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NarkissEcho
Приєднався 7 бер 2011
dada theatre d'art project
le leçon 1916 aujourd'hui - que faire #cabaretvoltaire #louislatourre
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Відео
PAUL VALÉRY MON FAUST "LA DICTÉE"
Переглядів 1384 місяці тому
Suite et fin de la grande scène Faust et Lust, lecture Louis Latourre
Paul Valéry - Dernière visite à Stéphane Mallarmé
Переглядів 2077 місяців тому
Article publié en 1923.
PAUL VALERY - MON FAUST (extrait)
Переглядів 1288 місяців тому
Mon Faust Acte II scène 2 - Faust, le Disciple "Vous n’êtes pas un homme, Maître… Est-il possible qu’un homme ait fait ce que vous avez fait, toutes ces découvertes, et ces livres que j’ai tant lus, et relus au bout du monde, d’où je viens ? (...)"
PAUL VALERY - PETITE LETTRE SUR LES MYTHES
Переглядів 2869 місяців тому
"Que serions- nous sans le secours de ce qui n'existe pas ?" On ne sait si la méditation sur le langage peut être poussée plus loin. Le texte synthétise des décennies de réflexion.
LA « PEUR DES MORTS » Paul Valéry
Переглядів 23510 місяців тому
Préface à Sir James George Frazer, ''la Crainte des Morts'' (Fear of the dead in primitive religion), 1934. Lecture par Louis Latourre
CADASTRE ET MISÈRE - avec Paul Valéry
Переглядів 157Рік тому
Neuf ans de procédure judiciaire louis latourre paul valéry
PONTUS DE TYARD - Paul Valéry
Переглядів 111Рік тому
Paru dans Œuvres de P. Valéry - 1937 " Ce n'est pas une très grande figure que celle de Pontus de Tyard. Son nom ne fait penser qu'à la Pléiade, constellation dont il emprunte un peu de la lumière qui lui permet de cheminer jusqu'à nous. Mais si l'attention érudite se concentre et s'attarde sur ce compagnon de Ronsard et de du Bellay, elle discerne dans Tyard presque tous les nobles éléments do...
TRISTAN L'HERMITE - ORPHEE (extrait)
Переглядів 63Рік тому
Lecture d'un extrait de l'Orphée de Tristan L'Hermite.
Accueil du Faust de Paul Valéry (et souvenirs - Adonis)
Переглядів 86Рік тому
Accueil du Faust de Paul Valéry (et souvenirs - Adonis)
LIRE DU LA FONTAINE avec un petit coup dans le nez
Переглядів 45Рік тому
LIRE DU LA FONTAINE avec un petit coup dans le nez
Jean de La Fontaine - Quatre élégies (Clymène)
Переглядів 1852 роки тому
Jean de La Fontaine - Quatre élégies (Clymène)
Paul Valéry / Printemps (deux anecdotes)
Переглядів 1412 роки тому
Paul Valéry / Printemps (deux anecdotes)
PAUL VALERY - LE PHILOSOPHE ET LA JEUNE PARQUE (Antoine Hughell feat. KUBO)
Переглядів 1662 роки тому
PAUL VALERY - LE PHILOSOPHE ET LA JEUNE PARQUE (Antoine Hughell feat. KUBO)
PAUL VALÉRY - RÉFLEXIONS SUR LE VERS (Au sujet d'Adonis)
Переглядів 4282 роки тому
PAUL VALÉRY - RÉFLEXIONS SUR LE VERS (Au sujet d'Adonis)
Paul Valéry n'a pas écrit le final des Fragments du Narcisse
Переглядів 1122 роки тому
Paul Valéry n'a pas écrit le final des Fragments du Narcisse
Valéry - Stravinsky Années 1920, les deux retrouvent la leçon classique, le premier celle de Racine le second celle de Bach ua-cam.com/video/qPa1dfhAbgA/v-deo.htmlsi=Jm1OC8OO5Udto4Ir
sublimissime !
Un serpent vert pomme
Poma, pomae = fruit.
Magnifique Monsieur l’atour, c’est atelier écriture.
