Відео

Roschild et Power Corp.

Inflation

+yoan yergeau ta qu'à écouter ce qu'il dit

Ma mère m'a toujours dit...si t'as rien d'intéressant à dire,c'est toujours mieux de se la fermer ...

+yoan yergeau dans ce cas pourquoi tu dis quelque chose ???

+Claude Fortin erreur de frappe : " ta capacité ..." je m'en excuse

+Claude Fortin tes excuses ....j'en ai rien à foutre.... deuxièmement , tu viens me narguer comme un osti de mangeux de marde et troisièmement, expliquer en théorie comment éponger la dette(en passant ce matin on doit 70000$ par tête et dans cette video de 2013 la dette est à 44000$par tête) c'est crissement loin du pratique ...pis si tu la connais la réponse...je te veux comme ministre des finances et tu vas devenir ma grande gueule favorite...et répond à ma putain de question......Comment on rembourse dans la vrai vie et non en théorie? j'attend ta réponse mr le ministre....lololol

+Jacques Poirier Bin oui bin oui bin oui, tu fais tellement pitié avec ta maison payée, tes 5 ipads/cellulaires, ta télé HD 54 pouces, etc. Retourne à l'école étudier l'économie un peu avant de mettre ton pied dans ta bouche.

+Nepoxx Cher Nepoxx, sache que j'ai un "super emploi blindé de professionnel au gouvernement" et que ma femme travaille à temps partiel. Sais tu quoi mon cher Nepoxx ? Nous n'avons pas 15 télés hd partout dans la maison, nous n'avons en fait rien de luxueux. Pas de dépenses superflues. Et bien, nous avons toute la misère du monde à boucler les fins de mois. Si je n'avais pas acheté ma maison (maison de deux loyers 5 et demi avec un locataire), je n'aurais même pas pu avoir de maison avec le resserrement des règles de la SCHL au cours des dernières années. Pourquoi tant de difficultés ? Problème #1 prix des maisons faramineux et taux d'intérêts bancaires, bien que très bas présentement, qui nous étouffent. Tu trouves ça normal Nepoxx que lorsque j'aurai fini de payer ma maison (si je fini de la payer un jour), je l'aurai payé 2 fois ? Déjà que le prix payé est exorbitant. Tu as tout à fait raison que les conditions de vie se sont grandement améliorées. Mais à quel prix ? Au prix de détruire la planète et rendre les riches de plus en plus riches et les pauvres (incluant la classe moyenne) de plus en plus esclaves de l'économie, ayant très peu d'espoir de s' en sortir un jour. Tu sais Nepoxx ? Lorsque tu atteints un certain âge, tous les individus pourraient avoir un diplôme d'économie car ils la vivent à chaque jour et chaque minute de leurs vies cette économie. Ils ne l'ont pas appris en théorie mais en pratique. Pour terminer Nepoxx, sache que j'ai un emploi qui me permet de prendre connaissance de très près des affres de l'économie. Je peux dire qu'au cours des vingts dernières années, la situation des familles de classe moyenne comme la nôtre s' est grandement détériorée. Tu parlais de l'ancien temps dans ton message. Sais - tu que de plus en plus de familles n'arrivent plus à suivre le rythme effréné et qu'elles n'arrivent plus à avoir le minimum (se nourrir et se loger). Sais - tu que les centres d'aide aux personnes démunies voient les demandes augmentées sans cesse et ne peuvent subvenir aux besoins ? La règle aujourd'hui est chacun pour soi, l'intérêt collectif n'existe plus ou très peu, et la (sur)consommation règne en roi et maître et les banques nous manipulent comme des marionnettes. Elles ont pris le contrôle de nos destinés.

