Nicolas de Sadeleer
Nicolas de Sadeleer
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1. Comprendre le droit de la protection de la nature. Les sources de droit international
Les causes de l’érosion de la biodiversité sont extrêmement diverses. La coopération internationale s'avère indispensable dans la mesure où les écosystèmes, leurs habitats et leurs espèces ne connaissent pas les frontières. Le professeur Nicolas de Sadeleer commente les principales conventions internationales (CDB, Ramsar, CITES, etc;) qui ont pour objet de garantir la protection de la vie sauvage au niveau international. La vidéo a été réalisée à l'Institut royal des sciences naturelles de Belgique.
00:00 Introduction
00:58 Fonction du droit international
03:59 Accords ayant une approche sectorielle
06:05 Vision globale - Convention sur la biodiversité de 1992
09:50 Principes généraux de droit international - Le principe de prévention
12:08 Principe de précaution
16:40 Souveraineté des États membres sur l'exploitation de leurs ressources
19:29 Effectivité du droit international en matière de protection de la nature
21:33 Invocabilité, effet direct
23:35 Impact des mesures sur la menace environnementale
25:11 Stratégies de l'UE
26:27 Objectifs ambitieux
Переглядів: 1 138

Відео

6. Comprendre le droit de la protection de la nature. Droit de la mer
Переглядів 4302 роки тому
1. La base de la vie dans les océans est liée principalement à l’activité photosynthétique du phytoplancton et de bactéries, ainsi qu’aux apports de nutriments en provenance du continent ou des sédiments marins. Tant la composition des eaux marines que leurs mouvements (courants) influencent la répartition et l’adaptation des organismes qui y vivent. Encore largement sous-étudié, le milieu mari...
3. Comprendre le droit de la protection de la nature. Les zones humides
Переглядів 5852 роки тому
1. La majeure partie de l’eau que nous exploitons et utilisons provient des zones humides. Les avantages économiques de la conservation des zones humides sont considérables : alimentation en eau, pêcheries (les 2/3 des poissons pêchés dans le monde en dépendent), agriculture (rizières...), ressources énergétiques (tourbe), possibilités de loisirs et de tourisme. Cependant l’eau n’est pas égalem...
8. Comprendre le droit de la protection de la nature. Les espèces migratrices
Переглядів 3932 роки тому
1.Quels sont les enjeux de la conservation de ces espèces migratrices? La préservation des oiseaux ne peut être garantie que si la conservation de leurs habitats est également assurée, c’est-à-dire celle des écosystèmes au sein desquels vivent les oiseaux et dont ils dépendent. Exigeant de par leur mobilité et leur taille relativement importante de grands espaces, les oiseaux ne peuvent être pr...
2. Comprendre le droit de la protection de la nature. La dimension scientifique
Переглядів 5092 роки тому
Cette vidéo a pour objet de montrer un mouvement continu de scientifisation du droit de la nature. Elle s’articule autour d’un dialogue entre, d’une part, les sciences naturelles et, d’autre part, les règles juridiques. A la suite d'un interview sur les enjeux de la conservation de la biodiversité, les différentes approches conceptuelles de la conservation sont abordées par l'entremise d'une sé...
4. Comprendre le droit de la protection de la nature. Les forêts (droit international)
Переглядів 5822 роки тому
1. A la question qu’est-ce qu’une forêt, tous les Etats membres n’ont pas de réponse commune. La forêt constitue alors une formation végétale dans laquelle les arbres prédominent. Il s'agit d'une communauté d'êtres vivants, remarquablement diversifiée, possédant une structure et une organisation complexes. Cette communauté dépend du climat, du sol, de la latitude, de l'altitude ainsi que de l'a...
7. Comprendre le droit de la protection de la nature. Gestion intégrée des zones côtières
Переглядів 4512 роки тому
1. Le littoral est la bande de terre constituant la zone comprise entre une étendue maritime et la terre ferme. Il est difficile d’appréhender cette notion compte tenu des différents concepts qui lui sont accordés (géographiques, géomorphologiques, océanographiques, biologiques). C’est à ce niveau que se croisent les exigences terrestres et marines. La plupart des activités terrestres (pollutio...
5. Comprendre le droit de la protection de la nature. Les forêts (en droit de l'UE)
Переглядів 4632 роки тому
1. Les forêts dans l’UE couvrent environ 179.4 millions d'hectares, soit environ 43% des territoires des 27 Etats membres. Il s'agit aussi d'une activité économique majeure. En effet, le secteur forestier représente environ 1% du PIB européen (jusqu’à 5% en Finlande) et emploie environ 2.6 millions de personnes. En valeur absolue, le secteur forestier s'élève à une valeur de près de 140 milliar...
Environmental Principles: From Political Slogans to Legal Rules
Переглядів 1 тис.3 роки тому
This video traces the evolution of environmental principles from their origins as vague political slogans to their embodiment in international conventions, constitutions, EU directives and regulations, and statutes. In particular, Professor de Sadeleer, who has been authoring Environmental Principles (2nd ed., OUP, 2020), discusses the legal effect of principles at the national and internationa...
12. Comprendre le droit de l'environnement : droit des investissements et environnement
Переглядів 1,2 тис.4 роки тому
Synthèse : 1. La compétence de l’union en matière d’investissement est récente (art. 207 TFUE). Les accords d’investissement conclus par l’UE visent à encourager les investissements croisés. 2. Le droit des investissements s'articule autour de deux axes: • Volet substantiel qui consacre des droits en faveur des investisseurs (1) non-discrimination, (2) traitement juste et équitable et (3) compe...
3. Comprendre le droit de l'environnement: pourquoi un droit européen de l'environnement?
Переглядів 5 тис.4 роки тому
Environnement - Droit l'environnement - Notion d'environnement - Développement durable - principes -Traité de l’UE-acte juridique - Directive - Règlement - Marché intérieur - Harmonisation maximale- Harmonisation minimale - Recours en manquement- Recours préjudiciel - Principes des droits de l'environnement - Principe d'intégration - article 37 de la Charte Synthèse : En l'espace de 40 ans, l’U...
7. Comprendre le droit de l'environnement: cours d’eau transfrontière
Переглядів 1,4 тис.4 роки тому
Environnement - Droit l'environnement - Cours d’eau transfrontière- prévention- Usage équitable - Ressources hydriques - Principe de coopération - Protection de l'Escaut - Protection de la Meuse - Commission internationale de l'Escaut Synthèse : 1. L'eau constitue la ressource la plus abondante de la planète puisqu'elle couvre les trois quarts de sa superficie. Toutefois, seulement 2,5 % de ce ...
1. Comprendre le droit de l'environnement : les enjeux du droit de l'environnement
Переглядів 19 тис.4 роки тому
Environnement - droit l'environnement - notion d'environnement - pollution transfrontalière - principes - crise environnementale - crise climatique - biodiversité anthropocentrisme - crise climatique - vie sauvage - protection de la nature - Convention d’Aarhus - Véritable laboratoire d'idées, le droit de l'environnement regorge de dispositifs témoignant d'une quête d'excellence en rapport avec...
13. Comprendre le droit de l'environnement : crise climatique et droits fondamentaux
Переглядів 1,5 тис.4 роки тому
Environnement - crise climatique - émissions de gaz à effet de serre - gaz à effet de serre -montée des mers - Convention européenne des droits de l'homme - droit à la vie - droit à la protection de la vie familiale et du domicile - recours collectif - lien de causalité -principe de précaution - protection juridictionnelle effective - consensus scientifique - GIEC - séparation des pouvoirs 1. L...
5. Comprendre le droit de l'environnement : le droit des installations classées
Переглядів 4,8 тис.4 роки тому
Environnement - droit l'environnement - émissions industrielles - autorisation d’exploiter - permis d’environnement - valeur limite d’émission - norme de qualité environnementale - meilleurs techniques disponibles Synthèse : 1. Le droit des établissements classés prend son origine dans les mesures de salubrité publique prises au titre des pouvoirs de police administrative. Il est devenu l’ossat...
9. Comprendre le droit de l'environnement : le glyphosate dans l’œil du cyclone
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10. Comprendre le droit de l'environnement: le droit des déchets
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6. Comprendre le droit de l'environnement: études d’impact et centrales nucléaires
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КОМЕНТАРІ

