transforme même l’éclat en poussière létale. Mais l’univers attend, silencieux, patient, Il renaîtra sans nous, puissant et vibrant. [OUTRO] Les cieux s’effacent, remplis de nos déchets, Une trace de l’orgueil que l’homme a projeté. Quand tout aura sombré, l’univers renaîtra, Libre de nos chaînes, de nouveau il brillera.
[INTRO] C’est l’histoire d’enfants comme mille promesses, Portant demain sur leurs épaules en détresse. [COUPLET 1] Alice tend sa main, une craie dans les doigts, Elle dessine une terre qu’on ne voyait pas. Un grand arbre vert qui guérit les blessures, Ses racines lient les cœurs d’un monde qui rassure. Noah, lui, se bat pour planter des forêts, Des graines posées pour effacer les regrets. Avec son ballon, il traverse les villes, Fait rêver les quartiers où tout semble fébrile. Ils croisent Anna, qui d’un simple sourire, Transforme les chagrins en raisons de construire. Trois enfants ensemble, aux gestes ordinaires, Mais leurs actes changent le cours de notre ère. [REFRAIN] Les héritiers des fables, bâtisseurs du jour, Leurs rêves réparent ce qu’on a rendu lourd. Héros sans armure, leurs forces invisibles, Créent demain sur les ruines de l’impossible. Ils répètent des mots qu’on croyait oubliés, Réveillant la flamme des espoirs délaissés. [COUPLET 2] Anna, chaque soir, réunit le quartier, Elle raconte en chant pour faire espérer. Des dragons vaincus, des royaumes sauvés, Elle montre qu’à plusieurs, tout peut changer. Alice a grandi, mais garde sa magie, Elle enseigne aux petits à peindre l’infini. Noah construit des ponts entre les rives, Que tous aient leurs places d’où ils vivent. Ils avancent seules, "ensembles", portés par la magie, D’une innocence qui est la base de chaque vie. Ils bâtissent des écoles là où rien n'existe, Des champs de paix contre le béton qui résiste. [REFRAIN] Les héritiers des fables, bâtisseurs du jour, Leurs rêves réparent ce qu’on a rendu lourd. Héros sans armure, leurs forces invisibles, Créent demain sur les ruines de l’impossible. Ils répètent des mots qu’on croyait oubliés, Réveillant la flamme des espoirs délaissés. [PONT] Alice, Noah, Anna et tant d’autres enfants, Des héros petits pour un monde plus grand. Laissez-les grandir, laissez-les choisir, Car leur monde à eux saura mieux nous unir. [COUPLET 3] Matéo, dans sa ville, lutte contre l’oubli, Il invente des jeux pour rendre tout joli. Il repeint les murs, pose des arcs-en-ciel, Pour que chaque enfant croie encore au soleil. Ambre, la rebelle, écrit sur des cahiers, Des mots qui libèrent les êtres enfermés. Elle dit que la peur n’aura plus d’avenir, Si tous se lèvent et refuse de fuir. Chacun à sa manière brille avec passion, Car ils sont le seul avenir dans nos maisons. [REFRAIN] Les héritiers des fables, bâtisseurs du jour, Leurs rêves réparent ce qu’on a rendu lourd. Héros sans armure, leurs forces invisibles, Créent demain sur les ruines de l’impossible. [OUTRO] C’est l’histoire d’Alice qui parle aux étoiles, Noah qui rêve debout sous les voiles. Anna, qui rassemble, Matéo, l’artiste, Et Ambre, la rebelle, pour qui rien ne résiste.