Salaire garanti, ça veut peut-être dire ne faire que ce qu'il faut pour moins produire. Salaire garanti au lieur de « travail garanti » serait la fin de l'exploitation des ouvriers... Salaire garanti, fin de « l'aide de dernier recours, de travail au noir, de brasure au travail et usure de l'ouvrier à l'outrance garanti» Voir la mort du travail youtube

Tout à fait d'accord avec vous. Une dette HORS DE CONTRÔLE comme celle du Québec ne peut comporter plus d'avantages que d'inconvénients. Il faut vraiment prendre LE PETIT PEUPLE pour des caves pour lui faire croire le contraire.

+Rene Francoeur Les dettes et les intérêts sont des outils fantastiques lorsque bien utilisé. Ils permettent à des gens de démarrer des entreprises et aux gouvernements d'investir dans le future économique et sociale. Par exemple: Un boulanger qui n'a pas d'argent, mais qui possède une boulangerie qui vaut 100'000 $. revenues - dépenses il fait un maigre profit de 10'000$ par année. Tout de même il va à la banque et prend un prêt de 200'000 $ à 10 % d'intérêt pour acheter un nouveau four. Techniquement, il est endetté à 200 % de se qu'il vaut et doit payer 20'000 d'intérêt par année. Il est dans le trou de 10'000 $. Mais en fait non! Son nouveau four vaut 100'000 $ sa compagnie vaut donc 200'000 $ et l'augmentation de sa productivité fait qu'il fait maintenant 40'000 $ de profit par année. Bien sur il doit payer le 20'000 $ d'intérêts, mais il fait 30'000 $ de plus qu'avant. C'est la même chose avec le Québec. Combien d'emplois indirectes sont créés grâce au barrages hydroélectriques? Des centaines de milliers sans doute... Combien d'emplois sont créés grâce à nos écoles et à nos bon services? Si la dette est bien géré, elle est un outils indispensable à la richesse.

Jonathan Vachon revoit tes cours, le début de la crise a été fais par la dérèglementation des banques au états-unies et l'apparition d'un papier commercial non contrôler... crise 2008 = crise du papier commercial

+Jonathan Vachon L'interventionisme de l'État a seulement eu pour effet de gonfler davantage la dette de nos voisin du sud en tentant de freiner sans succès la dégringolade des banques et constructeurs automobile. C'est en effet les papiers commerciaux et la bulle hypotécaire américaine qui ont causé le collapse.

Patrick Cote non ca veux juste dire que faut arreter de capoter avec la dette et qu'il y a des niveaux d'endettement acceptable, contrairement à la droite économique qui veux absolument réduire la dette et diminuer la taille de l'état pour que les riches entrepreneurs en profite plus du fais de l'absence du public dans certain secteurs.

Mackoloco Justement, l'ampleur de la dette du Québec n'est plus acceptable depuis longtemps.

Si les «pauvre» connaissaient le pouvoir de l'inertie, le pouvoir de la pensé, le pouvoir de l'éducation et de la culture, (se nourrir, échanger, le savoir faire que nos grands parents ont appris de leur parents etc... :a dette ne nous ferait plus peur. Elle peu l'intérêt de Banquiers et des joueurs à la bourse...

Donc continuons de payé 8 milliards par année sur le budget du Québec, quoi de mieux ? Certains font des intérêts c'est parfait ! Voyont dont ! C'est n'importe quoi, c'est enrichir ceux qui ont des actifs liés au gouvernement au détriment de la majorité des Québécois !

Oui et non- Quand l'État diminue ses services et préleve encore plus d'impots sur les salaires pour payer sa dette, Mr ou mme tout le monde est pas gagnant...Car l'État, cest nous; Et un État peut faire défaut sur sa dette. cest deja arrivé