  • @nicolasdesadeleer6833
    @nicolasdesadeleer6833 Місяць тому

    Bravo

  • @Kris-qx9pz
    @Kris-qx9pz 2 місяці тому

    Good

  • @nicolasdesadeleer9330
    @nicolasdesadeleer9330 Рік тому

    Excellent

  • @nicolasdesadeleer9330
    @nicolasdesadeleer9330 Рік тому

    😀

  • @METROUnivMaastricht
    @METROUnivMaastricht Рік тому

    Excellente analyse

  • @inaressekodjoh2724
    @inaressekodjoh2724 Рік тому

    Bien dit...

  • @METROUnivMaastricht
    @METROUnivMaastricht Рік тому

    A rigorous analysis of the polluter pays principle

  • @METROUnivMaastricht
    @METROUnivMaastricht Рік тому

    A rigorous analysis of EU law

  • @METROUnivMaastricht
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    Excellent

  • @METROUnivMaastricht
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    Excellent. As clear as crystal

  • @METROUnivMaastricht
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    Fort intéressant. Très concis

  • @METROUnivMaastricht
    @METROUnivMaastricht Рік тому

    Très bien construit, fort intéressant.

  • @METROUnivMaastricht
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    Excellent

  • @METROUnivMaastricht
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    Excellent, as clear as crystal!

  • @METROUnivMaastricht
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    Beautiful

  • @METROUnivMaastricht
    @METROUnivMaastricht Рік тому

    Excellent

  • @amelsafta6168
    @amelsafta6168 3 роки тому

    +

  • @amelsafta6168
    @amelsafta6168 3 роки тому

    *

  • @amelsafta6168
    @amelsafta6168 3 роки тому

    *

  • @amelsafta6168
    @amelsafta6168 3 роки тому

    +

  • @amelsafta6168
    @amelsafta6168 3 роки тому

    *

  • @jeanpaulewomsan7653
    @jeanpaulewomsan7653 4 роки тому

    Intéressant

  • @theodoreessome6850
    @theodoreessome6850 4 роки тому

    J'apprécie bien l'idée, mais soutenir un tel principe n'est pas loin de perpétuer les menaces écologiques. Je pollue donc je paye, or j'ai de quoi payer donc il y a de quoi polluer. Ce n'est pour moi qu'un principe régulateur et régulateur pour le pauvre qui craindrait les amendements non pas pour les géants économiques.

  • @mona8054
    @mona8054 5 років тому

    Vous aussi vous avez frissonné quand elle a dit qu'un article stipule ?

    • @maximebp6614
      @maximebp6614 4 роки тому

      C'est peut être du au fait qu'elle soit belge

    • @mona8054
      @mona8054 4 роки тому

      @@maximebp6614 Je crois que c'est pareil pour les belges

    • @maximebp6614
      @maximebp6614 4 роки тому

      @@mona8054 Le droit Belge est sensiblement identique au Droit Français ?

    • @mona8054
      @mona8054 4 роки тому

      @@maximebp6614 Je ne connais pas le droit belge, mais rien à voir avec le droit. Il s'agit juste d'utiliser le bon terme : la loi dispose, un contrat stipule. On nous rabâche ça en première année et souvent l'erreur hérisse les poils des juristes ^^

    • @maximebp6614
      @maximebp6614 4 роки тому

      Vous prêchez un converti !