PAUL VALÉRY - DERNIÈRE VISITE À MALLARMÉ Une vidéo beaucoup trop courte. Ce qu'inspire Mallarmé à Valéry ne saurait tenir dans ces quelques minutes. Tout le long de sa vie Valéry revient sur l'influence du maître de sa jeunesse. En 1920 : "le Coup de dés", en 1927 "Lettre sur Mallarmé", 1931 "Je disais quelquefois à Stéphane Mallarmé", 1933 "Stéphane Mallarmé", 1937 "Sorte de préface", 1938 "Existence du Symbolisme", 1944 "Mallarmé"... En 1942 - le professeur Mondor lui ayant offert sa "Vie de Mallarmé", Valéry lui reproche "deux nuits d'insomnie" due à cette lecture, qui lui ravive une affection jamais éteinte. "Dernière visite à Mallarmé" date de 1923. Nous lisons d'abord une lettre adressée par Valéry à son ami André Gide, le lendemain de la mort de Mallarmé. Quelques minutes d'émotion, puis quelques minutes d'évocation non moins émouvante. ua-cam.com/video/DuJsCjZ_G18/v-deo.htmlsi=2hO3J-WFdVkdxAwE
Vladimir Jankélévitch : Une pièce "comme détraquée, anxieuse et un peu cynique. Elle boite de toutes ses dissonances (la dièse et ré dièse en mi mineur) et oppose au hiératisme biblique la plébéienne gaucherie de son jargon yiddish..."
Non seulement il a l'allure et les cheveux de Joel Sternheimer, mais ses mimiques sont très semblables.
Superb!
22'20"-26'00" ua-cam.com/video/s7ms8YItRrM/v-deo.htmlsi=9iZTuV_dPrZl4CQc
C’est pour ça que t’étais méchant 2015..😊
Bel exercice qui rend cette musique déjà touchante à la base encore plus expressive !!!
Tristan est excellent ua-cam.com/video/QO9gO2-7XX4/v-deo.htmlsi=mdI6nkBAnpKFa7JZ
Je parle de la représentation d'Orphée En plus ce sera l'occasion de partager une salade césar macdo + un verre de pinot noir. Mhm un mélange pareil est sûrement un curieux pokemon
Est-ce que tu peux me dire quand vous le jouerez. J'aime la musique et les choses délicatement puissantes tu le sais. Je viendrai Tu connais mon adresse Messenger
Ce type aime s'écouter parler. Mais il a l'air d'être le seul heureusement.
Mais non... Plein de gens aiment s'écouter parler 😊
toujours fâché ? 🫠
ua-cam.com/video/lIXfHYd1aPA/v-deo.htmlsi=9wELyKEhBdIbfCAk
Un language mélodieux, chaleureux et pur ! Magnifique, tout simplement !
"Si l'on pouvait se taire on ne dirait plus rien." Raymond Broudillier
Très beau, la base. Je ne vous apprendrez rien en vous disant que les cours de poétique Au Collège de france ont été retrouvés et édités. Merci
Une leçon de poésie qui ne s'adresse pas aux seuls musiciens. Valéry, dont Stravinsky avait sollicité l'aide pour la correction de ses cours écrits en français, leur trouva d'étonnants rapports avec ses propres cours de poétique donnés au Collège de France. ua-cam.com/video/Kc4Lh791bFM/v-deo.htmlsi L'époque était aux facilités du Surréalisme, Valéry, Stravinsky - et l'on peut leur joindre Ravel - créent la performance, c'est-à-dire : la différence.
Réponse à une question candide "Quand on dit un poème peut-on garder un ton normal ?" " Trop long de définir "normal" - ce mot veut résumer la force d'habitude. L'art de dire un poème est comme l'art d'en écrire : avant tout un métier. Je te dis déjà des banalités. Il y a, en chacun, dès la naissance, une tendance, une facilité, dans tous les domaines de travail ou d'expression. (Du moins : Il y en eut. Car aujourd'hui personne n'est plus poète qu'un autre, et tout le monde a voix au chapitre.) Maintenant des considérations historiques. La poésie de toutes les civilisations, depuis des millénaires, à toujours été associée au chant. Impossible de l'en séparer. La poésie de notre langue française depuis plus de mille ans est un travail de marqueterie sonore, les vers sont agencés syllabe à syllabe. La musicalité est la première caractéristique. Cette forme de poésie millénaire voulait un travail de soin équivalent chez ceux qui la disaient. On raconte que Racine disait merveilleusement les vers. Plus recémment André Gide aussi. Les acteurs de théâtre aimaient donner des récitals de poésie. MAIS voici une révolution technologique : l'invention de l'enregistrement sonore et de l'amplification. Les premiers acteurs confrontés au micro (dès avant 1900) se sont d'abord senti perdus. Il fallait passer d'une déclamation visant le 50e rang du théâtre au quasi chuchotement : impossible. Aujourd'hui ceux qui n'ont pas le moindre recul ne se rendent pas compte que par exemple, le journaliste qui présente les informations radio tv à une diction totalement artificielle. J'ai trop bossé sur la déclamation pour te faire un résumé, mais oui, déjà parler devant un micro demande du métier. Parler pour dire un poème encore plus. Il y a une infinité de manières de dire. Il y a une chose que de mon côté je ne supporte pas : ceux qui usent de béquilles - fond musical ou sonore sous leur récitation- pour compenser leur ignorance, surdité, absence de technique, soit absence d'art.. " ua-cam.com/video/FviUzqm8qck/v-deo.html
Louis Latourre : Caractère de ce qui est inouï.
