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Le hinhinhin c'est ❤❤❤❤

Quelle poulet 🎉🎉❤

Ok, voici un texte de rap inspiré du style de TISLASH, un mélange de punchlines aiguisées, flow énergique et storytelling. Couplet 1 : Les murs tremblent sous mes rimes, c’est l’effet papillon, J’déclenche des tempêtes en soufflant dans le micro, champion. J’pars du bitume, là où les rêves prennent racine, Mais le béton n’a pas d’âme, faut qu’j’gratte pour voir la mine. La rue m’parle en silence, elle a des secrets à confier, Des blessures dans ses pavés que j’raconte dans mes couplets. Pas d’raccourci, que des détours dans les halls, Chaque échec est un prof, chaque victoire est un score. Refrain : C’est pour les vrais, pas pour les fausses postures, Ici le rap c’est brut, c’est l’antidote aux impostures. Écoute bien, j’découpe comme une lame sur le beat, Flow tislash, ça fait saigner même les murs du split. Couplet 2 : J’crache des flammes, l’enfer est jaloux de ma prose, Dans ce game, c’est soit tu brilles, soit tu fonds sous la dose. Trop d’mythos veulent la couronne, mais j’vois leurs fissures, J’vise la lune, même si la gravité m’assure. Le mic’ en main, j’défie les lois comme un hors-la-loi, Ma voix est une arme, c’est la révolution dans chaque voie. Je découpe mes rimes comme un sabre dans l’obscurité, TISLASH dans la vibe, c’est un carnage à chaque vérité. Refrain : C’est pour les vrais, pas pour les fausses postures, Ici le rap c’est brut, c’est l’antidote aux impostures. Écoute bien, j’découpe comme une lame sur le beat, Flow tislash, ça fait saigner même les murs du split. Outro : Chaque mot est un éclat, chaque phrase est une balle, Dans l’game, j’laisse des cicatrices, rien qu’ça fait mal. TISLASH, le style, le flow, l’impact, Un rap incisif, pas d’place pour les actes factices. Dis-moi si tu veux des modifications ou une autre ambiance !

Ok, voici un texte de rap inspiré du style de TISLASH, un mélange de punchlines aiguisées, flow énergique et storytelling. Couplet 1 : Les murs tremblent sous mes rimes, c’est l’effet papillon, J’déclenche des tempêtes en soufflant dans le micro, champion. J’pars du bitume, là où les rêves prennent racine, Mais le béton n’a pas d’âme, faut qu’j’gratte pour voir la mine. La rue m’parle en silence, elle a des secrets à confier, Des blessures dans ses pavés que j’raconte dans mes couplets. Pas d’raccourci, que des détours dans les halls, Chaque échec est un prof, chaque victoire est un score. Refrain : C’est pour les vrais, pas pour les fausses postures, Ici le rap c’est brut, c’est l’antidote aux impostures. Écoute bien, j’découpe comme une lame sur le beat, Flow tislash, ça fait saigner même les murs du split. Couplet 2 : J’crache des flammes, l’enfer est jaloux de ma prose, Dans ce game, c’est soit tu brilles, soit tu fonds sous la dose. Trop d’mythos veulent la couronne, mais j’vois leurs fissures, J’vise la lune, même si la gravité m’assure. Le mic’ en main, j’défie les lois comme un hors-la-loi, Ma voix est une arme, c’est la révolution dans chaque voie. Je découpe mes rimes comme un sabre dans l’obscurité, TISLASH dans la vibe, c’est un carnage à chaque vérité. Refrain : C’est pour les vrais, pas pour les fausses postures, Ici le rap c’est brut, c’est l’antidote aux impostures. Écoute bien, j’découpe comme une lame sur le beat, Flow tislash, ça fait saigner même les murs du split. Outro : Chaque mot est un éclat, chaque phrase est une balle, Dans l’game, j’laisse des cicatrices, rien qu’ça fait mal. TISLASH, le style, le flow, l’impact, Un rap incisif, pas d’place pour les actes factices. Dis-moi si tu veux des modifications ou une autre ambiance !