  • @anselmedenise8414
    @anselmedenise8414 5 років тому

    La police de l'environnement ne s'attaque JAMAIS aux villes qui détournent massivement et illégalement l'eau douce vers la mer au lieu de la recycler dans les champs ... 170 000 m3 d’eau distribués en moyenne chaque jour dans la métropole de Bordeaux ( 62 millions de m3 par an ... c'est 40 fois le barrage de Sivens .... ) , cette eau douce repart dans la mer après traitement (on garde les boues toxiques pour les champs mais pas l'eau propre ...) ! Ils tombent au moins 600 mm de pluie par an sur la métropole de Bordeaux (579km2) soit 300 millions de m3 par an (200 fois le barrage de Sivens) qui repartent à la mer .... Dans la métropole de Bordeaux on a au minimum 362 millions d'eau douce qui rejoint la mer au lieu d'être recyclée ou infiltrée, c'est un million de m3 par jour (un Sivens par jour ... ) . C'est 181 000 hectares de maraichage irrigués l'été uniquement en recyclant les rejets de la métropole, de quoi garantir une production qui dépasse les besoins de la métropole ... mais non tout repart à la mer et on pompe dans les nappes ! Le code de l'environnement impose un traitement et une infiltration de tous les rejets pour ne pas perturber le cycle de rechargement des nappes phréatiques (comme pour les maisons individuelles)... et quand les infiltrations ne sont pas possibles il faut exploiter l'eau pour des usages non domestique comme l'arrosage ! Les rejets en rivières doivent rester exceptionnels pour éviter les pollutions ! Tout est écrit noir sur blanc et depuis longtemps, d'ailleurs toutes les nouvelles zones artificialisées sont aux normes mais les pas les villes ... En nouvelle aquitaine il y a 781 000 hectares artificialisés (toits, béton goudron), avec une pluviométrie moyenne de 700mm par an ça donne 5 milliards de m3 d'eau douce qui n'est ni utilisée ni infiltrée ... c'est 3 fois la consommation TOTALE de toute la région (1,5 milliards de m3 pour l'eau potable, l'industrie et l'agriculture) ! Mais surtout c'est 10 fois plus que les prélèvements agricoles dans les nappes phréatiques .... avec 50% des pluies qui tombent sur les ville de la région on pourrait irriguer la TOTALITE de la surface agricole utile de la région sans prélever une goutte dans les nappes phréatiques ! Des mesures de restrictions d'eau sont mises en place dans 87 départements ... D'année en année le phénomène s'accentue .... sans jamais s'attaquer aux villes qui ne recyclent pas l'eau ! En France la consommation totale d'eau (potable, industrie et agricole) ne représente que 2.5% des pluies annuelles .... on serait capable d'envoyer des sondes sur Mars pour trouver des traces d'eau mais on serait incapable de capter plus de 2.5% des pluies sur terre ???? Les sécheresses n'ont rien à voir avec le réchauffement climatique, c'est une juste une très mauvaise gestion des pluies ... on ne peut pas passer trois saisons à évacuer massivement la pluie vers la mer et prétendre avoir de l'eau l'été ! Les agriculteurs sont les seuls à avoir le bon sens de faire des réserves d'eau l'hiver pour épargner les nappes l'été ... faisons tous des réserves l'hiver, mettons les villes aux normes et on ne parlera plus jamais de restrictions d'eau ... La végétalisation des surfaces (agricoles et urbaines) est indispensable l'été pour réguler le climat et sauver la biodiversité, un sol sec c'est un sol mort (la biodiversité des sols étant à la basse de toutes les chaines alimentaires ça explique une grande partie de l'effondrement) ! Les sols se minéralisent essentiellement par une exposition prolongée au soleil brulant de l'été. Sans végétation vivante l'été les sols se dégradent en libérant du CO2 au lieu d'en capturer ! Notre environnement est vert parce qu'il pleut et il pleut parce que notre environnement est vert : l'évapotranspiration n'est pas un problème c'est même LA solution au dérèglement climatique ... La réciproque est également vraie : le sols sont secs parce qu'il ne pleut pas et il ne pleut pas parce que les sols sont secs ... il ne faut jamais couper le cycle de l'eau (évaporation), c'est notre pompe à eau et notre pompe à chaleur ! Cela peut paraitre paradoxal mais la réduction de 10% par an (depuis 20 ans ...) des surfaces irriguées à contribuer à aggraver fortement le phénomène ! Planter des haies dans les champs est une goutte d'eau dans l'océan, l'ampleur du phénomène est beaucoup trop grande ... il faut une vingtaine d'années pour qu'un arbre commence à être efficace pour le climat ... on sera tous morts avant ! Les surfaces végétales sont les seules surfaces qui ne brûlent pas au soleil, qui ne stockent pas la chaleur , qui pompent du CO2, qui libèrent de l'oxygène, qui entretiennent le cycle de l'eau, qui stockent l'énergie solaire sous forme de biomasse, qui protègent la biodiversité et qui nourrissent la planète … A condition de les maintenir en vie avec de l'eau au moment ou on en a le plus besoin : l'été ... donc en faisant des réserves l'hiver ! Un arbre adulte (feuillus) consomme 500 litres d'eau par jour l'été, soit 5000m3 à l'hectare et par an, soit 500mm de pluie (70% des précipitations) et c'est pour cela que les forets régulent le climat ! Si les forets de conifères brulent trous les étés c'est parce qu'elles évaporent deux fois moins d'eau que les forêts de feuillus donc évacuent deux fois moins de chaleur et ne favorisent pas les pluies. AUCUN champs irrigué ne pourra consommer plus d'eau l'été qu'il n'a laissé infiltrer l'hiver ... l'eau infiltrée est utilisée par les villes, ce qui ne poserait AUCUN problème si cette eau était restituée au champs après traitement ... pour information les boues de stations d'épurations sont épandues dans les champs et l'eau "propre"dans les rivières ... un simple retour de l'eau des villes dans les champs permettrait de diviser par deux les prélèvements dans les nappes phréatiques l'été ... donc de résoudre tous nos problèmes hydrologiques ... pas besoin d'inventer de nouvelles règles, il suffit de faire appliquer le code de l'environnement aux collectivités ... Ce n'est pas la biodiversité qui sauvera le climat mais c'est en sauvant le climat qu'on sauvera la biodiversité ! L'agriculture est la seule activité économique dont le bilan hydrique est positif : elle infiltre plus d'eau dans les nappes phréatiques l'hiver qu'elle ne prélève l'été !