ça dépend toujours de quel côté on observe le fait....
Quelle évidence Louis vous avez tout compris vous incarnez enfin ce que la poésie de plus vrai de plus fort et de beau signifie
Paul Valéry, poète fertile et ingénieux, devient publicitaire 😊
"État de Conscience modifié" proche de l'état du chant. Il faut le dire avec un soin proche de celui qui a conduit à son écriture. Merci à vous🙏
Quel beau mariage entre film et texte !!!
il est là ua-cam.com/video/-dMG--dFl_Y/v-deo.html
les contraintes sont un stimulant à l'imagination
Thank you sir
Contenu dense, exposé avec humour et légèreté...
Je ressens, je respire, je vis, je vois, je touche... c'est le chemin de l'esprit à la vie...
Bonjour Louis, étant et me sachant une merde, j’ai du moins la consolation de vous connaître ainsi que la maîtrise et le talent qui sont les vôtres.. loin de m’y comparer, je m’emploie à m’en inspirer, imprégner pour travailler. ua-cam.com/video/fXqaov-dAg4/v-deo.html
Se comparer soi à du caca c'est comparer tous les hommes à du caca, nous sommes tous tellement semblables, c'est une comparaison heureuse et fruitée puisque le caca est un engrais fécond ! Comme nous les humains qui fecondons le monde et le transformons en jardin d'éden
@@HxhXnin9e toutes griffes dehors ainsi va-t-il Louis / jamais rassasié qu’il attaque qu’il morde / il prend certes le temps d’écouter mes soucis / mais dans son sens à lui vite il faut qu’il les torde.
C'est éblouissant!!!
C'est extraordinaire de ne suivre que les gestes, les mouvements, l'expression des acteurs ce qui met complètement en évidence le texte d'introduction de la vidéo.
Bravo et beaux yeux bleus louis Latourre. Merci bcp !
La sérénité au milieu du tumulte. Rien ne vous perturbe vous êtes un homme heureux.
ua-cam.com/video/c0ZmiZ-Pz58/v-deo.html
Encore au stade annales Comme tout être humain… Des rhagades banales, Sur un si beau chemin.
ua-cam.com/video/jzrglU9J8N0/v-deo.html
Aux esprits profonds il est refusé de s'admirer par le détour de la ferveur d'autrui
“Qui nous cède, nous hait ; même cédant à la douceur et à la caresse.” Citation de Paul Valéry / Mauvaises pensées et autres
Paul Valéry - Sonnet à Catherine Pozzi (pièce de circonstance) . Le moindre pli de cette amour Inflige la plus grande peine Un instant fait noircir un jour Un soupir te rend incertaine . Te fait paraître sans retour Et tu me sembles si lointaine Quand au fond de cette fontaine Où se reflète mon amour . Je crois voir d'assez tristes signes Des ombres de soleils insignes Et des reprises de tes yeux . Et la douce amère parole Où se reflète de mes yeux La parfaite et pure corolle. . . (ₗₐ ᵥᵢdéₒ ₐⱼₒᵤₜₑ dₑ ₚₑₜᵢₜₛ bᵣᵢₙₛ d'écₕₐₙgₑₛ ₜₐqᵤᵢₙₛ ₑₙₜᵣₑ ₗₑₛ dₑᵤₓ ₐₘₐₙₜₛ) .
Apothéose d’un art. Merci
Pas un mot, pas un seul… Rien, mon Saule, n'effeuille Un si frêle miroir où déjà le jour meurt. Mais entière et parfaite est la paix qui m'accueille, Et mes pas semblent faits pour ces lieux sans rumeur. Te voici, mon bel Arbre, et si doux je les veuille, T'approcher de ces pas ne m'en fait pas moins peur : Moire offerte à mes yeux par un ciel couleur feuille, Trop d'espoir, trop d'amour peuple et hante mon cœur. Qui ne sait, beau Miroir, que la vie est un leurre ? Que la mort est légère à qui veut que tout meure ? Les bois purs de tes bras sont d'un tendre cercueil… Tu m'as dit bien souvent que tout vient à son heure ; Mais du mal - mais du bien, je ne sais - que j'effleure Pas un mot, pas un seul, qui défende le seuil.