́je me réveille le cerveau remplie de rêve Je voudrais mourir comme PAPA Wemba sur la scène Mais ça reste un rêve j’ai trop le seum Qui sême le vent récolte la tempête Le problème avec la city C’est que ça pue l’hypocrisie Pendant que tu veux évoluer Eux ils cherchent à te noyer C’est pour ça que tu dois prouver et fermer des bouches C’est des petits qui ont besoin de couche Ils parlent pendant que tu ammasses du cash Et après ils reviennent pour te faire de la lèche Je bara que pour mes proches sinon après je me casses A la daronne je dois faire péter la caisse Je sais que dans mon dos y’en a qui crache je me réveille le cerveau remplie de rêve Je voudrais mourir comme PAPA Wemba sur la scène Mais personne ne me garantie Le succès donc il faut que je prie C’est pas le succès qui va me rendre mauvais Depuis petit j’ai les appuis solides L’impression de rester MAV Des fois j’ai l’impression que ma vie est un movie j’ai capter le cevi je dois les choquée N

Tu peut mettre les time chef stp

D’accord, tu veux un texte inspiré par Tiakola et Génizio, deux artistes avec des flows distincts mais qui partagent une approche réaliste de la rue, du ghetto, et des luttes quotidiennes. Voici un texte dans leur style, avec un peu de mélodie, mais aussi des paroles brutes qui racontent la réalité du ghetto. Tiakola x Génizio - “Ghetto” [Intro - Tiakola] Ouais, frère, ça vient du cœur… La rue nous façonne, elle nous forge, mais elle nous brise aussi… On y est tous, on y restera, même si ça fait mal. [Couplet 1 - Génizio] La rue m’a forgé, elle m’a appris à marcher seul, Les promesses d’un futur, frère, faut les chercher au fond des yeux, Le ghetto m’a dit “sois fort, sois sage”, mais la tentation est partout, Les frères tombent, la vie leur fait payer des dettes qu’ils n’ont même pas sous le cou. Le regard fixé sur les billets, mais je sais que ça m’éloigne, L’argent, c’est pas l’issue, mais c’est ça qui nous garde dans la mêlée, Le respect, la loyauté, c’est des valeurs qu’on garde, Mais dans cette jungle, faut être rapide, faut pas lâcher. Les rêves se font rares quand tu vois tout partir en fumée, T’as qu’une chance de t’en sortir, faut pas compter sur l’amitié, Les sirènes hurlent, les gars veulent fuir, Mais la rue, elle est là, elle nous attend, elle nous inspire. [Refrain - Tiakola] Le ghetto, frère, c’est là où j’ai grandi, Où les rêves s’effritent, où les âmes se perdent dans la nuit, Mais je reste debout, même quand tout m’appelle à tomber, Ghetto, c’est ma route, c’est là où j’vais m’installer. [Couplet 2 - Tiakola] Les blessures invisibles, j’les porte tous les jours, C’est pas l’amour qu’on cherche, mais la sortie du détour, Les p’tits veulent briller, mais l’ombre les guette, La rue les met à l’épreuve, faut savoir s’y prendre avec les dettes. J’te parle pas de rêves de luxe, mais d’fuir ce qui nous retient, Pas besoin de bling-bling quand l’objectif c’est d’vivre serein, Les p’tits veulent s’faire une place dans ce monde de brutes, Mais ici tout s’achète, même la loyauté se bouscule. Dans les quartiers, ça parle d’argent, de respect, de bagarre, Mais faut pas oublier qu’au fond, c’est le cœur qu’on prépare, La rue, elle t’offre pas d’cadeaux, elle te laisse dans la poussière, Mais c’est là que je trouve ma force, frère, dans la lumière d’hier. [Refrain - Tiakola] Le ghetto, frère, c’est là où j’ai grandi, Où les rêves s’effritent, où les âmes se perdent dans la nuit, Mais je reste debout, même quand tout m’appelle à tomber, Ghetto, c’est ma route, c’est là où j’vais m’installer. [Outro - Génizio] C’est la rue qui parle, frère, c’est pas nous qui choisit, Mais faut pas oublier d’où on vient, même quand ça nous brise, On marche dans l’ombre, mais on rêve d’éclaircie, Le ghetto c’est chez nous, on peut rien faire contre ça, on grandit ici. Ce texte est une combinaison du style de Tiakola et Génizio, avec cette capacité à mélanger des paroles poignantes et introspectives tout en restant ancrés dans la réalité du ghetto. Tiakola apporte un peu de mélodie et d’émotion, tandis que Génizio injecte un côté plus brut et réaliste, parlant de la lutte, du respect et des épreuves de la vie de quartier.