  • @anselmedenise8414
    @anselmedenise8414 5 років тому

    La police de l'environnement ne s'attaque JAMAIS aux villes qui détournent massivement et illégalement l'eau douce vers la mer au lieu de la recycler dans les champs ... 170 000 m3 d’eau distribués en moyenne chaque jour dans la métropole de Bordeaux ( 62 millions de m3 par an ... c'est 40 fois le barrage de Sivens .... ) , cette eau douce repart dans la mer après traitement (on garde les boues toxiques pour les champs mais pas l'eau propre ...) ! Ils tombent au moins 600 mm de pluie par an sur la métropole de Bordeaux (579km2) soit 300 millions de m3 par an (200 fois le barrage de Sivens) qui repartent à la mer .... Dans la métropole de Bordeaux on a au minimum 362 millions d'eau douce qui rejoint la mer au lieu d'être recyclée ou infiltrée, c'est un million de m3 par jour (un Sivens par jour ... ) . C'est 181 000 hectares de maraichage irrigués l'été uniquement en recyclant les rejets de la métropole, de quoi garantir une production qui dépasse les besoins de la métropole ... mais non tout repart à la mer et on pompe dans les nappes ! Le code de l'environnement impose un traitement et une infiltration de tous les rejets pour ne pas perturber le cycle de rechargement des nappes phréatiques (comme pour les maisons individuelles)... et quand les infiltrations ne sont pas possibles il faut exploiter l'eau pour des usages non domestique comme l'arrosage ! Les rejets en rivières doivent rester exceptionnels pour éviter les pollutions ! Tout est écrit noir sur blanc et depuis longtemps, d'ailleurs toutes les nouvelles zones artificialisées sont aux normes mais les pas les villes ... En nouvelle aquitaine il y a 781 000 hectares artificialisés (toits, béton goudron), avec une pluviométrie moyenne de 700mm par an ça donne 5 milliards de m3 d'eau douce qui n'est ni utilisée ni infiltrée ... c'est 3 fois la consommation TOTALE de toute la région (1,5 milliards de m3 pour l'eau potable, l'industrie et l'agriculture) ! Mais surtout c'est 10 fois plus que les prélèvements agricoles dans les nappes phréatiques .... avec 50% des pluies qui tombent sur les ville de la région on pourrait irriguer la TOTALITE de la surface agricole utile de la région sans prélever une goutte dans les nappes phréatiques ! Des mesures de restrictions d'eau sont mises en place dans 87 départements ... D'année en année le phénomène s'accentue .... sans jamais s'attaquer aux villes qui ne recyclent pas l'eau ! En France la consommation totale d'eau (potable, industrie et agricole) ne représente que 2.5% des pluies annuelles .... on serait capable d'envoyer des sondes sur Mars pour trouver des traces d'eau mais on serait incapable de capter plus de 2.5% des pluies sur terre ???? Les sécheresses n'ont rien à voir avec le réchauffement climatique, c'est une juste une très mauvaise gestion des pluies ... on ne peut pas passer trois saisons à évacuer massivement la pluie vers la mer et prétendre avoir de l'eau l'été ! Les agriculteurs sont les seuls à avoir le bon sens de faire des réserves d'eau l'hiver pour épargner les nappes l'été ... faisons tous des réserves l'hiver, mettons les villes aux normes et on ne parlera plus jamais de restrictions d'eau ... La végétalisation des surfaces (agricoles et urbaines) est indispensable l'été pour réguler le climat et sauver la biodiversité, un sol sec c'est un sol mort (la biodiversité des sols étant à la basse de toutes les chaines alimentaires ça explique une grande partie de l'effondrement) ! Les sols se minéralisent essentiellement par une exposition prolongée au soleil brulant de l'été. Sans végétation vivante l'été les sols se dégradent en libérant du CO2 au lieu d'en capturer ! Notre environnement est vert parce qu'il pleut et il pleut parce que notre environnement est vert : l'évapotranspiration n'est pas un problème c'est même LA solution au dérèglement climatique ... La réciproque est également vraie : le sols sont secs parce qu'il ne pleut pas et il ne pleut pas parce que les sols sont secs ... il ne faut jamais couper le cycle de l'eau (évaporation), c'est notre pompe à eau et notre pompe à chaleur ! Cela peut paraitre paradoxal mais la réduction de 10% par an (depuis 20 ans ...) des surfaces irriguées à contribuer à aggraver fortement le phénomène ! Planter des haies dans les champs est une goutte d'eau dans l'océan, l'ampleur du phénomène est beaucoup trop grande ... il faut une vingtaine d'années pour qu'un arbre commence à être efficace pour le climat ... on sera tous morts avant ! Les surfaces végétales sont les seules surfaces qui ne brûlent pas au soleil, qui ne stockent pas la chaleur , qui pompent du CO2, qui libèrent de l'oxygène, qui entretiennent le cycle de l'eau, qui stockent l'énergie solaire sous forme de biomasse, qui protègent la biodiversité et qui nourrissent la planète … A condition de les maintenir en vie avec de l'eau au moment ou on en a le plus besoin : l'été ... donc en faisant des réserves l'hiver ! Un arbre adulte (feuillus) consomme 500 litres d'eau par jour l'été, soit 5000m3 à l'hectare et par an, soit 500mm de pluie (70% des précipitations) et c'est pour cela que les forets régulent le climat ! Si les forets de conifères brulent trous les étés c'est parce qu'elles évaporent deux fois moins d'eau que les forêts de feuillus donc évacuent deux fois moins de chaleur et ne favorisent pas les pluies. AUCUN champs irrigué ne pourra consommer plus d'eau l'été qu'il n'a laissé infiltrer l'hiver ... l'eau infiltrée est utilisée par les villes, ce qui ne poserait AUCUN problème si cette eau était restituée au champs après traitement ... pour information les boues de stations d'épurations sont épandues dans les champs et l'eau "propre"dans les rivières ... un simple retour de l'eau des villes dans les champs permettrait de diviser par deux les prélèvements dans les nappes phréatiques l'été ... donc de résoudre tous nos problèmes hydrologiques ... pas besoin d'inventer de nouvelles règles, il suffit de faire appliquer le code de l'environnement aux collectivités ... Ce n'est pas la biodiversité qui sauvera le climat mais c'est en sauvant le climat qu'on sauvera la biodiversité ! L'agriculture est la seule activité économique dont le bilan hydrique est positif : elle infiltre plus d'eau dans les nappes phréatiques l'hiver qu'elle ne prélève l'été !

