Відео

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Trop de fauxculautour du brillant de lucidité qu'est iegor

Ce type d'interview c'est du pain béni pour mon cœur, merci pour lui !

👌 Très apprécié , 🌟🌟🌟🌟🌟 grand Merci , 💝 du Vieux Québec 😘

Ah je comprends mieux pourquoi g tout le temps envie de chanter quand je suis en forêt !

Superbe émission pleine d'intelligence ! ça fait du bien à écouter. Bravo !

Un grand Monsieur que ce Yves Citton. J'ai eu la chance de l'avoir comme professeur alors qu'il enseignait à l'époque à l'université Stendhal de Grenoble. Un enseignant passionnant et d'une grande ouverture d'esprit, et bien sûr un veriable humaniste.

elle est assez médiocre intellectuellement.

Très intéressant.

Très curieux qu'on se soucie du sort des faisans, espèce exotique, volailles élevées pour l'amusement des chasseurs mais non pas du sort des POPULATIONS SAUVAGES d'ESPÈCES AUTOCHTONES tuées par les chasseurs : Bécasses, Perdrix, Coqs de Bruyères, Canards, Limicoles, Grives, Alouettes, sans compter les Mammifères. En 1986, aux Pays-Bas, les lâchers de Faisan ont été interdits. Ceci non pas pour les raisons genre SPA invoquées ici mais pour la sauvegarde de la biodiversité : la surdensité de faisans lâchés, quoique très temporaire, suffit à effondrer les effectifs de populations de Reptiles et Amphibiens. Protéger ces volailles jusqu'à ce qu'elles soient tirées est un motivation pour tuer les Carnivores sauvages, de la Belette au Renard. Et aussi Rapaces et Hérons (par les pêcheurs) : en dépit de leur protection en France, légalement dans les pays arriérés en la matière.

Si peu de clic et de commentaire... Pas de doutes : on est bien en France !

D'aucuns, dans cette vidéo comme ailleurs, font du plaisir de tuer une motivation essentiel des chasseurs. Ce qui serait proche d'une forme de sadisme. C'est une erreur totale. En dehors de la chasse à objectif rationnel de réduire des dégâts (essentiellement de Sanglier et, dans certains régions de Loup, plus marginalement de Cerf, voire deChevreuil) la motivation très dominantes des chasseurs c'est que, leur vie durant, une partie de leur mental n'a pas dépassé l'âge de dix ans : toutes leurs vie ils jouent aux indiens et aux cow-boys, ou encore aux explorateurs, mais avec de vraies armes. D'où, presque l'illusion que c'est " pour d'la vraie! " Je l'ai dit à un chasseur que je connaissais suffisamment pour me le permettre. Il m'a répondu que j'étais encore plus dur que sa femme et sa fille. Car, si leurs diagnostics étaient identiques au mien, elle, au moins lui donnant quand même quatorze ans d'âge mental en la matière... Biologiste de terrain comme moi ou bénévole d'association de la protection de la nature, nos problèmes sont les ravages faunistiques causés par de sales gosses pourvus d'armes. Ce qui sert les intérêts financiers de certains secteurs et qui bénéficie de soutiens sociologiques puissants : démagogie électoraliste, carriérisme de fonctionnaires concernés, etc. Tous personnages éthiquement bien plus méprisables que les "gosses turbulents" de tous âges fascinés par l'usage des armes. Lors d'un colloque sur une grande espèce remarquable j'ai bien souligné que les vraies responsables étaient ici. Quant à cette majorité de chasseurs, une fois qu'on a compris que, quel que soit leur âge à l'état-civil, ils ne sont que des gosses en matière de faune, on ne peut les considérer comme pleinement responsable. Mais le même constat exige d'être ferme à leur égard. Ce que ne sont ni les manipulateurs, ni les "chiffes molles" prenant les décisions ou les gauchissant totalement dans leur intérêt. J'ai été plusieurs décennies d'abord conseiller biologiste départemental (bénévole) de la Drôme et, après sa mise en place, membre de sa Commission Départementale de la Chasse et de la Faune Sauvage. Une expérience éprouvante qui m'a fournit une consternante démonstrations des composantes parmi les moins reluisante de l'éthologie du Troisième Chimpanzé Homo sapiens : "combines" entre représentants d'intérêts sectoriels, veulerie complaisante et démagogique des fonctionnaires d'Etat concernés. Curieusement, ces derniers d'autant moins motivés en faveur de la faune et d'autant plus "invertébrés" moralement qu'on monte dans la hiérarchie. Probablement du fait d'ambitions carriéristes. Tout ceci statistiquement : il a existé, à la DDA de Haute-Savoie, un ingénieur admirable concernant la protection de la nature, la restauration de la faune et la force de caractère, face une DDE avide de bétonner des zones naturelles exceptionnelles, des hommes d'affaires cupides et, en cheville avec eux, des députés faisant des interventions nominales contre lui à la chambre des députés. La proportion est celle des oasis au Sahara et des Schindler au parti nazi. Lorsque face aux défenseurs d'intérêt sectoriels ou électoralistes démagogiques d'élus à visés électoralistes, rampaient des fonctionnaires d'Etat concernés (comportement que la décentralisation a fait décuplés) le biologiste motivé par la biodiversité était indigné. Le citoyen, lui, était humilié. Parmi ces fonctionnaires je tiens à souligner une exception, inverse, d'autant plus remarquable, pour ne pas dire admirable. Idem pour un seul de ses collègues de la DDAF mais appartenant, lui à un autre service.

