Dans le doux éclat des ciels d'azur,
Le Croisic s'éveille, un port d'aventure.
Les bateaux de pêche, aux coques colorées,
Dansent sur les vagues, joyeuses, animées.
Les ruelles pavées, témoins du passé,
Rendent hommage aux vies, aux rêves effacés.
Les vieux pêcheurs rient, au café, à l'aube,
Leurs histoires murmurent, comme une douce robe.
Dans les années folles, la mode s'installe,
Les estivants affluent, la vie se dévoile.
Les villas s'érigent, les plages se dorent,
Les enfants rient, s'ébattent sur le bord.
Les années de guerre, le silence pesant,
Le Croisic, stoïque, endure le temps.
Mais le vent de la paix, tel un souffle ardent,
Renaît avec les rires, des cœurs éclatants.
Les ports se modernisent, les yachts font leur nid,
La ville se transforme, un souffle d'infini.
Les artistes, les poètes, trouvent leur abri,
Inspirés par les marées, l'horizon, l'oubli.
Les festivals vibrent, la culture éclot,
Le Croisic, en fête, sous le ciel en flamboiement.
Et dans chaque cliché, un reflet de l'histoire,
D'une ville qui danse, au gré de l'espoir.
Ainsi, au fil des ans, dans chaque ruelle,
Le Croisic s'affirme, une beauté éternelle.
Évolution douce, entre passé et demain,
Un écrin de souvenirs, au bord de l'océan.