  • @anselmedenise8414
    @anselmedenise8414 5 років тому

    La police de l'environnement ne s'attaque JAMAIS aux villes qui détournent massivement et illégalement l'eau douce vers la mer au lieu de la recycler dans les champs ... 170 000 m3 d’eau distribués en moyenne chaque jour dans la métropole de Bordeaux ( 62 millions de m3 par an ... c'est 40 fois le barrage de Sivens .... ) , cette eau douce repart dans la mer après traitement (on garde les boues toxiques pour les champs mais pas l'eau propre ...) ! Ils tombent au moins 600 mm de pluie par an sur la métropole de Bordeaux (579km2) soit 300 millions de m3 par an (200 fois le barrage de Sivens) qui repartent à la mer .... Dans la métropole de Bordeaux on a au minimum 362 millions d'eau douce qui rejoint la mer au lieu d'être recyclée ou infiltrée, c'est un million de m3 par jour (un Sivens par jour ... ) . C'est 181 000 hectares de maraichage irrigués l'été uniquement en recyclant les rejets de la métropole, de quoi garantir une production qui dépasse les besoins de la métropole ... mais non tout repart à la mer et on pompe dans les nappes ! Le code de l'environnement impose un traitement et une infiltration de tous les rejets pour ne pas perturber le cycle de rechargement des nappes phréatiques (comme pour les maisons individuelles)... et quand les infiltrations ne sont pas possibles il faut exploiter l'eau pour des usages non domestique comme l'arrosage ! Les rejets en rivières doivent rester exceptionnels pour éviter les pollutions ! Tout est écrit noir sur blanc et depuis longtemps, d'ailleurs toutes les nouvelles zones artificialisées sont aux normes mais les pas les villes ... En nouvelle aquitaine il y a 781 000 hectares artificialisés (toits, béton goudron), avec une pluviométrie moyenne de 700mm par an ça donne 5 milliards de m3 d'eau douce qui n'est ni utilisée ni infiltrée ... c'est 3 fois la consommation TOTALE de toute la région (1,5 milliards de m3 pour l'eau potable, l'industrie et l'agriculture) ! Mais surtout c'est 10 fois plus que les prélèvements agricoles dans les nappes phréatiques .... avec 50% des pluies qui tombent sur les ville de la région on pourrait irriguer la TOTALITE de la surface agricole utile de la région sans prélever une goutte dans les nappes phréatiques ! Des mesures de restrictions d'eau sont mises en place dans 87 départements ... D'année en année le phénomène s'accentue .... sans jamais s'attaquer aux villes qui ne recyclent pas l'eau ! En France la consommation totale d'eau (potable, industrie et agricole) ne représente que 2.5% des pluies annuelles .... on serait capable d'envoyer des sondes sur Mars pour trouver des traces d'eau mais on serait incapable de capter plus de 2.5% des pluies sur terre ???? Les sécheresses n'ont rien à voir avec le réchauffement climatique, c'est une juste une très mauvaise gestion des pluies ... on ne peut pas passer trois saisons à évacuer massivement la pluie vers la mer et prétendre avoir de l'eau l'été ! Les agriculteurs sont les seuls à avoir le bon sens de faire des réserves d'eau l'hiver pour épargner les nappes l'été ... faisons tous des réserves l'hiver, mettons les villes aux normes et on ne parlera plus jamais de restrictions d'eau ... La végétalisation des surfaces (agricoles et urbaines) est indispensable l'été pour réguler le climat et sauver la biodiversité, un sol sec c'est un sol mort (la biodiversité des sols étant à la basse de toutes les chaines alimentaires ça explique une grande partie de l'effondrement) ! Les sols se minéralisent essentiellement par une exposition prolongée au soleil brulant de l'été. Sans végétation vivante l'été les sols se dégradent en libérant du CO2 au lieu d'en capturer ! Notre environnement est vert parce qu'il pleut et il pleut parce que notre environnement est vert : l'évapotranspiration n'est pas un problème c'est même LA solution au dérèglement climatique ... La réciproque est également vraie : le sols sont secs parce qu'il ne pleut pas et il ne pleut pas parce que les sols sont secs ... il ne faut jamais couper le cycle de l'eau (évaporation), c'est notre pompe à eau et notre pompe à chaleur ! Cela peut paraitre paradoxal mais la réduction de 10% par an (depuis 20 ans ...) des surfaces irriguées à contribuer à aggraver fortement le phénomène ! Planter des haies dans les champs est une goutte d'eau dans l'océan, l'ampleur du phénomène est beaucoup trop grande ... il faut une vingtaine d'années pour qu'un arbre commence à être efficace pour le climat ... on sera tous morts avant ! Les surfaces végétales sont les seules surfaces qui ne brûlent pas au soleil, qui ne stockent pas la chaleur , qui pompent du CO2, qui libèrent de l'oxygène, qui entretiennent le cycle de l'eau, qui stockent l'énergie solaire sous forme de biomasse, qui protègent la biodiversité et qui nourrissent la planète … A condition de les maintenir en vie avec de l'eau au moment ou on en a le plus besoin : l'été ... donc en faisant des réserves l'hiver ! Un arbre adulte (feuillus) consomme 500 litres d'eau par jour l'été, soit 5000m3 à l'hectare et par an, soit 500mm de pluie (70% des précipitations) et c'est pour cela que les forets régulent le climat ! Si les forets de conifères brulent trous les étés c'est parce qu'elles évaporent deux fois moins d'eau que les forêts de feuillus donc évacuent deux fois moins de chaleur et ne favorisent pas les pluies. AUCUN champs irrigué ne pourra consommer plus d'eau l'été qu'il n'a laissé infiltrer l'hiver ... l'eau infiltrée est utilisée par les villes, ce qui ne poserait AUCUN problème si cette eau était restituée au champs après traitement ... pour information les boues de stations d'épurations sont épandues dans les champs et l'eau "propre"dans les rivières ... un simple retour de l'eau des villes dans les champs permettrait de diviser par deux les prélèvements dans les nappes phréatiques l'été ... donc de résoudre tous nos problèmes hydrologiques ... pas besoin d'inventer de nouvelles règles, il suffit de faire appliquer le code de l'environnement aux collectivités ... Ce n'est pas la biodiversité qui sauvera le climat mais c'est en sauvant le climat qu'on sauvera la biodiversité ! L'agriculture est la seule activité économique dont le bilan hydrique est positif : elle infiltre plus d'eau dans les nappes phréatiques l'hiver qu'elle ne prélève l'été !