Force à vous « Indépendance » 🖤 ua-cam.com/video/v38AZdtR7OM/v-deo.htmlsi=vlUByl9pT9zSCp2a
Merci pour ton soutien 🙏🏼 prends soin de toi 😉
❤
[INTRO] Contre des tyrans, des voix se sont levées, Des personnes braves, défendaient la liberté. Leurs combats retentissent, à travers les âges, Des histoires vraies que je grave sur cette page. [COUPLET 1] Olympe de Gouges, plume en main, Défendait les femmes au prix de son destin. Déclaration écrite, égalité revendiquée, Pour ce courage, la guillotine a tranché. Sitting Bull, chef des Lakotas, Résista aux colons, protégeant ses terres et ses lois. À Little Bighorn, une victoire arrachée, Symbole de résistance, son nom à jamais gravé. Même face au pire, ils n’ont pas reculé, Chaque acte courageux sert l’humanité. [REFRAIN] Ils ont changé la terre par leur résistance, Brisé les règles dictées par l’arrogance. Quand tout semblait perdu, ils ont relevé, Les rêves qu’on croyait pour toujours enterrés. Pour leurs batailles, nos chants ne s’éteindront jamais. Chaque note porte un monde qu’ils ont rêvé. [COUPLET 2] Harriet Tubman, esclave en fuite, Devint guide, pour d'autres, sur des routes sans limite. "Moses" (Moïse) la surnommaient ceux qu'elle sauvait, Conduisant des centaines vers la liberté. Martin Luther King, rêveur éveillé, Prêchait l'amour, l'égalité, sans jamais plier. "I have a dream", des mots immortels, Pour un monde uni, sans haine, sans querelles. Leurs luttes enseignent qu’on peut transformer, Même la douleur en espoir à semer. [REFRAIN] Ils ont changé la terre par leur résistance, Brisé les règles dictées par l’arrogance. Quand tout semblait perdu, ils ont relevé, Les rêves qu’on croyait pour toujours enterrés. Pour leurs batailles, nos chants ne s’éteindront jamais. Chaque note porte un monde qu’ils ont rêvé. [PONT] Dans toutes les époques, des héros se révèlent, Contre l'injustice, leurs cœurs s'élèvent. Leurs actions, leurs mots, traversent le temps, Nous montrant la voie, façonnant nos présents. [COUPLET 3] Malala Yousafzai, écolière blessée, Pour l'éducation, elle a risqué sa vie, sa liberté. Prix Nobel de la paix, sa voix rayonne, Pour que chaque fille, à l'école, s'impose et raisonne. Nelson Mandela, emprisonné des années, Lutta pour l'égalité, un peuple libéré. Président d'une nation, symbole de pardon, Son parcours nous enseigne la résilience à foison. Le monde change quand on ose rêver, Le courage s’écrit dans chaque acte donné. [REFRAIN] Ils ont changé la terre par leur résistance, Brisé les règles dictées par l’arrogance. Quand tout semblait perdu, ils ont relevé, Les rêves qu’on croyait pour toujours enterrés. Pour leurs batailles, nos chants ne s’éteindront jamais. Chaque note porte un monde qu’ils ont rêvé. [OUTRO] Aujourd'hui encore, des voix s'élèvent, Contre l'injustice, elles persistent et rêvent. Inspirons-nous de ces forces vaillantes, Pour bâtir un monde dans une paix constante.
Magnifique !! 💫On ne les oubliera pas !! (je veux pas chipoter mais Harriet Tubman étais appelé "Moïse")
🤐❤ tellement authentique !
+++++❤ allé les gars un petit son!!!
+++++++❤
[Intro] Des comptes cachés, des promesses volées, Des hommes de pouvoir qui n’ont jamais payé. Les preuves sont là, mais les silences sont lourds, Les scandales grandissent, et la justice est sourde. Des affaires étouffées, des témoins menacés, Un système où tout se cache, où chacun est placé. [Couplet 1] Sarkozy et Kadhafi, des valises pleines d’or, L’argent libyen pour financer sa campagne d'abord. Des contrats secrets, des promesses échangées, Les preuves s’empilent, tout est bien documenté. Karachi, l’attentat, des sous-marins vendus, Rétrocommissions cachées, les traces sont perdues. Les témoins cherchent la lumière, mais l’enquête est bloquée, Les puissants font taire la vérité étouffée. [Refrain] Les casseroles résonnent, les scandales s’enchaînent, Des empires bâtis sur des sommes inhumaines. Trahisons, détournements, tout se fait en secret, Les preuves disparaissent sous les ordres discrets. Quand l’argent pourrit, c’est la justice qui recule, Et les puissants rient, bien à l’abri dans leur bulle. [Couplet 2] Balkany, des villas sous des noms falsifiés, À Marrakech, des biens cachés, des sommes détournées. À Marseille, Guérini contrôle tout le marché, Les appels d’offres sont truqués, les bénéfices entachés. Dassault dans l’ombre, il achète des voix, Corbeil-Essonnes se vend pour quelques pots-de-vin parfois. Les mêmes réseaux, les mêmes pouvoirs, Le crime et la politique écrivent notre histoire. [Refrain] Les casseroles résonnent, les scandales s’enchaînent, Des empires bâtis sur des sommes inhumaines. Trahisons, détournements, tout se fait en secret, Les preuves disparaissent sous les ordres discrets. Quand l’argent pourrit, c’est la justice qui recule, Et les puissants rient, bien à l’abri dans leur bulle. [Pont] Des billets sous la table, des voix achetées, Les preuves cachées, les dossiers étouffés. Les scandales dévorent, mais rien ne bouge, La vérité s’éteint, pendant que l’injustice juge. [Couplet 3] Tapie, Lagarde, un arbitrage biaisé, Des millions échangés, la justice étouffée. Benalla, protégé, ses actes ignorés, L’État ferme les yeux sur des abus sacrifiés. L’argent public volé, les preuves étouffées, Les privilèges persistent, malgré les plaidoiries brisées. Les affaires se lient, les mensonges s’esquissent, Sous les sourires, le système glisse vers le précipice. [Refrain] Les casseroles résonnent, les scandales s’enchaînent, Des empires bâtis sur des sommes inhumaines. Trahisons, détournements, tout se fait en secret, Les preuves disparaissent sous les ordres discrets. Quand l’argent pourrit, c’est la justice qui recule, Et les puissants rient, bien à l’abri dans leur bulle. [Outro] Les dossiers cachés sous des tonnes de papiers, Les citoyens payent, les coupables sont comblés. La justice s’effondre sous le poids des promesses, La vérité se cache, laissée dans la faiblesse. Mais un jour, la vérité percera le voile, Et l’histoire jugera ceux qui ont fait le mal.