Merci de votre opinion. Il y a trop de questions pour répondre par clavier, mais j'y vais par bride saccadée. Le rôle de l'État est celui d'être juste. Les entreprises étatiques rapportent beaucoup d'argent au gouvernement (alcool, loto, électricité). Vous et moi en sommes actionnaires en tant que citoyens québécois. Pour comprendre la création de la SAAQ et de l'assurance-maladie, il faut voir l'historique. Avant la création de la SAAQ (années 70), les accidentés se poursuivaient en justice à n'en plus finir. Les gens se faisaient ruiner. Dans les années 60, la maladie était la principale cause d'endettement des ménages. Les familles se ruinaient par la maladie d'un de leurs membres. Avec le temps, on s'est rendu compte que l'investissement en prévention a des impacts positifs importants sur la santé publique. Pourtant, le gouvernement coupe en prévention. Quel est le message? La maladie serait-elle devenue payante? Pour qui? On n'a pas les moyens de se priver d'une justice sociale, car les coûts sociaux et économiques sont énormes. Sur le terrain, ce que nous constatons et affirmons: tous les lieux de discussions, d'échanges et d'entraide soutenue par et pour les communautés locales seront réduits ou abolis faute de ressources financières et humaines. C'est un choix politique. Pourtant, ce sont des lieux où l'on redonne le pouvoir de la parole, de décision et d'action aux citoyens déjà fragilisés. Quand on redonne du pouvoir aux gens, sur leur vie, leur condition de vie et leur avenir (et que ça fonctionne), il y en a pour qui ça dérange. Ce n'est pour rien que le gouvernement coupe dans les tables de concertations régionales et réorganise différents réseaux (CSSS, CLD, CJE). La place du citoyen est de plus en plus réduite ou carrément tassée des lieux de démocratie participative. C'est inquiétant. Le gouvernement considère de plus en plus le citoyen comme un payeur de taxes / vote au quatre ans. Pourtant, un citoyen, c'est avant tout un membre d'une communauté devant avoir accès à des espaces de participation active aux décisions qui le concernent dans l'amélioration de sa qualité de vie.

TACAEstrie Être juste n’est pas un rôle, c’est une valeur. Je parlais du rôle du gouvernement en prenant pour acquis certaines valeurs universelles (du moins en occident). Je ne sais pas si l’analogie de l’actionnariat fonctionne avec les entrerpises étatiques, car un actionnaire est quelqu’un qui a investi volontairement son argent dans une organisation dans laquelle il croit. En tant que citoyen, si je suis témoin d’employés de l’État qui ont des postes inutiles, ou qui se la coulent douce au travail, je ne peux pas retirer mon investissement. Sachez que je parle ici par expérience, que je n’utilise pas le vilain cliché, et que je suis bien au fait par contre que mon expérience n’est pas un échantillon suffisamment grand pour faire des conclusions sur l’ensemble du réseau publique. Je crois néanmoins à ce vilain cliché de l’employé de l’État relax parce que les preuves du contraire ne sont pas convaincantes. Donc je ne suis pas actionnaire, car je suis forcé de continuer à payer pour des absurdités. Allez faire un tour dans les bureaux administratifs du réseau de la santé, muni de quelques connaissances en informatique, et vous n’en reviendrez pas des jobs qui devraient être informatisées / automatisées, des postes inutiles qui ne sont pas nécessaires, qui seraient normalement abolis dans le privé. Au sujet de la création de la SAAQ et de la RAMQ: Étais-ce vraiment le seul moyen pour régler les problèmes que nous avions? Pourquoi au lieu de créer une société entière d’assurance-invalidité n’auraient-on pas pu prendre la même approche qu’avec l’assurance-domages et forcer tout propriétaire de véhicule à s’assurer au privé? Idem pour la santé: créer des incitatifs forts pour les citoyens à souscrire à une assurance santé. Et règlementer les assureurs au niveau des prix, voire subventionner les moins nantis. Pourquoi étaient-on obligés de se partir en affaires et espèrer que les 500,000 employés de l’État agissent en bonne volonté dans l’intérêt collectif? Maintenant, les investissements dans la prévention. Si vous avez lu mon premier commentaire, chose que je doute, vous aurez vu que c’est bien l’un des rôles que j’attribute à l’État. Nous guider vers les comportements souhaitables. Prévention, sensibilisation, etc. C’est extrèmement vrai qu’on n’a pas les moyens de se priver d’une justice sociale. Ce qui est moins clair c’est la nécessité de donner au gouvernement des industries entières et d’espèrer qu’il fasse de son mieux. “[…] mais que si ça ne marche pas, eh bien ce n’est pas grave, car il n’y a pas de faillite. La population est obligée de continuer à payer de toute façon […]” Est-ce que la nationalisation est le prérequis absolu à la justice sociale? Vous concluez en pointant les effets des mesures austères, de la réingénérie de l’État à saveure libérale. Que les CSSS, CLD, CJE sont menacés, bien qu’ils soient des lieux où l’on donne le pouvoir de la parole et de décision. Pardon?! Nous vivons dans l’une des sociétés où on peut le plus dire ce que l’on pense sans conséquence, le droit de parole est immense. On se demande même si on devrait pas fixer des barrières jusqu’où certains humoristes devraient aller tellement on est libres. La liberté de parole, de presse, etc. Le pouvoir de décision: c’est pas dans les CLD qu’il doit y avoir du pouvoir de décision, c’est aux assemblées municipales, de quartier, c’est dans les regroupements communautaires, les diverses associations (qui n’ont pas besoin d’argent du gouvernement pour fonctionner). Démocratie participative, directe: je suis avec vous ici. Je crois que nous devrions avoir accès aux décisions, mais moi c’est pas internet que je verrais ça. Utiliser des référendums “hebdomadaires” sur les questions majeures. On sauverait beaucoup en commissions inutiles, et on aurait vraiment un pouvoir de control immense. Qu’en pensez-vous?