  • @anselmedenise8414
    @anselmedenise8414 5 років тому

    La police de l'environnement ne s'attaque JAMAIS aux villes qui détournent massivement et illégalement l'eau douce vers la mer au lieu de la recycler dans les champs ... 170 000 m3 d’eau distribués en moyenne chaque jour dans la métropole de Bordeaux ( 62 millions de m3 par an ... c'est 40 fois le barrage de Sivens .... ) , cette eau douce repart dans la mer après traitement (on garde les boues toxiques pour les champs mais pas l'eau propre ...) ! Ils tombent au moins 600 mm de pluie par an sur la métropole de Bordeaux (579km2) soit 300 millions de m3 par an (200 fois le barrage de Sivens) qui repartent à la mer .... Dans la métropole de Bordeaux on a au minimum 362 millions d'eau douce qui rejoint la mer au lieu d'être recyclée ou infiltrée, c'est un million de m3 par jour (un Sivens par jour ... ) . C'est 181 000 hectares de maraichage irrigués l'été uniquement en recyclant les rejets de la métropole, de quoi garantir une production qui dépasse les besoins de la métropole ... mais non tout repart à la mer et on pompe dans les nappes ! Le code de l'environnement impose un traitement et une infiltration de tous les rejets pour ne pas perturber le cycle de rechargement des nappes phréatiques (comme pour les maisons individuelles)... et quand les infiltrations ne sont pas possibles il faut exploiter l'eau pour des usages non domestique comme l'arrosage ! Les rejets en rivières doivent rester exceptionnels pour éviter les pollutions ! Tout est écrit noir sur blanc et depuis longtemps, d'ailleurs toutes les nouvelles zones artificialisées sont aux normes mais les pas les villes ... En nouvelle aquitaine il y a 781 000 hectares artificialisés (toits, béton goudron), avec une pluviométrie moyenne de 700mm par an ça donne 5 milliards de m3 d'eau douce qui n'est ni utilisée ni infiltrée ... c'est 3 fois la consommation TOTALE de toute la région (1,5 milliards de m3 pour l'eau potable, l'industrie et l'agriculture) ! Mais surtout c'est 10 fois plus que les prélèvements agricoles dans les nappes phréatiques .... avec 50% des pluies qui tombent sur les ville de la région on pourrait irriguer la TOTALITE de la surface agricole utile de la région sans prélever une goutte dans les nappes phréatiques ! Des mesures de restrictions d'eau sont mises en place dans 87 départements ... D'année en année le phénomène s'accentue .... sans jamais s'attaquer aux villes qui ne recyclent pas l'eau ! En France la consommation totale d'eau (potable, industrie et agricole) ne représente que 2.5% des pluies annuelles .... on serait capable d'envoyer des sondes sur Mars pour trouver des traces d'eau mais on serait incapable de capter plus de 2.5% des pluies sur terre ???? Les sécheresses n'ont rien à voir avec le réchauffement climatique, c'est une juste une très mauvaise gestion des pluies ... on ne peut pas passer trois saisons à évacuer massivement la pluie vers la mer et prétendre avoir de l'eau l'été ! Les agriculteurs sont les seuls à avoir le bon sens de faire des réserves d'eau l'hiver pour épargner les nappes l'été ... faisons tous des réserves l'hiver, mettons les villes aux normes et on ne parlera plus jamais de restrictions d'eau ... La végétalisation des surfaces (agricoles et urbaines) est indispensable l'été pour réguler le climat et sauver la biodiversité, un sol sec c'est un sol mort (la biodiversité des sols étant à la basse de toutes les chaines alimentaires ça explique une grande partie de l'effondrement) ! Les sols se minéralisent essentiellement par une exposition prolongée au soleil brulant de l'été. Sans végétation vivante l'été les sols se dégradent en libérant du CO2 au lieu d'en capturer ! Notre environnement est vert parce qu'il pleut et il pleut parce que notre environnement est vert : l'évapotranspiration n'est pas un problème c'est même LA solution au dérèglement climatique ... La réciproque est également vraie : le sols sont secs parce qu'il ne pleut pas et il ne pleut pas parce que les sols sont secs ... il ne faut jamais couper le cycle de l'eau (évaporation), c'est notre pompe à eau et notre pompe à chaleur ! Cela peut paraitre paradoxal mais la réduction de 10% par an (depuis 20 ans ...) des surfaces irriguées à contribuer à aggraver fortement le phénomène ! Planter des haies dans les champs est une goutte d'eau dans l'océan, l'ampleur du phénomène est beaucoup trop grande ... il faut une vingtaine d'années pour qu'un arbre commence à être efficace pour le climat ... on sera tous morts avant ! Les surfaces végétales sont les seules surfaces qui ne brûlent pas au soleil, qui ne stockent pas la chaleur , qui pompent du CO2, qui libèrent de l'oxygène, qui entretiennent le cycle de l'eau, qui stockent l'énergie solaire sous forme de biomasse, qui protègent la biodiversité et qui nourrissent la planète … A condition de les maintenir en vie avec de l'eau au moment ou on en a le plus besoin : l'été ... donc en faisant des réserves l'hiver ! Un arbre adulte (feuillus) consomme 500 litres d'eau par jour l'été, soit 5000m3 à l'hectare et par an, soit 500mm de pluie (70% des précipitations) et c'est pour cela que les forets régulent le climat ! Si les forets de conifères brulent trous les étés c'est parce qu'elles évaporent deux fois moins d'eau que les forêts de feuillus donc évacuent deux fois moins de chaleur et ne favorisent pas les pluies. AUCUN champs irrigué ne pourra consommer plus d'eau l'été qu'il n'a laissé infiltrer l'hiver ... l'eau infiltrée est utilisée par les villes, ce qui ne poserait AUCUN problème si cette eau était restituée au champs après traitement ... pour information les boues de stations d'épurations sont épandues dans les champs et l'eau "propre"dans les rivières ... un simple retour de l'eau des villes dans les champs permettrait de diviser par deux les prélèvements dans les nappes phréatiques l'été ... donc de résoudre tous nos problèmes hydrologiques ... pas besoin d'inventer de nouvelles règles, il suffit de faire appliquer le code de l'environnement aux collectivités ... Ce n'est pas la biodiversité qui sauvera le climat mais c'est en sauvant le climat qu'on sauvera la biodiversité ! L'agriculture est la seule activité économique dont le bilan hydrique est positif : elle infiltre plus d'eau dans les nappes phréatiques l'hiver qu'elle ne prélève l'été !