[Intro] Tic-tac, les secondes s'enchaînent, Un puzzle géant assemblé non sans peine. Tic-tac, les aiguilles conspirent, Un chant discret, mais qu’on ne peut fuir. [Couplet 1] Chaque matin, j’entends le tic incessant, Le temps s’installe, immobile et pesant. On court après lui, mais il nous glisse des doigts, Comme un vent furtif qu’on ne retient pas. Les heures s’étirent dans un sablier oublié, Les jours s’envolent, et nos rires sont figés. Mais si chaque seconde cachait un secret, Un bout de nous-même qu’on n’aurait jamais prêté ? Il ronge nos espoirs, il dévore nos rires, Comme un prédateur que rien ne peut nourrir. Et quand vient la nuit, il impose sa loi, Insaisissable roi que personne ne voit. [Refrain] Tourne, tourne, l’horloge implacable, Elle broie nos jours, insatiable. Les secondes fuient, les heures martèlent, On suit son rythme, prisonniers en sommeil. Et … elle tourne, tourne, comme un feu sans fin, Elle nous consume, étouffe nos destins. [Couplet 2] Minuit frappe fort, le silence s’installe, On pense au futur, on cherche nos étoiles. Les rires d’hier se perdent dans l’obscur, Mais le temps, lui, avance, il reste si sûr. Le matin revient, le rythme repart, On garde nos rêves enfermés dans un placard. Le temps n’attend rien, il balaye nos choix, Un géant invisible qu’on ne vit qu’une fois. Il grave des sillons dans le marbre du temps, Un artiste cruel, patient et constant. On tente de l’arrêter, d’en briser le dessin, Mais il nous enferme dans son cercle sans fin. [Refrain] Tourne, tourne, l’horloge implacable, Elle broie nos jours, insatiable. Les secondes fuient, les heures martèlent, On suit son rythme, prisonniers en sommeil. Et … elle tourne, tourne, comme un feu sans fin, Elle nous consume, étouffe nos destins. [Pont] Et si on brisait ce cadran figé, Qu’on arrêtait le cercle pour tout mélanger ? Le temps est un leurre, un sabre qui décime Il marque nos destins au fer des abîmes. On choisit d’attendre ou on choisit d’agir, L’heure avance alors que nos rêves dérivent. Le temps n’a pas de maître, il n’a pas de roi, C’est nous qui le nourrissons de nos pas maladroits. [Refrain] Tourne, tourne, l’horloge implacable, Elle broie nos jours, insatiable. Les secondes fuient, les heures martèlent, On suit son rythme, prisonniers en sommeil. Et … elle tourne, tourne, comme un feu sans fin, Elle nous consume, étouffe nos destins. [Outro] Alors vis maintenant, l’heure reste la même, Chaque seconde un trésor que l’on aime. Pas de retour, pas de seconde chance, Le temps file toujours, avec ou sans présence.