je suis d'accord avec toute ce que vous dites avant la section: comment lutté. En fait je ne comprend pas pourquoi on devrait lutté a agrandir l'intervention de l'état: Le rôle du gouvernement ne peut pas être d'être juste. ce qui est juste pour un ne l'est pas forcément pour l'autre... Es-ce plus juste que tous ait droit a une part égale du gâteau (équité) ou bien que ceux qui travaille le plus fort soit un peu plus récompensés? Tout dépend des valeurs de la société. Le rôle de l'état tend a toujours plus s’accroître dans diverses sphères. Je vous crois quand vous dite que le but caché des mesures d'austérités (on parle ici de freiner la croissance et c'est loin d'être les même mesures d'austérité de coupure qu'en Grèce etc) est de réduire l'intervention du Gouvernement... mais es-ce vrm une mauvaise chose? En considérant que le système de santé et d'éducation ne sont pas des services publics mais bien des service financé par l'état, donc par nous les contribuables. Lorsque je voit les gens dans la rue revendiquer la gratuité de tous les services je me demande s'il se rende compte que la gratuité n'existe pas, elle a un coût. Je comprend que les politique en place vont ralentir l'économie, mais par la suite le libre marché devrait permettre a ce que les service payant bénéficie a ceux qui le valorise le plus. Soyons réaliste je ne croit pas que le but est que le système de santé et d'éducation passe totalement au privé. seulement que ceux qui les utilises ait une plus grande implication dans leur fonctionnement. Mais bon pour chaque opinion il y a son contraire... tant qu'on ne change pas trop l'état a chaque élection car le Québec est entrain de devenir instable au fils des années et je m'inquiète pour les prochaine années du québec, ca promet d'être mouvementé (et pas seulement pour la fin du mandat libéral)