  • @anselmedenise8414
    @anselmedenise8414 5 років тому

    La police de l'environnement ne s'attaque JAMAIS aux villes qui détournent massivement et illégalement l'eau douce vers la mer au lieu de la recycler dans les champs ... 170 000 m3 d’eau distribués en moyenne chaque jour dans la métropole de Bordeaux ( 62 millions de m3 par an ... c'est 40 fois le barrage de Sivens .... ) , cette eau douce repart dans la mer après traitement (on garde les boues toxiques pour les champs mais pas l'eau propre ...) ! Ils tombent au moins 600 mm de pluie par an sur la métropole de Bordeaux (579km2) soit 300 millions de m3 par an (200 fois le barrage de Sivens) qui repartent à la mer .... Dans la métropole de Bordeaux on a au minimum 362 millions d'eau douce qui rejoint la mer au lieu d'être recyclée ou infiltrée, c'est un million de m3 par jour (un Sivens par jour ... ) . C'est 181 000 hectares de maraichage irrigués l'été uniquement en recyclant les rejets de la métropole, de quoi garantir une production qui dépasse les besoins de la métropole ... mais non tout repart à la mer et on pompe dans les nappes ! Le code de l'environnement impose un traitement et une infiltration de tous les rejets pour ne pas perturber le cycle de rechargement des nappes phréatiques (comme pour les maisons individuelles)... et quand les infiltrations ne sont pas possibles il faut exploiter l'eau pour des usages non domestique comme l'arrosage ! Les rejets en rivières doivent rester exceptionnels pour éviter les pollutions ! Tout est écrit noir sur blanc et depuis longtemps, d'ailleurs toutes les nouvelles zones artificialisées sont aux normes mais les pas les villes ... En nouvelle aquitaine il y a 781 000 hectares artificialisés (toits, béton goudron), avec une pluviométrie moyenne de 700mm par an ça donne 5 milliards de m3 d'eau douce qui n'est ni utilisée ni infiltrée ... c'est 3 fois la consommation TOTALE de toute la région (1,5 milliards de m3 pour l'eau potable, l'industrie et l'agriculture) ! Mais surtout c'est 10 fois plus que les prélèvements agricoles dans les nappes phréatiques .... avec 50% des pluies qui tombent sur les ville de la région on pourrait irriguer la TOTALITE de la surface agricole utile de la région sans prélever une goutte dans les nappes phréatiques ! Des mesures de restrictions d'eau sont mises en place dans 87 départements ... D'année en année le phénomène s'accentue .... sans jamais s'attaquer aux villes qui ne recyclent pas l'eau ! En France la consommation totale d'eau (potable, industrie et agricole) ne représente que 2.5% des pluies annuelles .... on serait capable d'envoyer des sondes sur Mars pour trouver des traces d'eau mais on serait incapable de capter plus de 2.5% des pluies sur terre ???? Les sécheresses n'ont rien à voir avec le réchauffement climatique, c'est une juste une très mauvaise gestion des pluies ... on ne peut pas passer trois saisons à évacuer massivement la pluie vers la mer et prétendre avoir de l'eau l'été ! Les agriculteurs sont les seuls à avoir le bon sens de faire des réserves d'eau l'hiver pour épargner les nappes l'été ... faisons tous des réserves l'hiver, mettons les villes aux normes et on ne parlera plus jamais de restrictions d'eau ... La végétalisation des surfaces (agricoles et urbaines) est indispensable l'été pour réguler le climat et sauver la biodiversité, un sol sec c'est un sol mort (la biodiversité des sols étant à la basse de toutes les chaines alimentaires ça explique une grande partie de l'effondrement) ! Les sols se minéralisent essentiellement par une exposition prolongée au soleil brulant de l'été. Sans végétation vivante l'été les sols se dégradent en libérant du CO2 au lieu d'en capturer ! Notre environnement est vert parce qu'il pleut et il pleut parce que notre environnement est vert : l'évapotranspiration n'est pas un problème c'est même LA solution au dérèglement climatique ... La réciproque est également vraie : le sols sont secs parce qu'il ne pleut pas et il ne pleut pas parce que les sols sont secs ... il ne faut jamais couper le cycle de l'eau (évaporation), c'est notre pompe à eau et notre pompe à chaleur ! Cela peut paraitre paradoxal mais la réduction de 10% par an (depuis 20 ans ...) des surfaces irriguées à contribuer à aggraver fortement le phénomène ! Planter des haies dans les champs est une goutte d'eau dans l'océan, l'ampleur du phénomène est beaucoup trop grande ... il faut une vingtaine d'années pour qu'un arbre commence à être efficace pour le climat ... on sera tous morts avant ! Les surfaces végétales sont les seules surfaces qui ne brûlent pas au soleil, qui ne stockent pas la chaleur , qui pompent du CO2, qui libèrent de l'oxygène, qui entretiennent le cycle de l'eau, qui stockent l'énergie solaire sous forme de biomasse, qui protègent la biodiversité et qui nourrissent la planète … A condition de les maintenir en vie avec de l'eau au moment ou on en a le plus besoin : l'été ... donc en faisant des réserves l'hiver ! Un arbre adulte (feuillus) consomme 500 litres d'eau par jour l'été, soit 5000m3 à l'hectare et par an, soit 500mm de pluie (70% des précipitations) et c'est pour cela que les forets régulent le climat ! Si les forets de conifères brulent trous les étés c'est parce qu'elles évaporent deux fois moins d'eau que les forêts de feuillus donc évacuent deux fois moins de chaleur et ne favorisent pas les pluies. AUCUN champs irrigué ne pourra consommer plus d'eau l'été qu'il n'a laissé infiltrer l'hiver ... l'eau infiltrée est utilisée par les villes, ce qui ne poserait AUCUN problème si cette eau était restituée au champs après traitement ... pour information les boues de stations d'épurations sont épandues dans les champs et l'eau "propre"dans les rivières ... un simple retour de l'eau des villes dans les champs permettrait de diviser par deux les prélèvements dans les nappes phréatiques l'été ... donc de résoudre tous nos problèmes hydrologiques ... pas besoin d'inventer de nouvelles règles, il suffit de faire appliquer le code de l'environnement aux collectivités ... Ce n'est pas la biodiversité qui sauvera le climat mais c'est en sauvant le climat qu'on sauvera la biodiversité ! L'agriculture est la seule activité économique dont le bilan hydrique est positif : elle infiltre plus d'eau dans les nappes phréatiques l'hiver qu'elle ne prélève l'été !

  • @mitchop7756
    @mitchop7756 5 років тому

    Un article stipule...? Ce genre d'erreur rabaisse la qualité de la vidéo malheureusement

  • @gilbertmontagner1215
    @gilbertmontagner1215 6 років тому

    Un article dispose 3:06

  • @mathilde4161
    @mathilde4161 6 років тому

    bonjour, merci beaucoup pour ces cours de droits qui nous instruisent ! cependant je me demandais, en 2018 qu'en est il du principe du pollueur payeur dans l'union européenne ?? les informations restent t elles actuelles ?

  • @guy-danielschiffmacher3993
    @guy-danielschiffmacher3993 7 років тому

    Petit clin d’œil sur l'accès à la justice environnementale pour ceux que s'y intéressent : ecolaw.fr/blog/lacces-a-la-justice-environnementale-en-france-un-droit-en-quete-deffectivite/

  • @monsieurK2008
    @monsieurK2008 8 років тому

    est zégalement

  • @samsonngoupande5734
    @samsonngoupande5734 9 років тому

    Bonjour Professeur Nicolas je tiens a vous remerciez pour cetain l'éclairage sur les différents principes. Votre enseignement à constitue à moi un cadre contraignant sur la politique environnementale Merci.

  • @benedictmarck5696
    @benedictmarck5696 9 років тому

    Truly grateful. This helped immensely with my dissertation. Much love :)

  • @Kris-qx9pz
    @Kris-qx9pz 10 років тому

    Excellent

  • @Kris-qx9pz
    @Kris-qx9pz 10 років тому

    très clair

  • @Kris-qx9pz
    @Kris-qx9pz 10 років тому

    Fighting for your rights

  • @Kris-qx9pz
    @Kris-qx9pz 10 років тому

    Intéressant

  • @Kris-qx9pz
    @Kris-qx9pz 10 років тому

    Smart overview of the issue of the Commission practice

  • @Kris-qx9pz
    @Kris-qx9pz 10 років тому

    Interesting and clear