[Intro] Ils détournent le regard quand la rue s’enlise, Quand un corps s’effondre, que la foule se divise. Leurs yeux collés à des écrans sans reflets, Ils laissent le monde s’effacer sous leurs gestes insensés. [Couplet 1] Ils passent devant l’homme qui tend la main, Mais changent de trottoir comme s’il n’était rien. Ils parlent d’amour dans des phrases trop tristes, Et ferment la porte quand l’Homme est en crise. Leurs œillères, ce sont des excuses parfaites : « C’est pas mon rôle », « Je ferai ça peut-être ». Des masques portés pour se cacher d’eux-mêmes, Des parois invisibles contre leurs problèmes. [Refrain] Les œillères, c’est choisir de ne pas voir, La misère qui doit refléter dans le miroir. C’est croire qu’en couvrant les fissures de peinture, Leur maison tiendra face à la rupture. Mais à force de fuir tout ce qui détonne, On ne voit plus la lumière qui résonne. Le réel finit toujours par nous rattraper, Et sous les œillères, il revient les chercher. [Couplet 2] Ils ne lisent plus que des titres de journaux, Des vérités coupées au couteau. Le confort devient une cage dorée, Où les injustices se font oublier. Ils défilent sur des écrans, des visages filtrés, Des corps parfaits, des vies bien rangées. Chaque like efface un cri, un appel au secours, Le monde hurle, mais ils préfèrent être sourd. [Refrain] Les œillères, c’est choisir de ne pas voir, La misère qui doit refléter dans le miroir. C’est croire qu’en couvrant les fissures de peinture, Leur maison tiendra face à la rupture. Mais à force de fuir tout ce qui détonne, On ne voit plus la lumière qui résonne. Le réel finit toujours par nous rattraper, Et sous les œillères, il revient les chercher. [Couplet 3] Ils critiquent les autres depuis leur salon, Un clavier pour arme, aucune action. Ils parlent de justice, mais jamais de bâtir, Ils ferment les yeux, trop lourds à ouvrir. Les œillères, c’est l’ignorance par habitude, Une peur bien rodée qui fuit l’inquiétude. Mais quand tout s’effondre, les idées s’effacent, La vérité s’invite pour briser leurs carapaces. [Pont] C’est quand la vérité frappe à la porte, Que les œillères tombent, et les regards l’emportent. Les excuses s’écrasent sous le poids des regards, Et tout ce qu’ils fuyaient devient leur étendard. [Refrain] Les œillères, c’est choisir de ne pas voir, La misère qui doit refléter dans le miroir. C’est croire qu’en couvrant les fissures de peinture, Leur maison tiendra face à la rupture. Mais à force de fuir tout ce qui raisonne, On ne voit plus la lumière qui rayonne. Le réel finit toujours par nous rattraper, Et sous les œillères, il revient les chercher. [Outro] Ils lèvent enfin la tête, voient les dégâts, Un monde qu’ils ont ignoré tant de fois. Les œillères tombées, ils croisent leur reflet, Et voient dans leurs yeux la couleur de la paix.
[Intro] Une rafale glaciale traverse l’horizon, L’univers vacille sous ses propres illusions. Les ténèbres s’étendent, étouffant la lumière, Un présage funeste marque la dernière ère. [Couplet 1] Les feuillages se brisent sous l’assaut furieux, Témoins impuissants d’un ciel tumultueux. Les torrents dévalent, charriant des ruines, Portant dans leurs flots des mémoires qui déclinent. Les montagnes s’effacent, taillées par le temps, Des vallées sombrent sous des ombres pesantes. La faune s’éteint dans un soupir étouffé, Et la lumière se perd dans un monde enchaîné. Les pierres s’émiettent, vaincues par le chaos, Des dunes ensevelies sous le cri de nos échos. Les brumes s’étirent, voilant l’espérance, Et chaque battement cède à la défaillance. Les saisons s’effacent sous des cieux affolés, Nos esprits s’égarent dans des rêves brisés. Mais l’encre peut encore réécrire l’instant : Nous tenons en nos mains le sort d’un monde mourant. [Refrain] Eh oh, c’est la fin des temps un glas qui retentit, Une plainte sourde que la Terre nous écrit. Les astres se ternissent, leur éclat dissimulé, Par l’étau des satellites en orbite enchaînés. Oh eh, le silence gronde, la pénombre envahit, Chaque rêve s’écroule sous une nuit infinie. Un monde qui s’efface, une histoire consumée, C’est la fin des temps, un dernier vers brisé. [Couplet 2] Les murs se dressent, défiant l’horizon, Le sol se fend sous le poids de l’ambition. Les océans rugissent, engloutissant les