+Vincent Labrecque je suis d'accord avec vous concernant la SAQ. La RAMQ? Pas d'accord, car ce serait imposer une vision mercantiliste sur les services de santé: une société d'assurance privée est là pour faire de l'argent, et quand il s'agit de santé ça peut devenir catastrophique d'autant plus quand on privatise l'acte en lui-même. Le modèle américain est le pire de tous les modèles occidentaux, non seulement en terme d'accessibilité mais aussi en terme de qualité des soins, OR la santé de la population active agit directement sur le moteur économique. Il en va de même pour l'éducation. En ce sens, je crois que le Keynésianisme est de loin préférable. Comment financer tout celà? Outre les moyens traditionnels qui somme toute ne sont pas si mauvais (c'est le PLC et son dogmatisme qui nous a enfoncé dans une dette abyssale en partant d'un surplus budgétaire, pas le modèle que nous avions avant leur avènement), la nationalisation (ou semi-nationalisation en terme de retombées sur l'extraction) des ressources naturelles: il s'agit d'une richesse collective et PÉRISSABLE (il y a un fond où il ne reste plus rien), incluant l'eau, car de plus *l'énergie est un rouage, un pouvoir de levier sur la dynamique économique* globale et c'est donc vital. Certains parlent de socialisme, perso je vois plutôt cela telles des mesures de centre et permettant un capitalisme sain accompagné d'une meilleure compétitivité sur les marchés internationaux, en partie de par un plus faible coût de l'énergie - par ex. via Hydro-Québec qu'il faut cesser de privatiser, outre pour la sous-traitance : un capitalisme entrepreneurial fondé sur des valeurs de production, plutôt qu'un capitalisme financier toxique. En ce sens, à mon humble avis le meilleur modèle est bien norvégien, constatons seulement son ratio dette/PIB, il est parmi les plus bas à environ 45% malgré tous ses programmes sociaux qui peuvent paraître exagérés (il faudrait vérifier le chiffre exact mais c'est dans ces eaux là)!