Je n'ai aucune complaisance pour la chasse et même je suis pour la disparition de la chasse de loisir : celle sans nécessité telle que prélèvement excessifs, solidement prouvés, de certaines espèces sur des productions agricoles et sans autre moyen de les diminuer. Mais je n'ai pas hésité à emprunter une arme pour tirer quelques dizaines de chats entretenus dans le voisinage par une personne d'un type que connaissent tous les vétérinaire et qui relève des psys : la personne qui nourrit des dizaines de chats en liberté (j'en ai compté jusqu'à 45 ensemble). Ceci pour les raisons cumulées suivantes : - total anéantissement des lézards des murailles et d'une énorme fraction des jeunes oiseaux justes sortis du nid. Motivation décisive pour moi ; - bac à sable de mon fils alors jeunes : truffé de merdes de chats. Motivation décisive pour ma compagne de même que la suivante ; - maison : impossibilité de laisser les fenêtres ouvertes sans être envahi : jusqu'à 20 chats, avec abondantes merdes, y compris sur des vêtements de ma fille posés sur une chaise. Mon vécu : un travail déplaisant, sans être traumatisant, qu'on doit être capable de faire quand il le faut. Que d'aucuns en fasse un loisir reste stupéfiant. Il n'était pas question pour moi d'accepter que, dans mon propres jardins des populations d'animaux sauvages, même d'espèces aussi modestes que le Lézard des murailles, soient anéanties parce qu'une voisine ne remplissant pas les obligations légales de confinement par clôture ad hoc d'un tel élevage massif. Ceci à la fois par plaisir personnel mais infiniment plus exigence éthique de conservation de la biodiversité. Il y a 12 à 13 millions de chats domestiques en France. À supposer que tout le pays soit plus ou moins boisé et d'altitude modeste, un très forte densité de l'espèce autochtone sauvage, le Chat forestier, atteindrait environ le cinquième d'un million, soit au maximum 60 fois moins. Au Royaume-Uni, une enquête a démontré que les chats domestiques avaient, en CINQ MOIS, ramené à la maison de leurs propriétaires les cadavres de 5 millions de Reptiles et Amphibiens, 27 millions d'Oiseaux et 57 millions de Mammifères tués par eux. Ce qui implique un total de victimes plusieurs fois plus élevé. Source :besjournals.onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/pan3.10073#:~:text=For%20example%2C%20one%20study%20estimated,et%20al.%2C%202003). Sous la même hypothèse que plus haut, ne vivrait au Royaume-Uni que moins d'un dixième de millions de Chat forestier, l'espèce sauvage autochtone. Les 10,8 millions de chats domestiques sont plus de 110 fois plus nombreux. La pression de prédation exercé par les chats domestiques est sans commune mesure avec celle exercée par l'espèce sauvage. Il ne s'agit nullement de relations entre espèces animales entre lesquelles nous ne devons pas intervenir. Ces chats domestiques sont produits par nous, notre élevage et aussi notre pillage de la faune sauvage, notamment de Poissons. Même source : "Domestic cats have also been implicated at broader scales, in the global extinction of at least 63 species-40 birds, 21 mammals, two reptiles-which is to say 26% of all known contemporary extinctions in these species groups (Doherty, Glen, Nimmo, Ritchie, & Dickman, 2016). Likewise, domestic cats currently endanger at least a further 367 species which are at risk of extinction (Doherty et al., 2016)."

Motivation et démotivations personnelles Bien souvent j'ai lu et entendu : - d'abord une réalité factuelle : il faut 10 kg de végétaux pour produite 1 kg de viande d'Oiseaux ou de Mammifères ; - ensuite non pas ce qui me ferait adhérer au régime végétarien : " donc, devenons végétariens et nous pourrons rendre à la faune et à la flore sauvage une partie énorme des espaces agricoles" Car peu m'importe qu'il n'y ait plus de porcs, brebis, chèvres, si prospèrent Sanglier, Mouflon, Bouquetin, ce dernier un de mes animaux professionnels. Et on n'aura plus de conflit entre loups et éleveurs. Je serais réellement motivé ; - ensuite, ce que j'entend où je lis avec stupeur, et horreur est : " donc, devenons végétariens et nous pourrons atteindre 15, 20 ou 25 milliards d'humains" Alors, non ! Passez moi les côtelettes d'agneaux ! Car l'omniprésence des cultures que cela implique ne permet pas le retour de biodiversité. La disparition du bétail sans retrouver de fortes densité d'Ongulés sauvages entraine la disparition des Vautours autres de mes espèces professionnelles : quatre en Europe, toutes présentes à nouveaux présentes en France, des Pyrénées aux Alpes... grâce aux cadavres de bétail, restauration de l'équarrissage naturel. Cela concerne quantité d'autres espèces. Ainsi, la mise en culture d'une fraction énormes des prairies naturelles en Europe au XX° siècle a été un écocide d'échelle continentale : espèces végétales et animales. Ceci surtout pour nourrir plus de bétail, par exemple le maïs. Si la population humaine double ou triple, cette biodiversité ne pourra être restaurée. Car ces immenses surfaces resterons dans champs pour nourrir non plus du bétail mais des humains, en densité de petits Rongeurs. En outre, la surpopulation nous prive non seulement de la biodiversité mais aussi d'une liberté éthologique fondamentale : disposer d'espaces libres, au minimum pendant sont temps libre. Ce qui échappe sans doute à ceux dont le rapport à l'espace est devenu à ce que fut celui d'Homo sapiens pendant > 95% de son histoire ce qu'est le rapport à l'espace du lapin de clapier et du poulet de batterie à celui du lapin de garenne et du coq doré fr.wikipedia.org/wiki/Coq_dor%C3%A9.

roman accrocheur , vraiment remarquable et très realiste , je l ai lu d un seul trait

Heureusement que Nothomb est présente ! ... 😅 L'animateur est un vrai goujat avec tout le monde, d'ailleurs.