Et bien la mélodie seul a quelque chose de bien Français
(En réponse à une critique portant sur l'interprétation du Cid par Gérard Philipe) Retour sur ce qu'une écoute superficielle appelle "l'allongement des syllabes", à quoi l'ignorance réduit l'art de la déclamation. Il s'agit de soutenir un texte, de jouer de ses paramètres phoniques et phonétiques - dans la poésie, en l'occurrence celle de Corneille, de placer la diction dans la même distance du phrasé ordinaire que le vers l'est de l'écriture commune. Nous disposons de témoignages écrits (écrits seulement, pour les acteurs les plus anciens) et sonores (depuis l'invention de l'enregistrement). Nous remarquons que la sensibilité à la musicalité vocale était très grande dans les siècles passés, elle semble même être placée au premier plan lorsqu'il s'agit de juger la qualité du jeu dramatique. (On pense ici - on pense toujours - à une poésie première, où le texte et son chant ne font qu'un - rien d'original, Orphée serait bien embêté sans sa lyre - on pense aux origines, à la manie humaine de psalmodier, à l' "orare" latin qui couvre aussi bien parole et prière etc. vous savez tout ça.) Je ne sais plus le nom du prince qui s'émerveillait de telle idée de Rachel ("elle descendait ici jusqu'au fa grave" note-t-il), mais je ne peux pas entrer dans le détail de ce que quelques décennies d'écriture et la nécessité de former les acteurs, m'ont contraint d'apprendre de maints témoignages extérieurs - et de... moi. Je dis "idée" de Rachel, et non inflexion - car en déclamation comme en versification fond et forme sont un. La déclamation comme le vers stylisent l'expression du sentiment. L' "allongement" est d'ailleurs moins fruit de l'accentuation, de la recherche rythmique, mélodique (attention portée aux moindres intervalles), que fruit de la nécessité expressive intérieure, une énergie enracinée au plus profond de soi et de la terre qui nous porte (ce n'est pas une image, c'est physique). La déclamation est multiple - Champmeslé, Dumesnil, Talma... on sent bien, à la surprise du public devant l'originalité de l'apport de maint nouveau grand nom, que la déclamation est un art d'invention en évolution constante. Celle de Gérard Philipe débutant a pu défavorablement choquer ceux habitués à ce que l'on appelle (par paresse intellectuelle encore une fois) la diction "vieil odéon". Mais si l'on écoute Segond-Weber Jeanne Sully, Julia Bartet, Jacqueline Morane... si l'on écoute vraiment, on voit bien qu'on ne peut pas plus résumer leurs styles sous "vieil Odéon" que la Chine sous "yeux bridés". Je vous ai dit que ce que nous pensons n'a pas grande importance, sauf à se traduire en actes. Il me semble que la poésie classique, la déclamation classique, restent à faire, et à faire bien plus que classiques. Voilà quelques décennies qu'on y travaille, les premières applications ont coûté cher. Messiaen disait à ses élèves, de la composition musicale : "C'est plus dur que de faire du concentré de viande" Pareil, il n'a pas trop tort.
J'adore cette comparaison, l'esprit des rappeurs dans les battles free-style existait déjà au temps des Bucoliques... Et qui pourrait rentrer en battle de la poésie avec Valéry ? Ce n'est peut-être que Valéry lui-même...
L'effort de Valéry n'est pas à portée de la compréhension ni de l'incompréhension commune.
Ni n’est poète, ni n’est mystique qui veut.
@@fabienattacks tu pourrais si tu tenais moins à tes mots
Valéry arrive à la conclusion que penser intrinsèquement est refuser. Tout ça pour ça ? Sans doute fallait-il en passer par là… Bergson. 50 ans quand même.. on pourrait aussi bien dire quelle vie gâchée ! (Exclamation). A quand l’acceptation ? A quand le non-refus ? Ce qui est tel quel. Sans le prisme déformant attentatoire au réel. Sans la pensée associée à l’émotion qui nous exile sans cesse du centre, le seul endroit où être.
🙏🏻
Merci !!!
Des anecdotes piquantes !!!