+HawkFest C’est une bonne question morale que celle du mercantilisme en santé. C’est vraiment l’un des points que me déchire le plus. Dans un libre marché, oui les hopitaux seraient en quête de profits, avec probablement des investisseurs avides à l’arrière. Mais revenons à la base: dans un système capitaliste, celui qui répond le mieux aux demandes du consommateur est celui qui fera le plus d’argent. Il y a un alignement entre les besoins de la société et les motivations des entreprises. Par contre, on a témoigné de beaucoup de dérives qui rendent le système imparfait. Mon point, c’est d’utliser le gouvernement pour corriger ces dérives. Et tout est dans la manière. Corriger les dérives non pas en se lançant collectivement en business, constuire des hopitaux et engager du personnel syndiqué, mais plutôt en votant des lois qui forcent le privé à bien agir de sorte à ce qu’il y ait bel et bien l’alignement entre les intérêts du privé et le bien être collectif. L’éducation: mon rêve c’est de l’offrir cette gratuité scolaire, mais avec conditions minimales de performance de la part des étudiants. Je ne veux pas d’un système gratuit comme celui de la santé, avec des gens qui vont à l’urgence pour une grippe, ou encore ceux qui se foutent de leur santé, car ils n’ont jamais eu à payer pour des soins. Idem en éducation; si c’est gratuit, qu’est-ce qui motivera les étudiants à finir rapidement leurs études au lieu de procrastiner et changer de programme 2-3 fois pour repousser le plus longtemps possible le moment auquel ils devront faire le stressant saut sur le marché du travail? C’est pas avec partisanerie qu’on va progresser dans de tels débats. Restons au niveau provincial voulez-vous, et sans mettre la faute sur le parti qu’on déteste. Nos gouvernements ont été gérés en alternance depuis que la dette a apparu et gonflé. La principale corrélation que je voies avec la dette est notre nouveau modèle de social démocratie. C’est depuis qu’on a grossi le gouvernement qu’on s’endette pour payer cette justice sociale. Vous parlez de la nationalisation de l’industrie minière: je l’entends beaucoup celle là. Beaucoup de gens plus à gauche considèrent cet enjeux comme la panacée qui amènera tout l’argent nécessaire à l’État pour créer encore plus de programmes sociaux et nouvelles structures. Il vient d’où ce réflexe de toujours vouloir impliquer l’État davantage et lui donner toujours plus de monopoles. Parlant d’un capitalisme sain, ne trouvez-vous pas que ma vision du gouvernement énoncée dans le premier commentaire est un moyen légitime et efficace d‘y arriver? Le gouvernement a tous les pouvoirs, c’est à coups de lois et législation qu’il peut corriger les dérives du capitalisme, pas en le compétitionnant ou en le distordant à l’aide de monopoles artificiels. Vous nous partagez par la suite un court passage de votre vision d’un capitalisme entrepreneurial fondé sur des valeurs de production, à l’opposé d’un capitalisme financier toxique actuel. Si vous avez suivi l’évolution de l’économie mondiale, vous aurez remarqué que la production physique a migré en orient, car meilleur rapport qualité/prix de la main d’oeuvre. L’économie canadienne s’est transformée en une économie du savoir, et oui, la finance est l’une de nos spécialisations. Nous avons une industrie financière ultra poussée, robuste et enviée. Je crois que vous avez utilisé l’expression “capitalisme financier toxique” en faisant référence aux marchés boursiers et aux multinationales qui, par avarice, sont la source de la pollution et de l’exploitation de travailleurs à travers le monde. Ce capitalisme sauvage dont vous faites mention est bien réel, mais il est en pleine transformation. L’économie verte croît rapidement, et les entreprises socialement responsables attirent de plus en plus d’investisseurs. La bourse à la base permet à monsieur madame tout le monde de mettre la main sur une “share” des profits générés par les entreprises. C’est intrinsèquement un ingénieux système de leviers qui permet à une entreprise pertinente d’obtenir du financement pour réaliser des projets d’envergure, tout en redonnant un profit aux investisseurs. Là où la belle histoire se termine, c’est que malheureusement, les industries avec les projects les plus payants furent celles qui causèrent le plus de pollution et externalités négatives à la société. L’industrie pétrolière, de par la malheureuse victoire du moteur à essence au début du 20e siecle, a connu une explosion de sa demande. Je finis avec l’éternel parallèle avec la Norvège. Pu capable. Comment pouvez-vous comparer ces deux nations? Ce pays repose sur une réserve phénoménale de pétrole. L’argent généré par ce pétrole leur permet de ne pas en bruler chez eux. Cet argent leur permet de s’alimenter avec des énergies propres qui coûtent plus cher, et de vivre malgré le prix plus élevé de tout le reste. Bien content pour eux! Vous remarquerez qu’ils sont très modestes sur la scène internationale puisqu’ils savent qu’il serait hypocrite de dire aux autres nations de polluer moins et de suivre leur modèle. Retour au Québec. Nous avons environ des dépenses gouvernementales similaires, sauf sans la mine d’or sous nos pieds. Comment on se la paye cette justice sociale? À crédit! Merci à nos enfants, qui n’auront certainement pas accès à tout ce luxe. En 2030, la proportion travailleur-dépendant sera de 1 pour 2! Merci de votre commentaire!

Pour mieux comprendre la dette du Québec, je vous invite à regarder cette vidéo. La dette du Québec expliquée par Éric Pineault . Bon visionnement!

Il serait bon que l'austérité s'applique aussi aux membres du gouvernement. Le gouvernement devrait montrer l'exemple si il veut que ses employés suivent le pas sans se les mettre à dos. Bizarre que eux aient toujours droit aux paradis fiscaux, bonus, augmentation salarial... Parlant de bonus, où est le mien lorsque je passerai d'employé publique au privé?

+SuperBob Personne n'a droit aux paradis fiscaux. Les bonus en effet sont la pire arnaque au gouvernement. Il n'y a pas eu non plus d'augmentation salariale. Je crois que vous faites référence à la restructuration de la structure salaire des députés. Le salaire brut a augmenté, mais une partie des cotisations prédéterminées à leurs régimes de retraite on été coupées.

par devant aussi et je ne pense pas que ce soit "l'entreprise" -- peut-être quelques corporations et individus... mais si ce qu'il dit est juste la majorité des entreprises en paient les frais aussi.