D’accord, tu veux un texte inspiré par Tiakola et Génizio, deux artistes avec des flows distincts mais qui partagent une approche réaliste de la rue, du ghetto, et des luttes quotidiennes. Voici un texte dans leur style, avec un peu de mélodie, mais aussi des paroles brutes qui racontent la réalité du ghetto. Tiakola x Génizio - “Ghetto” [Intro - Tiakola] Ouais, frère, ça vient du cœur… La rue nous façonne, elle nous forge, mais elle nous brise aussi… On y est tous, on y restera, même si ça fait mal. [Couplet 1 - Génizio] La rue m’a forgé, elle m’a appris à marcher seul, Les promesses d’un futur, frère, faut les chercher au fond des yeux, Le ghetto m’a dit “sois fort, sois sage”, mais la tentation est partout, Les frères tombent, la vie leur fait payer des dettes qu’ils n’ont même pas sous le cou. Le regard fixé sur les billets, mais je sais que ça m’éloigne, L’argent, c’est pas l’issue, mais c’est ça qui nous garde dans la mêlée, Le respect, la loyauté, c’est des valeurs qu’on garde, Mais dans cette jungle, faut être rapide, faut pas lâcher. Les rêves se font rares quand tu vois tout partir en fumée, T’as qu’une chance de t’en sortir, faut pas compter sur l’amitié, Les sirènes hurlent, les gars veulent fuir, Mais la rue, elle est là, elle nous attend, elle nous inspire. [Refrain - Tiakola] Le ghetto, frère, c’est là où j’ai grandi, Où les rêves s’effritent, où les âmes se perdent dans la nuit, Mais je reste debout, même quand tout m’appelle à tomber, Ghetto, c’est ma route, c’est là où j’vais m’installer. [Couplet 2 - Tiakola] Les blessures invisibles, j’les porte tous les jours, C’est pas l’amour qu’on cherche, mais la sortie du détour, Les p’tits veulent briller, mais l’ombre les guette, La rue les met à l’épreuve, faut savoir s’y prendre avec les dettes. J’te parle pas de rêves de luxe, mais d’fuir ce qui nous retient, Pas besoin de bling-bling quand l’objectif c’est d’vivre serein, Les p’tits veulent s’faire une place dans ce monde de brutes, Mais ici tout s’achète, même la loyauté se bouscule. Dans les quartiers, ça parle d’argent, de respect, de bagarre, Mais faut pas oublier qu’au fond, c’est le cœur qu’on prépare, La rue, elle t’offre pas d’cadeaux, elle te laisse dans la poussière, Mais c’est là que je trouve ma force, frère, dans la lumière d’hier. [Refrain - Tiakola] Le ghetto, frère, c’est là où j’ai grandi, Où les rêves s’effritent, où les âmes se perdent dans la nuit, Mais je reste debout, même quand tout m’appelle à tomber, Ghetto, c’est ma route, c’est là où j’vais m’installer. [Outro - Génizio] C’est la rue qui parle, frère, c’est pas nous qui choisit, Mais faut pas oublier d’où on vient, même quand ça nous brise, On marche dans l’ombre, mais on rêve d’éclaircie, Le ghetto c’est chez nous, on peut rien faire contre ça, on grandit ici. Ce texte est une combinaison du style de Tiakola et Génizio, avec cette capacité à mélanger des paroles poignantes et introspectives tout en restant ancrés dans la réalité du ghetto. Tiakola apporte un peu de mélodie et d’émotion, tandis que Génizio injecte un côté plus brut et réaliste, parlant de la lutte, du respect et des épreuves de la vie de quartier.

🔥🔥🔥🔥🔥

Meilleur instru au monde 🥲

T’es chaud pour que je pose sur l’instru ?

sah l’instru elle flexxxx

🥶🥶🥶🥶

Chaud pour une collab?

En dirait tiakola et genezio il ont demandé à junior à la prod x Davy one x Frozy de faire une prod Bah cette prod tu l'as déjà fait chef 🔥🔥🔥 Trop booster 🔥🔥🔥

🎉🎉🎉

🎉🎉🎉

🎉🎉🎉🎉

Je me suis directement abonné 🎉🎉🎉 GOOD WORK

feu

hustre

Woww 🔥🔥 méchant

Fort !

sal

😤😤🔥🔥

🔥🔥

❤❤❤

Fort les mélos !

Oh la dingriiii 🍯✨

🌟🌟

lourd

Sale

Incroyable

C géré 🔥🕺🏾

Gang celle la bro

😍😍😍

c binks

g

hustross

bang

c cho

popopopoooo la prod

saaaalllll

lourd mon gars

sal

huuustreee

vous êtes bon vous êtes bon

lourd

Ça tue tes trop fort

🔥🔥🔥