terres, Réclamant leur revanche quand l’orgueil prolifère. Les rafales s’élèvent, érodant les vestiges, Les plaines désertent, amputés de leurs prestiges. Le béton étouffe ce qui reste de la vie, Et les regards se perdent dans des lieux défraîchis. Les ombres s’étirent sur les vallées désertées, Chaque cri s’éteint, reflet de l’humanité. Les flammes consument, réduisant à néant, Les fragments d’un rêve balayés par le vent. Les cendres retombent, couvrant un monde glacé, Portant le poids des fautes qu’on ne saurait réparer. Le temps disparaît dans une nuit sans fin, Et l’avenir se tait, opprimée par l’humain. [Refrain] Eh oh, c’est la fin des temps un glas qui retentit, Une plainte sourde que la Terre nous écrit. Les astres se ternissent, leur éclat dissimulé, Par l’étau des satellites en orbite enchaînés. Oh eh, le silence gronde, la pénombre envahit, Chaque rêve s’écroule sous une nuit infinie. Un monde qui s’efface, une histoire consumée, C’est la fin des temps, un dernier vers brisé. [Pont] Les traces des humains sombrent dans l’abîme, Témoins d’une espèce aveuglée par son crime. Les soupirs du monde s’éteignent dans l’obscurité, Et l’humanité chancelle, privée de vérité. [Outro] Comprenez enfin, vous, voyageurs du vide, Que l’avidité n’épargne ni la terre ni ses fruits. Préserver l’énergie, c’est honorer ses racines, Car le néant n’engendrera qu’un monde qui décline.
❤❤
[Intro] Un mot déposé dans l’air paisible, Une douceur lente et presque invisible. Les gestes s’enlacent, des sourires naissent, Les ondes circulent et tout s’apaise. [Couplet 1] Une parole simple, offerte au hasard, Sème une chaleur là où tout s’égare. Un regard donné dans un moment flou, Transforme les jours, les rend plus doux. Les liens naissent ainsi, dans l’ordinaire, Quand des cœurs ouverts tracent des repères. Une main tendue, un rire posé, Défont les fardeaux qu’on croyait figés. Ce qui semblait dur finit par céder, Sous les bonnes ondes, des cœurs apaisés. Les peurs s’éloignent, portés par l’instant, Dans ces moments vrais qui unissent les gens. [Refrain] Les vibrations naissent entre les vies, Elles construisent tout ce qui nous unit. Des gestes infimes, porteurs de beauté, Apportent la paix là où elle paraît céder. Elles voyagent loin, d’un être à l’autre, Tissant un futur qu’on partage aux nôtres. Ces ondes légères, porteuses d’harmonie, Esquissent des jours pleins de symphonie. [Couplet 2] Un instant offert, chargé d’attention, Transforme les jours en vraie connexion Un mot bienveillant traverse la détresse, Il dépose des vagues encrées de tendresse. Là où les silences semblaient trop pesants, Une onde se pose et crée des instants. Des liens qui s’éveillent, solides et sincères, Dessinent d’autres voies simples et légères. Même dans l’absence, une énergie reste, Portant les espoirs dans un geste modeste. Les liens se relient sous ce courant fin, Unissant les êtres dans un autre destin. [Refrain] Les vibrations naissent entre les vies, Elles construisent tout ce qui nous unit. Des gestes infimes, porteurs de beauté, Apportent la paix là où elle paraît céder. Elles voyagent loin, d’un être à l’autre, Tissant un futur qu’on partage aux nôtres. Ces ondes légères, porteuses d’harmonie, Esquissent des jours pleins de symphonie. [Pont] Elles arrivent sans prévenir, invisibles et pures, Transformant le vide en une architecture. Elles relient les Êtres dans un lien secret, Et réparent, ce que l’on croyait délaissé. [Couplet 3] Une main posée traverse l’instant, Elle change le cours d’un doute pesant. Ces énergies fines apaisent les voix, Et donnent un sens à ce qu’on reçoit. Même dans le vide, un instant éclot, Portant des jours de rêves à nouveau. Ce qui semblait loin revient doucement, Révélant un monde qu’on attendait tant. [Refrain] Les vibrations naissent entre les vies, Elles construisent tout ce qui nous unit. Des gestes infimes, porteurs de beauté, Apportent la paix là où elle paraît céder. Elles voyagent loin, d’un être à l’autre, Tissant un futur qu’on partage aux nôtres. Ces ondes légères, porteuses d’harmonie, Esquissent des jours pleins de symphonie. [Outro] Un mot posé dans un temps incertain, Relie les cœurs pour tendre une main. Les bonnes ondes naissent là où tout se retient, Guérissant les jours qu’on croyait tous éteints.